Vice Roi
le 10/03/21
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Et un pavé de plus, que vous le preniez dans la gueule ou que vous l'utilisiez pour marcher, bonne lecture.
Lorsque l'on s'inscrit sur un site de rencontre, spécialisé ou non, on constate que les femmes postulent toutes que les hommes veulent des "plans cul" et qu'elles s'y refusent... 1ere interrogation: si elles postulent que les hommes présents ne font que chercher un plan cul, pourquoi venir sur un tel site ? Et pourquoi même chercher un homme si ce sont tous des "porcs" ? Car dès lors qu'un homme manifeste un désir pour lui-même, sans excuse, sans apparat, sans fard, il devient un porc, un queutard, un salaud, etc. Pourquoi ? Parce que ces femmes sont incapables d'échanger de désir à désir, parce qu'elles ne conçoivent jamais l'échange comme fermé entre deux individus, mais ouvert à la concurrence. Parce que ce désir préexiste à leur rencontre et qu'il ne prend pas leur personnalité pour objet...
Elles ne se posent pas la question de savoir si un homme leur plaît mais de savoir si il est le meilleur de leurs prétendants, hors sur le net, le flot ininterrompu de sollicitations fait que l'on passera à la trappe d'autant plus facilement que cette abondance apparente suscite l'arrogance des femmes, désinhibées dans leurs exigences et caprices.
Elles sont narcissiques et perverses. Narcissiques car elles ne pensent qu'à elles, à leurs besoins, à leurs exigences, à leurs contingences, à leurs peurs, à leurs préjugés et restent le plus souvent sourdes à tout ce qui les dépasse. Perverses car elles sont fourbes, calculatrices, retorses, asymétriques et de mauvaise foi. Elles refusent l'égalité, échanger d'égale à égal, de désir à désir, parce qu'elles aspirent aux pratiques courtisanes nourrissant leur narcissisme. Elles considèrent qu'elles ont tout les droits et nous tout les devoirs. Qu'elles disparaissent du jour au lendemain, te manquent de respect, les autres leur trouveront toujours une excuse. Ce n'est pas elles qui sont en cause mais toi. Elles ont eu peur. Elles ont voulu éviter d'éventuels insultes du coup elles n'ont pas voulu donner d'explications... Plus tu affiches tes échecs, moins elles voudront de toi, peu importe que tu leur convienne, leur plaise, tu n'es pas un produit demandé, donc tu ne vaux rien. Pire, elles postuleront que tu n'as pas été rejeté sans raison, même si c'est le cas, et te rejetteront en faisant une confiance aveugle au jugement des autres femmes... Qui bien sûr ne peuvent pas se tromper... Elles le feront tout en affichant la recherche du "bon", celui qui ne conviendrait qu'à elles, individuellement... Sans voir la contradiction à rejeter un mec rejeté tout en cherchant quelqu'un qui ne conviendrait qu'à elles et serait donc rejeté par les autres puisqu'il ne leur conviendrait pas...
Parce qu'elles sont toutes uniques bien sûr, même si elles tiennent toutes le même discours ascétique avec les mêmes mots...
Et ce n'est pas leur seule contradiction. Par contre il est formellement interdit de leur faire remarquer. Elles ont tout les droits, et tiennent à cette prérogative. Les révéler dans leurs hypocrisies, dans leurs contradictions, dans leur irrationalité, critiquer leurs actes et points de vue, démonter leurs arguments, c'est commettre un crime impardonnable de lèse majesté et subir le courroux de la dite majesté et de sa cour.
Ces gourgandines ne supportent aucune vexation, même la plus infime. Pas question pour elles de faire preuve d'humilité ou de raison. Il faudrait traiter leur égo surdimensionné comme un trésor, valider chacune de leurs positions, les traiter en supérieures (y compris et même surtout lorsqu'elles se prétendent soumises)... Pas question de débattre, sauf pour participer à un simulacre de procès où elles te condamnent immanquablement.
Car tu ne peux pas être innocent. Il n'existe pas de conditions permettant d'établir ton innocence. Tu es coupable à priori. Et si tu te défends tu deviens coupable de te défendre, donc de mettre en cause les accusations donc les accusatrices... Si tu ne te défends pas, c'est donc que tu es coupable. Cette présomption de culpabilité des hommes, des désirs, doublée d'un biais de confirmation, empêche toute discussion sereine pour cause de morale moralisatrice moralisée, une morale qui interdit toute éthique, toute réflexion sur les principes qui la constituent, au nom même de la morale constituée...
Cette vielle morale ascétique est anti sexe, anti plaisir, anti hédoniste. C'est la vielle morale esclavagiste de toutes les religions. Le plaisir y est coupable, de même que le désir, la facilité, et tout ce qui rend la vie agréable et désirable. Paresse, gourmandise, etc
Les femmes ont des désirs mais ne les reconnaissent pas comme des émotions. Et surtout pas pour eux-mêmes et pour les satisfaire, sinon hypocritement. Elles n'ont pas acquis la libération sexuelle. Tout au plus ont-elles acquis la liberté amoureuse...
C'est le point de divergence le plus flagrant entre les hommes et les femmes. Plus aucun homme ne juge une femme sur sa sexualité, mais l'inverse n'est clairement pas vrai. À peine on manifeste un désir que l'on devient suspect. Désirer ferait de nous des prédateurs, des criminels en puissance. Car la frustration nous rendrait agressifs... Sauf que si frustration il y a, ce n'est pas de notre faute. En effet, aucune de ces femmes n'a eu l'idée de satisfaire les désirs des hommes afin qu'ils ne débordent pas... Étrange, non ? De fait, le comportement des femmes s'avère frustrant, pour nous certes, mais également pour elles, ce qui vient nourir une dramatisation généralisée du registre sexuel.
Les femmes nous disent que le sexe n'est pas si important, mais ce faisant oublient que c'est elles qui lui donnent autant d'importance en le dramatisant au lieu d'accepter de jouir pour jouir... Sauf quand il s'agit d'utiliser un vibromasseur...
Elles postulent, pour oublier leur part de responsabilité collective, que nous avons trop de désir, que nous débordons par nature et qu'elles ne sont pour rien dans ces débordements... Ces innocentes perpétuelles oublient toujours le rôle de leurs actes dans l'ordre des causalités.
Un homme veut partager un moment de plaisir partagé avec une femme ? "Il n'a qu'à aller aux putes!" me direz-vous.
Comme si le désir sexuel était sale, comme si il ne vous concernait pas, comme si le désir d'un homme pour votre personne était une chose laide, vulgaire, égoïste, incapable de vous apporter du plaisir... Comme si votre plaisir vous faisait peur, vous inspirait le dégout, comme si vous aviez encore quelque chose à craindre de la sexualité, des désirs, des plaisirs... C'est triste et pathétique, quel gâchis.
Ils sont nombreux les hommes à chercher une femme à baiser et à aimer, dans cet ordre là car, autre différence, il me semble que les hommes aiment celle qu'il baisent alors que les femmes baisent celui qu'elles aiment... Ces hommes donc, ne sont pas mauvais. Au contraire, ce sont les hommes honnêtes que vous réclamez sans vouloir les voir pour ce qu'ils sont. Ils recherchent la sécurité sexuelle quand vous cherchez la sécurité affective ? En quoi est-ce un problème ?! Ils sont prêts à vous donner toute la tendresse dont vous avez besoin mais ils réclament en échange la satisfaction de leurs besoins les plus pressants, besoins différents des vôtres. C'est cela que vous ne comprenez pas, ou que vous refusez de comprendre, préférant juger immoral ce qui vous échappe au lieu de reconnaître que cela vous échappe.
Un homme n'est pas une femme et inversement, vous cherchez un homme mais bien souvent vous rejetez ce qui en est constitutif, obligeant les hommes à vous mentir, à taire leur nature. Qui est à l'origine de ces mensonges ? Eux ou vous, par votre refus de leur différence ?
Bien souvent, ils vous accordent l'attention que vous demandez et quand vient leur tour d'obtenir satisfaction, vous disparaissez. Est-ce honnête de votre part ? Non.
Vous préférez vous croire sans tâches, innocentes, irresponsables, hors jeu, en dehors des causalités à l'œuvre, mais il n'en est rien.
La stratégie de séduction passive, par l'apparat, qui consiste à attirer les hommes pour ensuite en faire un tri pousse les hommes à fonctionner sur la base des seuls désirs, sans quoi ils n'auraient aucune raison de faire le premier pas
Hors qui les oblige à faire le premier pas ? Vous.
Et puisqu'ils ne vous connaissent pas, ils ne risquent pas d'être attirés par votre personnalité... Personnalité souvent décevante par ailleurs tant elle n'a rien d'unique, répétant les mêmes discours avec les mêmes mots...
Ici je ferai une parenthèse pour introduire une perspective culturelle, le voile qui relève de l'obscurantisme peut aussi être considéré dans le cadre de l'évolution culturelle des pays où il est porté comme un outil de séduction ciblée, une femme pouvant se montrer à un homme qu'elle souhaite séduire et pas aux autres... Ce qui paradoxalement leur donnerait l'initiative du premier pas là où elles étaient considérées inférieures alors que chez nous, en terre d'égalité (sic), elles se cantonnent à une attitude d'attractivité passive... Parenthèse fermée.
Posez-vous une question, comment agiriez-vous si le premier pas vous incombait ? Qu'est-ce que cela changerait à vos manières ? Joueriez-vous toujours la concurrence ou agiriez-vous comme un chasseur focalisé sur sa proie ? Oups cette métaphore ne manquera pas de réactiver votre idée-réflexe d'un homme prédateur...
Vous me répondrez peut-être sur le mode pseudo- féministe de la victimisation automatique, sur le registre hystérique de la bourgeoise aussi outrée que coincée, sur le registre délurée du coup d'un soir, peu importe. Je sais que la plupart d'entre vous n'entendront pas ce que je dis mais me prêteront des intentions qu'elles/ils s'empresseront de juger.
Je cherche une esclave à demeure. Par définition, on ne saurait être en partie une esclave, on l'est ou on ne l'est pas. Par définition, on ne saurait être une esclave, appartenir entièrement et renoncer à toute liberté, sur le principe d'une durée limitée, sans quoi ce ne serait qu'un jeu et l'on ne serait rien du tout, on ne ferait que faire semblant. La seule différence entre une esclave historique et une esclave volontaire, c'est que la seconde est volontaire. Si ce n'est pas la vie que tu veux, passes ton chemin.
Petite parenthèse, il est amusant de noter que même si beaucoup rappellent que la soumission n'est pas un jeu, bien peu invitent les soumises à une véritable cohérence dans leur soumission... Peut-être le nihilisme actuel est-il à l'œuvre, les mots et les actes perdent leur sens au regard des masses...
Il me faut ici parler du rapport des soumis aux dominantes, qui eux sont plutôt cohérents avec leur désir de soumission. On me pardonnera quelques raccourcis, car je ne crois pas utile ici de préciser qu'ils ne sont pas tous sérieux non plus.
Néanmoins ceux qui le sont veulent réellement donner le pouvoir sur eux à une femme, il veulent se soumettre et non pas jouer les soumis. Il y a chez la majorité d'entre eux une démarche sincère et honnête de subordination effective. Ils ne vont pas chercher à imposer leurs conditions, à faire tourner en bourrique les dominantes, à leur manquer de respect, à les changer, ou à refuser leur nature, désirs, caprices... Ils veulent plutôt s'y plier avec abnégation et humilité. Normal, logique, cohérent. Ils veulent une relation de subordination et y sont donc préparés.
À l'inverse, les femmes prétendument soumises, ne le sont généralement pas du tout. Elles sont orgueilleuses, vindicatives, pinailleuses, moralisatrices, castratrices, et pour résumer, chiantes. Il faudrait les dominer comme ci, comme ça, à leur rythme, selon leurs attentes, leurs caprices... Si elles le veulent bien, si elles en décident ainsi à la suite d'un processus de sélection où elles ont tout les droits et nous tout les devoirs... Bref, aucune humilité, aucune abnégation, aucune déférence, aucun respect, aucune désinhibition apportée aux désirs du maître, aucune subordination, aucune volonté de se plier à celle du maître ou même de lui plaire, ou de faire des efforts pour lui plaire, bref aucune manifestation visible de leur désir de soumission. Elles semblent venir à la soumission par simple fantasme, sans avoir réfléchi à ce que cela implique de différence dans le processus de séduction comme dans la relation.
Elles débarquent donc en mode vanillé, attendant des dominants qu'ils agissent en bons soumis bien subordonnés à leur bon vouloir et crient au scandale lorsque ce n'est pas le cas. .
Je suis de la vielle école. Tu as faim, tu manges.
Tu veux te soumettre, tu te soumets. Ton désir est suffisant. Ce n'est pas à moi de te convaincre de te soumettre. Tu viens pour le faire, tu as ce désir qui appelle satisfaction, alors satisfais le.
Elles agissent comme un restaurant qui te laisserait te mettre à table et commander avant de t'annoncer deux heures plus tard que non seulement tu ne seras pas servi mais que tu dois en plus libérer la table.
Vous êtes-vous déjà demandé ce que recherche un homme dans la domination ? Il cherche l'acceptation sans faille de ses désirs, de ses besoins sexuels, affectifs, comme de tout ce qui habite son être. Il veut obtenir satisfaction, sans récriminations, sans quémander, sans avoir à se justifier. Il veut, il obtient. (Ce qui n'exclue pas bien sûr le respect de l'autre et de ses limites... )
Que lui demandez-vous ? Exactement l'inverse.
Et vous vous étonnez que certains hommes perdent patience et s'énervent ?!
Un homme qui cherche une esclave n'a que faire des formalités relationnelles, il veut la relation, et il la veut sans aucun prix ni conditions. Il veut que vous la vouliez vous aussi sans conditions. Précisément parce que l'inconditionnalité est le préalable nécessaire à l'authenticité, à la plénitude de la subordination. Si celle-ci est conditionnelle, alors elle n'est pas pleine et entière, vous conservez une réserve permanente et le maître ne peut être libre dans ses désirs, qu'il doit veiller à faire correspondre aux vôtres, donc inhiber, sous peine de vous perdre...
Je pense être assez clair.
Je cherche une esclave qui renonce à toute liberté y compris celle de me quitter.
Je suis exigeant sur la cohérence, je suis sérieux. Si je ne l'étais pas, je n'aurais pas gâché plusieurs années de ma vie dans cette recherche...
Alors quand on me réduit stupidement à un queutard, je rigole de bon coeur.
Oui, je veux du sexe, immédiatement. Et c'est normal. Si tu veux être mon esclave, que je veux que tu le sois, alors tu le deviens. Et dès lors, tu me donnes satisfaction sans poser de questions.
Quel homme n'est pas ici pour le sexe ? Quel homme n'est pas attiré par les femmes pour le sexe ?
Je suis hétérosexuel. Tu es hétérosexuelle. Tu peux invoquer l'amour autant que tu veux, ta sexualité décide pour toi que tu n'aimeras pas une autre femme ou une chèvre ou une chaise. Alors c'est quoi l'amour ? Une excuse, un alibi pour celles et ceux qui ont honte de leurs désirs, un nom mis sur l'attachement que nous éprouvons pour quelqu'un qui nous donne satisfaction de nos besoins de tendresse, de chaleur, de sensualité, d'érotisme et de sexe.
Quoi que je dise, je reste un queutard à tes yeux ?
Combien ai-je écrit de textes ? À quel point ai-je détaillé ma démarche ? N'ai-je pas répondu à toutes les critiques que d'aucun(e)s ont formulé contre moi ?
Mon propos n'est-il pas construit ?
Le problème n'est-il pas que tu es coincée et que je te mets face à cette faille ? Mais n'est-ce pas en partie pour cela que tu viens ici ? Trouver un homme qui te libère de tes inhibitions, des inhibitions que tu as intégrées malgré toi et qui t'empêchent de vivre et jouir librement ?
Je le dis et je le répète, le logiciel de la séduction vanille n'est pas compatible avec le logiciel d'une relation D/s, pour la simple et bonne raison qu'il est asymétrique à l'opposé des attentes de la dite relation avec un homme dominant.
Les dominantes, les soumises, et les vanilles sont avant tout des femmes ? Oui, mais non. Si elles agissent de la même manière alors quelque chose cloche. Monarchistes et démocrates n'activent ni ne soutiennent les mêmes formes de pouvoir. Leurs actions s'en ressentent nécessairement, simple question de cohérence. De même entre une dominante qui cherche le pouvoir sur un homme et une soumise/esclave qui veut donner tout pouvoir à un homme, il ne peut y avoir convergence des manières, des attitudes, à moins que ces options ne relèvent que du théâtre érotique et non du mode de vie philosophique.
Nous parlons de relations où le pouvoir est transféré pour l'essentiel d'une personne à une autre de manière effective. Lorsque la personne candidate à l'abandon s'évertue à conserver son pouvoir et semble se divertir de faire miroiter son abandon aux dominants qui passent, on peut raisonnablement s'interroger sur le sérieux et la sincérité de la personne en question. Surtout avec la quantité de faux profils...
Mais chuuut il ne faut rien dire. Quand on est un homme, on a pas le droit de se plaindre, on doit tout supporter y compris de perdre son temps et de gâcher sa vie. Et si une femme ne va pas dans le sens de ses désirs, c'est normal, puisqu'on vous le dit. Réclamer des preuves de sérieux ? De réalité ? Vous n'y pensez pas !!!
La beauté d'une relation D/s réside justement dans la désinhibition mutuelle, la liberté offerte de désirer en dehors de tout jugement... Mais cette beauté leur échappe.
Et le règne des désirs satisfaits devient un règne de frustrations.
Plus les femmes sont coincées, plus les hommes sont frustrés.
Plus les hommes sont frustrés, plus ils sont libidineux et agressifs, faute de comprendre pourquoi ils sont rejetés par des femmes censées partager leurs désirs, plus ils sont libidineux et agressifs plus les femmes sont coincées. Et la boucle est bouclée.
Les pseudos féministes et les intégristes religieuses sont contentes. Leurs névroses deviennent la règle, la sexualité est dramatisée, le désir est souillé, la jouissance est abolie, culpabilisée, les relations naturelles sont remplacées par des relations institutionnelles formalisées, tout le monde est frustré, les hommes comme les femmes, car elles se frustrent elles-mêmes, et cette frustration individuelle généralisée motive un ressentiment général à l'égard du plaisir et de celles et ceux qui savent jouir sans complexe... Ou comment construire une société où chacun empêche les autres d'être libre, de jouir, de vivre.
Bienvenue dans le monde de demain, celui d'hier que l'on croyait aboli...
Bien sûr, je n'appelle pas les femmes à se soumettre à n'importe qui, juste à ne plus faire perdre leur temps aux hommes, de même qu'à elles-mêmes.
La plupart d'entre nous en dit assez sur long sur lui, sur ses pratiques pour que vous fassiez votre choix en amont, avant de le contacter.
Tu veux être une soumise ? Une esclave ? Alors arrêtes de te comporter en princesse pourrie gâtée, plus soucieuse d'avoir des courtisans et de recevoir des flatteries que de montrer son désir de servitude. Arrêtes de faire comme si les dominants étaient des jouets soumis à ton bon vouloir et montre leur le respect dû au rang que tu veux qu'ils occupent pour toi, non pas celui d'un sex-toy remisé dans le tiroir de ton chevet, mais celui de centre de ton existence future, de roc inébranlable, de refuge absolue, de protecteur qu'il te faut mériter par ta dévotion.
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Soyez la première personne à aimer.
Lady Hydre
Bonsoir Vice Roi Je vous lis et en vous lisant je me demande si vous aimer les femmes , Je lis beaucoup de haine dans votre texte . Je ne juge pas mais pensez vous vraiment que toutes les femmes sont ainsi , Nous sommes à une époque où les soumises ont leurs mots à dire .. Le BDSM vous aurez plus il y a quelques années car elle ne parlaient pas autant , il faut dire que le net les forums n’étaient pas d’actualité , tout se faisait par des annonces dans des revues , donc les soumises ne se parlaient pas ^^ et oui je suis une Dame âgée ^^ Je lis que vous cherchez une esclave , donc une femme qui n’aurait pas don mot à dire ?
J'aime 11/03/21
Vice Roi
Lady, Je n'aime pas certains comportements qui se généralisent... Quand tu fais une seule rencontre en quatre ans de recherche, que l'on te pose des lapins, qu'on te fait perdre ton temps, que les femmes jouent les girouettes... Oui, ça énerve. Si je pensais qu'il n'y avait aucune exception, je laisserais tomber. Que les soumises s'expriment ne me dérange pas, ce qui me dérange c'est leur attitude générale...
J'aime 11/03/21