Vos premiers émois pour le BDSM datent ...?

Et bien, comment dire . Il m'aura fallut 39 ans pour que je puisse me découvrir. Jusqu’ici plutôt autoritaire dans le sexe et leader dans la vie, je n'avais pas encore eu cette révélation. j"ai rencontré Harley, ma partenaire et maintenant soumise. Et cela a paru comme une évidence, un besoin mutuel de Domination et de Soumission, une envie de dépassement. Elle est, de la centaine de femmes que j'ai pu avoir dans mon lit, celle qui as sue me transcender ! J'en ai même eu des première fois , à mon age et après le nombres de rapports que j'avais eu par le passé. Elle est dorénavant, l'objet de tout mes désirs et la source des mes plus impensables fantasmes. Je suis fier d’être ton maître et d'avoir une soumise aussi parfaite aussi bien physiquement que mentalement.

Bonjour a toutes et tous. La première vision, et donc émois, c'était en discothèque, voir un homme a genoux devant 3 FEMMES, dont une visiblement la Maîtresse, j'était émue, Elle ma regardez et souris, Elle a du comprendre, que cela serait ma vie, mais étant mineur, Elle a pas fait le moindre gestes. La première fessée, c'était un samedi soir d'Octobre 1986, avec une Maîtresse, qui était prof de français au collège et que j'avait eu comme prof, c'était environ 1an après la soirée en discothèque.

Il y a bien 20 ans... Lorsqu'une femme m'a fait comprendre que je n'étais pas anormal mais féticihste, et que je n'avais qu'à ordonner pour être obéï... Une coutume qui se perd de nos jours....

Il y a 6 ans je crois, je suis tombé sur le site xstory-fr.com et j'y ai lu une série d'histoire mixant domination et inceste, ça m’a beaucoup plu et à partir de ce moment j'ai commencé à m'y intéresser sérieusement.

C'était il y a une trentaine d'année, une femme rencontré sur un site ou minitel, je ne me souviens plus sans aucune idée de domination pour moi me parle un jour d'O que je ne connaissais pas, ensuite étant marin les cordes je connaissais, et elle m'en donne une pour l'attacher pendant que je la caresse, ensuite comme je suis grand et fort, je commence à la fesser et ainsi progresse avec elle dans le Ds

j'avais 20 ans un garçon de 40 ans ma fait mettre un culotte de fille qui fesais taille 40 je fesais taille 42 et me dit met la ? pour ça que je met des cullotte de filles

Tellement longtemps...

Sur un réseau de tel rose... ou je me perdais de temps en temps.. ma 1ere expérience.. un vrai choc... et un vrai délice.. J' y retourne de temps en temps d'ailleurs et parfois j'ai toujours de bonne surprise.

J'ai toupours apprécié disposer d'une femme attachée, entravée dans différentes positions. Mes partenaires consentantes n'ont jamais été décues.

J'ai toujours été attiré par le bondage et je suis en recherche d'une partenaire pour continuer cette activité.

Harley oh ,toi

A l'adolescence.

J'avais 27 ans

Moi c'est depuis l'âge de 6 ans, Terriblement pudique alors, les "mises à nu" devant les infirmières lors de visites médicales d'école m'ont terriblement marquées avec un très fort sentiment de gêne humiliante !! Mais cela à surtout créer une vraie fascination pour la nudité humiliante forcée dans la gêne sexuelle... Mon tout grand rêve maintenant est de pouvoir revivre cela au centuple !

Vers lâge de 30 ans je suis petit à petit devenu le soumis de mon ex, puis de ses amants... Mais depuis gamin je me sens fille, un raté de la nature...

à l'adolescence, après avoir reçu une fessée au collège

syvonbi, oui, en public, devant toute la classe.

fessée au collège : en pension dans un collège catholique, l'éducation des garçons et des filles était le prolongement de ce que l'on avait connu à l'école primaire : châtiments corporels, humiliations, punitions diverses. Je me souviens de ce printemps, j'étais en 3ème et les copains et moi étions joueurs ! dans les escaliers nous nous amusions à soulever la jupe des filles pour voir leur culotte... les filles râlaient bien sur mais bon, dans l'ensemble ça se passait pas trop mal, quelques gifles des fois, par une fille qui se rebellait, des fois aussi on était dénoncé et les fessées dans le bureau de Madame le Censeur pleuvaient. Mais ce jour là, allez savoir pourquoi, on a fait des paris à celui qui soulèverait le plus de jupe et montrerait le plus de culotte possible... A la fin d'une récréation, mes copains derrière moi pour bien voir les culottes, je me suis mis à soulever des jupes, découvrant des culottes plus ou moins jolies, plus ou moins ajustées, bref la routine pour nous, petits garnements que nous étions. Devant moi, je vois une fille, enfin je vois juste sa jupe légère et évasée, et suivant mon instinct, j'ai soulevé en grand la jupe devant moi, découvrant uen magnifique et grande culotte blanche avec des fleurs roses. j'avais encore le bas de la jupe dans la main quand la fille s'est retournée, et là, avec stupeur j'ai vu qu'il s'agissait de l'assistante d'espagnol qui venait en renfort de notre professeur. Je suis devenu tout rouge, la jeune femme, étudiante, m'a demandé mon nom et ma classe. En bégayant je lui ai répondu et elle est partie en sens contraire, dévalant les escaliers. Mes copains et moi on ne savait plus quoi faire alors on est monté en classe et le cours a commencé. Au bout d'un moment, Madame le Censeur est arrivée et est entrée sans frapper dans la classe, suivie de l'assistante d'espagnol, qui de suite m'a désigné du doigt. Je me suis suis recroquevillé sur ma chaise pendant que les copains et copines de la classe chuchotaient entre eux car bien sur ce que j'avais fait avait fait le tour de la classe . Madame le Censeur m'a alors demandé de me mettre debout, et elle m'a demandé de lui raconter ce que j'avais fait. Je me suis expliqué autant que je le pouvais, j'ai dit que je ne savais pas que c'était l'assistante d'espagnol mais que je croyais que c'était une fille du collège, je dis que je m'excusais, que je ne recommencerais plus jamais. Madame le Censeur m'a fait venir sur l'estrade, et là, les jambes tremblantes, je l'ai vu prendre une chaise, la poser au milieu de l'estrade devant le grand tableau noir, et elle s'est assise. Etrangement elle ne s'est pas assise face à la classe mais face à la porte. Puis elle m'a demandé de m'approcher. J'ai compris ce qui 'arrivait. je me suis mis à supplier, et je me suis mis à pleurer. je savais que dans ce collège on donnait la fessée, j'en avais reçu tellement depuis la 6ème, mais toujours dans son bureau. Elle m'agrippa, défit ma ceinture, descendit la fermeture éclair et fit descendre mon pantalon sur mes chevilles. Je me retrouvais en culotte devant toute la classe, j'entendais les filles glousser, les garçons se moquer, je pleurais à chaudes larmes quand Madame le Censeur me coucha sur ses genoux, les fesses face à la classe. Et elle se mit à e fesser à la main, d'une main puissante, sèche, et je criais, suppliait, et elle continuait accélérant le mouvement. Au bout d'une quarantaine de claques sur mes fesses brulantes, elle s'arrêta et demanda à l'assistante d'espagnol de prendre sa place et de finir le travail ! Celle ci me coucha sur ses genoux et avant que je comprenne quoi que ce soit, elle me baissa la culotte d'un geste vif et me dit "tu voulais voir ma culotte, et bien maintenant toi, tu vas montrer tes fesses !" et elle m'a fessé rageusement, se vengeant de l'offense subie. La fessée a duré dix minutes, pas plus, mais quelle humiliation ! Puis, la Censeur m'a relevé, j'étais tout tremblant, et elle m'a fait retourné vers la classe qui non seulement avait vu mes fesses passer du blanc au rouge mais qui maintenant voyait mon petit sexe tout rabougri. Je fus conduit au coin, la culotte et le pantalon aux chevilles et j'y suis resté jusqu'à la fin du cours. Madame le Censeur m'a dit en quittant la classe suivie de l'assistante 'à tout à l'heure pour la suite de ta punition"...

Être nu pour moi et être exhibé ne me pose aucun problème

syvonbi dans les années 70à 74, dans un collège, institution catholique très fermée et très sévère.