Abyme
le 15/11/19
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Photo réalisée par VW Studios pour défendre la lutte féministe
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EN SOMMEIL Sisyphe_44
@ Lady Spencer : Je ne pense pas que les photos crado sur les paquets de clopes aient donné envie de ne plus fumer. Par contre si on aime passer à l'acte, voici un site intéressant : https://www.lesalondesdames.paris/fr C'est plus constructif.
J'aime 16/11/19
Lady Spencer
"BOOSTER LES PETITES FILLES Tous les mercredis, de 16h à 17h30 Le Salon des Dames coache les petites filles une fois par semaine pour leur apprendre à soulever des montagnes, et leur donner de nouveaux modèles féminins." C'est une des missions que je viens de trouver sur le site que vous indiquez Et les petits garçons ? On ne leur apprend pas à respecter les petites filles ?
J'aime 16/11/19 Edité
Alexandra16
@Lady Spencer. Je pense que la problématique est avant tout sociologique. Nous sommes un pays latin où l'éducation n'est pas la même que pour les pays anglo-saxons où on apprend aux filles une forme d'indépendance et une certaine affirmation de soi. Même si cela n'as rien à voir, il n'y a qu'à voir le déséquilibre entre le nombre de dominas et le nombre de soumis.
J'aime 16/11/19
Abyme
Vu les questions que ce post peut soulever, je reproduis ci-dessous le discours original, par VW Studios, que je n'avais pas cité car assez long : - Un peu d'histoire belge... 1847 : création de la fonction d'inspectrice des écoles maternelles, primaires et normales pour filles, et nomination de Zoé de Gamond, mais à sa mort la fonction est supprimée. 1864 : Isabelle Gatti de Gamond fonde la première école secondaire pour filles à Bruxelles, avec un programme éducatif complet pour l'enseignement secondaire inférieur. 1867 : loi criminalisant l'avortement (crime contre « l'ordre des familles et de la moralité publique »). 1868 : La baronne Léonie de Waha fonde le premier établissement d'enseignement secondaire pour jeunes demoiselle de Liège, place Saint-Paul. L'objectif est de permettre l'émancipation des jeunes liégeoises en dehors de l'enseignement prodigué par les couvents. Fait révolutionnaire pour le temps : les jeunes filles peuvent y choisir le cours de religion auquel elles assistent. 1879 : Un second établissement secondaire pour jeune fille est fondé à Bruxelles par Henriette Dachsbeck. 1880 : l'Université libre de Bruxelles s'ouvre aux femmes, suivie par l'Université de Liège en 1881 et par celle de Gand en 1882. 1884 : Isala Van Diest ouvre un cabinet médical. Pour permettre aux femmes de travailler comme médecin, un décret royal a dû être rédigé spécialement. Van Diest refusée en 1873 à la faculté de médecine de Louvain avait obtenu son diplôme en 1877 à Berne. 1888 : Marie Popelin est exclue du Barreau par la Cour de cassation. 1890 : la loi du 10 avril donne le droit explicite aux femmes d'accéder à tous les diplômes universitaires, ainsi qu'à celui de médecin et de pharmacien. 1892 : Isabelle Gatti de Gamond crée une section pré-universitaire au sein de son propre institut. 1892 : Marie Popelin, Louis Frank et Isala Van Diest fondent la Ligue belge du Droit des Femmes. Leur objectif principal est de revendiquer l'égalité juridique des femmes. 1893 : la première nomination d'une femme dans la fonction publique : Alice Bron devient membre du centre public d'aide sociale de Monceau-sur-Sambre. 1897 : La Ligue belge du Droit des Femmes organise un congrès féministe international à Bruxelles et y invite le Conseil international des femmes 1900 : la loi reconnaît le droit à l'épargne de la femme mariée, ainsi que le droit d'obtenir un contrat de travail et d'encaisser son propre salaire (avec un maximum de 3000 francs par an). 1902 : création de l'Union féministe belge et du Féminisme chrétien de Belgique (Louise van den Plas) 1905 : création du Conseil National des Femmes de Belgique 1907 : un premier athénée pour filles est fondé à Gand. Offrant également un enseignement secondaire supérieur, il permet aux filles d'avoir un accès plus aisé à l'université. 1914-1918 : Première Guerre mondiale 1919 : un nombre limité de femmes obtient le droit de vote : les mères et les veuves de militaires et de civils tués par l'ennemi ainsi que les femmes emprisonnées ou condamnées par l'occupant. 1920 : la loi du 15 avril accorde le droit de vote aux femmes aux élections communales (à l'exception des prostituées et des femmes adultères). Les femmes ont également le droit de se faire élire à la Chambre et au Sénat, même si elles n'ont pas le droit de voter aux élections législatives. (droit de Suffrage "universel" accordé aux hommes) 1921 : la Ligue belge du Droit des Femmes crée un parti féminin, le Parti général des femmes belges. Cette initiative ne connaît aucun succès. 1921 : 181 conseillères communales sont élues lors des élections communales. 1921 : des barèmes salariaux équivalents sont introduits pour les enseignants masculins et féminins. C'est le premier pas important vers l'égalité salariale entre hommes et femmes. 1921 : les femmes obtiennent le droit d'exercer les fonctions de bourgmestre, d'échevin, de secrétaire communal ou de receveur. Les femmes mariées doivent cependant toujours avoir l'accord de leur mari pour entrer en fonction. 1921 : Marie Spaak-Janson devient la première sénatrice belge, par cooptation. 1922 : les femmes obtiennent le droit d'exercer le métier d'avocat. 1928 : création du Groupement belge pour l'affranchissement de la femme (qui se scindera l'année suivante en La porte ouverte et le BBAF). 1929 : Lucie Dejardin devient le premier membre féminin de la Chambre des Représentants, par élection directe. 1934 : toutes les fonctions du secteur public sont désormais réservées aux hommes[réf. nécessaire]. À la suite de la crise de 1933, afin de préserver l'emploi des hommes, des mesures sont prises, comme en 1935 la réduction du salaire des fonctionnaires féminins et la fin de recrutement d'agents féminins de l'État sauf pour le nettoyage des bureaux. Après des protestations massives, ces arrêtés seront abrogés. 1940-1945 : Seconde Guerre mondiale 1948 : le droit de vote des femmes aux élections parlementaires, ainsi qu'aux élections provinciales est reconnu par la loi. 1949 : première participation des femmes aux élections législatives 1952 : la Belgique signe la Convention 100 du Bureau international du travail, portant sur l'égalité des salaires. 1957 : la Belgique ratifie le Traité de Rome, fondant la Communauté économique européenne. L'article 119 de ce traité porte sur l'égalité salariale entre hommes et femmes. 1962 : création du premier centre de planning familial en région francophone, La famille heureuse, dont le but est de lutter contre les avortements clandestins 1965 : première femme au gouvernement belge : Marguerite De Riemaecker-Legot en tant que ministre de la famille et du logement. 1965 : naissance du comité À Travail égal, salaire égal. 1966 : à peu près trois mille travailleuses de l'usine d'armes de la Fabrique nationale à Herstal se mettent en grève, afin d'obtenir l'égalité des salaires. La grève dure 11 semaines. 1968 : Gabrielle Defrenne, hôtesse de l'air, entame un procès contre la compagnie aérienne Sabena pour discrimination sexuelle. La Sabena oblige les femmes à partir en retraite à 40 ans, alors que leurs collègues masculins ont le droit de poursuivre le travail jusqu'à l'âge légal de la retraite. 1969 : la loi sur les contrats de travail interdit aux employeurs de renvoyer les femmes pour cause de grossesse ou de mariage. 1970 : la première action Votez femme à Bruges, organisée à l'occasion des élections communales, est un succès : le nombre de femmes élues monte de deux à sept. 1971 : le principe de l'égalité est appliqué aux allocations de chômage. 11 novembre 1972 : première Journée nationale des Femmes (jour choisi d'après le passage de Simone de Beauvoir à Bruxelles) 1972 : création du VOK en Flandres, comité de coordination des femmes : pluraliste, comprenant des femmes venant d'horizons idéologiques divers 1973 : arrestation du docteur Peers (qui pratiquait des avortements) : vastes manifestations et radicalisation des groupes. C'est le début de longues luttes et tentatives pour dépénaliser l'avortement. 1973 : création du GRIF (Groupe de recherche et d'informations féministes) et première parution des cahiers du Grif, revue internationale féministe de haut niveau 1973 : l'interdiction légale portant sur la propagation et la publicité pour les contraceptifs est levée. 1974 : la commission pour l'emploi des femmes est créée dans le cadre de la préparation de l'année internationale de la femme en 1975. Il s'agit d'un organisme consultatif au sein du Ministère du Travail et de l'Emploi, proposant des mesures en rapport avec le travail des femmes. Cette commission fonctionne jusqu'en 1985. 1974 : un parti féministe se présente aux élections législatives : le VFP (Parti féministe unifié). Il n'obtient aucun siège. 1974 : la loi sur l'égalité parentale accorde les mêmes responsabilités au père et à la mère dans l'éducation ainsi que dans la gestion des biens des enfants. 1975 : la concertation sociale aboutit à un Contrat collectif du travail (CCT) pour l'égalité salariale. 1976 : le 11 novembre, la Journée des Femmes a pour thème: Avortement, les femmes décident. Création de comités pour la dépénalisation de l'avortement pour centraliser les actions des groupes régionaux et de développer d'autres groupes de pression 1976 : la loi impose l'égalité des hommes et des femmes dans l'exercice des droits sur la propriété matrimoniale et consacre l'égalité de l’homme et de la femme dans le mariage. Les femmes obtiennent l'autorisation d’ouvrir un compte sans l’autorisation du conjoint. 1978 : création du premier centre de documentation RoSa (néerlandophone) 1979 : création de l'Université des Femmes (francophone) 1980 : 2e Conférence mondiale de la décennie des Nations unies pour la femme : égalité, développement et paix (Copenhague) 1984 : une nouvelle loi protège les droits de succession du partenaire survivant. 1985 : un secrétariat d'État pour l’Émancipation sociale est créé au niveau fédéral. L'égalité des chances fait son entrée officielle en politique. 1986 : une nouvelle commission pour le travail des femmes est créée au sein du Secrétariat d'État à l’Émancipation sociale. 1986 : premier centre académique d'études de la condition féminine (women's studies) à la VUB (reconnu officiellement comme centre de recherche en 1998) 1989 : la politique de l'égalité des chances est confiée au Ministre de l'Emploi et du Travail. 1990 : l'IVG est partiellement dépénalisée (article 350 du code pénal, modifié par la loi du 3 avril 1990.) 1993 : un Conseil pour l'égalité des chances est créé au niveau fédéral, poursuivant le travail de la Commission pour l'emploi des femmes, créée en 1986. 1994 : la loi Smet-Tobback impose aux partis de confier au minimum un tiers des places de leurs listes aux femmes, à tous les niveaux électoraux, de la commune à l'Europe. 1995 : la première femme Ministre de l'Égalité des chances est nommée au sein du gouvernement flamand. 1995 : créations fédérales1, Amazone, centre de rencontres pour les femmes, hébergeant des associations féministes et Sophia, Réseau de coordination des études féministes. 2002 : création de l’Institut pour l'égalité des femmes et des hommes, une institution publique fédérale belge qui a pour mandat de garantir et de promouvoir l’égalité des femmes et des hommes, de combattre toute forme de discrimination et d’inégalité basée sur le sexe. 2003 : parité et alternance dans les listes électorales en Belgique 2018 : A travers le monde des femmes sont toujours exploitées sexuellement , mutilées , battues , contraintes , considérées comme des êtres inférieurs jusqu'à être privées d'éducation ou de pouvoir faire des choses élémentaires...cette image , certes forte , représente à mon sens , cette condition ou la femme n'est considérée que comme un objet ou une marchandise , ou elle n'a pas les mêmes droits et libertés que "l'homme" ! Qu'ajouter de plus , si ce n'est que j'espère que cette image va faire réagir les consciences endormies , qui ne se rendent pas compte qu'à l'heure actuelle des millions de femmes sont privées de la moindre liberté Modèles : Mademoiselle Lexye Roxanne , Lya Koukla Matryoshka Doll Suicide Girl Hopeful ?????????? , et xXx Photo et cordes : VWphotostudio© Un grand merci aux amis présents lors de ce shoot
J'aime 19/11/19
EN SOMMEIL Sisyphe_44
"On ne leur apprend pas à respecter les petites filles ?". Ben non, cela ne me semble pas possible, le site étant 100% "full women". Il est d'ailleurs regrettable que ce soit des femmes hors de la famille qui se chargent de ça. C'est un travail d'éducation, il relève du domaine des parents. Ici, chez moi, on a fait plein de filles. Elles ont toutes été bien brifées sur le type de société dans laquelle elles allaient mettre les pieds et ont choisi un comportement assez fort qui n'empêchent pas les sentiments. 1/ Les partenaires qui ont voulu jouer les machos ont été très déçus. Sauf deux, elles sont toutes passées par les arts martiaux ou les sports de combat. 2/ Leurs garçons ont été éduqués dans le respect des filles.
J'aime 19/11/19 Edité
Gallia
Je suis bien d'accord avec la cause en question... Mais... Même si je fais un HS total, ce qui me gêne le plus moi, dans cette photo... C est l endroit choisi.. Car pendre des femmes dans cet abattoir choque la morale, alors qu y voir des animaux pour qui ce genre d endroit a été créé afin d y creuver en souffrance pour notre "bien" fait partie de "notre" morale en revanche.. C est mon côté Bardot certes mais moi cette image, je la verrais mieux pour sensibiliser a la cause animale..
J'aime 19/11/19
Elle.a
Pour moi, ce qui est le plus gênant, dans cette photo, c'est l'absence de légende qui donne donc le flanc à toutes les interprétations. Autant le "J'accuse" de Saez était clair, bien qu'il ait donné lieu à une volée de bois vert, autant sur ce cliché, rien n'est évident.
J'aime 19/11/19
Abyme
Elle.a : D'où le complément ajouté ci-dessus, la légende d'origine, que je n'avais pas indiquée à la base car trop longue.
J'aime 20/11/19
eneidem
A première vue.. on a du mal à interpréter le message féministe. Pourtant..... photo très représentative de la condition des femmes, suspendues, surexposées, vulnérables, violentées, 148 féminicides quand même depuis janvier.
J'aime 21/12/19
Elle.a
Une amie à moi a été harcelée et victime de violence par son ex mari, parce qu'elle a eu l'outrecuidance de divorcer. Il a fracassé sa voiture à coup de marteau, il a voulu lui roulé dessus à plusieurs reprise, il venait le soir casser sa porte d'entrée, il lui crachait au visage chaque fois qu'il la croisait, et, étant au chômage, vous pensez bien qu'il faisait tout pour la croiser souvent. Je vous passe les insultes, bien sûr. A force, la police ne se déplaçait même plus quand elle appelait. Nos chers flics ne venaient que quand c'était la voisine qui téléphonait. Il a fallut qu'elle attende 2 ans pour que sa plainte aboutisse et qu'il soit condamné à quelques mois de prison avec sursis, assortis d'une mesure d'éloignement. On peut déposer une plainte et être entendue, il ne faut juste pas être pressée, et ne surtout pas avoir besoin de se sentir protégée...
J'aime 21/12/19
Luxurésens
On marche sur la tête. Il y a deux justice dans ce pays. Quand ça touche le pognon ça cogne vite et fort. Quand ça touche les gens ,là faut prendre son temps et les peines sont ridicules. Et ne parlons pas des multi récidivistes ! Je pourrais tuer sans remords je crois...
J'aime 21/12/19 Edité
Elle.a
En plus, Gladiateur, je vous signale que vous parlez de victimes, pas de femmes fautives de ne pas porter plainte. Il est très compliqué de sortir des schémas inculqués dans l'enfance. Ce sont souvent des femmes qui ont vues leurs mères se faire battre, ou qui ont, elles-même été victimes de violence de la part d'un ou des deux parents. Toutes les personnes qui travaillent ou aident les femmes battues vous diront qu'il faut être à l'écoute, et ne jamais rien brusquer, attendre que la décision viennent d'elles. Soutenir, ne pas juger, ne rien brusquer, et on a une chance de les sortir de là. Ce n'est pas simple. Et dire "Y'a qu'à, faut qu'on", c'est facile quand on a pas la même vie.
J'aime 21/12/19
Elle.a
Si vous vous intéressez à la question, Gladiateur, vous vous rendrez-compte que les aides gouvernementales aux associations d'aides aux femmes victimes de violence sont de plus en plus réduites, et on assiste à la fermeture de plus en plus de foyer d’accueil du fait même de ce désistement financier de l'Etat. Vous faites un amalgame entre ces mêmes structures d'aide, et les institutions chargées de protéger et de faire des rappels à la loi. Une femme qui fait appel à la police a besoin d'être protégée à un instant T, et après, et qu'elle ne puisse obtenir cette aide est inacceptable.
J'aime 22/12/19
Elle.a
Quand je vous dis qu'il faut du temps, et accorder beaucoup d'écoute aux femmes victimes d'une relation violente, c'était pour vous expliquer que votre argument du "Y'a qu'à porter plainte", "Faut qu'on utilise ce qui est mis en oeuvre pour protéger". Yakafôkon, donc. C'est extrêmement facile d'être un homme, et de regarder ce phénomène d'un oeil optimiste et critique. C'est autre chose que d'être confronté au problème, et d'avoir affaire à ce type de public.
J'aime 22/12/19
Elle.a
Arf, vous avez effacé votre réponse, dommage...
J'aime 22/12/19
Lady Spencer
Elles "attendent" que les possibles protections que tu énonces comme fonctionnant H24, le soient réellement, et surtout, que cette mentalité masculine et féminine parfois aussi, soit balayée en expliquant que tout est simple, facile et à la portée de toutes les femmes (et hommes) victimes de violences physiques et psychologiques .
J'aime 23/12/19 Edité
Lady Spencer
Elles attendent aussi de ne plus être en état de sidération, de ne plus être honteuses de recevoir cette violence en pleine tète, de se retrouver à terre devant leurs enfants, de ne pouvoir les protéger, elles attendent juste que la douleur cesse et souvent, elles attendent que la mort arrive . Facile de balancer des stats, même si elles sont vraies ces stats, facile de dire que chaque département a un service spécialisé, et des services juridiques informés, on notera d'ailleurs ta brillante réflexion sur les 80% de personnel féminin dans les tribunaux : donc, puisque ce sont des femmes, elles devraient mieux comprendre et travailler plus vite pour donner suite, c'est ça ? ..... Eh bien non, tout ne fonctionne pas bien : les services de police et de gendarmerie ne sont pas assez formés et ils le dénoncent chaque jour, les assos sont débordées et n'ont pas les moyens financiers pour organiser leur service correctement, les pompiers souvent là en 1er, ne savent pas toujours comment agir.... Alors oui, elles attendent, toutes ces victimes de violences, elles n'osent pas, elles souffrent en silence en se disant qu'un jour, ça va s'arréter.
J'aime 23/12/19 Edité
Linsoumise
J’ai vu bc de plaintes refusées par les commissariats ... parce qu’une main courante c’est déjà bien... j’ai vu un flic recevoir une victime de viol entre époux avec des poster de femmes à poils derrière lui... j’ai entendu des propos du genre « vous aviez ce décolleté là au moment des faits ? » bref... j’ai vu tout plein de choses qui ne vont guère dans le sens de favoriser le dépôt de plainte et la protection... après j’ai aussi vu des gendarmes mobilisés et des protections des personnes fonctionner... mais une dégringolade sociale en prime : isolement / fuite / plus un rond / etc... y’a encore bc à faire et surtout en terme de cohérence de parcours : de la plainte à la protection, de la dépendance à l’autonomie totale, des faits violents à la condamnation...
J'aime 24/12/19
Elle.a
J'espère que vous vous réincarnerez en femme, Gladiateur. Vraiment !
J'aime 04/01/20
Linsoumise
Salomé sans doute un post ... effacé?
J'aime 04/01/20