Bonjour
Pour répondre à la question si une soumise de ce site était contactée par mon Dom de façon ambigue. Je l'entends dans le sens qu'il veuille avoir une relation D/s avec elle, même si c'est sans le dire mot à mot. Oui, je souhaiterai le savoir.
J'écouterai les informations que cette soumise me donne et les évaluerai par rapport à ce dont je suis sûre à propos de mon Dom et poserai sûrement quelques questions à celui-ci pour infirmer ou confirmer ces informations.
Dans ma relation D/s, la confiance est primordiale et mon maître a une responsabilité sur mon intégrité physique et mentale. Si je ne peux pas lui faire confiance déjà sur son exclusivité alors qu'elle a été convenue entre nous et qu'elle n'est même pas obligatoire si nous le souhaitons, quels sont les autres points sur lesquels il m'a menti? Son expérience ? Le respect qu'il aura envers moi et mes limites?...
Si c'était moi la soumise qui était contactée par un Dom déjà en lien. Et que je me rendais compte par ses messages qu'il cherche plus qu'une amitié. Je pense que je chercherai déjà à confirmer cette impression. A connaître les conditions de sa relation. Ne serait-ce que parce que j'aime bien comprendre et savoir à qui j'ai à faire. Si j'estime qu'il y a vraiment un problème dans son discours je pense que je contacterai sa soumise afin de voir avec elle quelles sont les conditions de leur relation. Et ensuite j'aviserai en fonction de notre discussion. Il faut déjà que la soumise accepte de me parler.
Étant donné que le sujet s'est un peu élargi, je prendrai aussi le cas d'une relation extérieure à ce site.
Et là, la réponse est non. Je ne dirai pas à un personne que je connaisse ou non, que son conjoint la/le trompe. Cette réponse a beaucoup évoluée au fil de ma vie. Mais maintenant je ne prendrai pas la décision et la responsabilité de faire éclater la vie de personnes. Qui je suis pour décider que c'est la meilleure chose à faire pour eux de savoir? Et même si laplupart disent qu'ils veulent savoir, il y en a beaucoup qui, une fois que leur vie à explosée, admettent qu'ils auraient préféré ne pas savoir.
Et personnellement, si mon conjoint me trompe, je préfère ne pas savoir. tant que notre relation reste la même et qu'il se protège, je m'en fiche. J'avoue qu'il y a 10 ans j'aurai été horrifiée par ce que je dis.
Après soyons clairs, je parle de "coucherie". Pas d'une deuxième vie avec des enfants, de maltraitance ou de toxicité. Dans ce cas là, la situation est différente et bien entendu que je ne vais pas rester les bras croisés face à un danger. La moindre des choses est d'au moins avertir la personne après on ne peut pas sauver les gens malgré eux.
Petite appartée, j'ai aussi pris comme agressive la réponse aux digressions. Ce que je n'ai pas très bien compris car même si ça ne répondait pas au sujet, il n'y avait rien de "méchant" et les digressions sont légions dans les sujets de forum.
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Bonjour,
Personnellement je ne comprends pas effectivement pourquoi ce n'est pas une des soumise concernée qui ait créé ce post.
Si c'est effectivement à cause du nombre d'homme qui auraient pu y répondre. Un groupe exclusivement féminin à été créé par bdsm, pourquoi ne pas le poster là-bas ?
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Personnellement j'ai toujours eu des contacts journalier, même si pendant les vacances ou les week-ends c'était parfois seulement un bonjour le matin et bonne nuit le soir. C'était parfois un peu difficile pour moi mais il faut être honnête parfois c'est moi qui suis dans ce cas là.
Mais si j'avais un problème ou des doutes dans les moments où il était peu disponible il trouvait toujours un petit moment pour me répondre et me rassurer même juste de quelques mots.
Après je pense que ça dépend de la situation de la personne aussi. Si c'est quelqu'un qui est souvent sur son téléphone c'est plus facile de mettre un petit message en restant discret. Dans le cas contraire, ce sera difficile sans éveiller des soupçons ou tout du moins des questions.
Une relation avec une personne déjà en couple est forcément plus compliquée et demande plus d'ajustements.
Je pense que la question n'est pas de savoir si ca se fait ou pas car vous trouverez de tout dans les relations D/s mais de savoir si vous pouvez supporter une relation dans laquelle ça se passe comme ça.
C'est quelque chose que vous devez définir d'abord pour vous, ce dont vous avez besoin pour bien vivre une relation.
Et ensuite en parler d'emblée au Dom, lui exprimer vos besoins et vos attentes. Le fait de ne pas du tout avoir de nouvelles pendant une semaine ou 15 jours peut très bien être une limite pour vous que vous ne pouvez accepter sans vous faire du mal. Il faut rester dans l'honnêteté envers vous même et envers lui.
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Alicia a répondu à la discussion "La relation D/s, une autre forme de tendresse - Trouver sa place" de StellaMaris de Ngu59fr.
Bonjour
Je pense que ça prend du temps pour arriver à trouver un équilibre entre les différentes parties de soi et les différents "rôles " a tenir dans sa vie.
Et la vie se charge malicieusement de redistribuer les cartes au moment où on croit avoir trouver.
J'ai souvent l'impression de me perdre aussi et de ne pas faire assez, de ne pas être assez pour mon maître.
Et comme il me le rappelle, c'est à lui de me dire si c'est le cas.
Je me rends compte à chaque fois que c'est moi qui me met la pression et lutte contre moi même au lieu de lâcher prise. Ah ce fameux lâcher prise!!! Si seulement il y avait un modèle d'emploi infaillible!!
Mon maître m'apaise, en m'écoutais, en comprenant et car il a cette patience que je n'ai pas, ni avec moi même, ni avec les événements.
Pour en revenir aux différences dans les relations vanilles et bdsm. Pour moi, ce n'est même pas une question de ça, c'est plutôt une question que chaque relation est différente, vous pourriez ressentir aussi cette différence avec un autre maître que le vôtre.
Après, hors sentiment amoureux, les émotions et les sentiments que l'on ressent envers son maître sont très différents que dans une autre relation.
Cette tendresse, quelle qu'en soit la forme, physique ou psychologique, je ne pense pas que l'on puisse la ressentir de la même façon avec quelqu'un d'autre que son maître. C'est un lien très particulier et les émotions qui s'y associent le deviennent aussi.
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Je suis assez d'accord avec vous Azhara. Merci pour avoir aussi merveilleusement bien décrit tout ce que j'aurai pu dire.
Au début je me posais beaucoup de question aussi et je me désignaits d'office comme non masochiste car pour moi les masochistes aimaient souffrir et n'avaient pas besoin de relation D/s pour l'apprécier. Et dans mon esprit être masochistes, ça voulait dire vouloir aller toujours plus loin dans la douleur.
Et j'ai fini par aller chercher le mot dans le dictionnaire :(ces derniers mois je n'ai jamais autant cherché de mots dans le dictionnaire!!). Trouver du plaisir à souffrir. Pas de question de situation ou de degré juste le plaisir dans la souffrance.
Bon là, je ne pouvais pas le nier c'était tout à fait ce qui se passait j'étais masochiste avec mon maître. Quelque chose de difficile à encaisser et à accepter sur le moment. Et bien sûr, ça n'enlève pas la question du pourquoi je le suis.
Avec l'aide de mon maître j'ai juste accepté que j'étais comme ça, peu importe le pourquoi de toute façon ça ne changerait rien. L'important c'est que cela me permet de vivre plein de choses et des ressentis intenses avec mon maître. Tout en me sentant moi. Et le lien s'en resserre d'autant plus.
Même si vous avez donné beaucoup de réponses dans lesquelles je me retrouve.
De plus en plus, je fais taire les pourquoi, mon maître me contamine avec son calme et m'apaise. J'accepte juste que je suis bien là où je suis, que je me sens entière avec lui. Et dans ces cas là qu'importent les pourquoi.
Même si parfois je me demande encore ce que je suis en train de faire.
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Je crois qu'il y a un malentendu ange de Vesper. Personnellement ce n'est pas ce que j'ai entendu dans les explications de Horned Reaper.
Quelqu'un peut maîtriser une pratique sans avoir un doctorat en la matière. et sans avoir envie qu'on doute justement de sa maîtrise, même sans le vouloir, en lui en expliquant de A à Z les tenant et les aboutissant.
Si j'ai bien lu c'était même une expérience vécue.
Et faire une formation, s'entraîner, faire des recherches pour s'améliorer n'est pas la même chose que se faire donner une leçon par sa soumise. Qui du coup pour moi remet en cause son maître, question de confiance? Déformation professionnelle? Besoin de montrer sa "science"? Ou constat d'un manquement ? C'est un autre débat.
Je trouve dommage que tout le monde prêche la communication et le droit à la différence. Et que dès que quelqu'un donne un point de vu différent, il y ait comme un acharnement à le contredire et à prouver son erreur.
Certains vont choisir leur soumise sur des critères physiques autant que les pratiques et c'est la même chose pour les soumises dans le choix de leur maître. D'autres sur des critères intellectuels. Chacun a ses envies, ses attirances, ses excitations. Et aussi parfois ses critères rédhibitoires et ce, souvent dû à son vécu.
Et une personne moins cultivée n'est pas pour autant une personne moins intelligente ou moins intéressante avec qui il est impossible d'avoir des échanges enrichissants.
La façon de le dire était peut être maladroite mais je ne vois pas en quoi les faits sont choquants.
Beaucoup de soumises ont besoin d'estimer et d'admirer leur maître et recherchent un plus intellectuellement et dans ce sens là ça ne choque personne.
Soyez la première personne à aimer.
Un très vaste sujet et beaucoup de questions. J'ai pris quelques jours pour essayer d'organiser mes réponses mais je ne suis pas sûre que mes pensée ne vont pas partir dans tous les sens.
Comment trouver le bon dominant? Depuis que j'ai mis un pied dans le bdsm c'est un question qui est souvent revenue. J'aurai aimé qu'il y ait un chemin à suivre, des cases à cocher cela m'aurait bien aidé, ainsi que je pense toutes les novices.
Et au tout début j'ai vraiment cru qu'il y avait un modèle à suivre de part les sites sur le bdsm qui fourmillent de définitions et de modèles sur ce que doit être ou faire un Dominant et une soumise.
Mais la vérité est ailleurs, il n'y a pas de modèle, ni de chemin approprié, il y a des personnes qui se rencontrent et se correspondent ou non. Et c'est beaucoup mieux comme ça, cela permet de trouver quelqu'un adapté à soi.
Mais cela n'avance pas beaucoup une novice qui cherche un Dominant et se cherche elle-même.
Il est difficile de donner des conseils à une personne qui n'est pas soi et ne vit pas forcément les choses de la même façon. Tout au plus peut-on discuter et donner son avis.
Il faut être conscient déjà, comme vous l'avez dit Azhara, que passer du monde vanille au monde bdsm est un bouleversement. Il faut remettre beaucoup de nos pensées et de nos apprentissages (société, religion, éducation...) en question, apprendre à voir les choses autrement et s'accepter soi-même totalement avec ses besoins et ses envies quels qu'ils soient. Cela peut être très compliqué et long.
Personnellement je ne pense pas que ce soit possible de le faire totalement par soi même sans se perdre dans les multiples facettes du bdsm. D'où l'intérêt de trouver un Dominant qui vous y aide et qui vous guide.
Maintenant avant de se jeter à corps perdu à la recherche d'un Dominant, je pense qu'il est bien de se renseigner un peu, lire des blogs, des forums, discuter avec des gens sur leur façon de concevoir... Cela n'engage à rien et peut permettre de voir déjà quelles sont les approches qui attirent et celles qui ne sont pas du tout adapter à soi. De même pour les pratiques voir si il y en a qui paraissent excitantes, d'autres qui bloquent...
Pour la durée du virtuel et commencer pour apprendre avec des jeux (virtuels ou séances) sans vraie relation. Je pense que c'est assez personnel comme choix. Certaines personnes seront incapables de commencer par une rencontre. Elles auront peut être besoin de tenter des petits jeux sans investissement et sans se dévoiler. D'autres ne pourront pas faire de virtuel sans être passé par un contact réel.
Mais dans tous les cas, sans avoir essayer la soumission au sein d'un lien D/s il est impossible de comprendre ce lien et la différence entre se soumettre dans une relation aboutie et dans une relation "jeu".
Je ne comprenais pas les descriptions des ressentis et les significations de beaucoup d'actions avant de l'avoir vécu. Ni la puissance d'une relation D/s.
Après je ne suis pas très objective car je serai incapable de me soumettre vraiment hors relation D/s avec un lien créé. Par jeu ça n'a pas la même saveur, ni la même signification pour moi et il y a beaucoup de choses que je n'accepterai pas de faire en jeu alors qu'avec mon maître c'est une évidence.
Je pense que découvrir une pratique dans une séance "jeu" n'est pas du tout la même chose qu'avec son maître. Il est possible de la détester dans un cas et l'aimer dans l'autre.
Pour ce qui est des blessures. Personnellement j'ai vécu l'abandon brusque et inexpliqué avec mon premier maître (qui m'avait pourtant bien expliqué qu'un maître était responsable de sa soumise et se devait de l'accompagner dans la fin de relation qui pouvait être très difficile à vivre!). Dans ma chance, pour tout le reste il avait plutôt été très bien , un bon guide, ce qui fait que la chute à été plus difficile encore car plus incompréhensible.
Suite à ça j'ai voulu complètement arrêter, je ne voulais plus du tout entendre parler du bdsm. Et puis au bout de quelques mois je suis revenue sur ce site juste pour lire le forum. Et petit à petit discuter avec quelques personnes, plutôt sur leur vision des choses... Quelques jeux virtuels aussi,légers, mais qui m'ont permis de préciser et de découvrir certaines choses sur moi. Jusqu'à la personne, la discussion qui diffère, qui attire, qui donne envie mais avec beaucoup plus de méfiance et de doutes pour moi, la peur d'être à nouveau abandonnée à tout moment. J'ai eu besoin de beaucoup plus de temps, de discussion, j'ai posé aussi d'autres questions forte de mes discussion et de ma petite expérience. Et surtout encore une remise en question parce qu'un Dominant avec un caractère et une vision très différente de mon premier maître. C'était très perturbant. Je me suis demandé laquelle était la bonne pour moi. Et puis avec beaucoup de patience de sa part, j'ai juste accepté de le suivre et tenté. Par contre je ne peux pas vraiment accepter d'être soumise sans avoir rencontrer en réel. Je garderai toujours une réserve sans avoir vérifié que l'alchimie et l'entente perdurent en face à face et au toucher. Heureusement pour moi notre première rencontre, dans un café, à été au-delà de mes espérances.
Je pense que pour trouver le bon dominant, il faut arriver à voir au-delà de ses emballements ou de ses peurs et accepter aussi de voir vraiment l'homme et le dominant tel qu'il est dans son ensemble (ce qui est encore une autre paire de manche au début et je conçois que certaines soumises préfèrent ne voir que le maître mais sur la durée je pense que c'est un peu utopique). Et ensuite se lancer sans brûler les étapes, bien sûr. Comme dans toute relation, on ne peut jamais être sur de rien, mais il faut bien tenter à un moment, mais toujours les yeux ouverts. Et d'ailleurs pour moi un bon Dominant, voudra que sa soumise garde les yeux ouverts (métaphoriquement), soit toujours consciente et volontaire pour toute chose.
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Je pense que comme beaucoup l'ont dit c'est déjà une question de définition du mot humiliation et ensuite aussi une question de perception de chacun. Sans oublier l'intention bien sûr.
Toutes les personnes avec qui j'ai parlé qui appréciaient une certaine dose d'humiliation, ne le percevaient absolument pas comme un rabaissement, une dégradation. Parce qu'il y avait respect et confiance entre les deux, que ce n'etait pas permanent, et qu'il y avait mille et une autres choses qui prouvaient que le maître considère son/sa soumise.
Et de plus en sachant que la peronne soumise était excitée par cela mais éprouvait de la honte, de la confusion, se sentait humiliée de part l'éducation, la morale, la société...
Et souvent d'ailleurs ce qui est perçu au début comme une humiliation finit par ne plus l'être par les personnes concernées. Pourtant pour une personne extérieure cela peut être perçu autrement.
Par exemple une personne ne connaissant pas le bdsm peut considérer comme humiliant simplement le fait de voir une femme se mettre à genoux devant un homme. Ne parlons même pas d'obéir à ses ordres, lui baiser la main ou le pied, et l'entendre parler de salope ou de chienne... pourtant de l'intérieur les choses revêtent une autre signification et il n'est plus question d'humiliation.
En dehors de la perception, l'humiliation peut être une façon de repousser les limites ( en tout consentement bien sûr) ou un mélange de sensations supplémentaires (honte et envie) qui peuvent décupler l'excitation.
Quand on ne ressent pas d'excitation soi-même pour l'humiliation, c'est difficile à concevoir.
Comme il peut être compliqué de concevoir que des gens aiment avoir peur et recherchent le grand frisson.
Nous sommes tous à la recherche des sensations et des émotions qui nous transportent. Le tout est d'être attentif à la personne avec qui nous les partageons pour que cela se fasse toujours dans la connaissance de l'autre, du respect de son intégrité physique et mentale, et son consentement. Comme pour tous les aspects du bdsm.
Pour ma part j'ai souvent ressenti la honte et ce mélange envie mais honte, qui est très fort en sensations il faut l'avouer. Mais que je ne recherche pas pour autant contrairement à d'autres, ce que je peux comprendre.
Pourtant je n'ai jamais mis le mot humiliation dessus, et pourtant ca y correspond. Mais pour moi humiliation correspond vraiment à rabaissement et je n'ai jamais ressenti ça venant de mes maîtres. Au contraire j'ai toujours ressenti leur volonté de m'épanouir, de me grandir.
Certains disent qu'ils veulent être rabaissée, traités comme moins que rien, mais ce n'est qu'en apparence car ils savent que leur maître ou leur maîtresse ne les considère pas comme moins que rien. Cela n'empêche pas forcément la honte mais ne pousse pas à la destruction de la personne.
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Alicia a répondu à la discussion "HPI / HPE / Hypersensibilité et particularités en BDSM...." de Azhara.
Les HPI ne sont pas forcément HPE. Les HPE peuvent être hypersensibles. Ils représentent 2.3/2.5% de la population. Mais la majorité des hypersensibles (15/20% de la population) ne sont pas HPI.
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Alicia a répondu à la discussion "Liberté de conscience et soumission sont-elles compatibles?" de sylvie35.
Bonjour,
Je pense que c'est dans ces circonstances que jouent la communication et les limites nécessaires pour toute relation D/s. Les gens, les situations évoluent, c'est pour ça que la communication est si importante et que lorsqu'il y a contrat celui-ci doit être revu régulièrement.
Même si le maître décide, il est avant tout responsable de sa soumise, de son bien être et de son intégrité physique et morale. Cest pour ça que sa soumise lui fait confiance et accepté de lui donner le pouvoir. Donc pour moi il ne pas nier et imposer des valeurs ou des décisions qui vont heurter et porter atteinte à sa soumise. Dans ce cas on va vers une relation abusive.
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Certains propos véhéments et insistants me choquent un peu.
Je ne pense pas que ce soit le moment quand une personne est en questionnement et dans le mal, de lui assener ses propres émotions et sentiments face à la situation. De juger la situation par rapport à son propre vécu sans connaître toute l'histoire, ni les protagonistes.
Rien n'est ou tout blanc ou tout noir dans la vie, il y a une multitude de dégradés entre les deux et c'est ça qui est magnifique mais aussi compliqué.
Dans cette situation je pense que nous pouvons répondre à certaines des questions concernant le bdsm, pouvons écouter déverser un trop plein d'émotions si besoin est.
Pour le reste c'est une question de temps , de recul, de communication et de ressenti entre deux personnes, nous ne pouvons pas juger.
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Merci airelle d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Le premier poste m'a fait bouillir, au 2eme je ne peux plus me retenir.
Pourquoi faire valoir des opinions personnels comme des vérités absolues?!
Les échanges d'opinions se faisaient dans un grand respect des points de vues et de la différence de chacun jusqu'à maintenant. J'ai trouvé ces interventions très agressives,irrespectueuses et choquantes.
Une soumise doit forcément baisser les yeux. Sinon c'est que c'est une pet ou une brat, c'est ça ?! Il me semble qu' un certain nombre de dominants aiment que leur soumise ne baisse pas les yeux afin d'y lire leurs émotions et de les forcer à assumer leur position. Il est beaucoup plus facile de se cacher en baissant les yeux quand on a honte que de l'assumer les yeux dans les yeux. Entre autre.
Tout ça est encore une vision des choses tout à fait personnel à chacun.
Et le point de vue de l'animalisation et de la demande que peut faire ou pas une soumise. C'est tellement étriqué de ne pas pouvoir l'interpréter autrement et tellement prétentieux de penser connaître la signification et les pensées d'un dominant et de sa soumise ou de toute autre personne.
Surtout après avoir vu le nombre de façon de voir les choses qui ont été exposées.
Ça ne me choque pas qu'une soumise propose la laisse à son dominant, en particulier dans cette relation qui était déjà existante avant de devenir progressivement bdsm.
Le dominant reste maître, parce que c'est toujours à lui d'accéder ensuite à la demande de sa soumise ou non. La aussi c'est un accord entre les deux parties. Certains dominants n'acceptent pas qu'une soumise fasse la moindre demande, d'autres l'acceptent.
Et en début de relation ça peut être aussi de prouver à son dominant en lui présentant la laisse, qu'on accepte de lui appartenir et d'être sa soumise, que c'est vraiment une envie.
Quant aux lectures.... euh je comprends pas trop. Une fois de plus tous les goûts et les opinions sont dans la nature.
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Personnellement je n'ai pas rebondi sur le fait de ne pas connaître ses limites car je trouve ça assez normal lorsqu'on débute.
Oui, on a forcément des choses qui nous attirent ou nous rebutent et ce sont ces choses qui vont faire que l'ont peut envisager une relation parce qu'on va dans le même sens.
Je pense qu'il est tout à fait possible de discuter de tout ça au fur et à mesure, à chaque fois qu'une nouvelle pratique est envisagée par exemple.
Et ils ont déjà bien entamé la discussion de ce que j'ai compris sur certaines pratiques dont ils partagent l'envie.
Quant au safeword, c'est encore un autre sujet de discussion, il n'est pas indispensable pour tout le monde. Je pense personnellement qu'il est surtout utile dans les pratiques assez "hard" au cours desquelles un non ou un stop, ne veut pas dire que la personne veut vraiment arrêter. Ce n'est pas mon cas, pour moi un non ou un stop, veut dire tout arrêter. D'ailleurs dans un moment de stress ou de trop, je pense que je ne me souviendrai même plus d'un mot de passe.
Et mes maîtres n'y voyaient pas non plus l'intérêt, non ou stop étant suffisant pour eux.
Cela montre toujours les différences de visions et de façons de faire qu'il peut y avoir. C'est une chose magnifique je trouve, cette diversité.
Et cela prouve à quel point il est essentiel, comme tout le monde l'a précisé, de discuter et communiquer pour le moindre sujet et tout le temps au cours de la relation pour être sûr qu'il n'y a pas de malentendu et aller dans le même sens.
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