Morte de honte, toute la journée, harcelée par les filles, puis aussi les garçons de la classe, les copines en ont tellement rajouté, que tout le monde me posait des questions. Je rêvais de sortir et de rentrer à la maison, pour fuir cette folie. Enfin 17h, devant la grille Julien et Léa, j'ai senti un grand coup de chaud, voilà de quoi alimenter les questions. Ostensiblement Lydia m'a embrassée sur la bouche et Julien a suivi, ce fût le début des commentaires salaces.
On est arrivaient, je me suis réfugiée dans ma chambre, en larmes pour ne pas changer, la tête sous l'oreiller, je n'ai pas entendu Lydia entrer, je me suis ramassé 4 coups de ceinture sur les fesses, je me suis levée en hurlant MAIS POURQUOI? Deux claques en réponse et "tu ne tes pas déshabillée et tu pleurniche alors que je t'ai ordonné de ne plus pleurer" Je me suis mise nue en silence, mes fesses en feu je suis restée comme tétanisée. Impossible de bouger, tremblante, je ne comprenais pas pourquoi ma soeur devenait si méchante, aussi dure, c'était plus ma Lydia d'Amour et Julien ne disait pas un mot???
Perdue dans mes pensées, j'avais peur de tout, ce soir sur le canapé, dans la douche, demain au lycée les copines de classe...?
Ce soir là, comme je ne venais pas sur le canapé, Lydia est arrivée dans ma chambre pour voir ce que je faisais, j'ai pas bougé, un gros semblant de dormir lol, ma frangine ne s'y est pas trompée et la claque fût magistrale... "Tu vas aller au salon Julien attend, tu bouge" la fesse cramoisie, je suis allée m'assoir à coté de Julien, Lydia s'est collée contre moi, a attrapé mes tétons si fort que j'ai crié, elle n'a rien lâché la douleur me faisait trembler, plus je gémissais plus ses doigts roulaient les bouts, une minuscule goutte perlait. au moment ou je fermais les yeux, Julien enfonça deux doigts dans ma bouche et m'obligea à sucer, j'étais sur, mon cul allait les sentir passer. Tiré par les tétons je me suis retrouvée à genoux et les deux doigts sont entrés, en force, le pouce écrasait mon clitoris, des frictions durs, j'ai rien vu venir, j'ai eu un orgasme immense et j'ai pissé partout sur le canapé, sans pouvoir rien retenir. J'ai juste entendu Lydia dire "ça devient une belle salope ma petite soeur"
La traditionnelle serviette sur la banquette était toute mouillée, je commençais à essuyer parterre, quand elle m'a prise par les cheveux, m'a obligé à lécher le sol. En panique, j'arrivais plus à respirer entre deux sanglots, j'ai senti mes poignets attacher dans mon dos, puis mes chevilles, toujours le nez dans mon urine j'avais envie de vomir, le goût salé, l'odeur... je voulais mourir, Lydia m'a retourné sur dos, s'est assise sur mes seins tout meurtris, en me tenant par les cheveux, j'avais mal partout, je criais pardon, désolé, je ne savais quoi dire pour que ça finisse, les yeux en feu. La réponse a été " ouvre la bouche" j'ai obéi machinalement et j'ai reçu son urine, je me suis étranglée, la seule chose que j'ai entendu c'était "avale salope" ma grande soeur d'amour ce transformait en sadique. Elle s'est relevée et j'ai vu Julien le zizi en main m'arroser des pieds à la tête, un pieds sur mon cou Lydia m'obligeait à boire tout ce qui tombait, je la voyait masturber et sucer ce gland qui me paraissait immense, Julien n'a pas tenu bien longtemps, à genoux sur moi, il s'est vidé dans ma gorge.
Détachée enfin, j'ai du laver le sol et tout nettoyer, pressée d'aller sous la douche, je n'ai pas vu les deux complices, quand je suis entrée, j'ai été enlacé câliné, caressé de partout, douchée, savonné....
"Un grand Bravo ma Choupette on est super fiers de toi et tu peux aussi, un vrai bizutage, n'oublies jamais qu'on adorent la Léa que tu es devenue, notre Amour sera éternel”
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Plusieurs jours ont été indispensable, pour digérer cette demande, ma soeur veut offrir ma virginité en cadeau de St Valentin à Julien... C'est une vision difficile pour une gamine de 15 ans, sans expérience, sensible et encore timide. Effrayer, morte de peur et follement troublée, rien que de penser à Julien, de ce qu'il allait faire, tremblante, toute mouillée, l'envie de céder à l'appel de la chair, du sexe. L'ado rêveuse rappelée à la réalité, qui se touchait la nuit dans son lit, se donnait un peu de plaisir sans imaginer le grand pas qui lui était demandé. Aujourd'hui je dois décider, soit je refuse et je loupe une belle occasion de le faire avec des gens que j'aime ou je me lance pour faire le bonheur de tous le mien en premier et offrir ma virginité. Je devais demander des précisions à Lydia avant tout, jusqu'où je devais accepter et Julien, jusqu'où il allait aller ?? Est-ce-qu'il prendra son temps en douceur, comme le soir sur le canapé mais c'est seulement ses doigts, quelques fois sa bouche, sa langue, il va utiliser son beau sexe, je dois le sucer et avaler, ça je l'ai déjà fait, il va me pénétrer trop peur de souffrir. Demain j'en parle, Lydia doit tout me dire. J'arrive pas à dormir, au lycée les amies vont le voir et je vais crouler sous les questions pourries, moqueries et plus 🔞 je vais rougir 😊 la honte...
Au petit déjeuner, après le départ de Julien, j'ai assailli ma sœur de mille questions et les réponses n'étaient pas rassurantes, en résumé, je ne devais pas réfléchir, juste me laisser aller totalement, je lui appartiendrait toute la nuit, y compris ma virginité anal. Lydia serait là mais n'interviendra pas, juste des conseils...
Je me suis retranchée dans ma chambre pour pleurer une fois de plus, la voix de Lydia, ferme et péremptoire, "de toute façon je m'occupe de toi des demain, ça fera 30 jours avant le 14, comme j'ai prévu ton entraînement."
Dès la douche, le matin suivant, elle est venue pour me savonner, ses doigts on fouiller mes orifices légèrement, je me tortillais sans pouvoir échapper aux inquisitions de plus en plus profondes. La vulve et l'anus me brûlaient avec le gel douche, de nouveau en larmes, pour la première fois ma sœur m'a giflé très fort, "ça suffit tu n'es plus un enfant, alors fini de pleurnicher. Tu feras ce que je te dirais, maintenant écarte les jambes et en silence" je sanglotais sans bruit, les doigts ont investi mes petites lèvres et de l'autre main mon petit trou, j'étais secoué des pieds à la tête, j'ai crié en faisant pipi dans sa main, effrayé à l'idée de prendre des claques mais elle m'a embrassé sur la bouche, je sentais sa langue sur la mienne, je n'osais plus bouger, peur, honte, stress, après ce long baiser, je ne savais plus rien, j'attendais sous la douche immobile, une petite tape sur les fesses pour me sortir de cette torpeur et entendre Lydia me dire "tu vois c'est pas compliqué de lâcher prise" Je me suis blottie dans ses bras pour murmurer, tu n'es pas fâchée, j'ai fais pipi dans tes doigts ? " non c'était ce que je voulais, bientôt je ferais pipi dans ta bouche 👄 tu devra aussi tout boire, je te montrerai...
Sur le chemin du lycée cette image comme un incendie dans mes pensées, je n'ai pas vu mes deux amies qui me regardaient, curieuses, " salut, ça va ? Tu as fumé un truc? Drôle de tête, ah voilà cette fois t'es plus vierge, tu dois tout nous raconter, tu l'as fait, qui t'as sauté, aller, tu dis rien, le copain de ta sœur ? " Rouge les yeux mouillés, j'ai juré qu'il n'y avait rien de rien, que j'étais pas bien, comme chaque mois....
À suivre
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Les jours suivants, une espèce d'écrin s'est installé, tendre, doux, comme un grand voile de soie. Dès que nous étions libre de nos obligations, à la sortie du travail et moi du lycée, une seule idée, être ensemble, je ne pensais même plus à trainer avec les copines, aux sorties du samedi, d'ailleurs je n'ai pas échappé aux commentaires du genres " on ne te vois plus, tu réponds pas aux messages, t'es amoureuse, il est comment, tu l'a déjà fait avec lui, tu peux bien nous raconter, c'est ça, t'es toute rouge, hahaha ! " je n'avais qu'une envie c'était de rentrer. Bien avant eux à la maison, je sautais sur mes cours pour terminer au plus vite.
Un petit maquillage, un peu de parfum, j'adorais celui de Julien "Eau Sauvage" je recherchais le sourire, le commentaire, tous les soirs ne se ressemblent pas et parfois, un peu triste. Difficile à cet âge, tout change, le corps, les envies, la vie de chaque jour, parce qu'on a évolué et sauté quelques étapes mais j'étais encore un gamine, juste une ado avec un peu d'avance , qui avait encore beaucoup à apprendre.
C'était un de ces soirs où je rêvais du "Prince charmant " bien plus entreprenant que dans le comte, que ma sœurette se glisse sous ma couette, comme souvent, blottie dans mon dos, des frissons partout, à voix basse, Lydia me demande un coup de main pour le cadeau de St Valentin de Julien, en vrai, " j'aimerais lui faire la surprise de sa vie et je pense avoir trouvé la merveille, qui en a envie aussi depuis longtemps" je suis passée de la douce chaleur de nos corps à la sueur de la trouille d'avoir compris qui était le cadeau 🎁 surprise. Jusque-là les caresses, les baisers et les doigts inquisiteurs suffisaient à ma curiosité mais là... Il faisait très chaud sous ce duvet, wouha. Je laissais échapper un "oh non" . Attends je t'explique: " nous allons souper au restaurant tous les trois, j'ai réservé, aussi au cabaret, après la soirée, on rentre à la maison, je préparerais les petits 📦 sur la table du salon à ouvrir après la soirée. On rentrent, comme d'habitude, on se déshabillent, on passent à la douche. J'ai achetais du ruban 🎀 en velour rouge, il est dans le tiroir des strings, je viendrais t'aider, pour faire de jolis nœuds à tes chevilles, aux poignets, autour de ta taille et à ton cou. Le reste sera noué au ruban à ton cou, dans son petit paquet cadeau il y aura un petit mot disant, qu'il lui faut trouver, le bout de ruban rouge au salon, il le trouvera près de la porte de ta chambre et devra le tirer, tu va sortir de ta chambre avec ta mine de petite souris et je lui dirais que mon cadeau de St Valentin c'est toi, j'aimerais que tu dises que nous lui offrons ta virginité en gage de notre 💘 que tu ne veux personne d'autre pour la première fois. On a un mois pour te préparer et je serais avec toi, je te tiendrais la main si tu as peur, je vais te montrer en détails ce que tu devra faire, Julien n'est pas un sauvage et tu sais qu'il t'adore, il a respecté sa parole quand vous étiez seul non?
Je peux pas faire ça, il va se moquer de moi, je ne suis pas aussi jolie que toi, je n'y connais rien et je ne saurais pas quoi faire ni quand...
Pas de panique, tu en as envie je le vois bien, on t'entend glousser le soir dans ton lit, depuis quelques semaines tes petits seins on prit du volume, tu es parti plusieurs fois au lycée sans culotte avec ta jupe plissée, j'espérais que tu n'avais pas un copain trop entreprenant...
Non j'ai personne, juste exitée de sentir l'air sur ma vulve, je te jure rien de plus. Tu ne peux imaginer la peur et l'envie qui me brûle en même temps, tu sais, je vous aime mais suis complètement perdue, si j'ai mal ? Terrifiée ? Si je saigne et la honte de salir partout ? Je vais mourir.
Non je te promets, on va tout voir ensemble, la seule chose que tu dois supporter c'est le passage de fille à femme, être déflorée, une minute de douleur avant un immense plaisir, je vais t'aider en préparant l'entrée pour limiter le côté pénible. Et d'ici là rien ne t'empêche de continuer avec 2 doigts... Même si je te tiens la main, tu dois lui appartenir entièrement toute la nuit et je te guiderai, penses y, pour nous trois, accepte ma Choupette 💋💝
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Mon petit monde douillet déroulait ses heures, entre les études, Lydia et Julien. Une agréable sensation de calme, je demandais bien souvent, de quelle surprise elle avait parlé ? Mais silence. Nos petits jeux me semblaient plus hardis, plus épanouis, très ciblés, les caresses anal et les doigts, indifféremment, de Lydia ou Julien, me faisait grimper au ciel, au point que j'avais hâte d'arriver au journal de 20 h ... Je ne pouvais plus me passer de nos câlins du soir.
Un de ces soirs justement, une main a prit la mienne pour la poser sur le sexe de Julien, je le voyais souvent se relever, devenir plus rose, là je le sentais, plus dur que je l'avais imaginé, je retirais la main, Lydia, pour montrer son accord me guida, sa main par-dessus la mienne, des allés retours qui découvraient le gland, de plus en plus rouge, très exitée, les larmes aux yeux, je tremblais, les doigts de Julien doucement frôlait mes petites lèvres, ma sœur appuyait sur mon cou pour que je me rapproche, je résistais un peu mais l'envie était trop forte, ma bouche s'est ouverte toute seule, toujours guidée dans ce va et vient, je n'en pouvais plus, envahie par la jouissance je me suis laissée aller à ce nouveau plaisir. Je finissais à peine de trembler, que la main ferme, ma sœur poussa ma tête, le sexe entrait dans ma gorge, en panique, des petits sursauts de cette verge, une chaleur dans ma bouche, un goût âcre, la sensation de devoir avaler, toute rouge et la bouche gluante je me suis redressée, les dernières gouttes couler du sexe, c'est Julien qui tremblait et Lydia qui léchait ma bouche et embrassait Julien...
J'avais observé leur jeux, j'avais vu ma sœur sucer Julien mais j'imaginais pas, j'avais avalé le sperme de Julien à ma premières pipe.
C'est une maladie chez moi chaque l'émotion me transforme en pleureuse honteuse. Dans ma chambre, sur mon lit, en sanglots, j'arrivais pas à réaliser, ma sœur qui m'encourage à sucer son chéri et qui appuie sur ma nuque jusqu'à ce que la semence coule dans ma gorge.
Le summum de la honte, je surprenais le bout de ma langue à rechercher, dans ma bouche et sur mes lèvres le goût du sperme, je ne rêvais pas, toute rouge quand ils sont venus dans ma chambre, sort de ta couette Choupette, bravo on est surpris de voir que tu pleure mais c'est clair tu as aimé, arrête de pleurer, viens dans nos bras si tu veux te cacher mais c'est plus la peine sœurette, tu dois être certaine qu'avec Julien on t'adore, nous ne sommes plus qu'un. Tu passe ta langue sur tes lèvres, tu es comme moi, dis moi que tu as aimé, ne ment pas, je vois tes yeux... Oui, en vous regardant, j'étais un peu écœurée mais j'ai osé et très heureuse d'avoir fait ce pas, je crois que mon amour pour vous vient de changer, merci je rêve de ne plus avoir honte, un immense bisou à trois avant la douche.
Je pensais dommage la douche est petite...
(L'image est du net mais très ressemblante ou presque. )
À bientôt la suite.
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Après cette mise en confiance, on a prit l'habitude de recevoir Julien de la même façon, Lydia et Julien ne se cachaient plus, sans participer, je ne perdais rien de leur jeux, j'essayais de copier les caresses, parfois j'entendais leur rire, parce que j'avais laissé échapper un petit gémissement, quelques mois de quiétude. Et un matin Lydia m'a annoncé que Julien viendrai habiter à la maison.
Grande confusion, je savais, que l'on allaient, inévitablement, se retrouver seul, sans ma sœur. J'aurais voulu être une souris pour me cacher au fond d'un trou. Je me suis réfugiée dans ma chambre, cachée sous la couette. Lydia se glisse contre moi, "pourquoi tu pleure, tu connais Julien depuis longtemps, qu'est-ce qui te donne tout ce chagrin, cela ne va pas changer grand chose s'il vit avec nous et j'en ai très envie "
En sanglotant, j'ai fini par dire que j'étais terrorisée à l'idée de me trouver seul avec lui, que cela allait fatalement arriver, comme on est nue le plus souvent... "Tu ne dois pas avoir peur, on a un accord, il ne tentera rien, promis jurée. Léa fait le pour moi s'il te plaît. "
Au chaud, dans ses bras sous la couette j'ai dit oui sœurette, j'accepte, mais j'ai très peur tout de même.
Le vendredi soir et le week-end, on a déménagé les affaires de Julien, chaque nuits je fermais ma porte, je faisais des rêves étranges, je courrais sans fin, pour fuir une ombre qui me suivait, elle finissait par se jeter sur moi.... Et je me réveillais, en pleure, toute mouillée, avec une immense envie de me toucher, ce que je faisais, jusqu'à une petite jouissance. Même la journée, au lycée, je ne pouvais m'enlever ce rêve de la tête, une obsession.... J'ai fini par le dire à ma sœur, qui m'a expliqué que les doigts de Julien avaient fait leur job... Que j'étais une ado, une femme... Qu'elle avait prévue un cadeau pour moi, surprise... J'ai fait des pieds et des mains pour savoir mais elle n'a rien dit. Le soir devant la télé, sur le grand canapé, je me trouvais entre Julien et Lydia, de plus en plus souvent, après quelques interrogations, je laissais ma sœur me caresser, certains soirs jusqu'au frison final, la chaleur de Julien dans mon dos, décuplait l'effet des attouchements de Lydia. Insensiblement Julien a ajouté ses caresses, je ne pouvais plus stopper, l'envie était trop forte, rouge de honte je me suis retournée pour voler un baisé sur la bouche de Julien, puis je me suis enfuie dans ma chambre, rejoint par ma sœur, qui me demandait pourquoi je pleurais, pardon j'aurais jamais du faire un truc pareil, c'est ton chéri pas le mien " tout doux, Léa rien de grave, il a été surpris mais pas fâché au contraire, tu peux le refaire quand tu veux, Julien aimerait un supplément" Ahaha !!
Allez ma chérie soit cool, il n'y a rien de grave entre nous trois... Je suis revenue au salon, entre Julien et Lydia, j'ai demandé pardon et en réponse, un long 💋 , mon premier vrai 💋...
Bientôt la suite ?
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Bonjour,
Je suis Léa, soumise, propriété de Jérôme et Éric.
Bien à ma place, entre les Maîtres et mon Doudou, j'éprouve le besoin de me raconter.
Alors voilà, orphelines très tôt, j'ai été élevée en partie par ma sœur, complices de toujours, j'ai adoré Lydia pour ce qu'elle représentait, belle, intelligente, mon modèle en quelque sorte. J'ai exécuté ses caprices avec plaisir, un début de soumission qui m'a rendu heureuse toutes ces années. À la maison nous vivions toujours nues un peignoir sous la main au cas ou on sonnait à la porte. Un soir Lydia à demandé si je serais gênée de voir arriver son copain Julien... J'ai répondu bien sur que non il est sympa.
19h on sonne c'est sûrement Julien j'enfile vite mon peignoir pour aller ouvrir, ma sœur me dit non! Pas ce soir on restent nue toutes les deux, je suis devenue rouge et me suis cachée dans la salle de bain. J'ai entendu la porte se fermer et ma sœur disait, elle ne s'est pas habillée mais elle a honte, réfugié à la salle de bain. Julien est venu frapper à la porte, m'a expliqué que je ne devais pas avoir la moindre peur, qu'il était là pour Lydia...
Plus d'une heure, j'ai pris mon courage, pour plaire à ma sœur, je suis sortie, ils étaient au salon, je me suis glissée dans le couloir pour épier un peu, ils m'ont vu, j'ai du sortir de mon coin, nue comme un ver et rouge de honte. Lydia s'est levée et m'a prise dans ses bras, bravo tu l'a fait, il ne va pas te manger... " Oui je le fais pour toi "
J'osais pas lui faire la bise comme les fois où on se rencontraient, c'est lui qui est venu, trois bises, sa veste a effleuré mon petit téton, il a pointé direct et moi, encore plus rouge, je suis parti à la cuisine en pleurant, suivi par Lydia.
Je ne comprenais pas cette sensation bizarre, pourquoi mes cuisses étaient mouillées, pourquoi j'avais la chair de poule, réfugiée dans les bras de ma sœur, j'ai entendu pour la 1ère fois parlé de sexualité, d'attirance, de rapports. Ce sujet était en sommeil, je me touchais bien parfois mais cela ne faisait pas cet effet étrange. Dans ces bras, en pleure, j'ai senti une caresse sur ma vulve, j'ai sursauté, serrée dans ses bras, Julien me disait de le laissé faire, que c'était en accord avec Lydia, qu'à 15 ans je devais sortir de l'enfance et apprendre la sexualité. Je n'osais plus bouger et son doigt est entré avec un aie!! Puis le va et vient sur les lèvres dans toute cette "mouille" le doigt se promenait, remonté vers l'anus, je tremblais comme une feuille, je le sentais glisser doucement, ma sœur m'a serré plus fort et une douleur brûlant m'a fait crier, encore et encore puis 2 doigts, j'avais mal et honte. Sitôt que je me suis libérée, j'ai courue à la salle de bain, j'étais certaine que j'allais faire mes besoins, non, 10 minutes, la douleur s'est transformée en l'envie de mettre aussi mon doigt par curiosité. J'ai commencé par les petites lèvres, puis je suis entrée, étonnée, gémissements, une chaleur m'envahit des tremblements et la jouissance pour la première fois. Je me suis enhardie et mon doigt s'est glissé dans mon petit trou, après quelques minutes, avec une force incroyable, un orgasme m'a fait tomber sur le tapis de bain... voilà mes débuts, la gamine était devenue une fille...
Bientôt la suite...
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Je suis Bi et j'aime ça...
Je suis comme tout le monde, hormis les piercings, bien entendu...
J'ai toujours été autant attiré par les femmes que par les hommes, avec quand c'est avec un couple, une première envie, celle de sucer le mec avant tout.
Je m'occupe de Madame avec plaisir, surtout si Monsieur participe...
J'ai étais abordé vendredi soir, dans un bar de nuit, par un couple. Nous avons pris quelques verres et ils m'ont invité à finir la soirée chez eux.
Ce fut un trip d'enfer. Je n'ai pas eu le temps de sucer le mari que la femme me plantait 2 doigts dans le cul, sans prévenir.
Après un aie!!! et la surprise, je la vois avec un énorme gode ceinture, elle me tartine avec du gel, me défonce d'un seul coup, j'ai poussé un cri de douleur.
Le mari me tire vers sa queue qui avait pris une belle taille et je dois la prendre entière dans la bouche ouppss! le dernier verre au bar est presque ressorti.
La femme s'activait avec son gode elle me faisait mal au fond mais pas trop juste assez pour me faire bander comme un âme. A un tel point que je n'ai pas eu le temps de retenir un flot de sperme que Mr. m'a obligé à lécher avant de reprendre sa bite en bouche.
Après une bonne demi heure de ce traitement pour le moins sauvage, madame a retiré son gode, a ajouté du gel, son mari m'a bloqué les bras, en enfonçant bien sa queue dans ma bouche, pendant que madame enfonçait, 3 doigts puis 4, puis la main, qui ne passait pas...
Elle a tellement forcé, ajouté du gel, j'avais mal, je gémissais, elle me tenait par les couilles d'une main et avec l'autre me défonçait l'anus et encore et encore...
Soudain j'ai senti une forte brulure l'instant d’après, sa main entière était entrée. Sans arrêter elle fermait et ouvrait le poing à l’intérieure, petit à petit la douleur s'est changé en excitation hors norme, j'avais jamais ressenti un truc pareil, toujours avec la bite du mari en bouche, un 2éme flot de sperme que je n'ai presque pas senti tant mon cul était en feu...
La femme retire sa main, ramasse mon jus sur le cuir du canapé, le fait couler dans mon l'anus béant.
Voilà son mari qui se lève, vient me fourrer avec sa queue, pendant que sa femmes pousse les couilles de son époux pour tout faire entrer dans mon cul.
J'avais la sensation d'être plein comme un œuf, chaud, en sueur plié en deux sur l’accoudoir du canapé, les mains de madame qui claquaient sur mes fesses, son mari qui y allait de toutes ces forces.
Exténué, j'en pouvais plus, une bonne demi heure, encore et encore...
Soudain monsieur ressort sa bite madame m'écarte les fesses à fond, il se vide les couilles dans mon trou grand ouvert puis replonge sans ménagement sa queue tout au fond, quelques va et viens furieux plus tard...
De très longues minutes pour la récupération, une douche à 3 se faire laver par 4 mains...
Nous voilà de retour au salon, Le mari sert 3 coupes de champagne, les commentaires, ce couple me propose de refaire tout ça une prochaine fois avec un 2éme couple...
J'ai pas dis oui mais j'ai pas dis non...
Je dois reconnaitre que j'ai pris mon pied comme rarement. Mais j'ai encore mal au cul.
J'en suis là et je ne sais quoi faire, d'ordinaire c'est plutôt moi qui mène les ébats, cette fois j'ai été pendant plus de 2 heures le jouet du couple.
J'AI AIMÈ ... Mais ???
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Très fâchés du manque d'obéissance de Léa, les Maîtres lui ont "offert" un stage de 2 mois, chez Maîtresse Sylvia.
Voilà Léa de retour à la maison, un changement énorme. La première chose que j'ai vu à sa descente de voiture, c'est qu'elle était rasée, la boule à zéro, ensuite, elle s'est mise nue comme c'est de coutume ici, ses fesses et ses cuisses étaient zébrées de coups de baguette, certaines étaient bien rouges d'autres virées au brun chocolat donc plus anciennes.
Sans que personne ne lui demande elle s'est mise à genoux face contre le sol, au pieds des Maîtres , on étaient tous sans voix, elle a du prendre cher durant ce stage...
À genoux dans un coin du salon je regardais son anus, gonflé, bien rouge, les lévres de sa vulve un peu bleu gris et jaune par endroits, Jérôme caressait sa fente avec la cravache, Léa sanglotait presque sans bruit, Sylvia la Maîtresse du stage lui claque les fesses avec sa ceinture en hurlant:
"Et maintenant tu dis quoi à tes Maîtres vénérés?"
Sans relever la tête, toute tremblante, Léa murmure:
"Pardon Maîtres je serais toujours obéissante à tout vos désirs" Un monstre coup de ceinture s'abat à nouveau sur ses fesses et Maîtresse Sylvia hurle:
"Parle plus fort tes Maîtres n'ont pas entendu"
Léa répète en pleurant et encore et encore, chaque fois la pointe de la ceinture laisse une marque, qui gonfle et devient cramoisie. Éric lui ordonne de relever la tête mais toujours à genoux, il lui met un collier en acier au cou, ferme à clé et ce que je n'aurais jamais imaginé, il casse la clé dans la serrure en disant sale pute tu crèveras avec ce collier et tu vas obéir, appliquer les règles de ton contrat à la lettre. À chaudes larmes Léa accepte de dire:
"Oui Maîtres je vous le jure"
Je suis tellement surprit de la situation, que je ne vois pas le geste de Jérôme, immédiatement la cravache s'abat sur moi pour me rappeler à l'ordre. Je dois mettre Léa à la chaine, au pied du lit des Maîtres.
Je suis encore tout retourné mais aussi un peu satisfait car j'en ai reçu beaucoup à cause de sa désobéissance chronique, j'imaginais pas un retour dans ces conditions...
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Je me suis réfugié dans la cuisine, j aime préparer des petits plats.
Être nu en cuisine j adore, comme les Maîtres semblent un peu fatigués, j en profite pour faire un bonne table ce soir.
Ce sera, avocats aux crevettes, roulé d agneau au romarin et gratin de pomme de terre lardons, jambon, crème. (Cuisson lente 3h à 80°C)
Plateau de fromage, glaces, un Vacqueyras 2014, café pousse café...
Après le souper et avoir rangé la cuisine, au salon comme souvent, mes Maîtres se sont amusés avec l'esclave de la maison... Moi.
J'aime beaucoup être utilisé plusieurs heures, des jeux, des surprises et pour finir deux belles giclées, j'adore...
La douche terminée, ou j'ai lavé mes Maîtres, ils ont décidé que j'avais pris un peu trop de plaisir et ont remis le PW dans mon petit sexe.
Le diamètre et le poids font mal et je sais que j'en ai pour 2 jours à souffrir avant de m'habituer un peu...
Je sais que je ne dois pas montrer trop de plaisir mais j'ai de la peine à cacher mes sentiments.
Voilà pour le moment, bisous à tous.
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Les Maîtres ont sorti leur Putes dans les allées du bois, pour en faire profiter les curieux et les curieuses. J’aurais préférer une vraie queue bien juteuse mais on obéi en silence.
Pour Léa c'était une première, vendredi soir et samedi une supplémentaire, le cheminement de son dressage passe par l'acceptation d'être juste un objet sexuel pour le plaisir des Mâles, une esclave du sexe, silencieuse au service de Jérôme et Eric.
La nuit s'est terminé attaché chacun à un arbre à 2m l'un de l'autre, à dispo de tous les curieux. Jambes écartées face contre le tronc...
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Pendant le confinement, c'était plus pesant, déplacements réduits, visites triées et limitées, mes Maîtres qui ne rentrent plus à midi... Je me trouve très seul, je m'occupe de la maison ok mais j'en ai fait le tour, tout est propre, rien ne traine, il y a bien le petit jardin mais là aussi c'est bronzer tout seul.
-La seul vraie distraction c'est quand un nouveau livreur vient à la maison, voir sa tête quand j'ouvre la porte c'est un vrai bonheur. Les premières fois j'avais un peu honte d'être nu, c'est la règle ici 24/24,7/7, maintenant j'éprouve un petit plaisir à dérouter les livreurs. La majorité reste là, bouche ouverte parfois 2 minutes sans sortir un mot, peu se barre en courant mais reviennent ensuite pour livrer.
Ceux que je préfère ce sont ceux qui après la surprise, demandent si je veux bien les sucer ou si j'accepte de me faire prendre, si ils peuvent entrer tout de suite...
-Mes Maîtres n'ont pas interdit, juste exigé la prudence.
-Alors si le gars me plait je le fait entrer. Là chacun sa façon, en majorité, ils ouvrent la braguette et attendent la queue à l'air, un petit nombre se déshabillent de suite et voudraient engager directement la chose au bon endroit. Plus rare ceux qui demandent un préservatif.
-Voilà pourquoi j'ai toujours envie de me faire livrer quelque chose...
-C'est surtout pour me distraire et aussi parce que j'aime ça, je suis une vraie salope, la pute de la maison.
-Dans le quartier, certains voisins on remarqué la chose, j'ai trouvé très cool de leur part de venir le dire, j'ai bien compris que c'était dans l'espoir d'en profiter un peu, j'ai jamais caché ces aventures avec les voisins à mes Maîtres ça les fait souvent rire... "Ah on ne pensaient pas cela du voisin en face..."
-J'ai eu droit à la visite, un mercredi, du fils des amis de mes Maîtres qui habitent 3 villas plus loin, les parents sont souvent invités pour des soirées. Il nous a vu ou entendu...?
-C'est peut-être idiot de s'amuser de ça mais j'ai pas beaucoup d'autres solutions en ce moment, si ce n'est d'écrire pour raconter ces petites histoires qui émaillent ma nouvelle vie d'esclave soumise...
Bisous à tout le monde et soyez prudent.
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