Les mots, les gestes, les postures font partie de ce que j’appelle l’imaginaire de la soumission. Mais un imaginaire qui pour moi se traduit aussi pour moi dans ma réalité et mon vécu de soumise. S’agenouiller devant son Maitre/sa Maîtresse pour une soumise/un soumis n’est pas un acte neutre. Cela témoigne du sens que nous donnons à notre relation. Ou au moins que je lui donne moi. Que nous lui donnons, nous. Lui et moi. La réciproque est vraie également, parce que contempler le/la soumis(e) à genoux représente souvent un symbole fort pour le/la Maitre(ses). Mon sondage s’adresse donc aussi bien au Dom(me) qu’aux soumis(e)s. Et est subdivisé en deux parties. Comme il est d’usage, une seule réponse est autorisée, même si je me doute que le ressenti est plus complexe que « noir ou blanc ». Mais évidemment les « significations accessoires », pour chacun(e) peuvent être explicitées en commentaires.