Maitre Achéron

première régle et aussi dernière : don't feed the troll. En tant que dominant pour Noël, je ne souhaiterai rien de matériel. Ce que j'aime chez une soumise et qui donc m'apporte satisfaction est la capacité de s'offrir. J'attendrai donc à explorer encore plus en profondeur ma soumise et que d'elle même elle fasse tomber une éventuelle barrière.  

Idem

dans ce scenario idéale je vois plusieurs problèmes : - l'intelligence arythmétique n'est pas l'intelligence émotionnelle. Je ne vois pas à quel moment augmenter l'un va augmenter l'autre. - quiconque fait un travail en relation avec des humains ne peut sérieusement croire que le QI augmente. Toutes les études prouvent le contraire. - même si le postulat arrive, l'état de la planète qui s'empire chaque année, une éventuelle troisième guerre mondiale etc. balaieront tout cela

Je suis allé plusieurs fois en club échangiste. Le libertinnage et le BDSM sont deux choses différentes qui ont peu de point commun. Si c'est le rapport de domination et la douleur qui est un excitant dans le BDSM, pour le libertinnage c'est l'ambiance. Les gens sont habillés sexys, beaucoup se chauffent sur la piste ou au bar sous les yeux de tous. Tu es plus dans une logique d'exhib voyeuriste. Pour ma part si je vais dans un club pour la première fois ou avec une partenaire qui y va pour la première fois, il n'y aura rien de plus qu'un rapport entre nous deux, rien à plusieurs la première fois. Du point de vue opposé une copine a amené son copain pour la première fois au sauna et même chose ils ont couché ensemble devant tout le monde mais pas à plusieurs.  Le premire passage sert à s'imprègner, à prendre la confiance et à vérifier le sérieux des lieux et des habitués. De façon général si l'établissement est sérieux tu ne dois pas avoir de gestes ou de comportements déplacés, le consentement est et a toujours été pris très au sérieux dans les établissemnt libertins. Je réponds à ta question ? Si tu as des questions plus précises ou des sujets fais m'en part j'essaierai d'y répondre au mieux.

Je suis dominant cérébral. Ce qui me fait partir c'est de dresser une soumise avec la voix, l'émotionnel et le situationnel que génère entre autre les mots crus ou humiliants. Par ailleurs je  vais avec des soumises cérébrales, et c'est ce que celles que j'ai rencontré attendent. J'évite les mots touchant au physique. Dans ce que je peux dire, "Ecartes les jambes salope", "les sacs à foutre comme toi ne méritent pas de préliminaires" "Je t'aime petite chienne lubrique" etc. Le ton est aussi important que les mots car il contextualise le jeu d'humiliation en le limitant à la relation BDSM et renforçant le lien unique et si fort qu'est celui d'une relation BDSM. A la fin c'est purement une logique SM, un besoin comblé par un besoin diamétralement opposé.