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Lui: Elle a planté ses ongles dans mes couilles !!! Un début d'après-midi sex-toys... A peine seuls depuis 5 mins, à notre âge nous avons des descendants, qu'elle me demande de me déshabiller à ma sortie des toilettes. Je la regarde, elle est déjà nue sur le lit et a enfilé son strap-on avec cet énorme gode translucide violet de cinq centimètres de diamètre et de plus de vingt centimètres de long. Je suis secoué intérieurement d'une grande excitation mais aussi d'une peur certaine. Bien que nous soyons équipés en matériels sexuels divers, j'ai plus souvent l'habitude de m'en servir sur elle que le contraire mais j'avoue que j'aime aussi cela et que c'est fantasmagorique chez moi. Je lui fais remarquer devant son empressement que je ne suis pas propre et devant mon objection elle me demande de filer rapidement à la douche. A mon retour elle me fait s’asseoir à ses côtés. Je vous précise que je porte une cage de chasteté métallique, nous en possédons cinq et la dernière qui est sur moi me va à merveille. Elle est adaptée parfaitement à mes dimensions, un peu lourde soit, mais aucune douleur à l'avoir même sous un jean serré, c'est une armure et elle est très discrète et tire uniquement sur mes couilles lorsque j'ai une érection qu'elle contient ce qui est fortement désagréable, Anne en possède les deux clés et contrôle de ce fait mon plaisir éjaculatoire. Elle commence alors à me caresser tout en se donnant du plaisir les jambes écartées. C'est à ce moment qu'elle choisit de me tirer sur les couilles tout en y plantant longuement ces ongles dedans. Je commence à légèrement saigner…Cela fait mal mais elle compense en passant sa langue sur l'orifice de mon gland en alternant avec des aspirations puissantes. Vous pouvez facilement imaginer qu'à ce moment je remplis complètement ma cage et que je suis très serré. N’étant pas un « sauvage » et sachant que je vais finir avec le mandrain dans le cul, je lui glisse sous le « strat » un œuf vibrant avec un ergot clitoridien pour libérer ses mains. Elle descend alors les doigts trempés d'huile de coco vers mon fondement et y glisse un doigt, deux, peu être trois et commence à me dilater et à jouer avec ma prostate. Je me retrouve entre un mélange de plaisir et de honte, je me laisse faire et je pousse même pour m’écarter. J'ai glissé mon talon gauche entre ces jambes et j’appuie à l'endroit où se trouve son œuf pour entretenir son désir. Mon excitation étant importante je me retrouve rapidement, à sa demande à quatre pattes sur le travers du lit, le cul en bombe. Elle se tient debout derrière moi, son énorme phallus synthétique à l'entrée de mon con et elle commence à y pénétrer le gland. Elle m’écarte les jambes pour régler ma hauteur et continue son inquisition. La pénétration est difficile mais je suis bien lubrifié et dilaté. Elle pousse et mon cul s'ouvre. A bout d'environ cinq minutes et après la prise d'un vaso-dilatateur bien connu, elle a dû m'enfiler au moins la moitié du gode, je commence à ne plus ressentir la douleur et le plaisir prend sa place. J'en ai honte mais j’apprécie. Elle m’attrape franchement par les hanches et me lance en poussant plus profond et plus rapidement un « Je vais te défoncer le cul ». Je ne sais pas si elle a tout rentré mais je lance des gémissements de plaisir, j'aime cela et apparemment elle aussi. Il m'est quand même difficile de me lâcher complètement, j'aime ce qu'elle me fait, j'aime être à sa disposition dans cette position, j'adore qu'elle me baise mais les encrages de mon éducation sont bien toujours présent. Refusant par honte de me mettre à hurler de plaisir et de me diriger vers l'extase prostatique (je sais je suis idiot), je me resserre et l’étreinte commence à me faire un peu mal et je me retire, la honte de me faire dominer et d’être totalement à sa merci me dépasse (ce que je regrette maintenant). Il faut que je reprenne le dessus. Son entrejambe est toute mouillée, je sors de notre boîte à jouets un double dong, une belle bête de quatre sur trente-huit centimètres et je retire son œuf qui est trempé et qui dégouline de mouille, la vision et le fait de m'avoir baisé lui a visiblement fait énormément d'effet. Je l'empale et je m'empale aussi la chevauchant, le dong me fait peu d'effet du fait de ma dilatation mais notre face à face est très érotique. Elle me propose de me libérer de ma cage, elle veut que je jouisse. Elle se gode, je suis à genoux à la hauteur de ses seins, elle fouille mon cul avec sa main. Je ne sais combien de doigts y sont fourrés (elle pourra toujours commenter) mais c'est très bon, je me branle et rapidement j’envoie de fortes giclées de sperme vers son visage, la première lui barre le visage d'une joue à l'autre, le jus n’arrête pas, je tremble de plaisir. Il y en a partout, le lit est taché de mouille, de sperme et de lubrifiant, le sol autour du lit aussi, il va y avoir besoin d'un grand ménage pour remettre cela en ordre. Elle me dit « J'ai préféré avec la main », elle a aimé cela, moi aussi... Fabuleuse Anne. Pour la photo qui accroche le regard, désolé mais dans l'action nous avions d'autres choses à faire, peut être une après qui ne correspondra pas au moment mais qui peut vous donner une vision plus précise, cela dépend de Madame. La suite à la prochaine expérience.