Ikar Rahl
le 13/08/22
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Bon, petit partage pour egayer vos nuits, partiellement basé sur mes souvenirs:
Un brattage de trop, elle le sait, et je n'ai rien dit. On rentre chez nous. Je sens qu'elle a peur, elle me regarde nerveusement, je lui dis de ne pas s’inquiéter, "prépare toi".
Je vais prendre ma douche et mon temps. Je reviens vers elle, elle est déjà en sueurs, nue, en Nadu.
Je lui caresse le visage, un petit baiser, "est tu prête ?", je l'attrape par les cheveux, la forçant a me suivre a quatre pattes.
On arrive au lit, je l'attache au cadre, étendue sur le ventre, un membre après l'autre, en les caressant. Je lui bande les yeux. Sa respiration deviens lourde.
Je respire son parfum, doux mélange de son essence si propre a elle et de l'odeur de l'appréhension, si particulière.
Je prends la baguette à plume, elle tressaute dès qu'elle le sent sur sa peau, je commence à dessiner des arabesque sur son corps.
Dans ma seconde main, une cravache.
De temps en temps, je fais un petit cercle avec la plume, et je m'arrête. Le coup suit, un claquement orphelin résonne dans la pièce, elle gémit.
Je reprends mes dessins, je la sens totalement concentrer sur la plume, elle se tend dès qu'elle passe par endroit plus sensible qu'un autre, de crainte que la plume ne s'y arrête.
Et elle s'y arrêtera.
Cela durera qu'une dizaine de minutes, mais pour elle, ça aurait tout aussi bien pu être une heure.
"J'espère que tu as apprécié ton petit trait d'humour tout à l'heure."
"Honnêtement, ça valait absolument le coup !"
"Parfait, je m'en voudrais que tu viennes à le regretter si vite, on ne fait que commencer."
Je range la plume et la cravache, elles m'entent ouvrir un tiroir, je choisis un de ses plug préféré, surtout pour ce qui va suivre.
Je m'approche d'elle, la saisie par les cheveux et relève sa tête, tout en étalant le gel, je lui chuchote "Tu ne vois donc pas d'inconvénient a ce que l'on passe à l'étape suivante ?", après quoi, je lui enfonce le plug dans l'anus.
Je vois ça bouche faire un "o" absolument craquant.
Partie II:
Martinet, paddle, cravache, badine, tant d'outils pour faire mal, chacun avec ces particularités. Mais ce soir, je veux qu'elle me sente au plus proche, le contacte de ma peau, que ma main brûle du même feu que son fessier. Je veux sentir sa chair, sentir l'effet de ce que je lui inflige, sentir comment elle devient brulante, sentir cette fièvre de plaisir et de douleur, je veux posséder ces sensations, la posséder.
Le premier coup part, une note orpheline imprègne l'air, mais elle sera bientôt accompagnée par le premier gémissement, après la fraction de seconde qui sépare l'impacte du ressenti, la fraction de seconde où je sais qu'elle s'attend à ressentir de la douleur, mais le cerveau n'as pas encore eu le temps de l'enregistrer. Ces précieuses et délicieuses fractions de seconde.
Le gémissement arrive, ce premier coup fut fort, pas aussi fort qu'ils le seront vers la fin, mais au début, elle est plus sensible. Maintenant que le ton fut donné, je commence à travailler sa chair. Méthodiquement, a un rythme prévisible, des coups légers au début et qui montent en crescendo.
Certains coups se répercutent légèrement sur le plug, c'est une sensation bien particulaire que de se faire fesser comme tel. Le sentir bouger en soi, sentir le coup se répercuter à l'intérieur de toi. Je sens son excitation monter, probablement sans même se rendre compte, elle se cambre un peu, autant que les entravent lui permettaient, comme si ces fesses essayer de rejoindre ma main, source de toutes ces sensations. Le mouvement, subtile, dévoile aussi sa douce intimité, petit bourgeon timide au début, il s'éveilla paresseusement au fil des claquements, comme si le bruit le réveillais de sa torpeur.
Je travaille toute la zone, veillant à ce qu'une belle coloration homogène s'étend sur tout son fessier, les gémissements, qu'elle retenait au début, s'échappe de plus en plus souvent de ces lèvres, jusqu'à devenir un flot continu. Mes claquements deviennent plus fort, et je prends un malin plaisir à saisir ça chair après chaque coup, étirant ces fesses ainsi que son jardin secret.
Le petit bourgeon commence à éclore, ces pétales s'ouvre avec une indolence presque insultante, sachant ce qui se passe autour, laissant apparaitre ça magnifique rose. En grandissant, elle change de couleur aussi, passant d'une couleur chair à un beau rose rougeâtre, et avant la fin de la nuit, je sais qu'elles auront pris un teint rubis.
Ma main commence à brûler aussi, j'aime cette douleur qui me lie à elle. Ce lien qui me permet aussi de savoir très exactement ce qu'elle ressent en ce moment. Cette partie de la soirée arrive à son terme.
Le dernier coup résonne, le dernier gémissement, et puis plus rien. Je la sens se détendre, son corps s'étale langoureusement.
Je me rapproche et prends délicatement son visage dans ma main. Je l'embrasse tendrement, sa bouche me répond mollement au début, mais s'active bien vite.
"Je suis fier de toi mon cœur, tu es très courageuse." Elle me sourit, toute trace de défis ayant disparu de son regard.
"Mais ils nous restent encore une derrière étape, avant que l'on passe à la partie agréable. Treize mots, il me semble."
Elle me regarde sans comprendre.
"Ton trait d'humour faisait treize mots, si ma mémoire est bonne."
"C'était parti tout seul, je ne voulais pas te ..."
"Je sais, je sais, mais je dois tout de même le faire, tu comprends ?"
Après un temps d'hésitation, elle hoche ta tête, elle sait qu'il ne sert à rien de discuter dans ces moments.
Je prends un morceau de cuir que je lui mets dans la bouche pour mordre. En vrai, ce n'est pas vraiment nécessaire, mais je sais qu'il est plus facile de subir en pouvant mordre dans quelque chose, et le gout du cuir dans la bouche crée ces propres associations intéressantes.
Faites de beau rêves. n_n
La suite, au prochain épisode. ;-)
Image: © Oliver Marinkoski
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