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Svan

femme soumise. Vit à Tours, Centre, France. 35 ans. est célibataire.
Je me décris
Bonjour Messieurs,
Je ne sais pas vraiment par où commencer alors je vais laisser les mots couler de mes mains pour dire ce qui me passe par le cœur en m'inscrivant sur ce site.
J'ai découvert ma différence, mon attirance pour le BDSM très tôt. Sans y mettre les mots, car j'étais assez innocente, je connaissais déjà ma posture de soumise à mes 17 ans.
Discrètement mais surement, je me suis renseignée, éduquée moi-même par mes lectures, mes échanges et tout cela en virtuel d'abord afin de faire mes armes.
Malgré tout cela, cela ne m'a pas empêché de faire de mauvaises rencontres à mes débuts. C'était peut être inévitable quand on se lance seule à lé découverte de ce monde quand on a 18 ans.
J'ai rapidement et facilement, peut être trop facilement d'ailleurs trouvé rapidement une relation D/s. Mais cet homme avait une mauvaise emprise sur moi. En l'espace de 6 mois, je suis passée de la jeune femme confiante, enfin presque à une fille apeurée ne croyant plus au fait, que je pouvais mériter de l'intérêt de qui conque. J'ai pu hérité de quelques sévices corporelles également. Ma poitrine en a été victime, et je me retrouve avec le lunatisme de mes sens sur cet endroit de mon corps. Passant de la douleur au moindre effleurements à aucune sensation, même sous pression et pinces.
Forte ou faible de cette expérience, j'ai néanmoins continué mes recherches, parce que cela était viscéral chez moi. J'ai évolué et grandit, j'ai rencontré deux Dominants, avec lesquels j'ai eu une relation de deux ans pour chacun. Le premier étant en couple, il m'a abandonné sans nouvelle du jour au lendemain, à cause de son divorce. (( je ne l'ai appris que deux ans après alors que je tendais à une nouvelle soumission)). Le second, je me suis décrochée petit à petit quand j'ai compris l'intensité dans laquelle je voulais vivre. Mon désir d'un quotidien a prit le dessus et cela n'était pas partagé par Cet Homme.
Je ne suis pas une novice qui cherche une relation périodique, non suivie, et virtuelle. Le virtuel n'a aucune emprise pour moi, quelques soient les mots employés, même avec la Caméra, que j'exècre en plus.
Aujourd'hui, je me reconstruis car la vie m'a offert un chemin difficile et semé d'embuche. Sans rentrée dans les détails, non je ne suis pas folle, ni à enfermer dans un asile, malgré mes médicaments d'ordre psychiatrique. J'ai simplement vécu un choc Post traumatique.
Je suis clairement mal dans ma peau, n'ai plus confiance en moi, ni en mes qualités. J'ai simplement conscience de mes défauts, et d'un physique que je déteste. Merci les médicaments pour la prise de poids.
Ma description peut faire peur, et j'en ai conscience, mais je préfère être réaliste et ne pas donner de faux espoirs. Je ne suis pourtant pas une idiote naïve qui se jettera dans les bras du premier venu, malgré mon manque évident et ce besoin d'appartenance que je ressens.
Je suis quelqu'un de farouche qui se cache facilement, trouvant des excuses pour reculer encore et encore, par peur de décevoir, et d'avoir honte. Je suis la reine pour me cacher.
Je tends donc la main, non pas mon cou, à celui qui sera peut être le bon. Je refermerais ma main dans la sienne pour la guider à mon cou, lorsque l'évidence sera devant moi et que je serais enfin capable d'accorder ma confiance.
Ce que je cherche
Une relation, une évidence, un partage, une avancée, une personne, un être, une âme. Lui
Un ami m'a dit cela.. un jour pour m'aider.. j'aimerais que celui qui prendra le relai, pense et fasse la même chose. :
"Je pourrai t'amener dans un lieu privé, mais le but du jeu est d'être vu, pour ajouter à ton humiliation. Néanmoins, y compris dans la soumission, tu gardes le contrôle des limites qui démontre le respect qu'on doit avoir pour toi. Oui tu peux être humiliée et baisée, mais cela t'appartient, avec qui tu choisis, ou le dominant choisit, selon TES conditions. La condition qu'on a choisit de travailler ensemble, c'est le retour à ton amour propre et ta faculté de dire non, ce qui rend encore plus essentielle cette règle. Les gens ont une vision erronée du BDSM, y compris des pseudos pratiquants. La pratique est cachée, non pas comme honteuse, mais comme un trésor choyé et protégé. L'intime y est sacré, et c'est parce qu'il l'est, qu'on peut aller très loin. Dans la pratique en club, il peut y avoir des moments en public, des moments partagés, il y a le plus souvent des moments seuls en pièce isolée. Ce qui est public, et encore parfois ils seront en groupe spécifique à un rôle, délimité à ces membres là, ce sont les moments de discussion, pour travailler est 'améliorer, parler de ce que l'on ressent, ses besoins, ses limites etc. Un peu comme de l'aftercare mais en groupe. Ensuite ce sont des jeux de services surtout. Des moments où l'on sort son trésor, et on le laisse voir, mais pas toucher, sauf si on accorde d'en prendre une pièce, pour la remettre après dans le coffre. Rarement du sexe en groupe, occasionnellement pour l'humiliation du sexe devant les autres. Ici j'agis pareil, parce que l'on est dans ce type d'emprise que je veux avoir sur toi. Je laisse voir mon trésor, dans un environnement qui l'autorise, mais je montre clairement qu'on y touche pas. Et toi tu montre clairement que tu es digne de respect, et que tu as choisis, et n'est pas utilisable par n'importe qui, uniquement qui tu choisis, qui te traitera comme le trésor que tu es.
Pratiques
Shibari / bondage, Contrainte (menottes, chaînes ...), Discipline (Fessée, fouet, cravache...), Exhibition forcée, Suspension (harnais, cage ...), Brûlure (cire ...), Stimulation par sex-toy, Electro-stimulation, Etouffement maîtrisé, Mise en scène (des fantasmes : knidnapping, viol simulé, ...), Autres pratiques (voir "Ce que je cherche")
En quête de
Un Maître
Orientation sexuelle
Hétéro
Info de base
Statut de situation sentimentale
Célibataire
Genre/Type:
Age:
35
Localisation:
Dernière connexion:
10/12/22
Membre depuis:
08/12/22
Type de membre:
Membre
Nombre d'affichage du profil:
192