C’est par les mots que je survie à Votre absence. Comme déambulant dans une ville endormie. Perdu dans mes pensées, dans mes souvenirs de Vous. Non que je me noie dans quelques brumes ou que je sombre dans une douce mélancolie. Le sourire que Vous avez gravé à coup de fouet et de caresses ne me quitte pas…
Maintenant que Vous avez pénétrez mon antre, Votre image s’y dessine partout et où que mon regard se pose, des vibrations telluriques me font frissonner… Le fauteuil m’a vue en transe à vos pieds, les coussins savent combien j’ai tremblé et serré les poings, ma basse joue encore les mêmes notes de mon attente et le lit sur lequel j’écris ses mots me raconte a nouveau mes cambrures, mes râles et mes souffles
Maîtresse j’ai besoin de Vous rendre hommage, de prendre de ce temps qui file entre mes doigts pour Vous. Rien que pour Vous. Tout à Vous.
Alors quel plus belle écrin qu’une page blanche ?
Et comment mieux me connecter à Vous qu’en m’assaillant tout aux fonds de mes entrailles où se sont nichés tel les Xéranthèmes (sourire…) toute les graines de la force que Vous avez déposé en moi, tout le vice que vous m’avez permis de déployé… Dans des hurlements de rire ou de douleur, dans des cris de jouissance et des larmes de bonheur ! Autant d’explosions qui me marquent plus surement qu’un fer rougi sous la flamme…
Grâce à Vous, je suis soumis vraiment pour la première fois… Vous m’avez fait naître à moi-même. Comme on ne sait « aimer vraiment » qu’en se rendant compte combien tous les autres sentiments que l’on avait pris pour de l’amour sont pâles et timides faces au rayonnement atomique qui submerge les amants haletant qui s’étonnent au petit matin que leur désir n’est toujours pas tari…
Pour la première fois, je me sens vraiment prêt au grand Voyage, et pour la première fois, je ne tiens pas les rênes. Quel merveilleuse sensation que de pouvoir courir dans Vos nuits, nu et insouciant, n’ayant cure des dangers car votre glaive divin veille sans relâche sur moi. Et je le sais si impitoyable à quiconque songerait à me nuire que je peux rire au éclat devant le feu d’un dragon… C’est lui qui baissera respectueusement la tête sachant que je Vous appartiens ! Vous faites de moi un dieu inatteignable… Vos horizons sombres rejoignent les miens, ma passion du vice et de la dépravation rejoint les fondements même de Votre sublime puissance. Ensemble, à Vos côtés, l’impossible n’est plus qu’un chemin… Les enfers se sont ouverts et Satan lui-même nous invite à sa table. Et il se tait quand Vous prenez la parole ! Il lit dans nos regards et nos sourires qu’il est allé trop loin et qu’il n’est plus en mesure de maîtriser quoi que ce soit… Pas même lui…
Bonne nuit ma Maîtresse…
Votre Empire qui s’est enfin abandonné…
Maintenant que Vous avez pénétrez mon antre, Votre image s’y dessine partout et où que mon regard se pose, des vibrations telluriques me font frissonner… Le fauteuil m’a vue en transe à vos pieds, les coussins savent combien j’ai tremblé et serré les poings, ma basse joue encore les mêmes notes de mon attente et le lit sur lequel j’écris ses mots me raconte a nouveau mes cambrures, mes râles et mes souffles
Maîtresse j’ai besoin de Vous rendre hommage, de prendre de ce temps qui file entre mes doigts pour Vous. Rien que pour Vous. Tout à Vous.
Alors quel plus belle écrin qu’une page blanche ?
Et comment mieux me connecter à Vous qu’en m’assaillant tout aux fonds de mes entrailles où se sont nichés tel les Xéranthèmes (sourire…) toute les graines de la force que Vous avez déposé en moi, tout le vice que vous m’avez permis de déployé… Dans des hurlements de rire ou de douleur, dans des cris de jouissance et des larmes de bonheur ! Autant d’explosions qui me marquent plus surement qu’un fer rougi sous la flamme…
Grâce à Vous, je suis soumis vraiment pour la première fois… Vous m’avez fait naître à moi-même. Comme on ne sait « aimer vraiment » qu’en se rendant compte combien tous les autres sentiments que l’on avait pris pour de l’amour sont pâles et timides faces au rayonnement atomique qui submerge les amants haletant qui s’étonnent au petit matin que leur désir n’est toujours pas tari…
Pour la première fois, je me sens vraiment prêt au grand Voyage, et pour la première fois, je ne tiens pas les rênes. Quel merveilleuse sensation que de pouvoir courir dans Vos nuits, nu et insouciant, n’ayant cure des dangers car votre glaive divin veille sans relâche sur moi. Et je le sais si impitoyable à quiconque songerait à me nuire que je peux rire au éclat devant le feu d’un dragon… C’est lui qui baissera respectueusement la tête sachant que je Vous appartiens ! Vous faites de moi un dieu inatteignable… Vos horizons sombres rejoignent les miens, ma passion du vice et de la dépravation rejoint les fondements même de Votre sublime puissance. Ensemble, à Vos côtés, l’impossible n’est plus qu’un chemin… Les enfers se sont ouverts et Satan lui-même nous invite à sa table. Et il se tait quand Vous prenez la parole ! Il lit dans nos regards et nos sourires qu’il est allé trop loin et qu’il n’est plus en mesure de maîtriser quoi que ce soit… Pas même lui…
Bonne nuit ma Maîtresse…
Votre Empire qui s’est enfin abandonné…
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