moi emmie evil aplus nov21

Sous-bois (extrait de mon Skyrockblog , rédigé en 2014)Élodie en short de cuir noir et blouson en cuir noir avec des incrustations de daim rouge, des cuissardes noires avec des talons pour une fois raisonnables et un collant en lycra rouge se promenait en foret de Chantilly Le nez aiguisé par les arômes automnales, feuilles mortes et cèpes, son ouïe s intrigue d' un son furtif . Hardie, elle s' approche et écartant les branches d'un arbre elle éclate de rire ! Un géant en treillis répond à un besoin irrépréhensible et rougit d'être ainsi surpris . "Excusez-moi, madame." "je vous en prie, vous répondez aux besoins de la nature . . . J'aimerai voir ce que vous tenter de me cacher . . . Hum! Bonne bête, gracile point trop longue ni épaisse. Hum! Bien douce aussi . . . " . Le grand gaillard abasourdi obéit à la main impérieuse qui lui ordonne de s'allonger . Tant mieux de son mètre 98 il se sentait devant cette femme ravissante quoique de petite taille, les cheveux blonds au carré, les yeux noisette étrangement étirés en amande, un nez frondeur, et une bouche. . . Bien ourlée, pulpeuse à souhait, fardée rouge écarlate très femme fatale . La silhouette loin d'être sylphide est néanmoins plaisante par les reliefs très prometteurs de son blouson de cuir ouvert à la naissance de sa poitrine . Pendant que je la déshabille du regard, elle m' ôte mon treillis, ma chemise et mon boxer . Je l'aide fébrilement quand elle m'arrête soudain par "gardez vos brodequins ! Vous êtes trop chou avec " et me voici allongé nu comme un ver de terre, ridicule avec mes grosses taloches sur le sol humide . Elle casse une branche et doucement elle caresse mon crane tondu, mon visage, taquinant ma bouche qui soupire de plaisir tout en mordillant une feuille au hasard de ses caresses . Elles se poursuivent sur mon thorax, insistent sur mes tétons qui, surprise, durcissent . Arrivée à mon bas-ventre, elle écarte mes genoux avec la pointe de ses cuissardes et recommence son jeu d'artiste avec la branche . Sur ma bouche, Elle promène les lèvres de son con sur mon nez qui respire son odeur suave et sur ma langue qui aspire son délectable suc . Son clito durcit entre mes dents et bientôt j'entends le feulement de sa jouissance dont je bois l'enivrante substance . Elle se dirige vers ma bite qui commence à perdre de la vigueur . Sa langue lèchent mon gland et agace ma verge et mes couilles puis elle enrobe ma queue avec sa bouche . Reptilienne, elle ondule tout le long avec des coups de langue sur le gland et sur le frein, contractant ses douces lèvres, par instant, mon poireau turgescent. Je faillis gicler quand sa bouche m'abandonne . Ma dame tire de son blouson une capote et avec sa divine bouche m'en habille . Elle me chevauche, furieuse amazone puis de moins en moins vite . Là, ses reins remontent et redescendent d'avant en arrière, exploitant au mieux cette bonne carotte qui a connu pire supplice . La sentant tiédir, elle repart au galop, moi, malaxant ses seins au travers de son blouson, surement synergie du plaisir des mamelles puisqu'elle n'a pas daignée les offrir nues à ma bouche avide de les téter . Ce dernier galop après une longue course au pas et au trot me fait gueuler comme jamais et ma semence libératrice gicla en flots puissants et discontinues. A peine sorti de cet ether, mon amazone reprend du rythme toujours bien empalée sur cette tige qui, à ma grande joie, en redemande alors qu'après une première charge elle mollit. Mon écuyère fait de telles prouesses que je jouis encore au même moment qu'elle. La foret de Chantilly connut les plus beaux brames d'automne. Lorsque toute de cuir revêtue, les lèvres à nouveau fardées, je lui demande à la revoir, elle me sourit en clignant de l'oeil, donna ses doigts, si magiques, à baiser et je restai longtemps songeur derrière sa silhouette guerrière évanescente. Je sais que je découvrais et perdais à la fois ce que vivaient Adam et Eve... L'Eden, un paradis dont on a la chance de connaitre qu'une fois .