Ma Maîtresse me convie à un rêve…
Parce que ma Maitresse lit dans mes envies, elle sait révéler sa présence au bord du précipice. Alors que comme au ralenti je tombe, ses doigts se referment sur mon cou et doucement me ramène contre Elle…
C’est ce qui s’est passé ce début d’après-midi alors que je m’éveillais de ma première vrai nuit de sommeil sans douleur depuis une semaine. Gonflé de désirs et de pulsions qui d’un coup s’éveillaient et qui rencontraient un message de ma Maitresse me conviant à faire ensemble un rêve…
Pour préparer ce « voyage », je dois d’abord choisir 4 objets sur le site « méo ». Ce sont ses 4 objets qui accompagneront notre parcours.
Le site est riche, très riche même et mes pulsions grandissantes me poussent vers des choix extrêmes… Mais je ne parviens pas à les retenir. J’ai besoin d’objets qui me parlent d’Elle, dont je sois certains qu’ils seront bien entre ses mains…
Le premier est presque évident tant il est sa marque : Un fouet de cuir, souple et long. Le second me préparera au premier : Un paddle de cuir lourd. Le troisième virevolte tellement entre ses doigts que je ne peux le prendre : Une roue à pic simple. Enfin, le dernier est le fruit de mon imaginaire et de mes fantasmes (peut être aussi suggéré habilement par ses mots à Elle) : Un humbler de bois noir vernis…
Avec ses objets en têtes, munis depuis le début de ma recherche sur « méo » de mes cruelles pinces sur mes tétons et sentant déjà la douleur m’envahir, je m’allonge sur mon canapé… Nu, les bras le long du corps. Je ferme les yeux et ralenti ma respiration…
Apprivoiser cette douleur, la laisser m’envahir pour qu’elle ne devienne qu’une mélodie en fond de mon rêve… Et laisser venir ma Maitresse..
A mesure que mes seins s’engourdissent, je sens ma queue se tendre… Derrière le voile de mes paupières clauses, Vous apparaissez… Et je n’ai nul besoin de me toucher pour sentir toute la puissance du désir qui enfin se libère en moi…
Pardonnez-moi Maîtresse mais en écrivant ces lignes, je n’ai plus mes pinces. J’ai voulu vivre profondément ce rêve avant de le retranscrire et une fois que je m’en suis « éveillé », une fois que Vous m’avez lâchez la main, la douleur a été intenable.
Et pardonnez-moi aussi, mais je vais retranscrire ce rêve tel qu’il m’est apparue, je sais que Vous préférerez mille fois la vérité à un roman…
A peine mes paupières se sont-elles fermées que je me retrouve comme par magie chez Vous. Dans votre salon. Je n’ai plus mon plâtre, ma jambe est intacte et je suis lové à vos pieds.
Nous ne sommes pas seuls : Maître Max et Déesse sont là avec nous. Ils sont assis l’un à côté de l’autre sur l’autre canapé.
C’est moi qui parle. Je dis à Déesse toute mon admiration. Je lui parle de l’émotion que j’ai ressentie face à sa si puissante soumission. Et aussi combien je me sens si loin d’atteindre son niveau et mon désir d’y parvenir.
Vous souriez. Votre main passe dans mes cheveux
« Crois-tu en être si loin ? »
« Oh oui Maîtresse, et pourtant comme j’aimerais être capable de m’offrir à vous comme cela ! »
Déesse sourie. Maître Max aussi… Il y a comme une complicité entre Vous trois. Je crois percevoir que Vous leur avez parlez de mon émotion en les voyants ensemble et que quelque chose se prépare.
« Leves toi »
Votre voix est douce, mais elle a pris cette profondeur qui à chaque fois me transcende.
C’est Vous qui me déshabiller complètement… Vos mains comme à chaque fois se plaquant sur ma peau et m’emportant dans les tourbillons de Votre puissance. Ma respiration s’accélère. Ma tête ondule sous l’émotion qui m’envahi.
« Tu peux aller aussi loin que je le décide, tu peux m’offrir autant que j’en ai envie… Je ne tolère pas que tu te sentes inférieur à qui que ce soit… »
Les larmes envahissent mon regard… Toute ma vie, j’ai attendu ces mots. Toute ma vie j’ai espéré en vain que quelqu’un crois en moi à ce point. L’adolescent invisible, inexistant, à qui personne n’a jamais fait attention tient enfin sa revanche sur des années d’humiliations…
L’émotion est forte dans la pièce. Le moment n’est pas un jeu. C’est une vérité nue qui s’impose. Celle d’une renaissance à moi-même que Vous allez m’offrir… Et tous le perçoivent…
Vous me faites mettre à quatre pattes sur la tapis, les fesses tournées vers vos invités. Quand vous placé le humbler, vous me murmuré :
« Je ne t’attache pas, je veux que tu sois libre de vivre la suite. C’est ta propre force épaulé par la mienne qui va te faire voyager bien au-delà de tout ce que tu pensais pouvoir vivre… »
Vous prenez grand soin de mes bourses. Doucement et longuement étirés. Ajoutant un puissant désir de Vous à mon désir de m’offrir complètement.
Le humbler est en place. J’ondule lentement pour en tester la tension, en apprécier la contrainte.
« Tient »
C’est Maître Max qui vous a tendu quelque chose
Que j’identifie immédiatement. Votre roue à pic parcours mon corps. Je comprends immédiatement pourquoi. Je dois habituer mes couilles à des tensions bien plus grandes que mes simples ondulations. Vous jouez sur les endroits les plus sensibles avec une virtuosité inégalée : L’intérieur de les bras, l’intérieur de mes cuisses, mes flancs, mes couilles bien sûr. Les zones s’alternes sans logique. Et les mouvements induits étirent mes testicules. Je me sens si bien et des souffles de bonheur s’échappent déjà de mes gorges…
Les premières caresses du puddle sont douces… Vous le laissez glissez sur mes cuisses, mes fesses mon dos et entre mes jambes.
Le premier claquement… Et l’onde qui se repend… De ma cuisses à tout mon corps, qui immédiatement en appel un autre… Leurs puissances grandis doucement. Vous me chauffé, avec cette maîtrise absolu de vos instruments qui ne Vous quittes jamais. Vous êtes entièrement centrée sur moi. Je le sens, et je jouis de ce privilège absolu.
Les coups s’enchainent et la tentions monte… Je sais que je gère loin les morsures du puddle… Mais loin jusqu’où…. La douleur est là. Elle m’accompagne. Elle est Votre cadeau…
Alors le silence… Alors le moment de vérité…
Je sais que c’est le fouet qui va prendre le relais. Je suis entièrement tendu vers vous. Je VEUX aller au bout de moi-même… Et Vous offrir même au-delà !!
Déesse s’est levée… A genoux devant moi, elle sert mes poignets
« Tu es si beau comme ça… C’est ton moment mon Empire… Explore le et renait à toi-même… »
Vous vous relevé à peine ses mots murmuré à mon oreille…
Déesse sert ses mains :
« Ferme les yeux , entre en ta Maîtresse … »
Votre fouet claque sur mes épaules. Ma peau s’électrise et la douleur violente irradie !!! Le cri monte de mon ventre mais je le retiens… Et malgré moi mon corps se tend vers Vous !!
Et Votre symphonie alors s’exprime pleinement… J’ai retenu mes cris, mon corps danse à votre rythme… Alors qu’elle cesse soudain, je perce le silence
« Encore… Encore Maitresse… ENCORE !!! »
Déesse pose son doigt sur mes lèvres :
« Chut…. Ai confiance… »
Et Votre mélodie reprend… Elle me mènera au bout de moi-même, au bout de mes forces, au bout de tout ce qui me blessait tant.
Epuisé, anéanti, je me suis effondré… N’étant que douleur et souffrance…
Alors…
Alors Vous m’avez mis a genoux
Alors Vous m’avez serrez contre Vous
Alors Vous avez posé vos lèvres sur les miennes et m’avez offert un merveilleux baiser…
« Tu as été merveilleux mon Empire, tu as été sublime… Je suis tellement fier de toi, et tellement fier de ta force… Merci … »
Déesse déposera un baisé sur ma joue tandis que les larmes coulent à flots, tandis que je suis en sanglot incontrôlable tout contre Votre épaule…
J’avais tellement besoin de ces mots, tellement besoins de ressentir vraiment ma force, tellement besoin d’être reconnu…
Merci Maitresse…
Ce n’est qu’un rêve… Mais en ouvrant à nouveau les yeux, je pleure vraiment….
Parce que ma Maitresse lit dans mes envies, elle sait révéler sa présence au bord du précipice. Alors que comme au ralenti je tombe, ses doigts se referment sur mon cou et doucement me ramène contre Elle…
C’est ce qui s’est passé ce début d’après-midi alors que je m’éveillais de ma première vrai nuit de sommeil sans douleur depuis une semaine. Gonflé de désirs et de pulsions qui d’un coup s’éveillaient et qui rencontraient un message de ma Maitresse me conviant à faire ensemble un rêve…
Pour préparer ce « voyage », je dois d’abord choisir 4 objets sur le site « méo ». Ce sont ses 4 objets qui accompagneront notre parcours.
Le site est riche, très riche même et mes pulsions grandissantes me poussent vers des choix extrêmes… Mais je ne parviens pas à les retenir. J’ai besoin d’objets qui me parlent d’Elle, dont je sois certains qu’ils seront bien entre ses mains…
Le premier est presque évident tant il est sa marque : Un fouet de cuir, souple et long. Le second me préparera au premier : Un paddle de cuir lourd. Le troisième virevolte tellement entre ses doigts que je ne peux le prendre : Une roue à pic simple. Enfin, le dernier est le fruit de mon imaginaire et de mes fantasmes (peut être aussi suggéré habilement par ses mots à Elle) : Un humbler de bois noir vernis…
Avec ses objets en têtes, munis depuis le début de ma recherche sur « méo » de mes cruelles pinces sur mes tétons et sentant déjà la douleur m’envahir, je m’allonge sur mon canapé… Nu, les bras le long du corps. Je ferme les yeux et ralenti ma respiration…
Apprivoiser cette douleur, la laisser m’envahir pour qu’elle ne devienne qu’une mélodie en fond de mon rêve… Et laisser venir ma Maitresse..
A mesure que mes seins s’engourdissent, je sens ma queue se tendre… Derrière le voile de mes paupières clauses, Vous apparaissez… Et je n’ai nul besoin de me toucher pour sentir toute la puissance du désir qui enfin se libère en moi…
Pardonnez-moi Maîtresse mais en écrivant ces lignes, je n’ai plus mes pinces. J’ai voulu vivre profondément ce rêve avant de le retranscrire et une fois que je m’en suis « éveillé », une fois que Vous m’avez lâchez la main, la douleur a été intenable.
Et pardonnez-moi aussi, mais je vais retranscrire ce rêve tel qu’il m’est apparue, je sais que Vous préférerez mille fois la vérité à un roman…
A peine mes paupières se sont-elles fermées que je me retrouve comme par magie chez Vous. Dans votre salon. Je n’ai plus mon plâtre, ma jambe est intacte et je suis lové à vos pieds.
Nous ne sommes pas seuls : Maître Max et Déesse sont là avec nous. Ils sont assis l’un à côté de l’autre sur l’autre canapé.
C’est moi qui parle. Je dis à Déesse toute mon admiration. Je lui parle de l’émotion que j’ai ressentie face à sa si puissante soumission. Et aussi combien je me sens si loin d’atteindre son niveau et mon désir d’y parvenir.
Vous souriez. Votre main passe dans mes cheveux
« Crois-tu en être si loin ? »
« Oh oui Maîtresse, et pourtant comme j’aimerais être capable de m’offrir à vous comme cela ! »
Déesse sourie. Maître Max aussi… Il y a comme une complicité entre Vous trois. Je crois percevoir que Vous leur avez parlez de mon émotion en les voyants ensemble et que quelque chose se prépare.
« Leves toi »
Votre voix est douce, mais elle a pris cette profondeur qui à chaque fois me transcende.
C’est Vous qui me déshabiller complètement… Vos mains comme à chaque fois se plaquant sur ma peau et m’emportant dans les tourbillons de Votre puissance. Ma respiration s’accélère. Ma tête ondule sous l’émotion qui m’envahi.
« Tu peux aller aussi loin que je le décide, tu peux m’offrir autant que j’en ai envie… Je ne tolère pas que tu te sentes inférieur à qui que ce soit… »
Les larmes envahissent mon regard… Toute ma vie, j’ai attendu ces mots. Toute ma vie j’ai espéré en vain que quelqu’un crois en moi à ce point. L’adolescent invisible, inexistant, à qui personne n’a jamais fait attention tient enfin sa revanche sur des années d’humiliations…
L’émotion est forte dans la pièce. Le moment n’est pas un jeu. C’est une vérité nue qui s’impose. Celle d’une renaissance à moi-même que Vous allez m’offrir… Et tous le perçoivent…
Vous me faites mettre à quatre pattes sur la tapis, les fesses tournées vers vos invités. Quand vous placé le humbler, vous me murmuré :
« Je ne t’attache pas, je veux que tu sois libre de vivre la suite. C’est ta propre force épaulé par la mienne qui va te faire voyager bien au-delà de tout ce que tu pensais pouvoir vivre… »
Vous prenez grand soin de mes bourses. Doucement et longuement étirés. Ajoutant un puissant désir de Vous à mon désir de m’offrir complètement.
Le humbler est en place. J’ondule lentement pour en tester la tension, en apprécier la contrainte.
« Tient »
C’est Maître Max qui vous a tendu quelque chose
Que j’identifie immédiatement. Votre roue à pic parcours mon corps. Je comprends immédiatement pourquoi. Je dois habituer mes couilles à des tensions bien plus grandes que mes simples ondulations. Vous jouez sur les endroits les plus sensibles avec une virtuosité inégalée : L’intérieur de les bras, l’intérieur de mes cuisses, mes flancs, mes couilles bien sûr. Les zones s’alternes sans logique. Et les mouvements induits étirent mes testicules. Je me sens si bien et des souffles de bonheur s’échappent déjà de mes gorges…
Les premières caresses du puddle sont douces… Vous le laissez glissez sur mes cuisses, mes fesses mon dos et entre mes jambes.
Le premier claquement… Et l’onde qui se repend… De ma cuisses à tout mon corps, qui immédiatement en appel un autre… Leurs puissances grandis doucement. Vous me chauffé, avec cette maîtrise absolu de vos instruments qui ne Vous quittes jamais. Vous êtes entièrement centrée sur moi. Je le sens, et je jouis de ce privilège absolu.
Les coups s’enchainent et la tentions monte… Je sais que je gère loin les morsures du puddle… Mais loin jusqu’où…. La douleur est là. Elle m’accompagne. Elle est Votre cadeau…
Alors le silence… Alors le moment de vérité…
Je sais que c’est le fouet qui va prendre le relais. Je suis entièrement tendu vers vous. Je VEUX aller au bout de moi-même… Et Vous offrir même au-delà !!
Déesse s’est levée… A genoux devant moi, elle sert mes poignets
« Tu es si beau comme ça… C’est ton moment mon Empire… Explore le et renait à toi-même… »
Vous vous relevé à peine ses mots murmuré à mon oreille…
Déesse sert ses mains :
« Ferme les yeux , entre en ta Maîtresse … »
Votre fouet claque sur mes épaules. Ma peau s’électrise et la douleur violente irradie !!! Le cri monte de mon ventre mais je le retiens… Et malgré moi mon corps se tend vers Vous !!
Et Votre symphonie alors s’exprime pleinement… J’ai retenu mes cris, mon corps danse à votre rythme… Alors qu’elle cesse soudain, je perce le silence
« Encore… Encore Maitresse… ENCORE !!! »
Déesse pose son doigt sur mes lèvres :
« Chut…. Ai confiance… »
Et Votre mélodie reprend… Elle me mènera au bout de moi-même, au bout de mes forces, au bout de tout ce qui me blessait tant.
Epuisé, anéanti, je me suis effondré… N’étant que douleur et souffrance…
Alors…
Alors Vous m’avez mis a genoux
Alors Vous m’avez serrez contre Vous
Alors Vous avez posé vos lèvres sur les miennes et m’avez offert un merveilleux baiser…
« Tu as été merveilleux mon Empire, tu as été sublime… Je suis tellement fier de toi, et tellement fier de ta force… Merci … »
Déesse déposera un baisé sur ma joue tandis que les larmes coulent à flots, tandis que je suis en sanglot incontrôlable tout contre Votre épaule…
J’avais tellement besoin de ces mots, tellement besoins de ressentir vraiment ma force, tellement besoin d’être reconnu…
Merci Maitresse…
Ce n’est qu’un rêve… Mais en ouvrant à nouveau les yeux, je pleure vraiment….
Dimension:
1280 x 960
Taille:
420.13 Kb
5 personnes aiment ça.
Lady Liliam
Palpitations, frissons, émotions....merci....le reste ce sera entre NOUS....
J'aime
2
06/10/13
Empire
Merci beaucoup à tous et à toutes... Mes mots ne sont que le fruit de ce que Ma Maîtresse distyle en moi... Heureux qu'ils vous ai touchés...
J'aime
2
07/10/13