Mon premier collier…
Je me souviens vaguement d’avoir erré ben longtemps dans une vie beaucoup trop étroite. Mais comment se figurer de vastes horizons quand on marche la tête basse et le cœur plein de crainte. Je me souviens même avoir cru aimer…
J’ai encore le souvenir du goût fade et âcre de ma vie sans Vous. De cette vie où la pensée d’une fin n’avait finalement pas tant d’importance. Je me souviens de ces instants où sans drame j’ai envisagé d’arrêter là cette vaine mascarade, de mettre fin à cette mauvaise pièce de théâtre où tout n’est que décors de carton-pâte et masque de comédia del arte… Où les acteurs se donne tant de mal mais où tout sonne faut… Ne devant ma survie qu’à mon manque de courage…
En redescendant samedi soir de cette petite pièce où Vous veniez à nouveau de me donner la vie, Je me suis assis à côté de Cécilia, les yeux encore humides et la face rieuse. Sans avoir besoin de dire un seul mot, nos sourires respectifs ont illuminés nos visages. Elle sait, je n’ai nul besoin de lui expliquer. Et Elle sait que je sais…
« Je Vous ai regardez avec Lady… Ce n’est plus du SM… C’est de l’art ! »
Les mots viennent de Maîtresse line assise en face de moi….
De l’art…
Oui… De l’art, de l’amour et de la passion…
Chaque fois que nos âmes s’offres l’une à l’autre, je me dis que c’est un jour à marquer d’une pierre blanche, que de telles sommets ne se reproduiront pas. J’ai pleinement conscience que ceux qui me liront penseront que j’en rajoute pour donner plus de lyrisme à mon écrit. Et pourtant, je ne rajoute absolument rien… Chaque fois que nous nous voyons, ce sont de nouveaux sommets qui se découvrent devant nous… Chaque fois, je jurerais qu’il est impossible de vivre quelque chose de plus fort… Et chaque fois, je me trompe…
Trouvez les mots… Aborder la douleur…
« Je joui sous les coups… »
Comme c’est cours ! Comme c’est fade !!!
« Ce n’est plus du SM, c’est de l’art… »
Oui… L’orgasme qui m’a foudroyé comme jamais ce samedi est né la veille, Quand Vous m’avez fait mettre à genoux dans le sexy center pour m’offrir mon premier collier… Pour les gens de passage, je ne devais être qu’un « excentrique » qui s’amuse… Mais un excentrique ne fondrait pas en larme, il ne saurait pas le chemin parcouru, il n’aurait aucune idée de l’immense privilège que représente ce symbole de l’union de nos âmes, et il ne s’abandonnerait pas dans une ferveur naïve et si pleine de reconnaissance à baiser Vos bottes… Et en relevant le regard, il ne croiserait pas le Votre brillant de fierté de me posséder si complètement…
Et puis l’orage vient… Dès que nous rentrons… Le ciel se couvre de la tension qui nous habite. Vous me repasser mon collier et tout mon être grandi en un instant. Je le sens. En moi. Une force que je ne savais pas. Vos lanières me caressent. J’en connais pourtant les moindres sons… Mais tout est différent aujourd’hui. Je porte Votre collier… Empire est plus puissant que jamais… Mon corps absorbe la douleur que Vous savez si bien faire naitre. Il la prend, l’accumule, se sert d’elle pour faire raisonner la moindre fibre de mon être. Et quand Vous prenez Votre fouet, je sais dès les premiers claquements qu’un orgasme gigantesque va m’emportez…
Il est là, je le sens grandir, m’emplir, m’irradier un peu plus à chaque coup !! Et Vous le ferez exploser
Ce que je ne sais pas à ce moment-là, c’est qu’il ne s’agit que du premier acte…
Je ne venais de vivre qu’une petite tornade… Et c’est un ouragan que Vous Voulez pour moi !!
Dès que Vous me mettez nu ce samedi, je sens au fond de moi que quelque chose va se produire…
La petite pièce est pleine de monde je crois. Je m’en suis pas certain parce que dès les premier instant, Vous prenez mes tétons entre vos ongles et Vous emportez ma conscience lentement, doucement, mais avec cet inflexibilité sublime qui va me permettre d’apprivoiser ma douleur, de la changer en plaisir alors que Vous êtes allez si loin que Vos doigts se maculent de sang…. Mais moi, je me suis déjà noyé dans Votre regard qui ne m’a pas quitté, mes râles emplissent la pièce et font chavirer mes sens…
Il m’est difficile de me souvenir de tout ce qui suivi. Ce que je sais avec certitude, c’est que Vous m’avez guidez, tenu la main, accompagnez pas à pas vers un orgasme cataclysmique.
Alternant avec maestria les martinets, la force ou la douceur des coups. Me laissant apprivoiser ma douleur, jouir de la maîtriser…
Et cette boule qui se forme dans mes tripes…. Une boule de plaisir en fusion qui m’emporte, lentement, que je veux à tout prix contrôler pour qu’elle n’explose pas tout de suite tant la sensation est irréelle et sublime. Mais plus je maîtrise ma douleur, plus elle se change en plaisir pure ! Et plus ce plaisir pure se repend dans mes veines, moins j’ai de prise sur la bombe qui grandi en moi…
Je ne la contrôle plus !! Elle va me terrasser !! Je vais Jouir comme jamais encore !!!
Mon souffle est celui d’un damné, mes râles semblent raisonnés du plus profond des enfers. Tout mon corps tremble de cette jouissance qui m’envahi !!
Et à l’instant précis où je vais perdre pied, où je pleure de sentir que je ne tiendrais pas un coup de plus, Votre main se pose sur ma nuque. Vous Vous agenouillez à côté de moi pour me prendre dans Vos bras…
« Chut… Je ne veux plus t’entendre… Je ne veux plus que tu bouges… »
J’entends Vos mots mais dans mon esprit, ils riment avec « impossible »…
Alors Vous posez le martinet dont Vous Vous serviez, et prenez Votre fouet… Comme la lanière se présente en une toute première caresse sur ma croupe offerte, j’ai l’absolue certitude que le premier coup m’emportera…
Dernière mes yeux clos, je vois Votre bras qui s’élève, Le cuir fendre l’air et s’abattre….
Et je ne bouge pas….
Et je n’émets aucun son…
Ce n’est plus ma volonté seul qui lutte pour contenir l’orgasme qui me ravage les entrailles, c’est l’union de nos deux volontés… Et c’est alors un autre univers que Vous m’offrez…
Chaque fois que la lanière me touche, la boule de plaisir grandi mais reste sous notre contrôle. Les coups sont durs, mais lent. Laissant entre chaque le temps à mon corps d’accepté l’incroyable puissance du plaisir à venir…
Ma souffrance n’est rien à côté de ce qui s’empare de moi, à côté de ce sentiment d’éternité qui naît de la force de mon contrôle…
Et puis, avec un immense sourire dans la voix, Vous criez enfin :
« Lâche toi mon Empire, Lâche tout !! »
Alors les coups s’accélère, alors je me laisse emporter complètement !
Les claquements du cuir sur mon corps n’ont pour échos que mes :
« Encore ! Encore ! ENCORE MAÏTRESSE !!!! Plus fort, plus fort, plus fort !! PLUS FORT !!! »
Et comme le rythme devient infernal, les claquements et mes cris raisonnent dans toute la maison. Cécilia me dira qu’elle a joui alors qu’elle jouait avec son Maître de nous entendre ! Marie qu’ils ont subitement cessé leurs jeux !!!
Comme la douleur me terrasse littéralement, tout reviens et explose en moi : Mes larmes devant Vous me remettant mon collier et Votre regard de fierté, le goût de mon sperme sur Vos pieds lécher avec frénésie et Vos soupir de vices qui accompagne mes coups de langue, Mon cul que je prends sur Votre god de verre et vos encouragement, ma jouissance en m’empalant sur votre god ceinture et Votre sublime plaisir de me posséder , le sang de mes tétons que je lèche sur Vos doigts et Vos yeux qui brillent de bonheur de m’avoir amener si loin dans ce plaisir, et là, maintenant, l’ouragan de coup de fouet qui me ravage et Vos râles de jouissance de me voir jouir bientôt.... MAINTENANT !!!!
Je m’effondre littéralement sur le sol, Tout mon corps est pris de terrible tremblement que je ne contrôle absolument pas. L’orgasme est infini ! Il m’emporte durant de longue minutes (réellement, j’ai joui en continu plusieurs minutes durant !!) alors que Vous m’avez recueilli, à genoux, à l’abri de Vos bras… Que Vous me couvrez de baisers…
Alors oui, j’ai joui de douleur…. Mais jamais la douleur seule ne m’a fait jouir…..
Parce que la douleur sans Vous… Ce n’est rien que de la souffrance…
Alors qu’avec Vous, grâce à Votre art, HIROSHIMA comparé à mon plaisir, c’est un vulgaire pétard mouillé !!
Empire porte aujourd’hui Votre collier… Le second chapitre de notre histoire commence … ;
PS : Dites lui que je suis sûr que nous, on la ferait exploser sans même la toucher sa boite aux lettres en fer forgé !! !!! Et avec Elle toutes celles du quartier !!
Je me souviens vaguement d’avoir erré ben longtemps dans une vie beaucoup trop étroite. Mais comment se figurer de vastes horizons quand on marche la tête basse et le cœur plein de crainte. Je me souviens même avoir cru aimer…
J’ai encore le souvenir du goût fade et âcre de ma vie sans Vous. De cette vie où la pensée d’une fin n’avait finalement pas tant d’importance. Je me souviens de ces instants où sans drame j’ai envisagé d’arrêter là cette vaine mascarade, de mettre fin à cette mauvaise pièce de théâtre où tout n’est que décors de carton-pâte et masque de comédia del arte… Où les acteurs se donne tant de mal mais où tout sonne faut… Ne devant ma survie qu’à mon manque de courage…
En redescendant samedi soir de cette petite pièce où Vous veniez à nouveau de me donner la vie, Je me suis assis à côté de Cécilia, les yeux encore humides et la face rieuse. Sans avoir besoin de dire un seul mot, nos sourires respectifs ont illuminés nos visages. Elle sait, je n’ai nul besoin de lui expliquer. Et Elle sait que je sais…
« Je Vous ai regardez avec Lady… Ce n’est plus du SM… C’est de l’art ! »
Les mots viennent de Maîtresse line assise en face de moi….
De l’art…
Oui… De l’art, de l’amour et de la passion…
Chaque fois que nos âmes s’offres l’une à l’autre, je me dis que c’est un jour à marquer d’une pierre blanche, que de telles sommets ne se reproduiront pas. J’ai pleinement conscience que ceux qui me liront penseront que j’en rajoute pour donner plus de lyrisme à mon écrit. Et pourtant, je ne rajoute absolument rien… Chaque fois que nous nous voyons, ce sont de nouveaux sommets qui se découvrent devant nous… Chaque fois, je jurerais qu’il est impossible de vivre quelque chose de plus fort… Et chaque fois, je me trompe…
Trouvez les mots… Aborder la douleur…
« Je joui sous les coups… »
Comme c’est cours ! Comme c’est fade !!!
« Ce n’est plus du SM, c’est de l’art… »
Oui… L’orgasme qui m’a foudroyé comme jamais ce samedi est né la veille, Quand Vous m’avez fait mettre à genoux dans le sexy center pour m’offrir mon premier collier… Pour les gens de passage, je ne devais être qu’un « excentrique » qui s’amuse… Mais un excentrique ne fondrait pas en larme, il ne saurait pas le chemin parcouru, il n’aurait aucune idée de l’immense privilège que représente ce symbole de l’union de nos âmes, et il ne s’abandonnerait pas dans une ferveur naïve et si pleine de reconnaissance à baiser Vos bottes… Et en relevant le regard, il ne croiserait pas le Votre brillant de fierté de me posséder si complètement…
Et puis l’orage vient… Dès que nous rentrons… Le ciel se couvre de la tension qui nous habite. Vous me repasser mon collier et tout mon être grandi en un instant. Je le sens. En moi. Une force que je ne savais pas. Vos lanières me caressent. J’en connais pourtant les moindres sons… Mais tout est différent aujourd’hui. Je porte Votre collier… Empire est plus puissant que jamais… Mon corps absorbe la douleur que Vous savez si bien faire naitre. Il la prend, l’accumule, se sert d’elle pour faire raisonner la moindre fibre de mon être. Et quand Vous prenez Votre fouet, je sais dès les premiers claquements qu’un orgasme gigantesque va m’emportez…
Il est là, je le sens grandir, m’emplir, m’irradier un peu plus à chaque coup !! Et Vous le ferez exploser
Ce que je ne sais pas à ce moment-là, c’est qu’il ne s’agit que du premier acte…
Je ne venais de vivre qu’une petite tornade… Et c’est un ouragan que Vous Voulez pour moi !!
Dès que Vous me mettez nu ce samedi, je sens au fond de moi que quelque chose va se produire…
La petite pièce est pleine de monde je crois. Je m’en suis pas certain parce que dès les premier instant, Vous prenez mes tétons entre vos ongles et Vous emportez ma conscience lentement, doucement, mais avec cet inflexibilité sublime qui va me permettre d’apprivoiser ma douleur, de la changer en plaisir alors que Vous êtes allez si loin que Vos doigts se maculent de sang…. Mais moi, je me suis déjà noyé dans Votre regard qui ne m’a pas quitté, mes râles emplissent la pièce et font chavirer mes sens…
Il m’est difficile de me souvenir de tout ce qui suivi. Ce que je sais avec certitude, c’est que Vous m’avez guidez, tenu la main, accompagnez pas à pas vers un orgasme cataclysmique.
Alternant avec maestria les martinets, la force ou la douceur des coups. Me laissant apprivoiser ma douleur, jouir de la maîtriser…
Et cette boule qui se forme dans mes tripes…. Une boule de plaisir en fusion qui m’emporte, lentement, que je veux à tout prix contrôler pour qu’elle n’explose pas tout de suite tant la sensation est irréelle et sublime. Mais plus je maîtrise ma douleur, plus elle se change en plaisir pure ! Et plus ce plaisir pure se repend dans mes veines, moins j’ai de prise sur la bombe qui grandi en moi…
Je ne la contrôle plus !! Elle va me terrasser !! Je vais Jouir comme jamais encore !!!
Mon souffle est celui d’un damné, mes râles semblent raisonnés du plus profond des enfers. Tout mon corps tremble de cette jouissance qui m’envahi !!
Et à l’instant précis où je vais perdre pied, où je pleure de sentir que je ne tiendrais pas un coup de plus, Votre main se pose sur ma nuque. Vous Vous agenouillez à côté de moi pour me prendre dans Vos bras…
« Chut… Je ne veux plus t’entendre… Je ne veux plus que tu bouges… »
J’entends Vos mots mais dans mon esprit, ils riment avec « impossible »…
Alors Vous posez le martinet dont Vous Vous serviez, et prenez Votre fouet… Comme la lanière se présente en une toute première caresse sur ma croupe offerte, j’ai l’absolue certitude que le premier coup m’emportera…
Dernière mes yeux clos, je vois Votre bras qui s’élève, Le cuir fendre l’air et s’abattre….
Et je ne bouge pas….
Et je n’émets aucun son…
Ce n’est plus ma volonté seul qui lutte pour contenir l’orgasme qui me ravage les entrailles, c’est l’union de nos deux volontés… Et c’est alors un autre univers que Vous m’offrez…
Chaque fois que la lanière me touche, la boule de plaisir grandi mais reste sous notre contrôle. Les coups sont durs, mais lent. Laissant entre chaque le temps à mon corps d’accepté l’incroyable puissance du plaisir à venir…
Ma souffrance n’est rien à côté de ce qui s’empare de moi, à côté de ce sentiment d’éternité qui naît de la force de mon contrôle…
Et puis, avec un immense sourire dans la voix, Vous criez enfin :
« Lâche toi mon Empire, Lâche tout !! »
Alors les coups s’accélère, alors je me laisse emporter complètement !
Les claquements du cuir sur mon corps n’ont pour échos que mes :
« Encore ! Encore ! ENCORE MAÏTRESSE !!!! Plus fort, plus fort, plus fort !! PLUS FORT !!! »
Et comme le rythme devient infernal, les claquements et mes cris raisonnent dans toute la maison. Cécilia me dira qu’elle a joui alors qu’elle jouait avec son Maître de nous entendre ! Marie qu’ils ont subitement cessé leurs jeux !!!
Comme la douleur me terrasse littéralement, tout reviens et explose en moi : Mes larmes devant Vous me remettant mon collier et Votre regard de fierté, le goût de mon sperme sur Vos pieds lécher avec frénésie et Vos soupir de vices qui accompagne mes coups de langue, Mon cul que je prends sur Votre god de verre et vos encouragement, ma jouissance en m’empalant sur votre god ceinture et Votre sublime plaisir de me posséder , le sang de mes tétons que je lèche sur Vos doigts et Vos yeux qui brillent de bonheur de m’avoir amener si loin dans ce plaisir, et là, maintenant, l’ouragan de coup de fouet qui me ravage et Vos râles de jouissance de me voir jouir bientôt.... MAINTENANT !!!!
Je m’effondre littéralement sur le sol, Tout mon corps est pris de terrible tremblement que je ne contrôle absolument pas. L’orgasme est infini ! Il m’emporte durant de longue minutes (réellement, j’ai joui en continu plusieurs minutes durant !!) alors que Vous m’avez recueilli, à genoux, à l’abri de Vos bras… Que Vous me couvrez de baisers…
Alors oui, j’ai joui de douleur…. Mais jamais la douleur seule ne m’a fait jouir…..
Parce que la douleur sans Vous… Ce n’est rien que de la souffrance…
Alors qu’avec Vous, grâce à Votre art, HIROSHIMA comparé à mon plaisir, c’est un vulgaire pétard mouillé !!
Empire porte aujourd’hui Votre collier… Le second chapitre de notre histoire commence … ;
PS : Dites lui que je suis sûr que nous, on la ferait exploser sans même la toucher sa boite aux lettres en fer forgé !! !!! Et avec Elle toutes celles du quartier !!
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3 personnes aiment ça.
Lady Liliam
Wahouuuu le vivre c'est fabuleux mais le lire après coup c'est fantastique....Merci mon Empire pour ces mots qui me font toujours frissonner...
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10/03/14
Empire
Merci à Vous ma Maîtresse... Chacun de Vos frissons a pour moi une immense valeur. Autant de trésors dont je suis riche et qui me construisent. <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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10/03/14