Je me souviens d’une réflexion dont tu m’as fait part juste avant de partir lors d’une soirée conviviale : « je me demande qu’elle est la plus grande frustration ? Le clito ou le vagin ». Bien sûr je me sens d’humeur clémente et veux te faire vivre la réponse à ta question.
Les premières lumières dominicales sont là, on entend le vent par la fenêtre donnant sur le jardin. Et toi, nue, allongée sur le ventre dans notre lit, l’huile de massage chaude coulante entre tes omoplates. Mes mains caressent le haut de ton dos pour étaler ce premier liquide chaud. Assis sur le bas de tes fesses, je commence à délasser tes épaules. Tes premiers gémissements viennent de mes mains qui soulagent ces omoplates endoloris par la fatigue. Comme tous bons massages, celui-ci fait autant plaisir à celui qui le reçoit que celui qui le donne. A force d’être caressé par ton séant, mon troisième membre s’introduit progressivement entre tes lèvres. Ton humidité déjà bien accueillante, te voilà massée en toute synchronisation de l’extérieur comme de l’intérieur. Rapidement, tes gémissements proviennent principalement du bas de ton être. Tes bras écartés le long de ton corps, mes mains te plaquent contre le matelas. Une contre ton visage exprimant ton plaisir et l’autre contraignant ton bras. Les va et vient continuent de masser ton intérieur sans que tu ne puisses t’échapper. Je sens ton vagin se contracter contre moi, il s’apprête à jouir et je le laisse venir. Seulement, je me retire et te vois te contorsionner de frustration, d’un plaisir que je t’ai seulement laissé apercevoir. Le supplice de ta privation amène mon plaisir. L’impact de ma première giclée sur la peau de ton dos te fait gémir. Je suis assouvi… contrairement à toi. Sans ma queue, tu sens encore les va et viens dans ton sexe. Sensation de ce moment inachevé.
« Dorénavant, tu m’exprimera ta gratitude pour chaque frustration. Alors, qu’est-ce qu’on dit petite chienne ? ». Après une fraction de seconde à ravaler ta contestation, tu me réponds « Merci Monsieur ».
Après nous être assoupi, je recommence à caresser ta vulve. Quel plaisir de jouer avec ton sexe frustré et trempé ! Mon terrain de jeu oscillera entre ton urètre et ton clito. A peine je pose mon doigt sur ton gland que tu te cambres et pousse un fort gémissement. Je tourne autour, je le fait durcir progressivement sous mon doigt. J’écarte tes lèvres avec mon autre main pour appuyer plus fortement sur la surface de ton gland. Une fois bien bandé, je passe mon doigt sur le tout bout de ton bouton. Ces changements de rythme te rendent folle ! Je descends le long de ta vulve pour retrouver ton tout petit orifice, la source de ton jus abondant. Je joue avec, l’excite. Tu n’arrêtes plus de gémir, tu es sur le point de jouir mais tu ne peux pas car je remonte sur ton gland pour redescendre ensuite. En remontant une dernière fois sur ton clito, j’y reste et te pousse. Tu sais si bien m’obéir et jouir sous mon ordre, je te l’ordonne : « Jouis ! ». Quelle fierté j’ai en te voyant braver tes doutes de savoir si je vais te laisser jouir, tu ouvres l’accès à ton orgasme. Une convulsion naissante envahit ton corps. C’est là que je retire mon doigt de ton être et te laisse te battre avec cette vague intense de frustration. Je profite du spectacle. Les larmes perlent aux coins de tes yeux. Je viens te prendre dans mes bras pour profiter au maximum de ta dépossession de plaisir. Tu plantes tes griffes dans mon ventre pour espérer gérer ta frustration. Dépouillée de ton plaisir, il te faut quelques minutes pour pouvoir reparler et me dire « Merci Monsieur ». L’orgasme masculin est bien fade face au plaisir que j’éprouve à te voir.
Ton supplice ne fait que commencer car mon projet n’est pas de te laisser dans cet état mais bien de le pousser à bout. Un total de cinq « Merci Monsieur » rythme ta journée aux moments où tu n’y attends aucunement pas. Tu m’as supplié tout le long de la journée de te libérer de tes envies, de te faire jouir. Tu n’es plus que vices et chienne quand je te retrouve pendant ta sieste. En me couchant près de toi, ma main se glisse dans ta culotte trempée de la journée. Et je recommence cette dance entre ton clito et ton urètre. Connaissant ton attirance pour le plaisir saphique, je laisse gémir des femmes sur mon portable. Ton vagin se contracte à en faire exploser ta vessie. Tu les vois se répandre, ton envie les rejoint en te vidant sur ma main. Tu exploses, tu t’abandonnes et mets par terre toutes barrières sociétales à ton plaisir. Ta récompense approche, je veux te faire jouir, tu n’as pas besoin de me le demander cette fois-ci, je te libère et tu hurles ton plaisir.
Satisfaite de découverte, tu me confies la réponse à ta question.
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Dans l’attente, tu ne sais quels vices tu subiras.
Avec calme, je te donne mon premier ordre : « Ecarte les cuisses ! » Sans tarder, tu t’y applique avec pudeur.
Mon deuxième : « Ouvre cette chatte et caresses toi comme une chienne ! » Ton obéissance amène tes gémissements.
Ton excitation est de plus belle lorsque mes mains se baladent entre tes cuisses.
Mon troisième ordre : « Arrête et prends tes seins à pleine main ! Tes mains devront rester ici quoi qu’il arrive ! »
Ton regard ne s’est plus où aller : mes mains, ma queue… ma bouche. Que vais-je t’infliger ?
J’embrasse l’intérieur de tes cuisses, tu sens mes morsures se rapprocher de ta chatte. Ma langue glisse entre tes lèvres suintantes d’ivresse. Elle les écarte, elle fouille ton antre, elle s’approche dangereusement de ton clitoris.
Mes mains prennent ton cul en étau. Je prends ton clitoris en bouche, l’aspire, le lèche jusqu’à l’user de ma langue. Il durcit.
Je t’emmène aux portes de l’orgasme et t’y retiens sans te laisser les franchir. Ma réponse à ta supplication pour jouir : « Ne t’avise pas de jouir sans que je te l’autorise ! »
Ta pudeur s’évapore au fur et à mesure que mes ordres tombent. Tu chantes tes gémissements dès que ma langue frôle ta perle rouge. Ton excitation monte, redescend. Ces aller-retours te rendent folle.
Mon ordre que tu désires tant : « Jouit ! » Ton corps se raidit violement, tu cries, je bloque ton bassin avec mes bras et continue de te lécher.
Tu pensais que j’en avais fini avec toi. Ta chatte trempée, je me délecte de ton jus. J’y plonge mes doigts tout en dévorant ton clito comme une bête sombre dévore sa proie. Tu m’appartiens!
Quelques secondes plus tard, tu cries une seconde fois lorsque ton vagin se resserre sur mes doigts. Je te regarde, je vois une belle chienne indécente. Mes envies de sourcier sont là. Je veux ton jus! Mes doigts viennent chatouiller l’intérieur de ta fleur. Les recoins que je connais bien.
En cherchant ton souffle, tu perds pied. Une rivière chaude jaillie sur mes mains, un vrai délice ! Un délice que je te partage en venant embrasser ta bouche après t’avoir lécher. Ton cul baigne dans son jus. Je plante mes crocs à l’intérieur de tes cuisses et y appose mon empreinte.
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