Bonsoir Silla.
Je ne crois pas que vous devriez regretter quoi que ce soit.. On ne peut pas en vouloir aux autres de tenir compte de ce que l'on exprime..
Et quand bien même il existait une ambiguïté entre ses dires et sa volonté, vous n'auriez pu l'aider si ce n'était pas sa réelle envie. On aide personne contre sa volonté..!
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Bien le bonjour.
La lecture de votre sujet m'a interpellé pour l'écho qu'il provoque en moi et d'une sombre époque que j'ai moi même vécu.
Avant de regarder les solutions qui peuvent s'imposer ou non, il est indispensable de comprendre le mode de pensée de votre soumise. Les déclencheurs, son état psychologique et aussi et surtout de ses besoins dans l'immédiat. Et au delà de ça de ses limites actuelles..
Je vais me permettre un parallèle avec ce qu'a été ma propre situation. Il n'est en aucun cas question d'appliquer mon ressenti comme vérité absolue, mais de vous offrir des pistes de réflexions...
Tout d'abord les raisons qui poussent à atteindre ce stade que j'ai pour ma part nommé état de non-retour. Dans la mesure où j'ai vécu un état ou je n'étais plus capable de m'apaiser. Une sorte de pression qui ne s'amenuise plus avec le temps. Une angoisse constante à l'idée d'etre avec les autres. Une incapacité à communiquer aussi.
Pourquoi ? Parceque c'était Trop. Parceque j'avais emmagasiner beaucoup plus que ce que je pouvais, et que je m'étais borné à ne pas regarder mes limites. J'étais en roue libre, avec de belles œillères.
Lorsque j'ai craqué, que le vase a imploser, j'ai tout comme votre soumise eut besoin de Vide et de Silence. Ici il n'est pas question de jours ni de semaines, mais de mois. Faire redescendre la pression de la cocotte minute est infiniment long.... et à chaque fois que j'ai tenté de forcer les choses, je n'ai fait que régresser.
Il est important que vous compreniez que cette attitude n'a rien contre personne. C'est juste, ce que je qualifierais de mode de survie. On se coupe de tout parceque l'on est plus capable. Qu'on n'encaisse plus aucune sollicitations du monde extérieur. Amis, familles.. tout est compliqué. Ça n'empêche en aucun cas l'amour ni les pensees. Juste que le mutisme est la seule chose dont on se sent capable.
J'ai personnellement eut l'impression que personne n'etait en mesure de comprendre ce que je ressentais. Que leur attitudes déconfites, leur faiblesse face à l'impasse que je traversais ne venaient que nourrir mon mal-être. Quand ils me regardaient, il y avait de la pitié, de l'inquiétude et de l'impuissance. Je n'avais pas besoin de ça.
Leurs regards me renvoyaient à la gravité de l'épreuve que je traversais.
Aussi j'ai ressenti un profond besoin de m'isoler, de me couper du monde. De mettre la vie sur Pause. Du silence et du vide.
J'avais un besoin impérieux que le monde autour de moi s'arrête, et de pouvoir reprendre mon souffle. Je venais finalement de vivre un marathon dur des mois/ années auquel je n'étais pas préparé. D'etre repartie de blessure dont je n'etais pas guerie. J'ai eut besoin d'avancer Seule, avec moi même dans un premier temps.
Vous devez respecter Impérativement ses besoins. Ils sont Vitaux.!
Aussi, si elle a besoin d'être seule, de se recentrer, aller contre ne fera que retarder le processus de guérison qu'elle a entamée, consciemment ou non.
Honnêtement, vous pointer là bas, si elle n'est pas prête, contre sa volonté, me semble être un paris très risqué. Mais..!.. Je ne la connais pas.. donc ça vaut ce que ça vaut ^^.
Si elle en est arrivée là, c'est parce que pendant un moment elle a rongé ses limites jusqu'à ne plus en pouvoir. Et là ce qu'elle fait , même si c'est un cadre très restreint., c'est de reconstruire un bulle, un cadre ou elle se sent en sécurité...
Il n'est pas figé, mais avant de l'agrandir elle doit s'y sentir à l'aise .
Pour vous donner une idée il m'a fallut 8 mois entre la chute et une reprise de vie "normale". Sachez que le temps , bien utilisé, est votre allier.
Et le bdsm alors? :)
Bon, je dois avouer que j'ai eut une chance incroyable..
J'ai fait la connaissance dans cette même période d'un homme sur un site bdsm (oui oui les dépressives remplissent quand même leur temps ^^)
Nous avons discuté, plusieurs semaines, et puis un jour au détour d'une conversation il m'a proposé un ordre. Pour moi. Un tâche, un premier pas, vers la remise en route..
Une bête question de rangement de salon. Photo à l'appuie. Il a su par je ne sais quel miracle , me donner la volonté de me mobiliser.
Ça a été la première étape de la reconstruction qui en a suivie.
Pas à pas il a redonné vis à ma vie. Refaconné mon quotidien. Tout était en branle là dedans. Que des mauvaises habitudes, ou du vide.
Pas à pas , petit à petit, il m'a fait reprendre le bon chemin. Ici , on parle en mois. Rien est magique ni instantané, une petite victoire, même de sortir 5 minutes de chez soi, est une Grande Victoire, croyez moi..
Je garde une profonde reconnaissance pour cet homme. Parcequ'il a œuvré pour moi, dans une persévérance et une énergie que je n'avais pas, il a su en déployer pour deux.
Tout ça pour dire que oui, vous avez le pouvoir de l'aider. Mais la clé, c'est de ne pas aller contre elle. De ne pas la brusquer, mais de savoir la secouer parfois. Pas trop fort. Ici tout est fragile. C'est un vase fêlé , prêt à exploser, où à se laisser recoller.
Votre démarche d'aide est louable, et votre questionnement démontre une grande bienveillance. :)
Ma porte vous est ouverte pour discuter, avec vous ou avec elle.
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Me revoilà.
Je n'ai pas tout lu , donc je vais me contenter de partir du sujet initial.
En preambule:
Je ne suis pas croyante. En tout les cas pas au sens où les entendent les religions diverses et variées qui sont représentées sur cette Terre. Et d'ailleurs je n'ai jamais voulu me pencher sur aucune de celles ci. Par choix. De conserver mon libre arbitre et de cultiver les croyances qui se sont forgées en moi, naturellement, au cours de ma petite existence.
Pour autant, il ne me viendrait pas à l'esprit de réfuter qu'il y ai quelque chose de plus grand que nous. Je me contente de ne pas savoir, mais de garder le champs des possibles ouverts. Et de mener ma vie sous des valeurs qui me sont propres, non pas au nom du plus grand, non pas sous la peur de représailles divines, mais dans une recherche de paix, de bienveillance, de respect et d'amour. Avec ça, on fait beaucoup.
A titre indicatif, je ne participe pas à cette conversation dans le but de descendre ou d'élever Dieu. Je respecte les croyances de chacun.
Fin du préambule.
A une époque j'ai été confrontée au même questionnement que vous, cette notion de Bien et le Mal.
Pour vous donner un peu de contexte, j'ai été élevé dans un vent de liberté, Toujours. Avec des valeurs, une éducation parfois stricte. Mais on m'a toujours appris à cultiver mes propres avis, décisions. On a jamais évoqué Dieu, et on ne la jamais réfuté. J'ai eut la chance que l'on m'offre un champs des possibles immense.
Enfin, c'est le souvenir que j'en ai . Pour ma famille je suis juste un être Libre, et c'est plus lié à ma nature qu'à mon éducation. :)
Donc, pour en revenir au sujet, j'ai été confrontée à cette notion de Liberté. Lorsque toutes les pièces bdsm ont commencé à s'emboîter, que j'ai reconnu ma nature soumise, ça a été un choc. Violent.
La vie qui m'aspirait, m'inspirait, allait en surface à l'encontre de toute mon éducation. De toutes mes croyances.
Je ne voulais pas être libre. Au sens où des générations de femmes se sont battues pour gagner leur droit. J'ai eu cette impression de les trahir, et de me perdre un peu aussi.
L'affaire à duré quelques jours, semaines, dans beaucoup de pleurs et une impression de fatalité.
J'avais enfin compris le sens de Mon existence.
Et après Beaucoup de pérégrinations, de soutiens aussi, une question s'est imposée à moi:
Est ce que ce que je voulais était mal ? Au sens de "vais-je blesser quelqu'un, est ce immoral ?
La réponse était tout de suite vue, et j'ai fini par entrevoir que mes désirs/besoins n'étaient pas incompatibles avec mes valeurs personnelles.
S'il doit y avoir un parallèle avec le rapport qu'on a avec Dieu, je crois qu'il se joue sur ce point précis.
Je me rappelle qu'à cette époque je me suis demandée ce qu'il pourrait en penser, de la haut.
Et il y a une chose dont je suis sûre. Dieu n'est pas là pour nous empêcher de Vivre. Qu'il soit une création de l'homme ou une divinité, il est comme les lois, des faisceaux lumineux pour ne pas s'éloigner de la Lumière.
Vous évoquez le besoin de trouver un sens à votre vie. Moi c'est dans le bdsm que je l'ai trouvé , et plus précisément dans les valeurs de la relation D/s. Non pas pour me fondre dans un moule mais par résonance.
Et je parle ici d'un mode de fonctionnement, de vie, et non pas du jeu, qui est aux antipodes de ma réalité.
Aux antipodes de ce que représente ma foi..
Certain Aspirent à croire en Dieu. Moi j'aspire à croire en mon Maître, à croire en plus grand que moi.
Certains vouent leur vie à servir Dieu. Moi je veux vouer ma vie à servir un Homme.
Bien évidemment il n'est pas question ici de faire l'apologie de quoi que ce soit. Juste l'évocation de ma perception, ma spiritualité, mon sens de la vie.
c'est juste.. mon chemin de croix ? ^^
J'ai toujours vu une forte résonance entre la vie à laquelle j'aspire, et le chemin que les croyants prennent pour servir leur Dieu.
Et votre sujet est parfait pour exprimer cet état d'esprit. Désolée de partir en tout sens, mais relier le tout de façon claire est au dessus de mes moyens ^^
Alors Merci :)
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Bonsoir. Sujet intéressant. Je reviendrais poser mes mots bientôt. 🙂
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Bien le bonjour.
Pour la faire très courte, pour moi, être libre, c'est embrasser qui je suis. Laisser vivre ma personnalité, ma nature.
Celle ci étant soumise (dans mon couple/ intimité), de nature obéissante, et chérissant cette position, les devoirs/droits/obligations/ et aussi permissions, pour moi la question ne se pose même pas...
Là ou ma liberté trouve son apogée, c'est quand je suis en droit de ne pas devoir me dissimuler derrière un masque de femme libre et indépendante. De ne pas devoir supporter les carcans que la société moderne nous impose. Un monde où je n'ai pas à mener des combats qui ne sont pas les miens.
Ma plus grande liberté est finalement d'avoir la liberté de ne pas vouloir être libre. 😆
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Je ne suis l'avocate de rien du tout. :)
Je mets juste un positionnement inverse en lumière, vous savez c'est un truc nommé empathie. Qui consiste à se mettre à la place d'autrui.
L'idée était de rétablir un équilibre, une vision peut être plus neutre que ce que cette demoiselle nous a vendu.
Elle a 19 ans, et ?
Est ce que ça l'empêche de prendre ses responsabilités ? Je ne crois pas . Enfin j'espère pour elle !
Je parle de petite mésaventure car il ne lui ai rien arrivé de grave. Grave comme ça peut arriver dans le bdsm j'entends. Des réels abus que je suis sure beaucoup ont vécu, sans pour autant se mettre sous les feux des projecteurs.
Je ne suis pas sûre que votre comportement l'aide à avancer.
Un Dom qui n'a pas sa place ici ? Vous le connaissez ? Vous avez discuté avec lui? Vous vous basez sur quoi pour en juger ?
Je vais vous dire, ce qui me gonfle un peu, c'est cette idée que les Doms sont toujours les méchants, et les subs de pauvres petites victimes.
Ça peut arriver hein. Mais parfois la vérité est toute autre. et dans la majorité des cas, les torts sont partagés.
Brosser les gens dans le sens du poils, ce n'est pas forcément les aider. Relativiser oui. Leur faire comprendre les ressors de leur échec aussi. C'est comme ça qu'on avance, qu'on progresse. Et qu'on ne se casse plus les dents.
Concernant vos attaques personnelles, tel que ma stupidité et ma vaine recherche, je constate que là encore vous ne véhiculez aucunement les valeurs de respect qu'elle est sensé apprendre en temps que novice.
Je ne relèverai pas votre manque de compétences pour guider une soumise dans la bonne direction, mais sachez que le cœur y est. 💝
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Bonsoir.
Je vous propose ceci.
Depuis quelques jours je suis en contact avec une jeune femme, un soi-disant soumise avec qui j'ai entamé une relation. Au début, elle m'a semblé bien. Elle écrivait bien, avait un champ de connaissances ouvert et vaste, elle était respectueuse... la soumise parfaite. Je lui ai proposé d'être son Daddy dom. Rien de plus. Même si je lui ai confié que je rêvais de fonder une famille, un jour habiter ensemble... cette idée lui plaisait.
Je ne donnerais pas de noms, ni de pseudo mais je vais m'en tenir à l'histoire pour dire que malgré les apparences, j'ai senti qu'un truc clochait. Elle est jeune et d'abord je me suis dit que je ne la connaissais pas, que je devais expérimenter avant de juger. Et donc j'ai continué à discuter avec elle. Mais nos discussions n'étaient pas palpitantes. Ça ne se résumait qu'à lui donner des ordres et un "comment ça va, tu fais quoi ?". C'était un peu bizarre mais j'ai pensé que je devrais donner du temps à la relation.
Peut-être aurais-je dû en parler avec elle ? Mais je elle n'etait pas trop loquace. Quoiqu'il en soit, je l'ai porté comme ça pendant 5 jours. Puis je lui ai fait la surprise, et lui ai dit que je venais la voir samedi.. elle m'a avoué ne pas pouvoir. Cela m'a un peu irrité. Bon un peu est un euphémisme... Bref c'est pas le problème.
J'ai eu plus de reserve par la suite, ai ete plus durs, mes expressions plus crues. Elle n'a pas eut l'air d'aimer ça . C'est là que les choses ont sûrement dérapé car les messages se sont enchaînés. Elle est revenu sur ses engagements et m'a dit qu'elle n'avait plus envie d'être en couple. Pourtant. Elle l'idee de vivre ensemble lui plaisiat initialement.
Je l'ai pointé du doigt en disant que c'était qu'une pauvre fille perdue qui ne savait pas ce qu'elle voulait.
Fin
Inutile de dire que pour les antidépresseurs ses mots sont nuls.
Mais pour le reste.. Je ne vois pas ce que vous attendez des lecteurs du forum ? Qu'on abonde dans votre sens ?
Vous acceptez d'être en couple avec un inconnu, faites un volte face et vous defilez.. et vous venez ici le discréditer. Franchement je ne comprends pas votre démarche. On peut faire des erreurs de jugements, mais quel intérêt à venir prévenir de pardonnez moi mais "rien" hormis un échange qui tourne en eau de boudin.
Vous avez votre part de responsabilité dans cet echec. Mal choisi, trop précipité, pas de communication de votre part.
Alors soit vous ne dites pas tout et il y a vraiment eut des faits ou des mots dangereux. Soit il n'y a rien a dire, ni même a échanger sur votre petite "mésaventure"
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Comment servir correctement sinon.. comment anticipé, comment satisfaire, comment faire de son mieux si on n'y met pas tous ses neurones. ^^
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Je profite de votre réponse qui met en lumière la connotation justement. :)
Pour moi l'emprise n'a aucune connotation. Ni péjorative, ni méliorative.
Tout comme le terme de manipulation.
C'est les gens qui en font quelque chose de mauvais, ou de bon.. 🙂
Définir l'emprise est finalement un vrai casse tête dans les faits .. les definitions très scolaires données au dessus ne me satisfont pas. Elles manquent de profondeur, et de mise en relief avec le bdsm.. ce n'est pas assez.. factuel pour moi.
Aussi en voici ma version j'aimerais en ma version. ( c'est une ébauche, elle demande à être étayée, peaufinée si quelqu'un a quelque chose à rajouter, ce sera avec grand plaisir ^^)
Emprise: Le pouvoir /l'effet que l'on obtient sur quelqu'un, quelque chose.? Une forme de conditionnement, visant à limiter, à ne pas enfreindre certaines règles, mais aussi à respecter d'autres mise en place par la personne Dominante.
Une chaîne mentale, qui relis dans le quotidien une soumise à son Maître. ? :)
On peut envisager le pire avec le pire des Maître, mais dans les faits, quand on est bien guidé , ça peut être extrêmement positif, et tout autant jouissif. J'ai envie, même plutôt besoin de ressentir le pouvoir de l'autre sur moi, sur mon quotidien. L'emprise sur moi est ressenti comme une extension de sa volonté. (Je sais pas si je suis claire ).
Et c'est en conscience que l'on agit sous emprise ( je reste ici dans le cadre du consentement et bdsm positif, les dangers ont déjà été évoqués 1000 fois..).
Dans le cas qui m'intéresse, je ne vois pas du tout ça comme un extinction de ce qui m'anime ou autre idee du genre qui viendrait appuyer l'idée que les gens sous emprise ne sont pas capables de réflexion...
C'est plutôt comme se laisser guider par une voix qui me rappelle, dans pleins de situations quelle est ma place, mes devoirs, obligations, permissions.
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Bonjour à tous.
Yelyms, sans faire de comparaison aucune car je n'en suis pas arrivée jusque là dans une relation passée, j'ai tout de même été confrontée à quelque chose qui semble nous lier. Le dégoût de soi. La perte de confiance, l'isolement. Et surtout une estime de soi en deçà du zéro. L'impression que tout était de ma faute, que j'étais coupable de tout.
J'ai connu un "super" Dom. A première vue quelqu'un de très correct. Et puis au fil du temps, les choses se sont détériorées..
Aujourd'hui je vous dirais que non, posé sur le papier telle que la relation à été, il me serait impossible d'accepter tant d'isolement. Pourtant tout à été fait par petits échelons, insidieusement, et tant que j'ai été dans la relation je n'ai pas été alertée outre mesure. Jusqu'au jour où l'idée d'en finir à commencé à s'installer.
Je n'en suis pas sortie indemne. C'est Là où le travail sur soi intervient (et oui j'ai consulté, et je n'ai pas fini ^^) . C'est dans le fait de remettre les choses dans l'ordre, à leur place. Mettre à plat, avec quelqu'un qui vous permet de vous interroger. Sur les faits, et non pas sur ce qu'on vous a fait croire. C'est rendre la faute à qui de droit.
L'idée de la guérison n'est pas d'oublier. C'est de pouvoir vivre sereinement, sans se sentir tiraillé par le passé. C'est être suffisamment solide pour avancer dans de bonnes conditions.
S'aimer c'est important, voir primordial. Déjà pour être en paix, et aussi pour pouvoir fixer des limites aux autres.
Je vous souhaite de prendre soin de vous.
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Bien le bonjour.
J'ai lu en diagonal cette discussion donc il est possible qu'il y est des doublons avec d'autres réponses..
Je ne suis pas d'accord avec le fait de laisser les femmes vous aborder. A vrai dire et je ne parle que dans mon cas, je ne prends (sauf exception) jamais contact avec un homme. Les laisser faire le premier pas, c'est voir sous quel angle ils m'abordent, s'ils ont pris le temps de lire mon profil. Quel ton ils emploient etc etc.
Pour ce qui est du mur G, ça doit etre un moyen effectivement, mais tout comme Dereck, sur un site de bdsm, je prefere largement m'interesser au forum, et reflexions apportees, qu'aux publicationx "poetiques", légères (pas bdsm) et m'as tu vu. Même s'il reste parfois des trucs sympa qui passent. ^^
Comme il l'a été dit on peut être submergées de demandes. Donc les phrases bateaux sont à bânir. Les copiers-coller aussi. Mieux vaux une phrase personnalisée qu'un pavé aseptisé...
J'ai parcouru votre profil, et honnêtement votre présentation ne raconte pas qui vous êtes. Je n'irais pas jusqu'à dire que le physique ne m'intéresse pas, mais dans mon cas c'est l'âme qui m'intéresse vraiment. Donc si vous n'ouvrez pas de porte sur votre monde, votre vision, c'est pour moi sans aucun intérêt.
Je suppose que je suis une "extremiste" mais recherchant un état d'esprit, si je ne le lis pas à travers le profil, je pars du principe que soit sa réflexion n'est pas aboutie, soit celui ci diffère du mien.
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Je ne suis pas forcément fan du verbe "plussoyer" mais j'admet que vous l'utiliser à très bon escient. bravo! Quel plaisir de lire quelqu'un qui écrit & utilise les bons mots & qui plus est arrive à me surprendre & me convaincre en en utilisant 1 qui n'est pas dans mes préférés!
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01/05/24
Ce qui me chagrine... Probablement le fait qu'il soit 1 nouveau mot que je ne le trouve pas forcément très beau. Je vous remercie de me l'avoir présenté sous son bon jour. Tout comme je vous remercie de vous être présentée sous votre bon jour, celui du 1er Mai: la photo est belle & dépeint joliment votre univers en plus d'être intrigante & agréablement titillante.
Je m'interroge, grâce à vous 😁, sur 1 détournement possible de ce verbe... Lâcher-prise c'est quand on est plus soi!? 😁, non?
Plutôt agréable de sentir 1 début de conversation normale ici, ça fait du bien. Le tout BDSM peut aussi accoter ses effets too much. Sortir des carcans me plaît & je ressens cela. Est-ce too much de penser oser vous demander en ami. J’aime les différences & je vous sens différente. Belle & différente, belle dans sa différence. Belle à ne pas me laisser indifférent. Belle nuit à vous.
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01/05/24
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Charmante nature avec ces couleur vives et sa diversité. J'aurais presque envie de m'y jetais ou de le faire en duo, trio....., de nous enrouler pour trouver douceur et senteur du printemps. Merci à vous pour ce moment enivrant.
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19/06/24
Louvia a répondu à la discussion "comment repérez vous qu'une femme est + ou - soumise ?" de Douce Plume.
Bonsoir StellaMaris, je plussois votre commentaire, mais tout de même, toutes les femmes se soumettant n'ont pas les mêmes limites ni les mêmes envies.
Ça peut aller de celles qui souhaitent un peu de contrôle (au lit) à celles allant sur un statut d'esclave ( et bien au delà de la dimension sexuelle).
Donc il y a bien des nuances selon les aspirations et envies des individus. 🤷🏻♀️
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femme soumise, cérébrale, recherche son complice de jeux adepte de l'éducation anglaise, des liens, de l'exhibe ; ma préférence ira à un homme expérimenté, pouvant recevoir, et dans ma tranche d'âge ; j'aime les récits érotiques a mettre en pratique. au plaisir peut être .:.