Vice Roi
le 26/06/20
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J'ai souvent l'impression, sur ce site comme ailleurs, de me trouver dans le 1984 d'Orwell. La ligue antisexe, la bienpensance, les cadres du parti, la méfiance, la paranoïa, les discours convenus, pour ne pas dire obligatoires, l'ennemi public, les victimes expiatoires, la rédemption mise en scène, l'orthodoxie... Quiconque pense différemment, quiconque remet en cause la doctrine officiellement admise et soutenue se retrouve immédiatement calomnié, pris à partie, sommé de changer son point de vue sur le principe moralisateur d'une morale moralisatrice moralisée interdisant toute éthique, toute réflexion, toute individualité...
La nouvelle orthodoxie ? On peut la résumer ainsi: Les femmes ont toujours raison. Peu importe leurs contradictions, leurs incohérences, leur absence d'argument, le flou ou l'absurdité de tel ou tel propos, leur orgueil, leur vanité, leur narcissisme, leur paranoïa, leur hypocrisie, leur irrationalité, leur susceptibilité, leurs manques de respect, nous sommes censé tout accepter sous prétexte qu'elles sont des femmes... Donc délicates, donc fragiles, donc victimes permanentes…
Cette victimisation fantasmée, sous couvert de féminisme, transforme les hommes en coupables à priori, devant prouver leur innocence encore et encore et encore... Sans fin. Le moindre mot jugé de travers, la moindre critique, la moindre vexation de leur petit égo, le moindre soupçon de faute et l'on sera zappé sans ménagement, sans explication, et ce peu importe le temps investi dans l'échange…
Cette présomption de culpabilité, via les biais de confirmation qui l'accompagnent, rend presque impossible un quelconque rapprochement. Et l'on a bien sûr pas le droit de critiquer ce type de comportement, sans quoi on tombe sous le coup du même jugement redondant.
Il fut un temps où le féminisme, le vrai, revendiquait un traitement indifférencié, l'égalité. Égalité des droits, des libertés, des salaires, des désirs…
Aujourd'hui quand un homme exprime ses désirs dans le seul but de trouver quelqu'une qui les partage dans une relation de désir à désir, il se voit traité en monstre bestiale, en "bête" stupide et insensible, en bite sans cervelle…
Une relation "hard" ? Sérieusement sexuelle? Dominer ? Avoir tout pouvoir sur une femme ? Imposer son mode de fonctionnement masculin ? Impossible, y compris aux yeux de celles qui se prétendent soumises mais agissent en enfant gâté, incapables d'humilité, incapables de lâcher prise, incapables de se plier à un rythme autre que le leur. Car ne vous en déplaise, un homme n'est pas une femme. Si vous voulez vous soumettre à un homme, il vous faut déjà accepter ce simple fait: vous êtes la soumise. Vous n'aurez pas le contrôle, vous n'aurez pas le pouvoir, vous ne donnerez pas le tempo, vous ne déciderez pas, vous ne pourrez imposer que vos limites.
Nombre de soumises m'apparaissent comme des dominantes passives, lâches, planquées dans l'apparence de la soumission comme dans un théâtre où le dominant ne serait qu'une marionnette, un pantin perroquet de leurs propres désirs. "Je veux ça, dis moi de vouloir ça, je te l'ordonne." Une complexion psychologique qui exclut toute véritable soumission honnête et sincère. Vous voulez imposer le mode de fonctionnement féminin ? Faites vous dominantes. Dès lors que vous reconnaissez que les femmes fonctionnent différemment, vous devriez , si vous voulez vous soumettre, accepter le fait que les hommes ne fonctionnent pas comme vous et vous plier à leur fonctionnement. C'est le minimum de cohérence à avoir pour se dire soumise. Le BDSM n'est pas un jeu, comme il est souvent dit, alors cessez de jouer.
Le plus ironique dans la victimisation des soumises c'est qu'elles sont censées être masochistes... Concernant le postulat de culpabilité des hommes, il me fait penser aux procès de sorcellerie, on y trouve le même type de raisonnement circulaire, le même refus de toute réfutabilité. Soit on est coupable de ce qu'on nous reproche, soit on est coupable d'être innocent, donc de jeter le doute sur les accusations, donc sur les accusatrices... Pile je gagne, face tu perds. Si nous ne prouvons pas notre innocence c'est que nous sommes coupables, même si nous n'avons rien fait, même si il n'y a rien dont on puisse être accusé, et que les accusations ne sont ni formulées ni étayées. Le soupçon suffit à ce que la condamnation tombe irrémédiablement.
Et si l'on prouve notre innocence, on devient suspect car si on avance des preuves c'est bien que l'on a quelque chose à cacher... On devient même coupable de se défendre, donc de les remettre en cause. Car si l'on est innocent c'est bien que l'on est coupable de s'être défendu du jugement qui pesait sur nous, donc d'avoir refusé son autorité. C'est ce qu'on appelle une idée fixe. On est coupable, du fait d'être un homme, du fait d'avoir des désirs, du fait de les exprimer, du fait de les défendre, du fait de ne pas les défendre, du fait d'avoir tort, du fait d'avoir raison, du fait de vouloir dominer...
Comment dominer dans ces conditions ? On se soumet au jugement, on est condamné, on le refuse on est condamné également. Tout est dit. La présomption de culpabilité des hommes rend la domination masculine impossible. Ces "soumises" veulent dominer. Elles veulent avoir toujours raison, elles veulent que leurs jugements, même les plus arbitraires, face force de loi... Bref elles réclament tout pouvoir là où la soumission consiste à l'abandonner. Aucune cohérence. Il pourrait s'agir d'un test par l'absurde, du genre si on accepte l'absurdité de ce qui nous est demandé c'est que l'on respectera forcément leur limites, mais c'est bien trop contradictoire pour être acceptable ou cohérent.
Pire, tout cela engendre de la frustration, des tensions qui servent ensuite à légitimer leur attitude paranoïaque tout en produisant les réactions masculines dont elles se plaignent... Bref, là où l'on souhaite l'épanouissement du désir et du plaisir, elles agissent en nonnes, en vielles bigotes coincées, en petites gamines bourgeoises pédantes et imbues d'elles-mêmes, en petites filles naïves et faussement asexuées, en branleuses hypocrites incapables d'assumer leurs désirs...
Un homme qui veut une soumise, une esclave, veut une femme qui ne lui dictera pas sa conduite mais s'y pliera. Les femmes d'aujourd'hui ne savent plus se soumettre, elles sont orgueilleuses et vindicatives. Lorsque l'on dit que la personne soumise détient le pouvoir, elles le prennent au pied de la lettre, au lieu de comprendre qu'il s'agit d'une perspective donnée par le droit de véto dont elles disposent…
En dernier lieu, elles disposent du pouvoir, mais seulement en dernier lieu.
Elles n'apprécient pas que l'on cherche une soumise, il faudrait presque leur donner l'impression d'une rencontre fortuite, que l'on vient vers elles par hasard et sans intention de les dominer... Ben oui, ce n'est pas leur personnalité qui nous attire vers elles, et alors ? Elles cherchent bien un homme. L'orientation sexuelle précède la recherche de partenaire. Pour le dire vulgairement, on cherche d'abord un vagin ou une bite et ensuite on s'intéresse à ce qu'il y a autour.
Elles prennent les hommes pour des monstres débiles mais voudraient se soumettre à l'un d'eux ?! Se plaignent des frustrés mais ne font rien pour qu'ils ne le soient plus ?! Le premier venu pourrait faire l'affaire si elles avaient réellement le désir de se soumettre, d'obéir, mais elles veulent choisir celui qu'elles jugeront digne de leur soumission... Imposer leurs jugements, leurs critères, leurs préjugés, leurs contradictions, leur rythme, leur arbitraire... Bref, détenir le pouvoir au nom de cette recherche. "Soumets toi, tu pourra peut-être me dominer…"
Je cherche une masochiste mentale et physique, une femme qui ne prendra pas ombrage de la moindre vexation de son petit égo narcissique mais qui, au contraire, les appréciera et en redemandera. Je veux une femme qui mouille à l'idée de n'être qu'un jouet entre mes mains, un objet de plaisir, une petite chose sans volonté, sans soucis, sans doute ni hésitation, une animalité soumise, dominée, et heureuse de l'être, une marionnette offerte. Une vraie femme, décidée et volontaire, pas une vulgaire femelle aveugle obéissant à ses instincts et conditionnement de reproduction. (Sélection d'un partenaire après appel d'offre et mise en concurrence, nidification, accouplement et procréation...) je veux une femme objet de mes désirs comme des siens. Une femme venue se soumettre, appartenir à un homme, égoïstement, pour son plaisir, et qui trouvera l'épanouissement dans la servitude la plus absolue, à mes pieds. Je ne cherche pas une amoureuse béate, je cherche une esclave soumise. Ce faisant, je me met en retrait car elle est l'actrice de sa soumission, sans quoi elle ne serait pas librement offerte.
Nous sommes égaux devant le désir, devant la relation, et nous désirons tout deux l'asymétrie de nos rapports. Dès lors, plus question d'égalité, je décide et elle obéit... C'est cela que je ne comprends, ou plutôt n'accepte pas. Je veux dominer, je suis donc prêt à dominer mais les femmes qui veulent se soumettre n'y sont jamais prêtes, comme si leur désir n'était pas déjà constitué, construit, ou restait bloqué, soumis, subordonné à des conditions alambiquées... Je veux prendre possession d'un être de purs désirs, sans morale, sans tabou, sans hypocrisie, sans faux-semblants, une vraie femme honnête et sincère ou qui souhaite le devenir.
Mais à chaque fois, mon désir reste incompris. La libération des désirs, la sensualité décomplexée, la construction de soi comme être de désirs positivement exprimés et assumés pour eux-mêmes se confrontent à des jugements moralisateurs, inhibiteurs, castrateurs, plus coincés les uns que les autres, brandissant toujours la trivialité du sexe, son immoralité prétendue, la peur, les risques... Les soumises que j'ai croisé sont coincées, elles ont peur du sexe, peur des hommes et de leurs désirs, au point de refuser ce constat qui appellerait un effort de leur part... Je persiste à exprimer ma pensée encore et encore, même si je sais que c'est peine perdue. Je ne serai pas entendu, pas compris mais certainement jugé. Je suis libre, mes désirs sont libérés, je les exprime sans filtre et j'attends qu'une bonne âme y réponde pour nous épanouir ensemble dans une satisfaction mutuelle. Où est le mal ? Nulle part.
Les sujets passifs, attendant dans la contemplation d'eux-mêmes l'apparition magique du déclic qui viendrait les libérer, les convaincre de se soumettre, ne m'intéressent pas. Je cherche un sujet actif, une femme qui veut, qui désire, qui décide de se soumettre.
Oses me dire que je ne cherche que du sexe dénué de finesse, que je manque de psychologie, (accusation qui révèle plutôt le besoin d'une thérapie, ou le besoin que le dominant se soumette...) que je n'ai qu'à aller aux putes. Tu ne feras qu'afficher ainsi ta propre médiocrité intellectuelle. Car si j'étais un tel homme, je ne perdrais pas mon temps sur ce genre de site, aucun des hommes accusés ainsi ne le méritent.
Le désir n'est pas sale, n'est pas mauvais, n'est pas honteux. Le désir est une émotion, comparable à la colère dans sa soudaineté et son intensité, pourquoi le refouler ? Pourquoi ne pas le vivre pour lui-même ? Pourquoi un homme qui veut vous baiser voudrait-il forcément vous jeter après ? Si l'on m'a reproché de manqué de psychologie, c'est parce que pour ces demoiselles, comprendre signifie accepter, hors si je les comprends, je n'accepte pas pour autant leur fonctionnement.
Elles font comme si la sexualité ne leur apportait aucun plaisir, comme si elle ne la désiraient pas... Et comme si désirer pour désirer était coupable. Comme si il fallait une autorisation pour désirer ou désirer seulement un sujet, comme si désirer un corps était mauvais... Sauf que l'orientation sexuelle précède toute relation dans l'ordre des causes et que notre personnalité tient de notre cerveau donc de notre corps. Si nous cherchons une relation, c'est parce que nous sommes sexués donc sexuels, sexuellement orientés, c'est ce désir qui créer les rapprochements nécessaires à toute cristallisation émotionnelle.
Mais non, elles persistent à vouloir une relation romantique, romanesque, épistolaire, virtuelle repoussant la réalité du désir . Ou plutôt un homme pour qui leur sexe, leur genre, compte moins qu'elle, leur personnalité etc... C'est narcissique. Elles croient valoir tout les efforts qu'elles réclament. Sauf que non. Elles n'ont rien d'unique, rien d'exceptionnel tant elles se confondent dans un puritanisme fleur bleue. Elles n'ont même pas l'abnégation d'une soumise authentique.
Dernier exemple en date de contradiction: les hommes manqueraient de psychologie mais il ne faudrait surtout pas leur donner des clés pour comprendre parce que ça pourrait les aider avec une autre... Heu... si ça c'est pas un postulat de culpabilité des hommes, supposant que même informés ils utiliseraient l'information à des fins de manipulation... Entre parenthèses, une femme qui veut être soumise ou dominée ne veut pas être "manipulée" ?!
On cherche une volontaire pour obéir, pour satisfaire nos désirs à l'exclusion de dépasser leurs limites... Et elles s'étonnent que l'on trouve étrange leur "réserve", refus, fuite, excuses, prétextes, arrogance, orgueil, vanité, ?! On veut obtenir satisfaction de nos désirs. On part du principe qu'il en est de même pour elles. Et cela se retourne contre nous.
Par exemple ceux qui envoient des photos à poils, espèrent exciter les personnes à qui ils les envoient, parce que eux seraient excités d'en recevoir…
Qui manque de psychologie déjà ?
Des hommes simples, voir simplets, mais honnêtes avec leurs désirs recherchant leur équivalent féminin; ou des femmes contradictoires, alambiqués, névrosées, psychotiques, voir hystériques dès qu'il est question de sexe ? Oups, la réponse est dans la question.
Précision, parce que les coupeurs de cheveux en quatre vont me le reprocher, ce n'est qu'un exemple, je n'ai jamais envoyé de photo de mes bijoux de famille. J'ai toujours été respectueux, on peut très bien vexer les gens sans les insulter.
À contrario, j'ai rarement été respecté par les femmes qui sous prétexte d'être derrière un écran et d'être des femmes se croient tout permis. Et si on est pas content c'est qu'on est des méchants ! Biais de confirmation encore et encore...
C'est forcément elles les victimes, bien sûr. Je suis vexant ? Cinglant ? Condescendant ? Pas autant que certains qui se croient plus malin que tout le monde en communiant dans des banalités lénifiantes. Oups j'oubliais, il faut caresser tout ce petit monde dans le sens du poil sinon il va piquer une colère et être tout grognon. Et oui, je ne rédige pas une complainte, mais une mise en accusation. C'est plutôt les bien-pensants qui se plaignent et accusent dès lors que l'on déborde leurs petites certitudes bourgeoises.
Je suis un vilain plein de frustration et de ressentiment ? Oui. Parfaitement. Et alors ? C'est un argument ça ? J'ai perdu près de quatre années de ma vie à chercher quotidiennement une soumise/esclave sur le net...
Si c'est pas une preuve de sérieux…
J'ai également investit plusieurs milliers d'euros dans du matériel neuf, là encore sérieux, hygiène... Pour quoi au final ? Tomber sur des escrocs, des spams, du phishing, des fakes, me faire poser des lapins, me répéter encore et encore dans des discussions rébarbatives et insignifiantes...
Mon analyse, quelle que soit sa pertinence à vos yeux, est le reflet de mon expérience de recherche. Qui fait d'une quête de liberté, d'épanouissement, de plaisir, un truc rébarbatif, chiant, ennuyeux à en crever ? Les femmes.
Suis-je misogyne ? Presque, car je fais la différence entre ce qu'elles sont et ce qu'elles ont dans la tête. Mais là encore ce n'est pas un argument car il ne s'agit pas d'un présupposé ou d'une prophétie auto réalisatrice. (Contrairement au présupposé de culpabilité des hommes qui engendre la méfiance des femmes qui engendre à son tour la frustration des hommes qui engendre à son tour la méfiance des femmes).
Je n'attend pas de miracle, je sais déjà comment la plupart vont réagir. Des femmes outrées vont grogner, grommeler, des hommes courtisans, ceux-là même qui sont les vrais manipulateurs, vont accompagner le mouvement dans l'espoir d'attraper quelque "soumise" naïve dans leurs filets en leur donnant raison...
Ceci est rédigé comme un texte d'adieu. J'arrête. J'ai assez perdu mon temps avec cette "communauté". Les femmes ne veulent pas se soumettre sinon elles ne chercheraient pas à tout contrôler, elles ne seraient pas si chiantes, pardon "tatillonnes". On dirait des gamines défendant leur " petite fleur" comme un trésor. On ne veut pas piller votre féminité, on veut la nourir. Mais ça vous échappe totalement. Une soumise n'est pas une fille facile ? Et pourquoi pas ? Pourquoi serait-ce un problème de l'être ? Pourquoi être compliquée au point de vous perdre vous-même dans vos contradictions ? Pourquoi fuir ce que vous désirez ? C'est pourtant simple. Choisissez un homme, et concentrez-vous sur lui et uniquement lui, avant d'éventuellement faire pareil avec un autre; au lieu de faire du lèche vitrine et de courir les prétendants. Comment voulez-vous vous lier à quelqu'un si vous êtes en discussion sur le même sujet et pour les mêmes motifs avec je ne sais combien d'hommes en simultané ?! Et oui, les pas sérieuses, les coureuses, les menteuses c'est vous.
Au moins quand un homme ment sa motivation est claire. Il veut baiser. Et au pire vous aurez partagé du plaisir. Alors que vous, on se demande ce que ça vous apporte, à part flatter votre égo... Et oui, je ne crois plus à votre innocence. J'ai perdu toute illusion vous concernant. Au mieux vous êtes prisonnières des attendus judéo-chrétiens qui vous condamnent à être soit des vierges, soit des épouses, soit des mères. Au pire vous êtes des coincées hypocrites qui veulent se croire moins coincées qu'elles ne le sont tout en le restant, des narcissiques, des hystériques frustrées et paranoïaques qui cherchent des hommes confirmant leur vision du monde pour déverser sur eux leur amertume... Et moi dans tout ça ? Ne serai-je pas le seul responsable ? Le seul à blâmer ? Ne serai-je pas dans l'erreur ? Ça serait plus simple... Pour moi, il me suffirait de changer de discours, hou le vilain menteur, mais aussi plus simple pour vous, pas besoin de vous remettre en question...
"C'est facile à dire", "blabla il y a des risques à se soumettre", "blabla il faut du temps"... Ok, mais dans ce cas consacres moi du temps. Ne disparais pas après trois messages. Les risques ? Lesquels ? "Blabla les faits divers " Non. Déjà rares sont les criminels, et encore plus rares ceux qui cherchent une victime volontaire, surtout que leurs pulsions s'accomoderaient mal de vos temporisations intempestives. Il est plus facile pour eux de choisir une victime dans la rue que sur le net, surtout vu le nombre de fakes et assimilés. Ensuite, vous croisez des hommes dans votre vie quotidienne alors pourquoi refuser une simple rencontre en public ? Y compris accompagnée ? Bref, foutaises ! Excuses ! Balivernes et billevesées !
"Blabla la confiance "? La confiance ne protège pas. Contrairement à la prudence. La confiance c'est du confort mental. (T'es pas censé être maso, cérébrale et compagnie ?) Toutes les personnes qui ont été trahies ont d'abord fait confiance. Si tu as peur, sois prudente. C'est quoi ce doute qui te fait réclamer du confort ? Si tu doutes de la personne, il te suffit d'être prudente et tu n'auras rien à craindre. Donc de quoi doutes-tu pour réclamer ainsi du confort ? De toi ? De la soumission ? De la compétence de ton dominant potentiel ? Du respect qu'il aura de tes limites ? De choisir "le bon" ?
Le bon... Encore une contradiction car l'exclusion des frustrés au titre que si ils ont été rejetés par les autres ils ne valent pas que tu t'y intéresses, approche commerciale cohérente avec la mise en concurrence, invalide totalement cette idée de trouver "le bon", celui qui ne conviendrait qu'à toi, pour la remplacer par la recherche du meilleur parti... Pas très romantique, ni sentimental, ni honnête, ni sincère, juste débile et mesquin car si cet homme perd ses qualités comparatives, pour une raison ou une autre, que deviendra votre relation ? La compétence et le respect des limites sont de bonnes questions mais la temporisation ne prouve ni l'une ni l'autre.
Un homme marié par exemple pourra tout à fait se montrer patient, là où un homme sérieux mais frustré sera plus pressant. Lequel vas-tu rejeter ? Sur quelle base ? Cela marche aussi avec un coureur ayant plusieurs "cibles" sous la main...
Les critères de recherche des soumises sont pour le moins inopérants, inappropriés, inefficaces, irrationnels, fautifs et trompeurs.
Je devrais peut-être rédiger un manuel "comment trouver son dominant"...
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Vice Roi
J'ai toujours été prêt à me montrer patient envers une demoiselle sérieuse, j'ai moi aussi besoin que l'on m'excite les neurones... Mais c'est l'inverse qui se produit. Je ne fais généralement que me répéter dans le vide... Et même quand ce n'est pas le cas, combien de fois ai-je laissé mon numéro ou proposé une rencontre en vain au cours d'une discussion bien engagée, mais pourtant sans suite... Il n'y a pas si longtemps je croyais avoir trouvé la perle rare. Elle posait des questions pratiques détaillées, avec un sens du réel et du détail tout bonnement prometteur. Elle devait venir chez moi pour une période d'essai... Le jour venu, étant sans nouvelles, je l'ai contactée et elle m'a répondu qu'elle avait trouvé quelqu'un d'autre "correspondant plus à ses attentes"... Bref, alors que selon elle, j'étais le bon et lui correspondait parfaitement, elle a continué à chercher... Comment croire encore à la sincérité de quiconque après ce genre d'expériences ? J'en suis arrivé à un point où le simple fait de discuter par le net me rebute. J'ai l'impression que l'on abuse de moi, de ma patience, de ma gentillesse, que l'on m'utilise... Tout ce que je demande c'est du sérieux dans la démarche. Mais tout ce qui relève de cette demande reste incompris. J'ai demandé à une demoiselle pourquoi je devrais la choisir elle plutôt qu'une autre. Elle m'a répondu:" parce que je suis vicieuse ". Je lui ai donc demandé de m'envoyer des photos. Dont je n'avais strictement rien à faire; des femmes nues, il y en a plein le net... S'en est suivi les habituelles excuses " j'ai du monde chez moi". Je l'ai donc invitée à se rendre dans ses toilettes pour baisser sa culotte comme d'habitude mais également faire une photo. Bloqué direct, comme je m'y attendais. Je ne veux tellement plus perdre mon temps que je donne dans l'auto sabotage. Les mots sont trompeurs, je veux des actes. Mais personne ne le comprends. Car c'est toujours le même problème. Pourquoi serait-ce à moi seul de leur exciter le cerveau ? Les femmes soumises ne le sont pas et ne le seront pas tant qu'elles croiront qu'on leur doit de les courtiser. Ce qui revient à inverser les rôles. Si j'ai mentionné le 1984, c'est aussi parce que c'est le genre de relation que je recherche, une relation comme interdite, clandestine, tabou, une relation sérieuse de par ses enjeux mais directe et sans fioritures, les personnages du livres ne perdent pas leur temps en bavardages inutiles, ils peuvent avoir peur ou même douter l'un de l'autre mais ils acceptent l'entièreté de leur choix, y compris ses pires conséquences possibles. ils savent que c'est un choix entier et sans retour, un pas à faire, un seuil à franchir, qu'ils sont déjà perdus dès lors qu'ils ont ne serait-ce que penser faire ce pas. Bref, ils ne sont pas inconscients, ils savent ce qu'ils risquent, mais ils s'en fichent, parce qu'ils savent ce qu'ils veulent, ils y sont résolus. Ils seront, ils feront ce qu'ils veulent parce que c'est tout ce qui leur reste. C'est ce que je cherche, une femme résolue à se soumettre, une femme sérieuse dans sa démarche. Hors j'ai l'impression de ne croiser que des gourgandines qui s'amusent…
J'aime 28/06/20 Edité
Linsoumise
? Ce texte est très interessant, n’est ce pas?
J'aime 23/09/20
Parloire
Énorme!
J'aime 23/09/20