Je viens de finir d’écrire… Et je repense en souriant à ceux qui m’ont ici interpelé gentiment en me demandant si ce que j’écrivais était vrai… Sourire…
Au passagers de ce mur qui se posent cette question, je n’ai qu’une seule réponse : Je vous souhaite que cela soit une réalité pour Vous…
« Dans les méandres de ma Déesse…
Le calme est revenu et je me suis blotti. C’est lové à Vos pieds que j’apaise mes sens et Vos mains posées sur ma peau recueillent mes émoies qui viennent encore de s’écoulés. Tout emplie des vices qui nous ont fait jouir le corps et l’âme…
Lentement, Vous rallumer la vie et le monde revient à lui. Nos souffles et nos soupirs redeviennent des mots, puis des rires. Nous naissons à nouveau, plus riche de nos liens encore, pause indispensable de réalité… Nécessité de reprendre notre souffle et de nourrir cette autre partie de nous, pleine de soleil qui fait de notre part sombre un si fabuleux refuge.
« Un café Maîtresse ? »
Je Vous sers et la parenthèse se prolonge. Lady Liliam et Empire se sont assoupi et nous en profitons pour laisser libre cette autre part de nous-même…
Mais quand deux fauves sont dans la même pièce, les rugissements ne sont jamais loin.
Un éclair soudain balaye Votre regard. Pas un mot. Un simple éclat aveuglant et sur Votre ordre l’espace se transforme… Un labyrinthe apparait. Un dédale de pièces sombres baignées de lueur rouge, peuplé d’ombres humaines nues et silencieuses qui semble y être perdu depuis des éternités.
L’endroit m’est inconnu, les visages que je croise tout autant. Nu, je Vous suis sans aucune peur. Qu’aurais-je à craindre puisque ma Déesse veille sur moi ?
Quand Vous me déposé sur cette couche de cuir, je ne lâche pas Votre regard. Des ombres s’approchent, puis s’éloignent, puis d’autres s’approchent encore. Les sexes tendus qu’ils exposent et caressent… Mais Vous êtes là, et quand Vous relevez mes cuisses et posez Vos liens m’exposant ainsi nu et offert si prêt de leurs désirs qui se tendent dans leurs mains fébriles, je ressens mon immense puissance :
Regardez ! Remplissez vos yeux ! Vous pouvez agiter vos membres dans l’ombre des recoins, vous êtes à mille lieux de nous ! Vous crèverez de désirs sans obtenir ne serait-ce qu’un regard de ma Déesse !
Ahh qu’elle sensation d’éternité ! Touchez d’aussi près mon fabuleux privilège !
Alors Je veux que tous voient combien je Vous appartiens, et combien à l’abri de Votre pouvoir je ne crains rien, ni personne, et surtout, je veux que tous voit combien mon don est total.
Prisonnier de mes chaines qui me maintiennent ouvert, je m’offre plus encore ! Rien ne me ferait refermer les cuisses : Quand vos lanières éclatent entre mes fesses, je tends mon cul vers Vous, quand elles prennent l’intérieur de mes cuisses, je rugi dans mes chaines pour les écarter plus encore.
Les chaines et les liens ne sont là que pour notre plaisir : Ce n’est pas cette contrainte-là qui expose outrageusement mes couilles et mon trou, c’est le lien mille fois plus puissant que Vous avez encré dans mon âme…
D’autres Ombres, d’autres sexes…
Mais aucun n’ose approcher… J’en viendrais presque à espérer un fou téméraire pour le simple plaisir de le voir se faire dévorer… Mais je ne tarde pas malgré eux a sombrer avec Vous dans les méandres de Vos envies… alors tous disparaissent, je me plante dans la lave qui bouillonne au fond de vos yeux et je pars avec Vous.
Mes doigts s’agrippent aux chaines, mon corps tout entier se tend vers Vous. Chaque douleur en appel une autre et je me change littéralement en bête à jouir !
Je râle, je hurle, je tremble. Tous mes muscles se tendent dans mes liens. Je n’ai aucune pudeur, aucune honte et je ne vois que Votre désir rouler dans Votre regard. Je bois vos coups comme un miraculé boirait au sortir d’un désert aride et brulant.
Alors, quand Vous Vous plantez en moi, quand vos doigts commencent à jouer avec mon orifice, je laisse mourir la dernière bribe d’humain qui survivait encore et je rue dans mes chaines pour m’empaler plus profondément !
La jouissance gronde, Nos corps qui tremblent et soudain s’ouvrent en deux pour laisser exploser un volcan de plaisir qui nous terrasse…
A nouveau Vous me recueillez, a nouveau je me love, a nouveau Lady et Empire s’assoupissent….
Le labyrinthe s’efface, la lumière du jour à disparu… La nuit est encore calme… Mais nos corps ont encore faim l’un de l’autre… Nous ne savons nous endormir qu’épuisé, à bout de jouissance…
Un nouveau jour se lève sur les braises rougeoyantes de nos pulsions fébriles..
« Un café Maîtresse ? »
Et les images de la veillent reviennent à la lumière du jour. Sourire, éclat de rire, complicité folle de moments hors du temps, hors de la compréhension des « ombres » que nous avons croisés. Et puis, un retour dans la pure réalité. Il nous faut préparer la « magie » de ce soir !
Tâches matérielles, emprise avec le réel… Mais cela ne dure pas ! Sourire
Le vice exige sont du ! Et Nous n’avons nulle intention de lui mettre bride au cou !
Moments privilégiés, intimes et surpuissant ! Dépassement de nous-même, extase et jouissance… Le temps lui-même n’y comprend plus rien ! Il est 15h et la seconde d’après 20h !
Vos invités arrivent. Tous rayonnant de cette même passion qui est la nôtre. Ce soir, il n’y a pas de « spectres » ! Juste des Maîtres et des Maîtresses tous aussi magnifiques les uns que les autres et des soumises et soumis rayonnant et sublimes de vérité et de puissance !
Tout ce monde échange à bâton rompu. Les coupes de champagnes se vident et se remplissent, les regards et les sourires se font de plus en plus complices, de moins en moins innocents… Et puis, Il commence et sa soumise glisse lentement dans ses pas. Et puis Elle enchaine et son soumis s’offre et puis …. Et puis… Et puis je découvre avec bonheur une « sœur de sang » !! Sublime soumise qui vibre comme moi sous la caresse brulante des pics d’acier d’un paddle que je croyais être le seul à adoré !!
Alors que, complice, je souri avec Elle à la vue des perles de sang qui naissent sur son corps, Vous posez Vos mains sur moi… Et nos sens nous emporterons à nouveau… tant que ma peau nous permettra de jouir ! Jusqu’à ce que Votre Single ai raison de mon corps… alors, Vous m’arrêterez prendrez dans Vos bras mon corps à bout de force…
Voilà… La pièce se videra… Tous repartiront et comme nous avons hâte de les retrouver...
Le soleil de dimanche se lève… Mais le Dimanche, toujours, n’est que pour nous… Ce qui s’y produit défi la raison… Et de toute façon, cela n’appartient qu’à nous…
A tous ceux qui parfois me demandent gentiment si ce que j’écris est vrai : Je n’ai qu’une seule réponse…………………………………………………………………………………………………..
Au passagers de ce mur qui se posent cette question, je n’ai qu’une seule réponse : Je vous souhaite que cela soit une réalité pour Vous…
« Dans les méandres de ma Déesse…
Le calme est revenu et je me suis blotti. C’est lové à Vos pieds que j’apaise mes sens et Vos mains posées sur ma peau recueillent mes émoies qui viennent encore de s’écoulés. Tout emplie des vices qui nous ont fait jouir le corps et l’âme…
Lentement, Vous rallumer la vie et le monde revient à lui. Nos souffles et nos soupirs redeviennent des mots, puis des rires. Nous naissons à nouveau, plus riche de nos liens encore, pause indispensable de réalité… Nécessité de reprendre notre souffle et de nourrir cette autre partie de nous, pleine de soleil qui fait de notre part sombre un si fabuleux refuge.
« Un café Maîtresse ? »
Je Vous sers et la parenthèse se prolonge. Lady Liliam et Empire se sont assoupi et nous en profitons pour laisser libre cette autre part de nous-même…
Mais quand deux fauves sont dans la même pièce, les rugissements ne sont jamais loin.
Un éclair soudain balaye Votre regard. Pas un mot. Un simple éclat aveuglant et sur Votre ordre l’espace se transforme… Un labyrinthe apparait. Un dédale de pièces sombres baignées de lueur rouge, peuplé d’ombres humaines nues et silencieuses qui semble y être perdu depuis des éternités.
L’endroit m’est inconnu, les visages que je croise tout autant. Nu, je Vous suis sans aucune peur. Qu’aurais-je à craindre puisque ma Déesse veille sur moi ?
Quand Vous me déposé sur cette couche de cuir, je ne lâche pas Votre regard. Des ombres s’approchent, puis s’éloignent, puis d’autres s’approchent encore. Les sexes tendus qu’ils exposent et caressent… Mais Vous êtes là, et quand Vous relevez mes cuisses et posez Vos liens m’exposant ainsi nu et offert si prêt de leurs désirs qui se tendent dans leurs mains fébriles, je ressens mon immense puissance :
Regardez ! Remplissez vos yeux ! Vous pouvez agiter vos membres dans l’ombre des recoins, vous êtes à mille lieux de nous ! Vous crèverez de désirs sans obtenir ne serait-ce qu’un regard de ma Déesse !
Ahh qu’elle sensation d’éternité ! Touchez d’aussi près mon fabuleux privilège !
Alors Je veux que tous voient combien je Vous appartiens, et combien à l’abri de Votre pouvoir je ne crains rien, ni personne, et surtout, je veux que tous voit combien mon don est total.
Prisonnier de mes chaines qui me maintiennent ouvert, je m’offre plus encore ! Rien ne me ferait refermer les cuisses : Quand vos lanières éclatent entre mes fesses, je tends mon cul vers Vous, quand elles prennent l’intérieur de mes cuisses, je rugi dans mes chaines pour les écarter plus encore.
Les chaines et les liens ne sont là que pour notre plaisir : Ce n’est pas cette contrainte-là qui expose outrageusement mes couilles et mon trou, c’est le lien mille fois plus puissant que Vous avez encré dans mon âme…
D’autres Ombres, d’autres sexes…
Mais aucun n’ose approcher… J’en viendrais presque à espérer un fou téméraire pour le simple plaisir de le voir se faire dévorer… Mais je ne tarde pas malgré eux a sombrer avec Vous dans les méandres de Vos envies… alors tous disparaissent, je me plante dans la lave qui bouillonne au fond de vos yeux et je pars avec Vous.
Mes doigts s’agrippent aux chaines, mon corps tout entier se tend vers Vous. Chaque douleur en appel une autre et je me change littéralement en bête à jouir !
Je râle, je hurle, je tremble. Tous mes muscles se tendent dans mes liens. Je n’ai aucune pudeur, aucune honte et je ne vois que Votre désir rouler dans Votre regard. Je bois vos coups comme un miraculé boirait au sortir d’un désert aride et brulant.
Alors, quand Vous Vous plantez en moi, quand vos doigts commencent à jouer avec mon orifice, je laisse mourir la dernière bribe d’humain qui survivait encore et je rue dans mes chaines pour m’empaler plus profondément !
La jouissance gronde, Nos corps qui tremblent et soudain s’ouvrent en deux pour laisser exploser un volcan de plaisir qui nous terrasse…
A nouveau Vous me recueillez, a nouveau je me love, a nouveau Lady et Empire s’assoupissent….
Le labyrinthe s’efface, la lumière du jour à disparu… La nuit est encore calme… Mais nos corps ont encore faim l’un de l’autre… Nous ne savons nous endormir qu’épuisé, à bout de jouissance…
Un nouveau jour se lève sur les braises rougeoyantes de nos pulsions fébriles..
« Un café Maîtresse ? »
Et les images de la veillent reviennent à la lumière du jour. Sourire, éclat de rire, complicité folle de moments hors du temps, hors de la compréhension des « ombres » que nous avons croisés. Et puis, un retour dans la pure réalité. Il nous faut préparer la « magie » de ce soir !
Tâches matérielles, emprise avec le réel… Mais cela ne dure pas ! Sourire
Le vice exige sont du ! Et Nous n’avons nulle intention de lui mettre bride au cou !
Moments privilégiés, intimes et surpuissant ! Dépassement de nous-même, extase et jouissance… Le temps lui-même n’y comprend plus rien ! Il est 15h et la seconde d’après 20h !
Vos invités arrivent. Tous rayonnant de cette même passion qui est la nôtre. Ce soir, il n’y a pas de « spectres » ! Juste des Maîtres et des Maîtresses tous aussi magnifiques les uns que les autres et des soumises et soumis rayonnant et sublimes de vérité et de puissance !
Tout ce monde échange à bâton rompu. Les coupes de champagnes se vident et se remplissent, les regards et les sourires se font de plus en plus complices, de moins en moins innocents… Et puis, Il commence et sa soumise glisse lentement dans ses pas. Et puis Elle enchaine et son soumis s’offre et puis …. Et puis… Et puis je découvre avec bonheur une « sœur de sang » !! Sublime soumise qui vibre comme moi sous la caresse brulante des pics d’acier d’un paddle que je croyais être le seul à adoré !!
Alors que, complice, je souri avec Elle à la vue des perles de sang qui naissent sur son corps, Vous posez Vos mains sur moi… Et nos sens nous emporterons à nouveau… tant que ma peau nous permettra de jouir ! Jusqu’à ce que Votre Single ai raison de mon corps… alors, Vous m’arrêterez prendrez dans Vos bras mon corps à bout de force…
Voilà… La pièce se videra… Tous repartiront et comme nous avons hâte de les retrouver...
Le soleil de dimanche se lève… Mais le Dimanche, toujours, n’est que pour nous… Ce qui s’y produit défi la raison… Et de toute façon, cela n’appartient qu’à nous…
A tous ceux qui parfois me demandent gentiment si ce que j’écris est vrai : Je n’ai qu’une seule réponse…………………………………………………………………………………………………..
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Empire
Merci Laika! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" /><br />Et tu as raison éléonore: Presque une nuit blanche! Habituellement, posé mes émotions en mots m'aide à trouver le sommeil, mais là, je n'avais pas assez de mots pour bien trop d'émotions!!
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1
10/02/14
Lady Liliam
sourires.... merci mon Empire, il est vrai que parfois les mots ne sont pas assez forts pour décrire ce que nous partageons mais l'essentiel c 'est que nous, nous sachions. Mais tu arrives très bien à partager ce que nous vivons et pour ceux qui auraient un doute, il n 'affabule jamais mon Empire quand il vous raconte ce qu'il ressent et ce que nous avons vécu <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/happy.png" alt="Happy" title="Happy" title="v_middle" /> Et encore, il ne dit pas tout.... gros sourire mais le reste c 'est à nous....
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2
10/02/14
Empire
Oh que oui ma Merveilleuse Maîtresse!!! Le reste ne se partage pas!! il faut savoir être égoïste!! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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1
10/02/14