Ecriture automatique après m’être plongé se soir en Vous…
« Sexe et langue, le tonnerre gronde au loin dans l’immensité d’un vide tournoyant. Le fouet claque dans l’arène, l’ombre s’éclaire de mille raisonnements confus. Rien ne passe dans l’orifice distendu que le chant des aiguilles.
Un poème écorché d’une musique sans notes qui berce et distend la chaine ruisselante. Plus de son et l’éclair bleu d’un trait sur le cuir s’allonge.
Pourquoi rester assis et prétendre que l’on court ?
Dans l’aube qui s’éteint d’un seul coup, sous la pointe d’un talon blessé du massacre de ses organes hurlant. Sans raison ni dommage, sans logique ni contrainte : Toutes les chaines se resserrent et Votre voix retenti.
L’eau s’est figée dans la nasse et reprend doucement forme humaine. Le chien vient de la Maîtresse et réclame sa part de confiance sombre. Il n’est plus aucun espace et la langue sur le sexe s’éternise, attendant la fin.
Des ténèbres se répandent et sème mes vices au-delà de mes trous. Que faire sinon se répendre et changer le sperme en or ?
Oublier enfin les yeux ouverts et le monde qui grogne. Un cri pointe et se déplie, s’immisce da,s les moindre parcelles.
Peur et crainte se perdent au carrefour, disparaissent…
Et le tigre peut enfin rugir tout son saoul…. »
« Sexe et langue, le tonnerre gronde au loin dans l’immensité d’un vide tournoyant. Le fouet claque dans l’arène, l’ombre s’éclaire de mille raisonnements confus. Rien ne passe dans l’orifice distendu que le chant des aiguilles.
Un poème écorché d’une musique sans notes qui berce et distend la chaine ruisselante. Plus de son et l’éclair bleu d’un trait sur le cuir s’allonge.
Pourquoi rester assis et prétendre que l’on court ?
Dans l’aube qui s’éteint d’un seul coup, sous la pointe d’un talon blessé du massacre de ses organes hurlant. Sans raison ni dommage, sans logique ni contrainte : Toutes les chaines se resserrent et Votre voix retenti.
L’eau s’est figée dans la nasse et reprend doucement forme humaine. Le chien vient de la Maîtresse et réclame sa part de confiance sombre. Il n’est plus aucun espace et la langue sur le sexe s’éternise, attendant la fin.
Des ténèbres se répandent et sème mes vices au-delà de mes trous. Que faire sinon se répendre et changer le sperme en or ?
Oublier enfin les yeux ouverts et le monde qui grogne. Un cri pointe et se déplie, s’immisce da,s les moindre parcelles.
Peur et crainte se perdent au carrefour, disparaissent…
Et le tigre peut enfin rugir tout son saoul…. »
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