Il était une fois…
- Ainsi monsieur de Vos jours je suis l’astre divin ?
Et de Vos nuits le seul songe, du début à la fin ?
N’est-ce pas, monsieur par trop forcé le trait ?
- Ah Madame je le jure, cela est pourtant vrai !
- Cessez ces mots monsieur, vous ne savez mentir !
Croyez-vous me faire plier par de simples soupirs ?
Vous m’aimez dites-vous ? Alors il y faut des preuves !
Et si à Vous croire je suis si haute, d’innombrables épreuves
Et vous renoncerez, il suffit, j’ai par trop perdu mon temps.
- Madame, éprouvez donc sans crainte mes sentiments
Je saurais sans faiblir, franchir les cols de Vos volontés,
Et passer par tous les chemins que Vous me désignerez.
Pour un regard de Vous Madame, je suis prêt à tout
- Ce regard ne l’avez-vous pas ? ainsi déjà me le devez-vous.
Mettez donc genoux à terre, que je pèse tout cela
- Ma Dame, mille mercis de me donner une chance
Pour Vous conquérir, je passerais par Vos danses
- « Me conquérir » ? entendez donc cet impertinent !
Croyez-vous pouvoir me vaincre ? Et que les armes rendant
Je vous cède mon cœur, mon âme et mon corps ?
- Je me battrais Ma Dame pour que Vous cédiez plus encore.
Je veux être pour Vous le plus beau des diamants
Ce bijou unique qu’une Dame porte si fièrement
Celui vers lequel, au milieu des autres, elle revient toujours
Je saurais Ma Dame, vous ravir par ma cours
Et être pour Vous, chaque jour, un tel enchantement
Que Vous m’aimerez à la fin, aussi profondément
Que je vous aime moi-même à la minute où je parle
- Il serait doux monsieur de croire à cette belle fable.
- Il n’est besoin d’y croire Ma Dame, laisser-moi Vous la vivre
Permettez que ma plume écrive ce nouveau livre
Et si l’histoire Vous séduit, j’écrirais plus encore
Et Vous y poserez un à un vos décors
- Et bien monsieur, vous gagnez votre première page
Vous êtes à genoux ? Rendez-moi donc hommage
D’une seule phrase faites Votre impératrice s’attendrir
- Vous êtes impératrice Madame, je serais donc un Empire
Qui n’aura pas de limite à Vos horizon, auriez Vous mille vies
Pour tout y découvrir, que vous ne passeriez pas deux fois par les mêmes envies…
- Ainsi monsieur de Vos jours je suis l’astre divin ?
Et de Vos nuits le seul songe, du début à la fin ?
N’est-ce pas, monsieur par trop forcé le trait ?
- Ah Madame je le jure, cela est pourtant vrai !
- Cessez ces mots monsieur, vous ne savez mentir !
Croyez-vous me faire plier par de simples soupirs ?
Vous m’aimez dites-vous ? Alors il y faut des preuves !
Et si à Vous croire je suis si haute, d’innombrables épreuves
Et vous renoncerez, il suffit, j’ai par trop perdu mon temps.
- Madame, éprouvez donc sans crainte mes sentiments
Je saurais sans faiblir, franchir les cols de Vos volontés,
Et passer par tous les chemins que Vous me désignerez.
Pour un regard de Vous Madame, je suis prêt à tout
- Ce regard ne l’avez-vous pas ? ainsi déjà me le devez-vous.
Mettez donc genoux à terre, que je pèse tout cela
- Ma Dame, mille mercis de me donner une chance
Pour Vous conquérir, je passerais par Vos danses
- « Me conquérir » ? entendez donc cet impertinent !
Croyez-vous pouvoir me vaincre ? Et que les armes rendant
Je vous cède mon cœur, mon âme et mon corps ?
- Je me battrais Ma Dame pour que Vous cédiez plus encore.
Je veux être pour Vous le plus beau des diamants
Ce bijou unique qu’une Dame porte si fièrement
Celui vers lequel, au milieu des autres, elle revient toujours
Je saurais Ma Dame, vous ravir par ma cours
Et être pour Vous, chaque jour, un tel enchantement
Que Vous m’aimerez à la fin, aussi profondément
Que je vous aime moi-même à la minute où je parle
- Il serait doux monsieur de croire à cette belle fable.
- Il n’est besoin d’y croire Ma Dame, laisser-moi Vous la vivre
Permettez que ma plume écrive ce nouveau livre
Et si l’histoire Vous séduit, j’écrirais plus encore
Et Vous y poserez un à un vos décors
- Et bien monsieur, vous gagnez votre première page
Vous êtes à genoux ? Rendez-moi donc hommage
D’une seule phrase faites Votre impératrice s’attendrir
- Vous êtes impératrice Madame, je serais donc un Empire
Qui n’aura pas de limite à Vos horizon, auriez Vous mille vies
Pour tout y découvrir, que vous ne passeriez pas deux fois par les mêmes envies…
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Taille:
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6 personnes aiment ça.
Lady Liliam
J'adore....
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1
20/01/14
Empire
Sourire... J'y avais même pas pensé, c'est juste que je suis en plein dans des roman du 16eme siècle! Mais oui, ça cole aussi avec le livre dont tu m'as parler (et qu'il faut que je te pique d'ailleurs!!)<br />Maîtresse: Je suis ravi que cela Vous plaise! Votre "j'adore" était important pour moi!! Mes mots pour ce "conte" ont été malgré tout choisi avec soins... <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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1
20/01/14