Bonjour, je plussoie Intime Photographie et son conseil de prudence et retenue...
J'aurais tendance à penser qu'entre deux personnes qui s'aiment et communiquent bien, tout est possible et même plus encore! Les désirs des uns et des autres sont souvent plus négociables et évolutifs qu'on l'avait cru de prime abord. Vous dites qu'il est délicat d'aborder le sujet avec elle, à mon avis c'est dans cette direction qu'il faut chercher: ouvrir le dialogue, nourrir la communication, trouver les outils pour que vous puissiez dire à cœur ouvert ce qui est important pour vous, et vos limites. À partir de là, ça ne devrait pas être trop difficile de trouver des terrains d'entente.
Bon courage! La pente est raide, mais la route est belle!
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Munartis a répondu à la discussion "À la recherche de partenaires pour partager des expériences uniques." de Phénix.
Apparemment la "meute politiquement correcte, woke et militante" n'est pas au rendez-vous, désolé de la déception ! Cette meute serait-elle un tant soit peu fantasmée ? 😅
Quand la société porte en gestation un progrès, il prend souvent initialement des formes qui semblent un peu excessives ou caricaturales... jusqu'à ce que ça paraisse parfaitement normal. Dire "je m'identifie comme..." (et en effet dans le cas particulier de Phénix je pencherais plutôt pour une ignorance de la connotation que vous y trouvez) est à comprendre comme "je parle depuis tel point de vue", ou encore "j'aimerais qu'on me parle en me considérant comme...". Est-ce que c'est "militant" (ce n'est pas un gros mot, vous savez...), de chercher à cultiver le respect dans la communication, et de se doter d'outils pour faire ça plus efficacement ?
Bon, dans quelques années ce genre de formulation nous semblera tout à fait naturel (c'est déjà un peu le cas, comme vous avez pu le remarquer !), et je m'en réjouis...
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Munartis a répondu à la discussion "À la recherche de partenaires pour partager des expériences uniques." de Phénix.
@Monsieur K : oui, je ne suis pas sûr non plus que le sondage apporte une grande plus-value, ça me semble être surtout un moyen de rallier la participation des "gens"... J'ai eu l'impression que c'était le terme "s'identifier" qui avait déclenché le refus d'obstacle de @Intime Photographie, mais honnêtement je n'ai pas bien compris... d'où ma question!
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Munartis a répondu à la discussion "À la recherche de partenaires pour partager des expériences uniques." de Phénix.
Pourquoi ça ? Je n'ai pas compris... Je préfère quelqu'un qui dit "je m'identifie comme..." ou "je me définis comme..." plutôt qu'un "je suis un dominant". Ça a le mérite de replacer ça du point de vue subjectif d'où c'est exprimé. Ça signifie que c'est lui qui est porteur de cette posture, et pas qu'elle est entérinée par une relation en particulier, par exemple. Bref, moi je trouve ça plutôt clair et honnête, comme formulation. Non ?
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Je suis toujours surpris de constater la disproportion entre la production des trolls (en quantité comme en qualité) et celle de ceusses qui, en cherchant à les contredire, les nourrissent. En l'occurrence, il a suffi d'un post lapidaire et écrit avec les pieds de donald28 pour que le (pourtant chouette) sujet initial déraille, et que de beaux esprits se fendent de réponses construites et argumentées... Ma question est: le mérite-t-il vraiment? N'est-il pas dommage de délaisser le fil qui se déroulait et se tissait harmonieusement, pour ramasser un chiffon crasseux? (wow, métaphores textiles, ce soir!)
Pour revenir au sujet initial donc, j'aime beaucoup l'idée que la soumise n'offre pas quelque chose de matériel à son Dom, mais s'offre à elle-même quelque chose qui la rende plus désirable, plus soumise : un jouet, de la lingerie, un tatouage... Une manière intéressante de retourner la notion de cadeau: je m'offre à toi, donc ce que je m'offre est un cadeau pour toi. Vous suivez, au fond de la salle ?
Autre idée cadeau, un stage/cours de shibari. C'est un art de la patience et de la connexion qui a aussi les vertus d'un savoir-faire artisanal, apprendre ça à deux peut être joyeux, émouvant et excitant...
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Munartis a répondu à la discussion "NAT, TSA, autisme.... La réalité derrière les termes..." de Vivace.
Merci Monsieur K, article que j'ai trouvé intéressant, j'ai appris des choses sur ma compagne! 😅 Elle n'a jamais été diagnostiquée, mais à la lecture de cet article, son hypersensibilité et la manière singulière avec laquelle elle envisage la relation amoureuse et la sexualité me semblent assez typiques des "Zèbres"...
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Munartis a répondu à la discussion "NAT, TSA, autisme.... La réalité derrière les termes..." de Vivace.
Pareil que Lady Spencer, j'ai presque tout lu! (alors que je devrais être en train de bosser 😇). J'ai savouré, avec un brin de fatigue quand même, le magistral échange d'incompréhensions avec MENTAL, qui illustre très bien le propos.
Tout ça permet de mieux comprendre votre réaction épidermique (et à mon avis, tout à fait excessive) au post de présentation de RoughM... Laquelle, tel que je le perçois, était justement bien plus "émotionnelle" que "analytique". Mon humble opinion sur la question étant que plus on ignore les émotions, plus elles nous gouvernent. Et aussi, au passage, que l'aspect pointu de l'esprit d'analyse est souvent un paravent pour s'autoriser à ignorer les enjeux réels des relations entre humains: prise de pouvoir, évitement, etc. Mais là j'avoue que je parle depuis ma propre expérience, je suis prêt à entendre que ça fonctionne différemment quand on n'a pas le même cerveau. Et j'imagine facilement que vous fassiez peu de cas (en restant poli) de mon humble opinion.
Ce que vous expliquez éclaire aussi votre invocation fréquente de la notion de "majorité": il semble important pour vous de vous accepter en tant que personne différente, ce qui vous met en opposition à "la majorité". Personnellement, je constate quotidiennement à quel point tous les gens sont différents, si bien que je ne sais pas trop à quoi ressemble "la majorité", mais j'envisage bien que ça puisse avoir une utilité de construire et utiliser cette notion.
J'ai trouvé un peu raide que vous ne fassiez pas l'effort d'aller chercher les références scientifiques aux travaux dont vous mentionnez l'existence. En tant que scientifique, c'est toujours terriblement frustrant quand quelqu'un dit "j'ai lu ça quelque part, je ne sais plus trop où, mais crois-moi sur parole!": c'est justement ce qui rend la science tellement intéressante et puissante, qu'on n'affirme rien qu'on ne puisse relier au corpus déjà existant... Et, sauf votre respect, je trouve que ça ne cadre pas très bien avec votre "sens du détail ultra pointu" et votre incapacité à " accepter les "à peu près""...
En tout cas, merci pour votre long post: j'ai appris des choses sur l'autisme, et j'ai bien rigolé aussi à certaines de vos formulations, très justement relevées par gitane sans filtre.
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J'avoue que c'est assez invraisemblable les proportions qu'ont pris les réponses à ce post de présentation, qui personnellement m'a semblé plutôt joyeux et assez inoffensif...
Certes, la recherche mentionnée ne brille pas par son originalité, et peut éveiller de la vigilance quant au profil recherché : plus jeune et inexpérimentée. Pour autant, est-ce qu'il y a matière à faire un procès comme ça ? Si cette recherche ne vous intéresse pas, ne serait-il pas plus simple de passer votre chemin? Ou éventuellement de laisser un petit "warning" à l'attention des soumises naïves qui iraient foncer dans le piège que vous avez l'air de deviner...
L'asymétrie est pourtant la base dans les relations BDSM, le fait qu'il existe des personnes qui recherchent ça ne devrait choquer personne ici. Il y a lieu de faire confiance à la capacité de discernement des - éventuelles - demoiselles qui seraient intéressées par le profil de "M. Rough", non?
Il me semble à tout le moins qu'il faut savoir équilibrer le juste désir de protéger des personnes novices potentiellement vulnérables vis-à-vis des prédateurs, avec un certain devoir d'hospitalité et d'accueil, en assaisonnant le tout d'un soupçon de présomption d'innocence...
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Si seulement on arrivait, collectivement et culturellement, à érotiser le fait de vivre sobrement et de respecter la nature (voire de se flageller avec des verges de cornouiller ou de noisetier), plutôt que de rouler à 200 à l'heure dans un bolide à Dubaï... Peut-être qu'on commencerait un peu à sortir la tête du sable!
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Allez, j'ai envie d'essayer de faire rebondir ce sujet, dans une direction qui me semble (un peu) pertinente...
En effet, je serais tenté de balayer d'un revers de main le questionnement initial d'Epicure: si on est en relation avec quelqu'un qui a besoin d'aide (matérielle, psychologique...), alors on a un choix assez simple à faire: soit on l'aide, soit on ne l'aide pas (waouh, qu'elle finesse d'analyse!). Et la réponse à cette question dépend de pas mal de paramètres, le type d'aide demandé, la manière dont elle est sollicitée, sa propre capacité à fournir de l'aide ou non, la perception d'un éventuel comportement "profiteur", etc. Mais ça semble s'appliquer à tout type de relation, et je ne vois pas trop ce que le BDSM vient faire là-dedans.
Si j'essaie donc d'explorer une autre dimension du sujet, j'aimerais m'attarder un peu sur la dimension "empathie, compassion" dans le BDSM, en évacuant l'aspect méprisant de la pitié, ou les situations de déséquilibre flagrant dans la relation. Et pour être plus précis et partir d'un témoignage personnel: ma compagne supporte et apprécie parfois, à petite dose, de se soumettre à moi, mais elle a assez clairement plutôt une "nature" dominante, que j'essaie de lui faire révéler et développer. Or, si elle me tient à sa merci et commence à vouloir en profiter, se mêlent en elle le plaisir qui peut être associé à cette situation, et un sentiment d'empathie, de pitié qui l'amène à avoir très peur que je me sente mal, que j'aie mal, que ce soit inconfortable pour moi. Au moment où elle domine, et bien que je lui aie indiqué que tout va bien pour moi et que dans le cas contraire je le lui dirais, elle est envahie par un désir, un besoin, (une habitude?) de me protéger, me rassurer, me préserver - qui se combine assez mal, on l'imagine, avec une posture dominante.
Alors c'est ma question, surtout aux personnes Doms : comment gérez-vous ça, particulièrement vis-à-vis de quelqu'un avec qui vous êtes en relation suivie, profonde? Est-ce que le fait de voir cette personne dans l'inconfort voire la souffrance n'éveille pas en vous un sentiment de pitié, d'empathie lié à l'amour que vous éprouvez, et qui viendrait faire "mollir" votre bras ou votre détermination ?
J'ai l'impression que d'écrire ça m'éclaire un peu sur ce qu'Epicure essayait d'exprimer: quelqu'un qui est dans la dèche, en difficulté, on peut avoir le réflexe de "ne pas en rajouter" en imposant une couche supplémentaire de domination BDSM sur toutes les dominations que cette personne subit (économique, sociale, de genre, raciale, etc.)? Et du coup ça devient difficile de se mettre en posture dominante vis-à-vis d'une personne déjà "dominée par la vie "?
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Bonsoir, bienvenue !
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Yes, merci Marie pour l'explication de texte, je comprends mieux...
Bon, par contre ma boutade sur la ponctuation n'a semble-t'il pas vraiment fait mouche, tant pis.
Soyez la première personne à aimer.
Mais oui ! Y'a pas de souci ! Ne vous inquiétez pas ! Je ne faisais qu'une petite blagounette sur la forme !
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Bonjour Douxreveur ! Je ne vois pas ce que ça a de bizarre ! D'ailleurs, je ne sais pas ce que c'est le freeuse et le cfnm! Ca aurait été sympa de l'expliquer un peu plus! Les bisous moi j'aime beaucoup aussi! De toute façon ici tout le monde est bizarre ! Donc pas de souci! Ce qui me semble étrange c'est surtout votre manière de vous exclamer à l'écrit! Tout le temps ! Cordialement !
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Ah ben moi j'ai fait l'inverse de sylvie35, j'ai répondu sur l'autre sujet de forum... les deux discussions parallèles se ressemblent un peu, peut-être faudrait-il les fusionner ? (et si oui, comment ? :-D)
C'est super de dire qu'il faut communiquer, maintenant une bonne idée c'est aussi de savoir comment! Quels outils de communication vous pouvez mettre en oeuvre et/ou apprendre, pour arriver à livrer des choses sensibles, profondément enfouies, dont on a peur qu'elles soient choquantes, etc. Pour écouter aussi, ce que ça suscite en retour, laisser de la place pour qu'émergent des choses qui vous surprendront...
Une chose que nous faisons parfois, c'est de se donner un temps de parole "sanctuarisé", par exemple 10 minutes sans être interrompu-e, et après on inverse les rôles - en évitant bien sûr de tomber dans le piège de répondre aux propos de l'autre, l'idée c'est de livrer des choses à soi. On fait ça par exemple en ayant la tête sur les genoux de l'autre, ou on peut aussi se mettre dos à dos, sentir un lien physique sans la pression que peut produire le face à face...
Passer par l'écrit peut être une très bonne idée aussi, pour ma part ça me rassure beaucoup d'avoir la possibilité de me relire, de vérifier que j'ai été aussi proche que possible de ce que j'essaie réellement de dire... Même si on sait bien que ça ne sera jamais compris exactement comme on le souhaiterait ! Mais ça peut faire une bonne base pour lancer une discussion à l'oral, moins dans la réaction justement, en ayant un peu laissé retomber les émotions produites.
Une autre piste encore, ce serait de s'appuyer sur la communauté: si votre épouse est prête à cela, vous pourriez l'emmener dans un munch, une rencontre avec un autre couple, etc. Ca peut être très rassurant et fournir un cadre propice, de constater qu'il y a plein de gens "très bien" qui s'autorisent à vivre des fantasmes "chelous": alors pourquoi pas vous? A titre personnel, le premier stage de shibari que nous ayons fait, dans une ambiance plutôt desexualisée et très bon enfant, a été assez fondateur dans le fait de légitimiser au sein de mon couple certaines de mes aspirations - et la présence de personnes tierces n'y était sans doute pas pour rien.
Et après, une fois que le principe est en quelque sorte acté, il reste beaucoupe de communication à avoir autour des pratiques, des limites, etc. - mais il me semble que c'est moins difficile, à ce stade-là on est déjà dans le plaisir de l'exploration à deux !
Voilà, j'espère que ça sert, après il y a très certainement beaucoup d'outils de communication que j'ignore, je suis bien sûr preneur de bons tuyaux et de retours d'expérience !
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Au risque de vous vexer, je trouve que ce sujet de forum est écrit avec les pieds... Si j'étais plus sévère je militerais même pour une mise à pied immédiate!
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Oui Antoinette, un test psycho en 10 questions, ça permet à la limite d'établir un début de profil, mais certainement pas de rencontrer son animal totem, lequel correspond plutôt à une démarche spirituelle...
Je ne savais pas que vous écrivez les textes à deux mains et quatre lobes cérébraux avec Mael, encore moins depuis un tapis volant! (quoique ça, j'aurais pu m'en douter un peu!). Continuez à nous régaler de vos voyages astraux...
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Mais non, ce sujet je part pas tant que ça en cacahuète ! (bon, un peu sur la fin quand même, j'avoue...) C'est vraiment une question importante, comment les hommes font pour "gérer leurs pulsions" - qui au passage sont probablement beaucoup plus d'ordre psychosocial qu'hormonal, mais bon passons... les deux sont sans doute liés de toute façon !
Ça me semble être une grande marque de puérilité, attendre d'une femme qu'elle nous permette de ne pas être trop frustré sexuellement... Pourquoi est-ce qu'on ne se débrouillerait pas tous seuls, voire entre nous? Ben c'est simple: parce que depuis tout petit, des femmes ont tout fait pour nous, et que l'ensemble du monde dans lequel on vit nous a dit bien fort que c'est normal, qu'il n'y a surtout pas besoin de grandir, mais au contraire de devenir riche et puissant pour pouvoir pérenniser cet état de fait (mais t'inquiète, même si t'es pauvre et crasseux tu pourras aussi considérer les femmes comme des êtres uniquement destinés à combler tes besoins...). Je pense comme Novicetimide, que s'il y a bien sûr de la frustration du côté masculin, elle n'est pas comparable avec l'étau de normes, injonctions et interdictions dans lequel sont prises les femmes...
Et une petit chanson pour illustrer tout ça! https://podcasts.audiomeans.fr/la-derniere-9f8626d5/brnlez-vous-la-chronique-de-giedre-29cd5851
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Mael, le moins qu'on puisse dire c'est que vous assurez le service après-vente de votre sujet, en faisant un petite réponse personnalisée à tout le monde! Intéressant de voir qu'il y a un majorité de "loups", comme quoi il y aurait peut-être un profil-type du pratiquant BDSM? Content de ne pas en faire partie, du coup! :-P
J'ai bien aimé votre dernier texte sur Achille et Briséis, cette dernière en "mère maquerelle" d'un harem de campagne... Je trouve que ça reprenait bien un thème qui m'a touché dans l'Iliade, ce héros tellement au-dessus de la mêlée qu'il en est presque blasé de lui-même, et ne sait plus vraiment s'il veut régner par la force brute (ainsi que le veut son destin de guerrier parfait), ou s'abandonner aux plaisirs de l'amour. Et à cette union intense qu'il a avec Briséis, son esclave, sa prise de guerre - autant dire qu'elle a un statut de meuble, d'objet, ce qu'Agammemnon viendra justement lui rappeler en la lui reprenant... Il y a en effet matière à imaginer de belles histoires d'amour, de sexe et de domination!
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"Doux, charmeur, secret, le chat fait ce qu’il veut. Souple et agile, il peut se glisser partout et surgir là où on ne l’attend pas. De nature indépendante, il se laisse apprivoiser ou non ! Un coup de griffe n’est jamais exclu. Il mène sa vie comme il l’entend."
Mes fesses, oui! Mon chat à moi, il attend surtout en miaulant que je remplisse sans gamelle... Et puis il passe la soirée à ronronner sur mon ventre.
Souple, ce n'est pas ce qu'en dit ma compagne quand elle me prend comme cobaye de ses maigres compétences en shibari!
Mais je dois bien avouer que j'aime être peinard, et que je peux griffer si on me casse trop les ****.
"Ne muselez pas votre envie de vous amuser, de louvoyer, de séduire tout en restant libre. Votre désir de vivre sans collier ni laisse est légitime." Et si ça m'amuse de vivre avec laisse, collier et muselière ? :laughing: :-D
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Des aveux, des spasmes, des tremblements, des gestes aiguisés, sensibles, maitrisés par l'expérience.
Des impacts inoubliables, une écoute attentive, un joug sévère dans l'appartenance .:.