Ma chère et jeune épouse était très pudique quand il s'agissait de parler de ses désirs sexuels, de ses envies 'secrètes' qu'elle jugeait peu avouables. Il a fallu plusieurs années de mariage, de jeux de fessées pour qu'elle me révèle enfin un de ses fantasmes. Jusqu'alors elle avait prétendu ne pas en avoir: la menteuse ! J’avais été d’abord étonné par la rapidité avec laquelle toute jeunette, elle avait adhéré à nos jeux d'éducation conjugale, elle qui n'avait rien au quotidien d'une femme soumise; surpris par l’excitation sexuelle qui était la sienne quand je lui proposais "une séance fessées", de nouveaux jeux.... . Elle était toujours curieuse de découvrir de nouvelles situations, de nouveaux instruments…. Mais bêtement je ne m'étais jamais vraiment demandé d'où venait son goût pour la fessée, le martinet...etc.. Je pensais que c'était dû à mon talent ! Sourire ! C’est seulement après plusieurs années de mariage alors que nous venions de faire l'amour après avoir visionné une Cassette video d'un western érotique dans lequel une femme était enlevée et fouettée, que sur l'oreiller elle me confia pour la première fois son fantasme d'adolescente. Avant de nous endormir je lui avais parlé du film que nous venions de voir, de scènes de fessées ou de flagellation au cinéma qui m'avaient personnellement marqué ... Divine surprise, elle m'avait dit qu'elle aussi avait été très marquée pré-ado par un film pourtant grand public: « Angélique et le sultan ». J'avais dû insister lourdement pour qu'elle me confesse ce qui l'avait tant 'marquée'. Du bout des lèvres, elle m'avait raconté son fantasme d’adolescente : être enlevée, envoyée dans un harem comme l’héroïne dans le film, être violentée, sauvée par un beau prince... Je connaissais le film et j'avais enfoncé le clou en lui demandant si dans ses rêves éveillés elle s'imaginait fouettée en public comme Angélique... Bingo, en riant un peu elle m'avait avoué que 'OUI' ! Mais c'était uniquement dans des rêves d'ado, avait elle précisé. Evidemment je lui avais demandé si elle en rêvait encore, si c'était toujours un de ses fantasmes. . Petite voix timide pour confesser enfin que oui et que même, elle y pensait... souvent. Les confessions sur l'oreiller sont à encourager !Re-Bingo. Vous imaginez la suite. Quelques jours plus tard, profitant d'un week end sans enfant, je lui avais annoncé que pour m'avoir caché son fantasme et menti en prétendant qu'elle n'en avait pas, elle avait mérité une sévère punition: qu'elle serait comme Angélique, fouettée de la même manière et que je m'occuperais également de ses seins. Pas la moindre opposition de sa part bien au contraire.Le moment venu, elle m'avait rejoint dans notre "salle de jeu", vêtue d'une longue robe, très vaguement comme celle que portait Angélique... Un très grand souvenir !
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