Catkarma

Ma première tonte Rien ne laissait présager ces derniers temps que mon amant allait enfin se décider ! Je le lui demandais depuis des mois et il s’arrangeait toujours pour que cela ne reste qu’un sujet de discussion… Mon envie devenant de plus en plus pesante, j’ai décidé de me mettre en quête d’un autre « coiffeur » qui pourrait assouvir mon fantasme. Je ne lui cachais pas mes démarches et l’avancée des divers contacts pris. Depuis quelques temps, je discutais avec un homme intéressé à me tondre. Un jour, nous décidâmes de nous parler et la conversation fût très agréable. Le récit de ce téléphone sembla vivement le contrarier. Le lendemain, il était toujours aussi ronchon. Nos échanges restèrent quelque peu distants jusqu’à tard dans la nuit, moment où je lui ai proposé de venir prendre un verre ; le voilà chez moi 20 minutes plus tard. Juste vêtue d’une petite robe légère en soie, boutonnée sur le devant laissant entrevoir mes seins, je nous ai préparé un bon verre de vin et allumé un feu. Bien installés l’un contre l’autre, nos mains se faisaient baladeuses alors que nous nous racontions nos journées respectives. Profitant d’un silence, j’ai lancé LA question : « Bon, alors tu veux la voir ma tondeuse ? » Je venais de faire l’acquisition de ce bel objet des plus sensuel. Ceci étant, l’excuse d’absence de matériel ne pouvait plus être un obstacle à LA réalisation ! Il acquiesçât. S’en suivit de longues minutes où il la regarda sous toutes ses coutures, la manipula, la mit en route, l’éteignit à de nombreuses reprises en faisant des commentaires. Moi, à ses côtés, je commençais à ressentir l’excitation monter, alors que nous n’avions même pas, ne serait-ce qu’évoquer, son éventuelle utilisation. Dans l’effervescence montante du moment, j’ai déboutonné son jeans et fit sortir sa queue qui, selon lui, avait besoin d’être réanimée… Une fois libérée, cette dernière était bien vivante ; l’excitation semblait être partagée ! J’ai donc commencé à la caresser, la sucer. Lui continuait à étudier les sabots, levier, etc. D’une voix hésitante, je me suis alors lancée : « Tu vas le faire ? » D’un air très calme, il me regarda et sa réponse fusa : « Oui, tu vas être tondue ce soir ! ». A ce moment, s’entremêla peur et euphorie, je me suis remise à le sucer plus goulument. Tondue, je vais être ! Mais quelle longueur va-t-il choisir ?! Je le voyais hésiter, prendre un sabot, puis un autre, continuer à l’allumer et l’éteindre tout en passant sa main dans mes cheveux. Ceci ne faisait qu’augmenter le trouble dans lequel je me trouvais ; ma chatte devenait de plus en plus humide. Nous avons fini de nous dévêtir, il me prit par la main, m’installa sur un bouf près du poêle devant lui, son sexe continuait à montrer son contentement. Il se trouvait à la bonne hauteur pour une bonne prise en bouche. Une fois qu’il fut englouti dans ma bouche, j’ai entendu le doux bruit de l’engin, je l’ai aussitôt senti sur ma nuque et les premières mèches tombèrent au sol. Puis, d'une main, je le branlais et de l’autre, je me caressais ; mon corps tout entier frémissait. Lui continuait méticuleusement son travail. Je ne pouvais voir le résultat, par contre la quantité de cheveux qui jonchait le sol me fit frissonner de peur. « Ça semble être court » lançai-je. « C’est parfait » me répondit-il, « ne t’inquiète pas » Il continua à œuvrer et moi aussi. Sa queue faisait des allers-retours dans ma bouche alors que je sentais la tondeuse se promener sur tout mon crâne La coupe terminée, son sexe était prêt pour l’exaltation finale…et mes seins furent alors honorés ! Une fois nos esprits plus ou moins repris, il me regarda et me redit : « C’est parfait, cela te va à merveille » Me voilà donc tondue à 13 mm ! Après une bonne douche, nous nous sommes installés enlacés sur le canapé… Ce vendredi soir de décembre restera à jamais la nuit de ma première tonte, et certainement pas la dernière.