La_Crampe_00, je suis d'accord, chacun est unique et le fait de ne pas connaître les envies de l'autre à l'avance fait le sel de la rencontre. Mais à mon sens, pour que la découverte des envies de l'autre soit réjouissante, il faut qu'elles coïncident un minimum avec les nôtres autrement on risque de se sentir frustré(e). On a donc avantage à avoir des envies plus classiques/répandues que l'uro et le scato.
Salomé, je comprends votre dégoût car je le partage, et j'ai l'odorat délicat également. Mais c'est justement le fait de se voir imposer quelque chose d'aussi écœurant qui doit exacerber le sentiment de soumission.
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maîtresse éclectique, sévère et exigeante, sans oublier la cérébralité inhérente à toute relation digne de ce nom. .:.
Sommes-nous si marginaux ? (uro, scato)
Hello,
Avec un peu de recul sur mes interactions de ces derniers temps, j'en viens à me poser cette question : sommes-nous si marginaux, nous qui sommes attirés par l'uro voire par le scato ?
Les interactions en questions correspondent, d'une part, aux échanges que j'ai pu avoir sur des applications de rencontres classiques et, d'autre part, à ma dernière relation en date.
Que ce soit sur ces applications ou avec mon ex, je savais m'adresser à des femmes à priori "vanilles", donc moi, avec mes envies flatuphiles, urophiles et scatophiles, j'avais plutôt intérêt à préserver leur sensibilité en évoquant dans un premier temps la pratique la moins "écœurante" (à mon sens) du lot : l'uro.
Je trouvais aussi évidemment un intérêt personnel à procéder ainsi : ne pas trop passer pour un fou, ou en tout cas pas de suite.
Sauf que la plupart du temps, l'accueil réservé fut assez négatif : incompréhension, dégoût, sarcasmes et rupture avec mon ex (même si la rupture a été décidée d'un commun accord).
Et lorsque l'accueil était un peu plus chaleureux, c'est-à-dire lorsque l'uro semblait admise, le scato restait considéré comme une pratique extrême (ce que j'admets) et comme un seuil à ne jamais franchir.
Maintenant j'ai bien conscience que mon champ de vision est restreint puisque évoquer un tel sujet sur des applications de rencontres classiques n'étant pas facile, ce n'est pas non plus quelque chose que j'ai reproduit des centaines de fois.
J'en appelle donc à votre regard : pensez-vous que les personnes attirées par ces pratiques sont si marginales ?
Question bonus : pensez-vous que l'on puisse concevoir ces pratiques sans rapport de domination/soumission ? Personnellement je ne pense pas.
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Présentation Sacha
Hello, Je me permets de copier ici ce que j'ai déjà écrit sur mon profil : "Je me décris" Physiquement je suis de corpulence mince et mesure environ 1m75. Mon entourage me décrit comme très charmant. Mes relations précédentes ont toutes été "vanilles". J'y avais même plutôt le rôle du dominant soft dans l'intimité (m'adaptant aux envies de mes ex) alors que mes préférences vont pour la soumission. J'ai notamment une attirance pour les fortes odeurs corporelles (haleine, aisselles, sexe mais surtout anus) et pour les situations où ces dernières me sont imposées, comme le facesitting typiquement. Au fur et à mesure des années et même si je n'ai jamais pratiqué, je me suis découvert flatuphile, urophile et scatophile. Mais dans la mesure où je suis attiré par le côté receveur et non donneur de ces pratiques, je ressens encore quelques réserves à vouloir essayer la 3ème catégorie. "Ce que je cherche" J'aimerais en apprendre davantage sur cet univers qui m'est complétement inconnu, échanger des idées, des conseils. Je n'exclus pas la possibilité de rencontres mais uniquement dans l'optique d'une relation amoureuse stable et non pour s'amuser.
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