Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.
Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.
Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.
Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café
-Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.
Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt.
Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.
-Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac
-Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore
Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.
Toujours avec un large sourire, il dit:
-Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.
Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.
Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:
-C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.
-Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…
Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.
Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro.
A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier.
-Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.
Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.
-Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il
-Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.
Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie:
-Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?
Gaspard hésita et répondit:
-Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.
Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti
Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.
La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans:
-Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait.
Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.
-Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer
-J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier
-Non mai…, commença Léa
-Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.
Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.
Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.
-Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle
-Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable
Elle hésita quelques instants et dit:
-Une seule soirée et tu effaces?
-Exactement, dit-il
-D’accord…, répondit-elle à contre-coeur
-Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire
Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.
-A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire
Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées.
17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive.
Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.
Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.
Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;
-C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête.
Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…
Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.
-Debout, dit-il fermement
Il se plaça alors face à elle et dit:
-Maintenant après une journée de travail, tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.
La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:
-Déshabille moi
Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.
Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:
-Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.
Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle
Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas.
Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla.
-Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou.
Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit:
-Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie…
Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos
-Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes.
Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.
Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire
Un récit par Monsieur N.
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Nous nous présentons au monde, grands et fiers,
La tête haute, le menton relevé,
Madame sur ses talons, au cou une pierre,
Monsieur dans ses richelieus, sublimes à ses pieds.
De nos mains entrelacées, une seule poigne ne se distingue,
De nos êtres, un seul corps impressionant,
De respect réciproque on nous targue,
Je suis debout, Madame est en avant.
Mais quand disparait le monde qui nous entoure,
Le menton haut de madame se baisse sans hâte,
A mes pieds elle trouve une autre forme d'amour,
De ma main ferme, je lui explique: échec et mate.
Sa tête au niveau de mes pieds, ses habits disparus,
Un collier venant legitimer tous mes abus,
De fierté elle ne s'autorise, qu'en me servant loyalement,
À sa place, que, de coups de reins, je suis explique lentement.
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[Il prit alors le telephone lui meme et dit à l'homme "veuillez pardonner ma servante, elle ne connait pas les convenances des grands hotels, montez tout ca vous meme, elle saura vous remercier pour vos efforts, a bientôt", et il raccrocha sur un dernier coup de rein. Il s'arrêta alors et prenant la jeune femme encore enchaînée, la porta devant la porte, entrouvrit la porte et dit "ouvre grand la bouche et accueille comme il se doit le maitre d'hotel darling"]
La jeune femme était désormais devant la porte, entièrement nue et enchainée, la bouche grande ouverte. Toute personne pouvait passer dans le couloir. Elle savait parfaitement ce qu'elle devrait faire lorsque le groom de l'hotel arriverait, mais ce qui l'inquiétait dans l'immédiat était que n'importe quelle autre personne passe devant la chambre. Il pouvait y avoir des enfants, elle était terrorisée à cette idée. Elle attendit comme cela 10 minutes avant que la porte de l'ascenseur fasse un bruit aigue "ting". Quelqu'un venait. Elle n'avait aucun conscience du temps qu'elle était restée ici. Se pouvait-il que le repas soit déjà préparé? Elle prépara sa bouche à accueillir le sexe du maitre d'hotel qui se fera certainement un plaisir de la pénétrer.
Des rires dans le couloir, c'était un couple et non pas le personnel de l'hotel, s'ils la voyaient ainsi ils riront, ou seront terrifiés, ou pire. Elle commence a paniquer.
Ouf, ils s'arrêtèrent quelques portes plus tot dans le long couloir. Le soulagement aussitôt passé que la sonnerie l'ascenseur retentit de nouveau, un bruit de chariot, ca y est, cette fois ci c'était lui, il arrivait. Les roues grinçaient gentillement et s'apporchait, les idées se succédaient, la panique. Elle avait envie de s'enfuir mais les chaine l'en empêchait. Il n'était plus qu'à quelques maitre. Ca y est, il voyait les pied de la personne devant elle. Relevant doucement les yeux, surprise, elle vit une jupe.
Ce n'était pas un homme mais une femme. Elle s'était préparée à sucer, qu'allait elle faire maintenant? Elle ne savait pas donner de cunnilingus, elle n'avait jamais fait...
Elle dit alors à voix basse "madame, puis-je vous satisfaire en guise de pourboire?". Ses yeux fixait un point sur la moquette.
La maitresse d'hotel ne sembla pas déconcertée et dit d'une voix confiante: "Que c'est mignon, je suppose que quelqu'un est à l'intérieur?"
"Ou-oui" dit la femme agenouillée en begaillant.
La maitresse d'hotel enjamba alors la soumise et entra dans la chambre et dit "cher monsieur, voici votre commande, c'était ma dernière commande, accepteriez vous que je prenne mon pourboire dans cette chambre avec vous?"
L'homme ne fut pas plus déconcerté que cela et dit: "bien sur, faisons un petit jeu, ma chienne va vous faire un cunnilingus et vous allez lui en faire un ensuite, la personne qui arrive a faire jouir l'autre la plus vite partage mon repas, l'autre fera le divertissement à ma façon..."
La jeune femme accepta et se mit sur le lit en enlevant sa culotte sous sa jupe de service. D'un geste de la main, l'homme fit venir sa chienne qui savait quoi faire. Elle s'attaqua a la chatte déjà trempée de la femme et ne sachant comment s'y prendre bredouilla au début. Rapidement elle trouva le clitoris et s'y attela rapidement, puis doucement, essayant d'imaginer ce qu'elle aimerait. 11 minutes plus tard, une contraction, puis une deuxième, la femme jouissait enfin. Elle essuya alors son vagin sur le visage de la soumise et les deux échangèrent de role.
L'inverse fut plus aisée, l'experience aidant, en a peine quelques coup de langues, la femme enchaînée était au bord de la jouissance.
L'homme, jusque là spectateur intervint: "Stop" dit il fermement, "vous avez gagné mais je ne veux pas qu'elle jouisse, j'ai encore beaucoup pour elle. Venez donc partager mon repas"
Cependant la jeune femme hésita, regarda autour d'elle et vit une chaine qui trainait, elle la passa autour de son coup, la verrouilla avec un cadenas, se mit à quatre pattes et glissa la clé dans le caleçon de l'homme en disant "je pense que vous passerez un meilleur repas avec deux chiennes...
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Partie 5 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 6
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/
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Son regard était désormais entièrement dans le sien. Son regard? Pas seulement, son visage, mais également le reste de son corps était plongé dans ses grands yeux marrons. Seule sa main, qui tenait ses cheveux la retenait de sombrer en lui comme un navire en perdition dans les eaux de l'océan. Elle n'était plus, elle était sienne. Après une longue minute, il approcha sa main de la joue de la jeune femme, effleura sa mâchoire et s'empara de son menton. Soudain, la frustration revint, c'est la premiere fois qu'elle recut autant de plaisir sans pouvoir lui donner toute sa substance. Ses yeux quittèrent alors les orbites chauds de l'homme et descendirent vers la partie qui ne demandait qu'a etre a nouveau utilisée. "Oh tu en veux encore" dit-il, ce a quoi elle répondit par un mouvement de tete maladroit. Il ne répondit pas et se déplaça vers le téléphone, laissant la jeune femme perdue, il décrocha le combiné, l'approcha de celle qui désormais lui appartenait et lui dit "il se trouve que je risque d'avoir faim, et tu vas commander pour moi un menu complet pour le diner, une bouteille de sauvignon". La jeune femme attendait un "et prend toi ce que tu veux" mais ce qu'elle reçu en retour la figea, "et ajoute de l'eau dans une gamelle et de la purée également dans une gamelle". Elle bredouilla quelque chose d'incompréhensible avant qu'il lance un "fais le" en composant le numéro de l'accueil. Alors que la musique d'attente débutait, elle sentit a nouveau une présence derriere elle, il allait reprendre sa pénétration. "Oh non" se dit elle. Elle sentit a nouveau un premier coup empli de plaisir et de douleur, puis un deuxième avant d'entendre un "Accueil de l'hotel, j'écoute", ce a quoi elle répondit un grognement sans nom, avant de réaliser ce qu'il venait de se passer. Elle tenta de reprendre ses esprit et chercha ce que l'homme lui avait dit de commender. Au bout de quelques secondes et la repetition du maitre d'hotel, elle se souvint "Un menu complet et une bouteille de sauvignon s'il vous plaiiiignt", le dernier coup la fit tressaillir. La voix métallique du telephone ne réagit pas et ajouta un "ca sera tout madame?". Elle se souvint alors que ca n'était pas tout et commença le reste. L'homme lui précisa que les chiens étaient interdit dans l'hotel. Elle fit prise de panique et dit qu'elle était allergique a la vaisselle. Cette réponse idiote lui valut un mot de l'homme qui la pénétrait a son oreille "tu es également allergique aux chaises puisque je ne pense pas que tu vas manger assise". Il prit alors le telephone lui meme et dit à l'homme "veuillez pardonner ma servante, elle ne connait pas les convenances des grands hotels, montez tout ca vous meme, elle saura vous remercier pour vos efforts, a bientôt", et il raccrocha sur un dernier coup de rein. Il s'arrêta alors et prenant la jeune femme encore enchaînée, la porta devant la porte, entrouvrit la porte et dit "ouvre grand la bouche et accueille comme il se doit le maitre d'hotel darling"
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Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
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Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" Il retira alors son pied puis saisit d'une poigne le collier sur le cou de celle quui gisait à ses pieds. D'un coup, il serra ses muscles saillants et releva l'avant bras, portant par cela la jeune femme quiu se trouvait devant lui. Il l'emmena alors sur le lit, serrant le cou d'une main et entourant son entrejambe de l'autre. Il remarquat alors l'abondante humidité se dégaeant de la partie basse. Il jeta alors la jeune fille sur le lit qui, toujours enchainer, ne put s'empecher de s'ecraser sur le matelas. Il s'approcha alors et il posa sa main sur le haut de ses fesses, il remonta alors le long de la colonne vertebrale, décrochant des tremblements qui firent chavirer aussi bien le coeur que le corps de la créature. Etait elle encore humaine ou n'était elle qu'un objet qu'elle avait elle meme offert à cet homme? Toujours est il qu'elle murmura à travers le baillon qui lui serrait la bouche: "baiser moi s'il vous plait". Il s'approcha, retira le baillon et dit: "Je n'ai pas bien compris" Génée, elle repeta "Pouvez vous me baiser, s'il vous plait" Il se mit alors à rire, accentuant la gène de la jeune femme avant de lancer un "Tu es directe toi". Il enleva alors sa braguette et se positiona legerement à l'arrière, posant sa main sur la croupe... Il saisit alors la croupe qui se positiona devant lui et se mit à la pénétrer comme jamais elle n'avait été penetrée. Elle mouillait tellement que chaque mouvement faisiat virer un jet de cyprine sur le matelat. D'un coup de main, il lanca depuis son téléphone la VIIe symphonie de Bethoven. Les premieres notes retentierent et soudain, elle s'appercu que les coups de reins se synchronisèrent avec la mélodie. Son plaisir montait malgré l'inconfort de la position. Soudain, tout s'arreta, il sorti et d'un coup applatit la paume de sa main sur les fesses qui rougirent d'un coup, puis un deuxieme puis un troisieme. Il defit alors les entraves de la pauvres femmes et d'un coup se saisit de ses cheveux et plongeat son regard dans le sien...
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Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Immobilisée au sol, dans une position non confortable et qui plus est n'était pas celle demandée. Voila sa situation. Pourtant, elle avait essayé de se relever, toujours sans succès.
La porte battait toujours legerment au rythme des courants d'air provoqués par l'ascenseur du couloir alors que le lampadaire clignotait parfois, brisant le fin rayon de lumière qui pénétrait dans la chambre.
C'était stressant oui, mais jamais elle n'avait été autant excitée. Ce n'était pas de l'excitation cela lui arrivait sans cesse lorsqu'elle voyait un homme attirant ou qu'elle s'apprêtait à s'élancer dans des ébats. Non, c'était autre chose, une excitation interdite, presque mystique. Elle n'arrivait à penser à rien d'autre qu'à la réaction de l'homme qui allait rentrer par cette porte et à si ca serait bien l'homme auquel elle pensait et non un parfait inconnu. Et pourtant, elle savait au fond d'elle meme que rien ne pouvait lui faire regretter d'être venue. Elle mouillait, évidemment, plus qu'elle n'avait jamais mouillée, mais son excitation ne venait pas de ses parties intimes, elle venait de sa tête, de ses poignés menottés, du collier qui à chaque instant serrait un peu plus son cou. Elle venait de cette boule au milieu du ventre qui lui disait fuit, elle venait de la chaine qui la reliait au sol qui lui répondait que c'était impossible de fuir. Elle lui venait de cette porte qui a tout moment pouvait s'ouvrir.
Le temps passa, elle aurait pu s'endormir si l'inconfort de la position ne lui avait pas ôté toute envie. Elle entendait l'heure tiquer, elle sentait la lune continuer dans le ciel derriere elle, la vie continuait et elle était coincée dans cette chambre, à la merci d'une porte capricieuse.
40 minutes passèrent, 50? Elle n'en savait rien. Toujours est il qu'a un moment donné des bruits de pas se firent entendre. Des pas lourds mais délicats, étouffés par la moquette de l'hotel. Soudain, les bruits s'arrêtèrent devant la porte. L'ephemere moment sembla durer une heure, comme suspendu à une seconde d'insouciance, à une minute de questionnement. Alors la porte s'ouvrit. La curiosité s'emballait, elle voulait voir qui était là, si c'était celui qu'elle attendait. Cela faisait des heures qu'elle n'attendait qu'une chose, voir le visage qui passerait cette porte. Et pourtant, ses yeux ne lui obéissait plus, pas plus que son cou ou que ses muscles. Son regard se figea dans un trait du motif de la moquette rouge et elle ne pouvait lever sa tete. Elle le voulait, mais c'est comme si son corps disait inconsciemment de regarder le sol afin de ne pas défier du regard celui auquel elle avait déjà désobéis. Les pas reprirent et le regard demeura figé jusqu'à ce qu'elle sente le froid d'une semelle se poser sur son cou, à moitié sur son collier et à moitié sur sa peau frère et refroidi par l'atmosphère hivernal. Elle n'était plus rien et elle était tout. Son collier l'avait transformer. Elle ne craignait plus la punition, elle voulait garder son visage figé dans ce trait noir désiré sur la moquette rouge pour l'éternité, dans le simple but de LUI offrir sa personne.
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse"
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Partie 2 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 3
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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Voila le jour tant attendu. Elle est maintenant devant la grande facade blanche de l'hotel parisien. Elle hésite une dernière fois et se décide à rentrer. Elle se dirige vers l'accueil et demande la carte de la chambre 112.
L'homme en uniforme lui donne d'un geste de la main en professant un "bon séjour parmi nous".
Sans un mot, elle prend la carte et se dirige vers l'escalier en granite et le monte deux marches à la fois en prenant soin à ce que personne ne remarque ce qu'elle porte sous son grand manteau noir qui volète sur les cotés.
Elle arrive devant la porte. Elle toque inutilement. Pas de réponse, elle le savait.
La jeune femme insère alors la carte dans l'encoche et pénètre dans la chambre. La porte se referma timidement derrière elle et la chambre est désormais plongée dans le noir, à l'exception de la lumière diffuse que le réverbère fais rentrer à travers les voiles. Elle insère la carte afin d'activer l'éclairage. Elle découvre alors trônant au centre de la piece le materiel dont lui avait parlé l'Homme, celui qui lui avait donné rendez vous ici, celui qui lui avait donné la liste de consigne qu'elle avait mémorisée, celui qui l'avait introduit à la domination et qui aujourd'hui commencerait son dressage.
Elle prit le collier posé à terre et le passa autour de son cou. A l'avant, un cadenas le verrouillait. Elle chercha la clef des yeux avant de les poser sur les autres objets. Aucun n'avait de clé. Une fois qu'elle avait fermé les cadenas, seul LUI pouvait la libérer. Elle hésitat avant d'appuyer sur le cadenas et se rappela ce qu'IL lui avait dit "tu hésiteras, mais la mouille coulant de ton vagin te rappellera pourquoi tu es là". Il avait dit vrai. Elle n'avait pas besoin de vérifier pour sentir son entrejambe mouiller plus qu'elle ne l'avait jamais été.
Elle ferma donc le cadenas. Enleva son grand manteau, relevant au miroir, seul autre occupant de la chambre libre sa tenue. Porte Jaretelle et corset, tel qu'IL l'avait demandé. Elle se posa sur les yeux le bandeau présent à sa disposition et place ses mains dans des menottes attachées à une barre à même le sol, l'immobilisant désormais complètement.
Quelques minutes passèrent et soudain, aveuglée et immobilisée, une révélation lui vient. Elle n'avait pas entendu la porte claquer. Etait elle fermée? Elle ne le pensait soudain plus. Elle s'était refermée, c'était certain mais était elle complètement fermée, elle n'en savait plus rien. Elle se tourna alors dans tous les sens pour arriver à enlever le bandeau. Après 10 minutes de combat avec les menottes elle tomba à la renverse et était dans l'impossibilité de se relever. Elle finit cependant à réussir à retirer le bandeau pour s'apercevoir avec horreur que la porte n'était pas fermée... Une ouverture s'agradissait et se rétrécissait aux mesures des courants d'airs.
Alors elle réalisa que la situation était plus déséspérée encore. Non seulement n'importe qui pouvait entrer désormais mais quand IL arriverait, s'il arrive, il la trouvera sans bandeau et pas dans la position demandée...
Elle allait commencer son dressage par une punition...
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La suite:
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Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
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