23h… Je marche sur un chemin de terre…
J’ai laissé ma voiture sur le bord de la route et je suis les messages de ma Déesse.
« Suis le chemin et préviens moi quand tu arrives à la croix »
La lune est claire. Le silence palpable. Mon cœur raisonne dans mon crane. Je suis fébrile, c’est la première fois qu’Elle me guide ainsi à distance. Son absence m’effraye. Seul, je me sens vulnérable. La force de ma soumission réside dans mon attachement à Elle… j’ai le ventre nouer…
Elle est face à moi, à quelques mètres… Une très vielle croix de pierre polie par les siècles.
Une fois arrivée, j’envoie mon message.
« J’y suis Maîtresse ».
Le silence à nouveau. Un vent lègé s’est levé. Mais il ne fait étrangement pas froid du tout en ce mois de décembre. Quelques instants passent et la lueur de mon I phone éclaire la nuit :
« Déshabille toi complètement et laisse tes vêtements sur la croix. Continu ensuite le chemin et pousse la grande porte de bois. Une fois à l’intérieur, avance jusqu’au drap rouge et prosterne toi »
Le silence et l’obscurité qui m’inquiétaient un peu se change en alliés. Je me déshabille sans crainte d’être découvert. Mes pieds nus avance sur le chemin. Les herbes sont douces, les pierres blessantes. Sensation étrange à chaque pas. C’est la première fois que je marche nu dans la nature.
Soudain, face à moi, une grande bâtisse apparait.
Et sa forme ne laisse aucun doute : C’est une chapelle.
Je pousse la porte qui s’ouvre sans aucun bruit. Deux rangés de bancs de part et d’autre et au bout, au pied de l’autel, le tapis rouge éclairé par un unique cierge posé à même le sol.
Il n’est pas temps d’admirer les vitraux que traversent les rayons de lune. Je me place sur le tapis, face à l’autel et je me mets en position. Les cuisses écartées, les fesses cambrées au maximum, le front contre le sol et les bras tendu vers l’avant…
Le silence à nouveau… Etrange sensation d’excitation. Rien n’est normal, je n’ai aucun repère. Je ne sais pas où je suis, et pourtant, j’expose avec impudeur mes fesses et mes couilles dans ce lieu…
Les minutes qui passent me semble des heures ! Une angoisse soude commence à naître au moment même où les talons tant espérés raisonnent sur les dalles.
Elle s’arrête près de moi. Je ne bouge pas. Sa main flatte mes cuisses et mes reins.
« C’est bien mon Empire… Tu es parfais… »
Mais elle n’est pas seule. D’autre pas, d’autres talons, d’autres murmures…
« Ce soir, laisse toi aller, tu es sous ma protection. Oubli tout tes interdis et laisse toi glisser complètement dans mes mains. »
Je fais « oui » de la tête…
Elle pose un bandeau sur les yeux et le monde bascule.
Des mains se posent sur moi, me redressent, me mettent debout… Les unes glissent sur mes bras tendus et se resserrent sur mes poignets. D’autres coulent le long de mes cuisses et enserrent mes chevilles.
Alors le martinet de latex claque une première fois et un écho incroyable se fracasse sur tous les murs millénaires de l’édifice. Le son s’imprègne en moi et je tends mon cul le plus possible vers ma Maitresse qui manie ce sublime instrument.
Une voix de femme à mes pieds : « Gourmand va !! »
Une voix d’homme à ma droite : « Il est toujours comme ça ! »
Alors les lanières claquent à nouveau… Et claquent en échos qui raisonnent, et bientôt, les échos rejoignent les véritables coups ! Et tout se mêle dans ma tête, et tout tourbillonne dans mon corps ! Je tire sur les mains qui me tiennent pour m’offrir plus encore. Ma queue se dresse et réclame ! je coule littéralement d’un plaisir qui monte violement, qui exige d’exploser.
Mais il n’est pas encore temps.
Les mains me remettent à quatre pattes, les doigts de ma Maîtresse passe entre mes jambes et saisissent mes couilles, jouent avec, les étirent… Et les bloques dans un humbler….
« Lâcher le ! »
Libre enfin j’ondule sur le sol. Les mouvements de mon bassin tirent sur le humbler, irradient mes couilles, ma queue et tout mon ventre.
La puissante lanière de cuir effleure mon dos.
« Maintenant… »
Le fouet claque et mort violement ma chair et presque un même temps, un flot de cire inonde mes reins, et mes fesses, coule dans ma raie pour mourir sur mes couilles emprisonnée… Et alors je lâche prise complètement. Les sensations s’enchainent dans un désordre démoniaque ! Le fouet claque à un rythme discontinu, la cire m’inonde et cesse pour voler en éclat sous l’impact du coup suivant. Je perçois des flashs qui immortalisent certainement la beauté et la force de l’instant. Les mains sont revenues sur moi. Pinces ou griffes mes seins, jouent avec ma queue. Je hurle à chaque coup de fouet, à chaque déversement de cire. Mais si c’est de douleur que je hurle, c’est « Encore ! » qui sort de ma gorge ! Trop d’émotions me submergent ! Trop de sensation que je ne maîtrise plus du tout ! je vais exploser de plaisir !
« stop ! »
La voix de ma Maîtresse arrête tout. A Elle seule, elle est la quintessence de mon unique réalité. Et tout disparait d’un seul coup !
Je suis seul, haletant, en sueur, un filet de bave aux lèvres je murmure « encore, encore, encore… Encore… »
Alors ma Maitresse se place face moi et fait glisser mon bandeau :
Elle m’apparait enfin, sublime. Nue sous son grand manteau de zibeline.
« Tu vas jouir mon Empire… Plus fort que tu n’à jamais jouit… Tu me fais confiance ? »
« Oh oui Maîtresse ! »
Je ne la quitte pas du regard.
« Écarte-toi les fesses… Et ne lâche pas mes yeux »
Tandis que j’ouvre à deux mains mon cul, je la voix qui regarde avec un sourire et un immense plaisir par-dessus ma tête…
Je sens le pilon de chaire contre moi.
« Prend toi mon Empire. Elle n’est que pour toi cette queue. Fais-toi plaisir et fais-moi plaisir ! »
Alors hors de moi-même, je m’empale en grognant. Elle est grosse, chaude, dure … Je la sens qui m’ouvre, je pousse doucement pour toute la prendre… Arhhhh, j’imprime un mouvement, je plonge mon regard dans les yeux de ma maîtresse en me baisant comme une chienne en chaleur sur cette queue qu’elle m’offre !
Mes coups de reins deviennent de plus en plus violents. L’homme commence à râler.. Je veux qu’il vienne, je veux le sentir couler en moi. Je veux me baigner dans son foutre !
Alors ma Maîtresse prend ma queue et le feu m’inonde ! A son simple contact je me repends dans sa main, sur les dalles de la chapelle tandis qu’il se plante en moi dans un ultime assaut et m’emplie de lui alors que je m’effondre…
Devant moi, Maîtresse ouvre son manteau et je plonge entre ses cuisses !
Je m’abreuve insatiablement à cette source qui inonde ma gorge. Je me remplis de ses cris, et, alors qu’elle explose à son tour, je bois le flot qu’elle m’offre … Juste avant de sombrer dans ses bras, Ivre de plaisir et de douleur, le corps et le cul en feu…
Je ne reviens à moi qu’au contact de ses lèvres qui dans un profond baiser m’appel à Elle.
Tous sont partis… Je ne saurais peut être jamais qui ils étaient… Que m’importe… Elle est là, je suis dans ses bras… Ce que je viens de vivre n’appartiens qu’à nous…..
J’ai laissé ma voiture sur le bord de la route et je suis les messages de ma Déesse.
« Suis le chemin et préviens moi quand tu arrives à la croix »
La lune est claire. Le silence palpable. Mon cœur raisonne dans mon crane. Je suis fébrile, c’est la première fois qu’Elle me guide ainsi à distance. Son absence m’effraye. Seul, je me sens vulnérable. La force de ma soumission réside dans mon attachement à Elle… j’ai le ventre nouer…
Elle est face à moi, à quelques mètres… Une très vielle croix de pierre polie par les siècles.
Une fois arrivée, j’envoie mon message.
« J’y suis Maîtresse ».
Le silence à nouveau. Un vent lègé s’est levé. Mais il ne fait étrangement pas froid du tout en ce mois de décembre. Quelques instants passent et la lueur de mon I phone éclaire la nuit :
« Déshabille toi complètement et laisse tes vêtements sur la croix. Continu ensuite le chemin et pousse la grande porte de bois. Une fois à l’intérieur, avance jusqu’au drap rouge et prosterne toi »
Le silence et l’obscurité qui m’inquiétaient un peu se change en alliés. Je me déshabille sans crainte d’être découvert. Mes pieds nus avance sur le chemin. Les herbes sont douces, les pierres blessantes. Sensation étrange à chaque pas. C’est la première fois que je marche nu dans la nature.
Soudain, face à moi, une grande bâtisse apparait.
Et sa forme ne laisse aucun doute : C’est une chapelle.
Je pousse la porte qui s’ouvre sans aucun bruit. Deux rangés de bancs de part et d’autre et au bout, au pied de l’autel, le tapis rouge éclairé par un unique cierge posé à même le sol.
Il n’est pas temps d’admirer les vitraux que traversent les rayons de lune. Je me place sur le tapis, face à l’autel et je me mets en position. Les cuisses écartées, les fesses cambrées au maximum, le front contre le sol et les bras tendu vers l’avant…
Le silence à nouveau… Etrange sensation d’excitation. Rien n’est normal, je n’ai aucun repère. Je ne sais pas où je suis, et pourtant, j’expose avec impudeur mes fesses et mes couilles dans ce lieu…
Les minutes qui passent me semble des heures ! Une angoisse soude commence à naître au moment même où les talons tant espérés raisonnent sur les dalles.
Elle s’arrête près de moi. Je ne bouge pas. Sa main flatte mes cuisses et mes reins.
« C’est bien mon Empire… Tu es parfais… »
Mais elle n’est pas seule. D’autre pas, d’autres talons, d’autres murmures…
« Ce soir, laisse toi aller, tu es sous ma protection. Oubli tout tes interdis et laisse toi glisser complètement dans mes mains. »
Je fais « oui » de la tête…
Elle pose un bandeau sur les yeux et le monde bascule.
Des mains se posent sur moi, me redressent, me mettent debout… Les unes glissent sur mes bras tendus et se resserrent sur mes poignets. D’autres coulent le long de mes cuisses et enserrent mes chevilles.
Alors le martinet de latex claque une première fois et un écho incroyable se fracasse sur tous les murs millénaires de l’édifice. Le son s’imprègne en moi et je tends mon cul le plus possible vers ma Maitresse qui manie ce sublime instrument.
Une voix de femme à mes pieds : « Gourmand va !! »
Une voix d’homme à ma droite : « Il est toujours comme ça ! »
Alors les lanières claquent à nouveau… Et claquent en échos qui raisonnent, et bientôt, les échos rejoignent les véritables coups ! Et tout se mêle dans ma tête, et tout tourbillonne dans mon corps ! Je tire sur les mains qui me tiennent pour m’offrir plus encore. Ma queue se dresse et réclame ! je coule littéralement d’un plaisir qui monte violement, qui exige d’exploser.
Mais il n’est pas encore temps.
Les mains me remettent à quatre pattes, les doigts de ma Maîtresse passe entre mes jambes et saisissent mes couilles, jouent avec, les étirent… Et les bloques dans un humbler….
« Lâcher le ! »
Libre enfin j’ondule sur le sol. Les mouvements de mon bassin tirent sur le humbler, irradient mes couilles, ma queue et tout mon ventre.
La puissante lanière de cuir effleure mon dos.
« Maintenant… »
Le fouet claque et mort violement ma chair et presque un même temps, un flot de cire inonde mes reins, et mes fesses, coule dans ma raie pour mourir sur mes couilles emprisonnée… Et alors je lâche prise complètement. Les sensations s’enchainent dans un désordre démoniaque ! Le fouet claque à un rythme discontinu, la cire m’inonde et cesse pour voler en éclat sous l’impact du coup suivant. Je perçois des flashs qui immortalisent certainement la beauté et la force de l’instant. Les mains sont revenues sur moi. Pinces ou griffes mes seins, jouent avec ma queue. Je hurle à chaque coup de fouet, à chaque déversement de cire. Mais si c’est de douleur que je hurle, c’est « Encore ! » qui sort de ma gorge ! Trop d’émotions me submergent ! Trop de sensation que je ne maîtrise plus du tout ! je vais exploser de plaisir !
« stop ! »
La voix de ma Maîtresse arrête tout. A Elle seule, elle est la quintessence de mon unique réalité. Et tout disparait d’un seul coup !
Je suis seul, haletant, en sueur, un filet de bave aux lèvres je murmure « encore, encore, encore… Encore… »
Alors ma Maitresse se place face moi et fait glisser mon bandeau :
Elle m’apparait enfin, sublime. Nue sous son grand manteau de zibeline.
« Tu vas jouir mon Empire… Plus fort que tu n’à jamais jouit… Tu me fais confiance ? »
« Oh oui Maîtresse ! »
Je ne la quitte pas du regard.
« Écarte-toi les fesses… Et ne lâche pas mes yeux »
Tandis que j’ouvre à deux mains mon cul, je la voix qui regarde avec un sourire et un immense plaisir par-dessus ma tête…
Je sens le pilon de chaire contre moi.
« Prend toi mon Empire. Elle n’est que pour toi cette queue. Fais-toi plaisir et fais-moi plaisir ! »
Alors hors de moi-même, je m’empale en grognant. Elle est grosse, chaude, dure … Je la sens qui m’ouvre, je pousse doucement pour toute la prendre… Arhhhh, j’imprime un mouvement, je plonge mon regard dans les yeux de ma maîtresse en me baisant comme une chienne en chaleur sur cette queue qu’elle m’offre !
Mes coups de reins deviennent de plus en plus violents. L’homme commence à râler.. Je veux qu’il vienne, je veux le sentir couler en moi. Je veux me baigner dans son foutre !
Alors ma Maîtresse prend ma queue et le feu m’inonde ! A son simple contact je me repends dans sa main, sur les dalles de la chapelle tandis qu’il se plante en moi dans un ultime assaut et m’emplie de lui alors que je m’effondre…
Devant moi, Maîtresse ouvre son manteau et je plonge entre ses cuisses !
Je m’abreuve insatiablement à cette source qui inonde ma gorge. Je me remplis de ses cris, et, alors qu’elle explose à son tour, je bois le flot qu’elle m’offre … Juste avant de sombrer dans ses bras, Ivre de plaisir et de douleur, le corps et le cul en feu…
Je ne reviens à moi qu’au contact de ses lèvres qui dans un profond baiser m’appel à Elle.
Tous sont partis… Je ne saurais peut être jamais qui ils étaient… Que m’importe… Elle est là, je suis dans ses bras… Ce que je viens de vivre n’appartiens qu’à nous…..
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Empire
C'est moi qui Vous remercie d'avoir eu la patience de le lire, et de votre compliment. Je suis ravi de vous avoir touché. <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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1
02/02/14
Empire
Oh merci tily!!<br />Moi, j'ai toujours l'impression de ne pas avoir trouvé les mots justes...
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02/02/14
Lady Liliam
Il doute de moins en moins je dirai <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/happy.png" alt="Happy" title="Happy" title="v_middle" />
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2
04/02/14
Empire
Merci soumise Lucrèce ! Mais Je n en suis que le "nègre"!!<br />C est ma Maîtresse qui créer cet univers... <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/happy.png" alt="Happy" title="Happy" title="v_middle" />
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1
04/02/14