Les fruits de nos combats…
C’est sous une pluie d’étoiles qui percent une voute d’encre que je me suis agenouillé devant Vous ce dimanche-là.
Nous n’étions pas indemnes car la veille déjà nous avions lutté à mort contre nos envies profondes, nous contentant d’en caresser la surface pour rendre notre monde accessible aux dizaines de curieux non-averti venu découvrir les liens qui unissent une Maîtresse et son soumis…
Ce tout petit coin de voile que Vous avez levé devant eux les a bouleversés… Ils n’étaient pas prêts à voir l’entière vérité nue… Et de toute façon, cette vérité n’appartient qu’au secret de nos cœurs et de nos corps…
Mais nos regards ont fait naître des ouragans, nos corps ont invoqué de puissante tornades…
Et ce dimanche-là… Il fallait que tout explose…
Nous brûlions tout deux d’un feu bien trop impérieux, d’un besoin moi de m’offrir et Vous de me prendre qui ne pouvait souffrir de limite.
Et de limite il n’y en eu pas. J’aurais pleuré de désespoir qu’il s’en instaure une. Vous me vouliez entièrement, je voulais tout Vous offrir… Et l’explosion inouïe de notre plaisir d’être ainsi dans la nudité absolue de nos âmes fut un nouvel instant de magie se gravant dans nos cœurs…
Ma merveilleuse Maîtresse, nous combattons avec des balles réelles… Aussi réel que l’engagement qui nous lie. Les batailles que nous livrons pour nous élever l’un vers l’autre dans la fusion de nos émotions laisse des marques… Certaines parfois plus que d’autres…
Ce dimanche-là, une fois encore, nous avons pu lire dans nos yeux que nous n’existons pas l’un pour l’autre que dans les tourbillons de nos jeux…
Vous avez été là dans le drame. Protectrice, attentionnée à chaque instant. Vous m’avez accompagnez, soutenu, consolé, réconforté. Vous m’avez fait le sublime cadeau de vos larmes et de votre inquiétude….
Ma sublime Déesse, Vous acceptez tout de moi : Le meilleur comme le pire, les rires aux éclats comme les immenses détresses et les profondes souffrances.
Je crois que jamais je ne pourrais Vous remercier assez de prendre autant soin de moi, d’être aussi présente à chaque instant pour moi….
Ce dimanche-là, Nous avons tous les deux plongés dans la nuit sublime de nos envies, illuminées par le scintillement de nos émotions… Nous sentant les êtres les plus vivant que cette terre ai jamais portée…
C’est sous une pluie d’étoiles qui percent une voute d’encre que je me suis agenouillé devant Vous ce dimanche-là.
Nous n’étions pas indemnes car la veille déjà nous avions lutté à mort contre nos envies profondes, nous contentant d’en caresser la surface pour rendre notre monde accessible aux dizaines de curieux non-averti venu découvrir les liens qui unissent une Maîtresse et son soumis…
Ce tout petit coin de voile que Vous avez levé devant eux les a bouleversés… Ils n’étaient pas prêts à voir l’entière vérité nue… Et de toute façon, cette vérité n’appartient qu’au secret de nos cœurs et de nos corps…
Mais nos regards ont fait naître des ouragans, nos corps ont invoqué de puissante tornades…
Et ce dimanche-là… Il fallait que tout explose…
Nous brûlions tout deux d’un feu bien trop impérieux, d’un besoin moi de m’offrir et Vous de me prendre qui ne pouvait souffrir de limite.
Et de limite il n’y en eu pas. J’aurais pleuré de désespoir qu’il s’en instaure une. Vous me vouliez entièrement, je voulais tout Vous offrir… Et l’explosion inouïe de notre plaisir d’être ainsi dans la nudité absolue de nos âmes fut un nouvel instant de magie se gravant dans nos cœurs…
Ma merveilleuse Maîtresse, nous combattons avec des balles réelles… Aussi réel que l’engagement qui nous lie. Les batailles que nous livrons pour nous élever l’un vers l’autre dans la fusion de nos émotions laisse des marques… Certaines parfois plus que d’autres…
Ce dimanche-là, une fois encore, nous avons pu lire dans nos yeux que nous n’existons pas l’un pour l’autre que dans les tourbillons de nos jeux…
Vous avez été là dans le drame. Protectrice, attentionnée à chaque instant. Vous m’avez accompagnez, soutenu, consolé, réconforté. Vous m’avez fait le sublime cadeau de vos larmes et de votre inquiétude….
Ma sublime Déesse, Vous acceptez tout de moi : Le meilleur comme le pire, les rires aux éclats comme les immenses détresses et les profondes souffrances.
Je crois que jamais je ne pourrais Vous remercier assez de prendre autant soin de moi, d’être aussi présente à chaque instant pour moi….
Ce dimanche-là, Nous avons tous les deux plongés dans la nuit sublime de nos envies, illuminées par le scintillement de nos émotions… Nous sentant les êtres les plus vivant que cette terre ai jamais portée…
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Lady Liliam
Vivement que nous nous retrouvions que je puisse te dire droit dans les yeux tout ce que je ressens à cet instant même....
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28/02/14
Empire
Vivement que nous nous retrouvions que je puisse retrouver Votre regard qui me manque tant...
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28/02/14