Au premier sang versé…
Un combat, un duel. Une course à la mort qui en d’autres temps pouvait s’interrompre « au premier sang versé »…
Mais nous combattons ensemble et non l’un contre l’autre… Alors que nous importe que perle le sang.
J’ai eu tant de trop longues heures ma Maîtresse pour me préparer à cette nouvelle confrontation ! Oui, c’est un combat… Une lutte de sueur et de cris, de râles et de passions !
Nous ne jouons pas de rôle : Vous êtes la Diva d’un maelstrom où j’ai choisi de plonger. Il n’y a pas de retour en arrière possible : Nous sommes ensemble enchaîner à nos obsessions. Un feu sourd qui gronde en nous. Rugissement contenu durant de si longs jours.
Quand les titans entrent dans l’arène, les hommes se taisent et s’inclinent.
Dès Votre porte passée, la tentions est là. Palpable.
Je suis un fauve en cage qui attend que le rideau se lève. Les heures passent. Aucun geste n’est vraiment innocent. Aucune parole qui n’est une résonnance… Nos désirs emplissent l’espace et hurlent en silence dans le moindre de nos regards.
Vos talons qui claquent dans le couloir, Votre regard brasier qui m’enflamme et c’est tout notre univers qui explose …
J’aime passionnément que Vous abusiez de moi… Et Vous aimez abusez passionnément… Il ne peut y avoir d’autre issu.
Vos envies dansent dans Vos mains et écrivent sur ma peau qui a tant espéré ressentir le souffle brûlant de nos vices partagés.
Pris dans vos cordes, je me débats contre moi-même. Contre cet orgasme qui depuis le début de Votre danse me dévore le ventre et dont je ne supporterais pas qu’il explose avant que Vous n’écriviez le mot « Fin ». Le combat est très loin d’être fini et je ne suis déjà plus que le vice incarné. Vos lanières ont libéré la chienne en moi qui ne demandait que ça…
Et puis : Pause….
Les couilles prises et offertes dans un piège infernal de cuir et de chanvre. Le corps contraint bien au-delà de ce que ma tentions musculaire peut vaincre, Vous plaquez Votre main sur mon torse. Des mots dont je n’ai plus le souvenir invoquent le calme. Je sais alors que je dois attraper Votre regard et domptez les sensations qui vont m’envahir et me submerger. Je ne suis alors que le prolongement de Vos désirs. Je ne vie et respire que part eux.
Je ne vois pas Vos piques de métal qui dansent sur mon scrotum tendu à l’extrême. Je suis juste foudroyé par une force trop grande pour que j’y survive sans votre regard.
C’est quand cette danse cesse que Vous ramenez sur mon ventre ce que vos doigts d’une caresse ont récolté : Le premier sang versé….
C’est alors que le ciel s’ouvre en deux et que nait un autre monde. Ce premier sang n’est pas la fin, mais le premier pas d’un univers encore plus grand.
Libéré de Vos cordes, définitivement débarrassé de mon enveloppe humaine, Vous avez libéré en moi mes démons les plus enfouies !
Enfin débarrasser de leur carcans, ils peuvent donner libre cours à leur folie de jouissance.
Le sang appel le sang. Plus rien ne m’entrave et la folie de nos vices n’obéit qu’à nos propres limites. Vous saurez jouer de Votre chienne… Oui elle aime sucer et se faire prendre. Oui elle lutte pour ne pas jouir sous les morsures du cuir. Oui elle dansera avec Vous aussi longtemps qu’elle brillera dans Votre regard.
Alors, nos corps abandonnés et au bord de l’évanouissement, Vous trouverez la force de trainer mon âme au-dessus de l’abime et parce qu’exploser enfin d’une jouissance impérieuse nous est vital, Vous parviendrez à me suspendre par les poignets pour me maintenir.
Et dans un dernier assaut, alors que mon corps n’est plus qu’un réceptacle qui n’en peut plus de vivre orgasme sur orgasme, Vous puiserez dans l’absolu de Vos émotions pour nous amener ensemble au bout de nous-même…
La gueule maintenue grande ouverte par un écarteur d’acier, les derniers râles mourant sur mon torse en long filet de salive, le corps démantelé maintenu par Vos liens, nous mourrons de jouissance l’un pour l’autre et perdrons connaissance ensemble dans une dernière fresque infernale :
La badine jusqu’au sang…
Quand Vous me libérez, nous nous effondrons dans les bras l’un de l’autre, n’ayant d’autre parole que nos cœurs battant à l’unisson…
« Il est qu’elle heure Empire ? »
«4h30 Maîtresse »
« Non !!! »
Et nous éclatons ensemble de rire !!!… Nous n’avons jamais su faire autrement que de lutter jusqu’au bout de la nuit !!!
Un combat, un duel. Une course à la mort qui en d’autres temps pouvait s’interrompre « au premier sang versé »…
Mais nous combattons ensemble et non l’un contre l’autre… Alors que nous importe que perle le sang.
J’ai eu tant de trop longues heures ma Maîtresse pour me préparer à cette nouvelle confrontation ! Oui, c’est un combat… Une lutte de sueur et de cris, de râles et de passions !
Nous ne jouons pas de rôle : Vous êtes la Diva d’un maelstrom où j’ai choisi de plonger. Il n’y a pas de retour en arrière possible : Nous sommes ensemble enchaîner à nos obsessions. Un feu sourd qui gronde en nous. Rugissement contenu durant de si longs jours.
Quand les titans entrent dans l’arène, les hommes se taisent et s’inclinent.
Dès Votre porte passée, la tentions est là. Palpable.
Je suis un fauve en cage qui attend que le rideau se lève. Les heures passent. Aucun geste n’est vraiment innocent. Aucune parole qui n’est une résonnance… Nos désirs emplissent l’espace et hurlent en silence dans le moindre de nos regards.
Vos talons qui claquent dans le couloir, Votre regard brasier qui m’enflamme et c’est tout notre univers qui explose …
J’aime passionnément que Vous abusiez de moi… Et Vous aimez abusez passionnément… Il ne peut y avoir d’autre issu.
Vos envies dansent dans Vos mains et écrivent sur ma peau qui a tant espéré ressentir le souffle brûlant de nos vices partagés.
Pris dans vos cordes, je me débats contre moi-même. Contre cet orgasme qui depuis le début de Votre danse me dévore le ventre et dont je ne supporterais pas qu’il explose avant que Vous n’écriviez le mot « Fin ». Le combat est très loin d’être fini et je ne suis déjà plus que le vice incarné. Vos lanières ont libéré la chienne en moi qui ne demandait que ça…
Et puis : Pause….
Les couilles prises et offertes dans un piège infernal de cuir et de chanvre. Le corps contraint bien au-delà de ce que ma tentions musculaire peut vaincre, Vous plaquez Votre main sur mon torse. Des mots dont je n’ai plus le souvenir invoquent le calme. Je sais alors que je dois attraper Votre regard et domptez les sensations qui vont m’envahir et me submerger. Je ne suis alors que le prolongement de Vos désirs. Je ne vie et respire que part eux.
Je ne vois pas Vos piques de métal qui dansent sur mon scrotum tendu à l’extrême. Je suis juste foudroyé par une force trop grande pour que j’y survive sans votre regard.
C’est quand cette danse cesse que Vous ramenez sur mon ventre ce que vos doigts d’une caresse ont récolté : Le premier sang versé….
C’est alors que le ciel s’ouvre en deux et que nait un autre monde. Ce premier sang n’est pas la fin, mais le premier pas d’un univers encore plus grand.
Libéré de Vos cordes, définitivement débarrassé de mon enveloppe humaine, Vous avez libéré en moi mes démons les plus enfouies !
Enfin débarrasser de leur carcans, ils peuvent donner libre cours à leur folie de jouissance.
Le sang appel le sang. Plus rien ne m’entrave et la folie de nos vices n’obéit qu’à nos propres limites. Vous saurez jouer de Votre chienne… Oui elle aime sucer et se faire prendre. Oui elle lutte pour ne pas jouir sous les morsures du cuir. Oui elle dansera avec Vous aussi longtemps qu’elle brillera dans Votre regard.
Alors, nos corps abandonnés et au bord de l’évanouissement, Vous trouverez la force de trainer mon âme au-dessus de l’abime et parce qu’exploser enfin d’une jouissance impérieuse nous est vital, Vous parviendrez à me suspendre par les poignets pour me maintenir.
Et dans un dernier assaut, alors que mon corps n’est plus qu’un réceptacle qui n’en peut plus de vivre orgasme sur orgasme, Vous puiserez dans l’absolu de Vos émotions pour nous amener ensemble au bout de nous-même…
La gueule maintenue grande ouverte par un écarteur d’acier, les derniers râles mourant sur mon torse en long filet de salive, le corps démantelé maintenu par Vos liens, nous mourrons de jouissance l’un pour l’autre et perdrons connaissance ensemble dans une dernière fresque infernale :
La badine jusqu’au sang…
Quand Vous me libérez, nous nous effondrons dans les bras l’un de l’autre, n’ayant d’autre parole que nos cœurs battant à l’unisson…
« Il est qu’elle heure Empire ? »
«4h30 Maîtresse »
« Non !!! »
Et nous éclatons ensemble de rire !!!… Nous n’avons jamais su faire autrement que de lutter jusqu’au bout de la nuit !!!
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