Bien ficher la bougie dans le bougeoir. Donner de petits coups de cravache de-ci de-là pour quelques éclaboussures de cire. Se délecter des gémissements et des petits cris.
#PhotoPerso
#DélicieuseNovice
#DocileDeJungien
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picshot
Excellent supplice !
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23/10/23
Uralko
Hum !!! dans cette position, j'adore la mise en valeur de la superbe ligne de votre docile bougeoir...
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01/06/24
Je jouis et je fais jouir autrui, sans faire de mal ni à moi-même ni à personne (puisque l’autre est demandeur à ce que je la fasse jouir comme ça).
Voilà je crois toute la morale… disait Chamfort, le grand penseur de l’hédonisme.
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Personnellement, et je ne cherche à convaincre personne, je suis même à la recherche de contre-exemples, je crois que soumis et dominants ont comme point commun d’avoir eu à se positionner très jeune face à la violence ou à l’abandon ou au rejet. Cela vaut pour toutes les soumises que j’ai croisées (5, c’est pas un sondage non plus…) et moi-même. Ensuite, tout est très réversible. Moi qui ai vécu pendant des années avec une épouse qui « portait la culotte » et devant laquelle je m’écrasais, je suis aujourd’hui dominant. Et j’ai vu chez certaines des 5 soumises dont je parle, des propensions nettes à la domination. C’est une manière d’apprivoiser, je crois, selon mon expérience, des situations qui ont été difficiles, en bornant nos jeux par des limites et en sachant qu’il y a derrière de la bienveillance. Et une certaine forme de fusion dont, pour beaucoup, nous sommes, je crois, demandeurs. Mais nous ne nous étouffons pas dans la fusion puisque régulièrement nous reprenons nos places, soit dominant(e), soit soumis(e). Cela nous permet de respirer. Avant de refusionner ;-). J’avance sur des oeufs parce que je sais que le sujet est sensible. Et je voudrais que mon point de vue, celui d’un homme de 58 ans, sera regardé avec bienveillance
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Quand on a été confronté à l’abandon ou au rejet ou à la violence, jeune, on a ensuite tendance, je crois, à devenir un peu dépendant affectif. On cherche, en tout cas c’est mon cas et celui des soumises dont je parle, quelqu’un qui va nous donner énormément d’amour. Parce qu’on a eu tellement la sensation d’en manquer. Et pour avoir cet amour ou pour croire en cet amour, je crois qu’il y a deux stratégies :
1) se dire : au fond, je ne suis pas aimable parce que même la ou les personnes (mes parents et mes partenaires vanilles par la suite…) que j’étais prêt à aimer le plus au monde m’ont abandonné ou rejeté ou maltraité verbalement ou maltraité physiquement. Donc si je me perçois comme pas aimable et que je veux être aimé, je vais donner plus que les autres pour être aimé. Je vais me donner moi entièrement. Je vais me soumettre. Au fond il n’y a que comme ça que je peux croire que l’on puisse m’aimer. Lorsque je donne mon maximum.
2) 2ème façon de réagir : puisque les personnes que j’étais le plus prêtes à aimer m’ont abandonné ou rejeté ou maltraité verbalement ou maltraité physiquement, je ne crois plus à l’amour. Pour que quelqu’un puisse m’aimer, il faudra qu’il me le prouve. Qu’il soit prêt à souffrir pour moi. Sans cela je ne pourrai pas croire en son amour et je ne pourrai pas donner le mien. Pourtant je crève d’envie de recevoir de l’amour et de pouvoir en donner.
C’est un peu de la psychologie de comptoir ou à deux balles. Et j’accepterai vos vannes à ce sujet. Mais c’est une explication qui a le mérite d’être cohérente. Et d’être pour moi, et pour moi seulement, corroborée par l’expérience. Mais j’admets volontiers que je n’ai pas tout vu tout vécu…
Ce qui est étonnant, c’est que l’on peut passer très vite de la stratégie 1 à la stratégie 2.
Pour la fusion, personnellement, après une séance de BDSM, je fusionne avec ma soumise. J’ai compris avec le temps que pour commencer une relation, il fallait d’abord pour moi faire des sessions courtes. Pour que la fusion ne dure pas trop et que la nature de la relation reste et s’installe. C’est le fait d’être séparés dans la Domination/soumission qui nous permet de sortir de la fusion.
Personnellement, si la relation est uniquement fusionnelle, et donc pas BDSM, j’étouffe.
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12/07/23
Je lis votre commentaire, fort interessant.
De ma mince expérience, les hommes dominants avait une tendance à la dépendance affective et une mère pas très présente, et les soumises un père plutôt absent aussi (quelles que soient les raisons/formes de l’absence, dans un cas comme dans l’autre)
D’ailleurs, l’aboutissement d’une relation SM n’est-il pas d’amener sa soumise à switcher vers la domination ?
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07/08/23
Message envoyé à ma délicieuse soumise :
Le BDSM permet de goûter à la fusion sans s’y noyer. Un claquement de doigts et chacun revient à sa place. Avant de pouvoir y goûter à nouveau. Vous y verrez parfois une trahison (passer de mes bras à mes pieds et bien pire…), c’est en fait le seul stratagème efficace pour nous retrouver à chaque fois.
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