Il y a peu, sur un post, quelqu'un à poser la question: Qu'est-ce que jouir de douleur?
J'y avais répondu dans un texte. Cela me permet de répondre... ET rendre hommage à ma Reine.
Tout comme "jouir de douleur se mérite, Mon texte se mérite"...
Sourire... Peut irons jusqu'au bout... Pourtant c'est au bout seulement que le tableau est complet...
A Vous ma Reine...
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamment les douces brûlures qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir ne fait que commencer….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Ses mains remontent sur mon torse, ses ongles mordent mes seins, les tordent, les vrillent, les écartèlent ! L’onde me terrasse tandis que la douceur de sa langue parcours ma nuque… Appréhender la douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps se rue en vain dans les chaines qui le contraignent. Chaque parcelle de mon être La réclame, hurle et supplie ! J’ai beau savoir qu’Elle est là, peut être juste à quelques millimètres de ma peau, chacun de mes muscles se tend à l’extrême vers Elle… Le temps se pose sur ma détresse et souri qu’une minute soit soudain un siècle !
Le monde entier se fige…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien qui se change en un ronronnement proche de l’animal… L’acier à rougoie dans la forge. L’homme s’efface, glisse doucement à mes pieds pour me laisser la place… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je relâche tout !
Chacune des morsures de son single va être un combat, une lutte contre la douleur, une lutte contre la fuite que chacune de mes terminaisons nerveuses exigent mais que la boule de lave en fusion qui nait dans mon ventre ne tolèrera pas.
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! Le feu se repend lentement… Trop lentement… La violence de la douleur réclame mon abandon. Je me tends, je tire sur mes chaines ! Lutter, m’offrir plutôt que fuir ! Faire taire la douleur !
Quatre, cinq, six ! L’harmonie du rythme m’emporte ! Le feu recouvre ma peau ! La mélodie est presque là ! La lave se répand lentement ! Sept ! Puissant ! Terriblement puissant ! Mais mon armure de plaisir m’a presque entièrement recouvert ! La magie de ma Reine s’est posée sur moi !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle dérive avec moi, juste derrière de moi ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! La toile qu’elle peint sur ma peau est si belle. Chaque coup de pinceau n’est qu’un trait de plaisir pur partagé !
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je supplie !!
Encore ! pitier !!! Ma Reine !!! Encore !!! Dans le murmure de mes derniers souffles…
Elle plaque sa peau nue contre moi…. Ses bras me serre de toutes leurs force et maîtrisent les spasmes qui emportent mon corps tout entier.
« Pas encore … » Et sa tête se pose au creux de mon cou…
Sourire…………………………………………………………………………………………………………………………………….. !!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui gronde tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamme les brûlures qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir n’est pas encore terminée….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Ses mains se pose sur mes fesses et doucement les écartes, glissent entre mes cuisses et s’empare de moi, les tordent, les vrillent, ses ongles se plantent et exigent un cri ! L’onde me terrasse tandis que la douceur de sa langue parcours mes reins… Appréhender la douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps se rue en vain dans les chaines qui le contraignent. Je jongle avec la folie de ne plus sentir la chaleur de sa peau ! J’ai beau savoir qu’Elle est là, peut être juste à quelques millimètres de ma peau, chacun de mes muscles se tend à l’extrême vers Elle… Le temps s’est allongé près de nous, si fière d’avoir changé les secondes en millénaire !
Mon cœur suspendu n’ose plus respirer…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien qui se change en un grognement roque… Animal… L’acier rouge dans la forge réclame le poids de la masse. L’homme à disparu pour laisser la place à cette chose entre deux monde… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je relâche tout !
Chacune nouvelles morsures de son single vont être un nouveau chemin, Il n’y a plus de lutte, il n’y a plus de combat. C’est un univers tout entier qui s’ouvre maintenant devant moi
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! Le feu si vite maintenant !!! trop vite !!! Le besoin de tenir cette boule le lave prisonière de mes entrailles le plus longtemps possible guide mon corps vers une acceptation absolu ! La violence des douleurs me guide, me montre la voix. Je me tends, je tire sur mes chaines pour m’offrir à cette lumière qui emporte tout !
Quatre, cinq, six ! Le feu recouvre déchire ma peau et la fait renaître ! la mélodie est presque là ! La lave se répand partout ! Sept ! Puissant ! Terriblement puissant ! Mais mon armure de plaisir m’a entièrement recouvert à présent ! La magie de ma Reine me recouvre tout entier !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle vole à mes côtés à présent ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! La toile qu’elle peint sur ma peau prend des couleur qui n’existe que dans nos regards. Chaque coup de pinceau en appel un autre et dessine un nouveau monde.
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je supplie !!
Encore ! pitier !!! Ma Reine !!! Encore !!! Dans le murmure de mes derniers souffles…
Elle plaque sa peau nue contre moi…. Ses bras me serre de toute leur forcent et maîtrisent les spasmes qui emportent mon corps tout entier.
« Pas encore ma petite chienne… » Et sa tête se pose au creux de mon cou…
Enorme sourire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamme les plaies des brûlures qui lacère mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. La tornade du plaisir est si proche….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Son corps glisse entre mon corps et la croix, ses mains se posent dans mon dos et ses ongles parcours mes plaies, se plantent et me déchire ! L’onde me terrasse tandis que ses lèvres se posent sur les miennes dans le plus tendre des baisers! … Appréhender l’extême douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps sait qu’Elle est là, à quelque millimètres de ma peau !… Le temps s’est fait volé tout pouvoir ! C’est Elle qui le suspend !
Le monde entier se fige…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien, maîtriser, contrôler, Celui de l’animal qui attend de charger… L’acier n’est plus qu’un fleuve en fusion dans la forge. L’hommanimal frissonne d’être enfin libre dans Ses chaines… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je prends tout !
Chacune des morsures de son single vont être terrible, insoutenable ! Mais Elles dansent maintenant avec des sommets de plaisir sans égal
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! je suis un dieu en flamme… La violence de chaque douleur est un orgasme pure que je cherche à contrôler ! Désespérément ! Pour Elle, pour moi, pour nous !!! Je me tends, je tire sur mes chaines ! Lutter, m’offrir plutôt que fuir ! Faire taire le plaisir pour prendre plus encore !
Quatre, cinq, six ! L’harmonie du rythme m’emporte ! Tenir ! Tenir pour aller plus loin ! Pour voir d’autre aurore sur d’autres mondes ! Pour parvenir au sommet de Sa montagne et voir un nouveau soleil embraser nos horizons ! Retenir cette jouissance qui emporte tout !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle dérive en moi, juste derrière de moi ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! Sur la toile qu’Elle peint sur mon corps, notre amour nous sourit. Chaque coup de pinceau brille des milles lueurs de nos regards !
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je hurle !!
Encore ! Pitié !!! Ma Reine !!! Pitié… Pitié…..
« Maintenant mon Empire !!!!
Maintenant !!! Lâche tout !!!! Lâche toi !!!! »
Et le sol s’ouvre sous nos pieds sur le brasier des enfers ! Les claquements du fouet roulent dans l 'univers tout entier et recouvre les grondements du tonnerre animal qui hurle en moi. Je vais jouir !!! Elle va jouir !!!
MAINTENANT !!!!!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamment les éclairs brûlant qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir me berce… Elle détache mes membres et me soutien pour retenir ma chute… Elle s’agenouille tout contre moi et m’offre le havre chaud de ses bras, de son sein…Elle tremble… Je tremble…
« Je Vous aime ma Reine…. »
« Moi aussi je t’aime mon chat… »
J'y avais répondu dans un texte. Cela me permet de répondre... ET rendre hommage à ma Reine.
Tout comme "jouir de douleur se mérite, Mon texte se mérite"...
Sourire... Peut irons jusqu'au bout... Pourtant c'est au bout seulement que le tableau est complet...
A Vous ma Reine...
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamment les douces brûlures qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir ne fait que commencer….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Ses mains remontent sur mon torse, ses ongles mordent mes seins, les tordent, les vrillent, les écartèlent ! L’onde me terrasse tandis que la douceur de sa langue parcours ma nuque… Appréhender la douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps se rue en vain dans les chaines qui le contraignent. Chaque parcelle de mon être La réclame, hurle et supplie ! J’ai beau savoir qu’Elle est là, peut être juste à quelques millimètres de ma peau, chacun de mes muscles se tend à l’extrême vers Elle… Le temps se pose sur ma détresse et souri qu’une minute soit soudain un siècle !
Le monde entier se fige…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien qui se change en un ronronnement proche de l’animal… L’acier à rougoie dans la forge. L’homme s’efface, glisse doucement à mes pieds pour me laisser la place… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je relâche tout !
Chacune des morsures de son single va être un combat, une lutte contre la douleur, une lutte contre la fuite que chacune de mes terminaisons nerveuses exigent mais que la boule de lave en fusion qui nait dans mon ventre ne tolèrera pas.
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! Le feu se repend lentement… Trop lentement… La violence de la douleur réclame mon abandon. Je me tends, je tire sur mes chaines ! Lutter, m’offrir plutôt que fuir ! Faire taire la douleur !
Quatre, cinq, six ! L’harmonie du rythme m’emporte ! Le feu recouvre ma peau ! La mélodie est presque là ! La lave se répand lentement ! Sept ! Puissant ! Terriblement puissant ! Mais mon armure de plaisir m’a presque entièrement recouvert ! La magie de ma Reine s’est posée sur moi !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle dérive avec moi, juste derrière de moi ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! La toile qu’elle peint sur ma peau est si belle. Chaque coup de pinceau n’est qu’un trait de plaisir pur partagé !
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je supplie !!
Encore ! pitier !!! Ma Reine !!! Encore !!! Dans le murmure de mes derniers souffles…
Elle plaque sa peau nue contre moi…. Ses bras me serre de toutes leurs force et maîtrisent les spasmes qui emportent mon corps tout entier.
« Pas encore … » Et sa tête se pose au creux de mon cou…
Sourire…………………………………………………………………………………………………………………………………….. !!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui gronde tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamme les brûlures qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir n’est pas encore terminée….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Ses mains se pose sur mes fesses et doucement les écartes, glissent entre mes cuisses et s’empare de moi, les tordent, les vrillent, ses ongles se plantent et exigent un cri ! L’onde me terrasse tandis que la douceur de sa langue parcours mes reins… Appréhender la douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps se rue en vain dans les chaines qui le contraignent. Je jongle avec la folie de ne plus sentir la chaleur de sa peau ! J’ai beau savoir qu’Elle est là, peut être juste à quelques millimètres de ma peau, chacun de mes muscles se tend à l’extrême vers Elle… Le temps s’est allongé près de nous, si fière d’avoir changé les secondes en millénaire !
Mon cœur suspendu n’ose plus respirer…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien qui se change en un grognement roque… Animal… L’acier rouge dans la forge réclame le poids de la masse. L’homme à disparu pour laisser la place à cette chose entre deux monde… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je relâche tout !
Chacune nouvelles morsures de son single vont être un nouveau chemin, Il n’y a plus de lutte, il n’y a plus de combat. C’est un univers tout entier qui s’ouvre maintenant devant moi
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! Le feu si vite maintenant !!! trop vite !!! Le besoin de tenir cette boule le lave prisonière de mes entrailles le plus longtemps possible guide mon corps vers une acceptation absolu ! La violence des douleurs me guide, me montre la voix. Je me tends, je tire sur mes chaines pour m’offrir à cette lumière qui emporte tout !
Quatre, cinq, six ! Le feu recouvre déchire ma peau et la fait renaître ! la mélodie est presque là ! La lave se répand partout ! Sept ! Puissant ! Terriblement puissant ! Mais mon armure de plaisir m’a entièrement recouvert à présent ! La magie de ma Reine me recouvre tout entier !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle vole à mes côtés à présent ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! La toile qu’elle peint sur ma peau prend des couleur qui n’existe que dans nos regards. Chaque coup de pinceau en appel un autre et dessine un nouveau monde.
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je supplie !!
Encore ! pitier !!! Ma Reine !!! Encore !!! Dans le murmure de mes derniers souffles…
Elle plaque sa peau nue contre moi…. Ses bras me serre de toute leur forcent et maîtrisent les spasmes qui emportent mon corps tout entier.
« Pas encore ma petite chienne… » Et sa tête se pose au creux de mon cou…
Enorme sourire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamme les plaies des brûlures qui lacère mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. La tornade du plaisir est si proche….
Elle sait si bien me mener là. Au bord de l’extase. Et m’y tenir à bout de bras, comme posé sur une lame.
Son corps glisse entre mon corps et la croix, ses mains se posent dans mon dos et ses ongles parcours mes plaies, se plantent et me déchire ! L’onde me terrasse tandis que ses lèvres se posent sur les miennes dans le plus tendre des baisers! … Appréhender l’extême douleur dans l’extrême douceur pour me tenir ! Vriller mes sens ! M’interdire tout recul en enchainant mon plaisir au sien et me perdre, dans ce monde qui n’est qu’à Elle !
Soudain plus un seul contact ! Et mon corps sait qu’Elle est là, à quelque millimètres de ma peau !… Le temps s’est fait volé tout pouvoir ! C’est Elle qui le suspend !
Le monde entier se fige…Arrêt sur image.
Souffle… Celui de ses désirs qu’elle m’offre comme un ultime lien… Cette brise qui me maintient en vie… me murmure «Je suis là mon Empire »…
Souffle… Le mien, maîtriser, contrôler, Celui de l’animal qui attend de charger… L’acier n’est plus qu’un fleuve en fusion dans la forge. L’hommanimal frissonne d’être enfin libre dans Ses chaines… Je suis prêt… Elle le sens … Elle le sait… Elle en vibre… Elle s’en enivre…
Et quand enfin il glisse sur ma peau, je prends tout !
Chacune des morsures de son single vont être terrible, insoutenable ! Mais Elles dansent maintenant avec des sommets de plaisir sans égal
Han !! la première brûlure ! Han….. La seconde…
La troisième couvre l’irradiation de celle qui la précède ! je suis un dieu en flamme… La violence de chaque douleur est un orgasme pure que je cherche à contrôler ! Désespérément ! Pour Elle, pour moi, pour nous !!! Je me tends, je tire sur mes chaines ! Lutter, m’offrir plutôt que fuir ! Faire taire le plaisir pour prendre plus encore !
Quatre, cinq, six ! L’harmonie du rythme m’emporte ! Tenir ! Tenir pour aller plus loin ! Pour voir d’autre aurore sur d’autres mondes ! Pour parvenir au sommet de Sa montagne et voir un nouveau soleil embraser nos horizons ! Retenir cette jouissance qui emporte tout !
Huit, neuf, dix, onze ! Hannnnnnnnnn ouiii, je l’entends ! Elle dérive en moi, juste derrière de moi ! Le lien de cuir de sa main à mon sang nous emporte ensemble ! Sur la toile qu’Elle peint sur mon corps, notre amour nous sourit. Chaque coup de pinceau brille des milles lueurs de nos regards !
Alors je perds le compte ! Chaque seconde est un concert de douleur et d’extase tel que tout ce mêle et s’emmêle ! Plaisir et douleur, douleur et plaisir, plaisir de la douleur, douleur de chaque plaisir ! Esclave de mes sens ! Esclave de son rythme ! Pendu ! Suspendu à ses ultimes désirs ! Perfection perverse, union, fusion de deux démons qui font l’amour et jouissent de la morsure d’un baiser de cuir offert dans l’absolu sombre se Son sadisme et reçu comme le plus fabuleux des cadeaux dans l’antre tout grand ouverts rien que pour Elle de mes perversions masochistes !
Le baiser de nos vérités qui nous fera jouir ensemble de cet inouï partage dans l’explosion de cette lave qui couvait dans nos ventres !
STOP…
Juste avant que l’ouragan ne me submerge et ne nous emporte tous les deux. Juste au bord de la falaise ! Les éclairs me foudroient ! Je hurle !!
Encore ! Pitié !!! Ma Reine !!! Pitié… Pitié…..
« Maintenant mon Empire !!!!
Maintenant !!! Lâche tout !!!! Lâche toi !!!! »
Et le sol s’ouvre sous nos pieds sur le brasier des enfers ! Les claquements du fouet roulent dans l 'univers tout entier et recouvre les grondements du tonnerre animal qui hurle en moi. Je vais jouir !!! Elle va jouir !!!
MAINTENANT !!!!!!
Besoin de reprendre mon souffle dans son souffle qui murmure tout contre mon épaule… Nos sueurs se mêlent et enflamment les éclairs brûlant qui lacèrent mon corps. Je vibre, je tremble, je suffoque. L’orage irradie mon ventre. L’averse de plaisir me berce… Elle détache mes membres et me soutien pour retenir ma chute… Elle s’agenouille tout contre moi et m’offre le havre chaud de ses bras, de son sein…Elle tremble… Je tremble…
« Je Vous aime ma Reine…. »
« Moi aussi je t’aime mon chat… »
Dimension:
960 x 720
Taille:
81.4 Kb
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Mademoiselle Caleche
Merci pour cette magnifique description Empire.
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2
15/03/15
Lady Liliam
Et bien moi j'ai tout lu jusqu'au bout..Merci mon chat pour si bel hommage qui me touche....
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15/03/15
Empire
Merci beaucoup Mesdames... Vous me faites rougir! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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16/03/15
Bergamote83
Très beau récit. On sent bien l'ascension du désir/plaisir. L'idée d'y mettre un "refrain" dont certaines tonalités montent crescendo est savante. Le résultat est succulent, on vit ce moment avec toi. En un mot : BRAVO ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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16/03/15
Lady Liliam
Nous nous disons souvent qu'il est tellement difficile de retranscrire avec des mots nos émotions...mon chat plus doué que moi pour ça, il faut bien le dire <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/happy.png" alt="Happy" title="Happy" title="v_middle" /> Ce sont nos premiers mots échangés qui nous ont séduits, les mots ont toujours eu beaucoup d'importance dans notre relation. Ceux qu'on devine, ceux qu'on susurre au creux de l'oreille comme pour planter des petites graines de désirs, ceux qu'on suggère, ceux qu'on ordonne etc....Un autre lien entre nous nos mots.
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16/03/15
Bergamote83
Je rejoins en tout point les propos de Balkis (à qui je présente mes hommages pour l'occasion qui m'est faite d'y faire référence).<br /><br />Les mots ont, pour nous aussi, bcp d'importance. Master a un don certain pour m'établir les scenarii en amont, à l'écrit...pendant, Il sait les utiliser pour ordonner, susurrer ou/et m'exciter (tantôt allegro, tantôt "tendrissimo")...enfin, c'est à la lueur de ces beaux moments partagés que je tente de les transcrire en...simples mots ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
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16/03/15