Le week end approche, hum, je m'en réjouis
Dans l'album: Les photos du mur perso de Lady Gabrielle
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20/28
Berny
Le we approche mais vous ne savez ce qui m'attend . Moi non plus d'ailleurs mais je sais que cela va être éprouvant paraît-il .
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21/09/18
ludic2
tu nous raconteras Berny :smiley:
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22/09/18
Berny
RETROSPECTION
Cela fait maintenant 13 ans révolus que je suis le soumis consentant de Lady gabrielle. Depuis le jour où Elle m'a proposé d'être son serviteur docile, notre relation a bien évidemment évoluée. Les trois années durant lesquelles nous ne vivions pas ensemble ont été une période de pure Domination/soumission . Puis , nous nous sommes installés ensemble et par la force du changement qui a constitué un chamboulement dans nos existences , nous avons mis notre BDSM de côté. Il nous fallait nous adapter à notre vie commune. Le côté « vanille » avait prit le dessus.
Ce n'est que deux années plus tard , que nous avons renoué avec ce mode de vie qui fait parti de nous , de nos individualités, de nos « MOI » profonds. Attention, je ne parle pas d'égo. Nous avons bien vécu ces années entre « vanille » et BDSM. Il nous est ,cependant,impossible de négliger nos familles respectives.
La famille , les amis procurent obligatoirement une très certaine et inévitable perturbation dans le déroulement de notre relation BDSM. Sept ans après notre rencontre Lady gabrielle a exigé que l'on se marie pour sceller définitivement par la loi mon appartenance. Il va sans dire qu'un mariage peut s'interrompre par un divorce mais c'est beaucoup moins aisé qu'une rupture entre compagnons.
Avec notre mariage et la vie commune , notre côté BDSM était devenu une sorte de consensus un peu mou. Dans ce mode de vie aussi , le BDSM, la routine peut s'installer . C'est ce qui nous est arrivé.
La rencontre d'une jeune femme soumise nous a obligé à nous remmettre en question.
Au cours d'une soirée dédicace organisée par cette amie, nous avons rencontré l'auteure de livres traitant du BDSM. Cette auteure , authentique soumise masochiste, décrit parfaitement la relation D/S qu'elle entretient avec son Maître.
Une relation de plénitude, de compréhension , d'envies respectives, de complèmentarité et peut être d'amour. Au cours de nombre de leur conversation, cette soumise emploie souvent le mot « abnégation ». Son Maître quelque peu agacé par cette demande plus ou moins latente décide d'approfondir ce sujet et amène cette jeune femme à réfléchir sur ce mot. Pour ce faire , il lui impose un retrait du monde, un huis-clos, de pur BDSM dans lequel elle va subir un dressage d'une rigeur extrême , dans l'obligation d'obéissance mais pas forcément dans la douleur des punitions reçues pour parvenir à cet état de soumission aveugle désiré par son Maître. Douleurs bien présentes pour marquer l'esprit de cette soumise et cependant sans brutalité.
C'est à la lecture d'un de ces récits et à la suite d'évenements survenus dans notre couple que Lady Gabrielle a organisé un huis-clos entre nous, à l'image de celui décrit dans ce livre.
Notre BDSM était devenu trop fluide, trop facile , trop indulgent , trop ludique , trop prévisible. Lady Gabrielle a décidé de revenir à un BDSM plus stricte , moins tolérant, moins consenti. Au cours de ce huis-clos qui s'est déroulé en l'espace d'un week end et qui sera suivi par d'autres moments plus ou moins longs, Elle a redéfini ce qu'Elle attendait de moi, de son soumis.
En tout premier lieu, que je réfléchisse sur ma soumission envers Elle. Elle désire que je définisse , que j'appréhende en conscience ma façon de me soumettre à son autorité. Je dois reconnaître que cette dérive de notre BDSM est en grande partie de ma responsabilité . Mon caractère exubéant, atrabilaire, ironique, facétieux, meneur de jeux avait fait de moi un soumis moins attentif à ce que souhaite Lady Gabrielle. Tout en étant entièrement dévoué à Ma Maîtresse , je discutais nombre de ses ordres. Je ne me comportais plus comme le soumis que j'étais au début de notre relation.
Moi qui rêvais dès ma pré adolescence d'enfermement, d'attente enchaîné, d'assujetissement , de servitude, d'esclavage, je n'obéissais plus aussi promptement à Ma Maîtresse. Je discutais ses ordres, négociais mes punitions. Je ne faisais plus abstraction de mon environnement . Je laissais nos proches , par leurs avis et paroles intempestives, influencer et appauvrir ma capacité de soumission. Je me détournais de ma fonction première , celle d'obéir à Ma Maîtresse et de la considérer comme mon seul point d'horizon.
Au cours de ce we de huis-clos , nous avons loué une chambre d'hôtel dans laquelle Lady Gabrielle nous a enfermé . Elle a posé les règles auxquelles je ne devais déroger sous aucun pretexte. Et là, loin de notre maison, il m'a été plus simple d'échaper durant ces deux jours à notre quotidien qui me ramène , nous ramène, inévitablement trop rapidement à nos petites habitudes, même après une séance poussée de SM.
Lady Gabrielle m'a fait reprendre conscience que je suis le soumis qu'elle a choisi voici 13 ans , et que j'ai accepté d'être. Elle m'a fait reprendre conscience que je suis un homme vraiment soumis dans mon esprit et que je ne dois pas me laisser entraîner par des interventions extérieures à notre couple sur d'autres voies que celles de l'obéissance que je lui dois.
Il m'a été facilité par l'éloignement de nos habitudes vanille, d'appréhender et comprendre les causes de mon état présent vis à vis de ma soumission que je lui dois et que je m'étais engagé à Lui montrer sans faiblir .
C'est sous la douleur de la badine que j'ai reçu plusieurs fois au cours de ce WE que Lady Gabrielle a marqué voir gravé dans mon esprit , ce rappel de ma soumission.
L'une des règles qui a régenté ce WE était que je ne devais rien réclamé. J'ai observé toutes les règles établies par Lady Gabrielle .
Cela m'a été difficile mais Lady Gabrielle sous des dehors réservés sait très bien se montrer fine psychologue en m'accordant sans que je m'y attende , puisque je pensais ne pas y avoir droit , ce qui est l'ADN de mon masochisme , ce sans quoi rien ne pourrait exister , le pincement extrême de mes tétons.
Durant tout ce WE de réorientation, de recadrage , j'eu a subir plusieurs fois la badine, très fortement. Non pas avec brutalité intentionnellement exagérée mais quand même avec une grande force de coups auxquels je n'étais pas habitué. Lady Gabrielle , par cette fermeté voulait me ramener quelques années en arrière. Elle voulait me faire quitter ma zone de confort, et sans doute, la sienne aussi. Zone où nous nous complaisions depuis quelques temps. Par ce procédé de grande fermeté, Elle voulait que nous revenions à des séances SM difficiles. Des séances qui nous laissent pantelant, fatigués mais à la fin de celles-ci , pour ma part , fier d'avoir tenu sans avoir demandé grâce et fier des marques sur mon corps bien présentes , encore, deux jours après.
Il y a un proverbe turc qui dit : « Un jardinier est prêt à subir la torture de mille épines pour l'amour d'une rose ». Je suis ce genre de jardinier et je suis aussi un soumis prêt à subir la torture de mille aiguilles , posées sur ma peau par Lady Gabrielle. Il n'y en eu pas mille mais une cinquantaine seulement dont une qui me transperça l'un de mes tétons à sa base. L'autre téton n'eut pas à subir ce supplice , le stock d'aiguilles étant épuisé. Mais cela n'est que partie remise . Lady Gabrielle m'a promit d'apposer 4 de ces aiguilles à la base de chaque téton . Depuis je fantasme sur cette pratique.
Il m'est beaucoup plus facile de subir un supplice énoncé à l'avance car j'ai le temps de me préparer psychologiquement. Préparation qui représente une attente délicieuse mélée d'appréhension. Cependant tout ce que j'ai subi ce we ne m'a pas été annoncé. Ma Maîtresse veut que je sois capable à terme , de subir sans aucune préparation tous suplices qu'Elle juge bon pour moi .
Quand Lady Gabrielle m'a ordonné de prendre la position « à 4 pattes « sur le lit, j'avais les yeux bandés. Je pensais subir une autre flagellation « poussée ». Mon soulagement fut marqué par un soupir que je n'avais pas le droit d 'émettre. Je payais imédiatement cette dérogation à l'une des règles par une paire de gifles . Je dois avouer que je supporte assez mal ces gifles survenant à la suite d'une faute. C'est d'ailleurs un objectif fixé par ma Maîtresse : pouvoir recevoir des gifles à tous moments en cas de faute sans émettre la moindre plainte .
Lady Gabrielle plaça entre mes jambes une fuck machine munie de son plus gros god; dont je devais subir les assauts. Les premières minutes de cet assaut furent très douces , Maîtresse avait réglé la vitesse au minimum de sa puissance mais c'était sans prendre en compte ses intentions. Je passais les vingt minutes suivantes dans un supplice allant crescendo . Lady Gabrielle avait progressivement réglé la machine sur sa puissance maxinum.J'eu beau la supplier de mettre fin à cette sodomie mécanique . Elle ne m'accorda à aucun moment son indulgence. Elle a tout juste consentit à rajouté du lubrifiant sur le god intrusif. Les 30 minutes de ce traitement me laissèrent jambes coupées et intérieur secoué de spasmes qui eurent du mal à disparaître
Dans Sa grande mansuétude , Lady Gabrielle me laissa me reposer avant de reprendre son fouet que j'ai dénomé dès sa première utilisation « la peau de vache » tout simplement parce que son cuir est en peau de vache et qu'il fait un mal de chien.
Lady Gabrielle aime utiliser ce cuir sur le mien avec la méthode de « l'enroulé « Elle se positionne assise , la main tenant « la peau de vache « en dessus de sa tête et d'un mouvement de balancier du poignet , la lanière vient s'enrouler autour de mon torse. C'est une sensation extraordinaire. Il arrive que le fouet vienne frapper trop bas sur mon sexe ou trop haut l'un de mes tétons , ce qui m'arrache des cris de véritable douleur . A la fin de cette flagellation qui nous laisse épuisés . Lady Gabrielle ma annoncé que nous allions dîner dans un restaurant japonnais. Je pensais que mon WE de réorientation prenait fin … j'avais oublié la promesse d'une surprise qu'Elle m'avait faite.
Après quelques minutes de repos et une douche qui nous ragaillardie, nous nous rendîmes dans ce restaurant.
Nous terminions les délicieux sushis qui avaient constitué l'entrée de notre repas quand je demandais la permission d'aller chercher des légumes sur le buffet. Maîtresse me l'accorda mais avant Elle m'ordonna d'aller aux toilettes. Je lui dis que je n'avais pas besoin d'aller aux toilettes. Elle m'ordonna d'y aller, d'enlever la cage que je portais depuis une semaine , de me masturber, d'éjaculer le plus vite possible et de ramener à notre table , mon éjaculat dans un petit pot .
C'est un euphémisme que de dire que la température du restaurant a soudainement et fortement augmenté.
J'imagine que beaucoup de soumis ont lu dans des récits BDSM puis fanstasmés sur ce scénario de domination pur et dur. Tout comme moi d'ailleurs. Mais , moi, j'ai eu la chance de recevoir réellement cet ordre et j'ai eu le plaisir de l'exécuter. C'est au bout de 15 minutes que je revenais à notre table , tentant de dissimuler plus ou moins adroitement le fruit de ma production . Lady Gabrielle avait , durant mon absence crapuleuse, été cherché deux assiettes de légumes. Elle s'empressa de verser le contenu du petit pot dans celle qui m'était destinée. Elle mélangea le tout et m'ordonna de manger sans émettre le moindre signe de dégoût.
J'ai vraiment vécu cette situation dont j'ai lu la description dans maints récits sur internet ou dans des livres. Ce que je n'ai jamais lu nulle part c'est ce que Lady gabrielle m'infligea à notre retour dans notre chambre d'hôtel.
Alors que je m'apprêtais à me déshabiller après lui avoir préparé un café , Elle m'ordonna non pas de me déshabiller mais au contraire de mettre des vêtements supplémentaires. Lady avait décidé de me faire passer la nuit dehors. Dans le petit parc arboré entourant l'hôtel , il y avait un petit bosquet touffu. Elle me fit enlasser le tronc d'un des arbres au centre de ce bosquet , me menotta les poignets . Je ne pouvais absolument plus désenlacer ce tronc. Elle me mit un baîllon avec une boule volumineuse qui ne me permettait que des bruits de gorge affaiblis .
En me quittant, Elle me dit qu'Elle me laissait ainsi pour une vingtaine de minutes ou plus , peut être une heure ou deux et que je devais mettre à profit ce temps pour penser à notre nouvelle relation BDSM et prendre conscience qu'elle ne serait plus aussi consensuelle qu'avant, qu'un tournant avait été pris.
J'étais vraiment convaincu de ce changement quand , trois heures plus tard Lady Gabrielle vint me libérer. Elle ne s'était jamais montrée aussi ferme et déterminée. Quand, Elle me libéra , j'étais transi de froid. J'avais les jambes engourdies .
De retour dans notre chambre, j'eu la permission de prendre une douche chaude qui calma le frisson dont mon corps était pris. Je passais le reste de la nuit chaudement emmitouflé dans les couvertures.
Maintenant, nous sommes rentrés chez nous et je vois bien dans l'attitude de Ma Maîtresse que rien ne sera plus jamais comme avant. Ce WE de réorientation nous a ramené quelques années en arrière . Nous nous sommes souvenu de la cérémonie durant laquelle Lady Gabrielle m'avait marqué au fer . Je lui avais fais serment d'allégeance en prononçant un texte que je ne retranscrirai pas ici , ce texte nous est personnel . Ce souvenir est bien ancré dans notre mémoire mais au fil du temps ce serment avait perdu de son intensité . Je suis très heureux qu'il soit revenu au premier rang de mes préoccupations . Je remercie Lady Gabrielle de l'y avoir remit , de m'avoir fait prendre conscience que les mots de ce serment n'étaient pas vides de sens pour Elle . Elle m'a rappelé la sincérité de mes mots , MA sincérité quand je les prononçais .
Merci Lady Gabrielle
Votre mari soumis, berny
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28/09/18
Lady Gabrielle
Bonjour Ludic voilà j'ai raconté ce WE vraiment vécu . Bonjour Sensible physiquement j'ai bien récupérer . Cependant J'ai encore quelques marques dont je suis fier . Et j'espère ne jamais récupérer mentalement , je veux dire que j'espère que maintenant nous resterons dans l'élan ou le nouvel essor , l'évolution qu'a prit notre relation lors de ce WE
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3
28/09/18
Lady Gabrielle
merci sensible, oui ce fut un WE extraordinaire , tout dans le recadrage, la réorientation de berny, je pense qu'il a vraiment pris conscience de sa soumission. c'est très bien et c'est ce qu'il faut .
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28/09/18
Justine 74
Merci Berny pour ton compte rendu, il n'y a rien à rajouter.
Bravo Lady Gabrielle pour votre imagination et votre intransigeance et félicitations Berny pour ton «abnégation» pendant ce week-end vraiment intense.
Continue comme ça Berny, ta Maîtresse le mérite vraiment, mais ça tu le sais déjà.
Bises.
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28/09/18
Lady Gabrielle
Merci Justine . Oui ce fut vraiment intense . Lady Gabrielle mérite vraiment cette relation de D/s et moi je n'ai qu'une chose à faire lui apporter ma soumission la plus authentique .
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28/09/18
Lady Hydre
Impressionnant se récit Berny , il est bon sans doute de reposer les choses a leurs place ..
Lady Gabrielle qui c'est bien tout de vous , vous vivez tous les deux une magnifique histoire , je salue rarement mais vraiment salutation a vous deux ...
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28/09/18
Lady Gabrielle
Merci lady H, il faut de temps en temps remettre les choses à plat, c’est vrai!! Que le soumis prenne conscience de Sa Soumission, c’est nécessaire et utile pour que perdure cette relation
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28/09/18
ludic2
Bonsoir à vous deux
Très beau récit... Malgré la "rudesse" de ces moments, j'y ressens un amour réciproque très fort. Comme une relation vanille, une relation D/s peut-être victime de la routine et maintenir la force d'une telle relation n'est pas toujours évident. Un tel week-end consolidera et renforcera très certainement votre relation. Je suis très admiratif quant à cette initiative de Lady Gabrielle et l'abnégation de Berny. Bravo à vous deux.
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28/09/18
Lady Spencer
Je connais LG et Berny depuis 10 ans et au fil des années, j'ai observé leur évolution, avec des hauts et des bas
Et avec cette routine qui prend chaque couple dans ses filets
BDSM ou non : et ça me semble normal, de se laisser aller au ronronnement du quotidien
Normal aussi de se prendre de bons coups de griffes de ce même quotidien .
Berny , je l'ai vu changer doucement et reprendre les rênes parfois .
Je l'ai entendu râler, rouspéter, tempêter, se rebeller aussi : mais il est doté d'un fantastique humour d'une théâtralité qui laissait tout passer : et là, sa Maitresse de Femme ou sa Femme Maitresse (c'est la même) se heurtait parfois à un mur difficile à escalader
Je ne connais aucun autre soumis ayant autant discuté et marchandé les ordres reçus !!!!
Mais quels éclats de rire en même temps !!!
Lady Gabrielle devenait en même temps, beaucoup plus sûre d'elle, avec des désirs profonds de faire plier cette grande armoire à glaces de près de 2 mètres : je me doutais qu'un jour serait beaucoup plus "intense" pour la soumission de cet insoumis
Je reste émerveillée par l'inventivité de LG !
Bravo à vous deux pour l'avant et l'après de ce we : j'adore l'épisode du restaurant !!!!
Tu ne nous as pas dit, Berny : ton sperme a modifié le goût asiatique de ton assiettée ? sourire
Je vous embrasse fort
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28/09/18
Berny
Merci à LadyH , arc en ciel , Ludic pour vos retours .
Lady Spencer , suis-je vraiment tout ça ? oui vous avez probablement raison . Que dire pour me défendre ? Je pense qu'il est préférable que je plaide coupable . A vous lire Lady Spencer je me rends compte que je sais être pénible . C'est vrai mais ce n'est pas dans l'intention d'être pénible pour ennuyer , c'est que je ne tiens pas en place et comme vous dites je suis un râleur
et ce n'est pas toujours facile .
Je suis un ouragan intempestif , heureusement j'ai mon anticyclone . . . il a pour nom Lady Gabrielle .
Non mon sperme n'a pas modifié le goût asiatique , j'aurais bien voulu ces légumes étaient fades .
Je serai plus obéissant à l'avenir car oui il y a un après à ce WE .
Moi aussi je vous embrasse Lady Spencer
Bises à tout le monde
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29/09/18
Berny
Je ne sais si je prends les rênes parfois . . . Ma foi ce doit être vrai mais je n'en avais pas vraiment conscience . Je vais remédier à ça . Je promets à Lady Gabrielle d'être plus obéissant .
Je vais me faire l'avocat du diable , (si tant est que l'on puisse me confondre avec le diable ) A ma décharge il est parfois difficile d'être le soumis de sa maîtresse et son mari . Quand nous ne vivions pas ensemble, nous nous rencontrions que pour des
moments de BDSM purs . Nous n'avions pas de moments vanille .
Nous n'avions pas , non plus , de moments pollueurs durant lesquels il faut mettre le BDSM de côté , comme une intervention chirurgicale ( cela nous est arrivé plusieurs fois en 10 ans de vie commune . Aussi bien pour moi que pour ma Maîtresse ).
La famille que nous ne pouvons pas négliger . Ou ces moments où un fait nous agace profondément; exemple ( Berny tu es prêt ? 2 heures avant l'heure de départ pour Le restaurant ou un spectacle ou ailleurs . Ou bien encore : chérie tu sais où est ma cravate , celle que je mets avec mon costume bleu ? )
Le vouvoiement que m'impose Lady Gabrielle qui ne me dérange absolument pas mais que je dois alterner avec le tutoiement suivant la compagnie avec qui nous sommes .
Voilà quelques exemples de ce qui est difficile à surmonter quand un ou une dom vit avec sa ou son soum .
Oui arc en ciel , l'harmonie du couple est différente selon que l'on vit ou non ensemble . Pour moi cela ne fait aucun doute .
Bises
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3
29/09/18
Condor
Belle dessin
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14/11/19
Lady Gabrielle
Merci Condor, ce dessin : toute une symbolique ...
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14/11/19
Condor
Oui) bien sûr) j’aime beaucoup dessiner mais dommage je n’ai pas des temps pour ça
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14/11/19
Lady Gabrielle
Si vous aimez dessiner , prenez le temps !! ce temps vous ouvrira la sérénité.
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14/11/19
Condor
OUI bien sûr, si j’ai les temps je fait en peux Art))
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14/11/19
woukas
Tres beau dessin qui fait echo a la photo de profil....
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21/04/21
Lady Gabrielle
Exactement woukas ! J’aime avoir mon soumis à mes pieds ! Et pourtant je ne suis pas une dominatrice gynarchique pure et dure ! J’ai le respect de mon soumis .
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21/04/21