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La rencontrePartie 2Ils commencèrent par discuter de chose et d'autres, ils en vinrent à évoquer quelques souvenirs de leurs discussions passées, les petits défis lancés et relevés,...Leurs consommations terminées, il paya, pris la main d'Anaè dans la sienne et l'entraîna dans les rues de sa ville.Au gré de leur déambulation, il l'emmena dans un lieu discret, qu'il affectionnait tout particulièrement et où il n'y amenait que des personnes qui a ses yeux en avaient gagnés le droit. Anaè était la première femme soumise a qui il faisait découvrir cet endroit, elle avait su l'émouvoir, piquer sa curiosité et lui faire vivre aux travers de ses textes quelques uns de ses fantasmes.Il s'assit sur un banc et d'un signe de tête, enjoignit Anaè à se mettre à ses pieds, sa nature de Dominant reprenant le dessus.Depuis qu'elle le torturait avec ses textes, affolant son imagination, lui inspirant des scenarii, lui donnant de violentes pulsions de domination sur cette soumise aux multiples facettes, capable de lui souffler l'inspiration pour ses créations autant que de le faire fantasmer.Une fois à genoux, elle prit d'instinct une position d'attente, il lui caressa doucement les cheveux, y enfonçant ses doigts, il lui tira brusquement la tête en arrière, et lui prit brutalement la bouche, forçant le passage avec sa langue et l'embrassa goulûment, ses mains descendirent sur sa poitrine, malaxant cette poitrine généreuse, pinçant ces tétons qui se dressaient et gonflaient avec cette delicieuse excitation qui montait.Il lui enleva son top, ses mains dansèrent sur le ventre d'Anaè, descendant lentement vers son entre-jambe.Il dégrafa le short, le fit glisser, arracha le string en dentelle qui lui barrait le passage.Il prit la main soumise et la posa sur sa verge turgessante, afin qu'elle lui donne du plaisir pour l'instant.Il caressa, pinça, écrasa effleura le petit bouton de rose, mettant Anaé au supplice.Celle-ci, se mordait la langue autant qu'elle le pouvait, pour retenir les cris qui lui montaient à la gorge, seuls de longs gémissements de plaisir arrivaient à franchir ses lèvres.Elle branlait ce sexe qui lui était offert avec application et délectation.Soudainement, il la mit debout, la prit dans ses bras et la plaqua contre un mur, lui releva les jambes, les mis autour de sa taille, plaça ses mains sous ses fesses et s'enfonça au plus profond d'elle avec violence, la pulsion étant tout aussi plus forte que son envie d'elle, de la posséder, de jouir d'elle.Dans un cri que l'un ni l'autre ne put retenir, ils jouirent à l'unisson.