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Téton, ou mamelon, petit appendice présent sur un sein, sur une poitrine.<span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Autant de seins différents, autant de tétons.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Soulignés par ces aréoles plus ou moins larges, plus ou moins pigmentées.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Une des rares parties de Mon corps que Je n’ai jamais reniées.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Leur comportement Me fait sourire : tantôt plats, doux, lisses presque effacés, tantôt pointés, dressés, fiers.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Il Me faut être honnête : ils sont rarement effacés. Que leur arrive-t-il pour se dresser comme ça ? quelle fierté les transporte, les autorise à un tel comportement ?</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Allez savoir, allez comprendre….</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Moi, Je sais.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Ils ont appris à ne pas baisser les yeux, à revendiquer leur position : des tétons de femme soumise ! Ca se respecte ! Ca se montre ! Ca se revendique aussi !</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Ils font Ma fierté lorsque Je lis dans Ses yeux le plaisir sadique que Mon Loup Maléfique va prendre à les torturer.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Les tordre, les pincer, les vriller, les mordre. Et recommencer. Puis les fouetter…mais cela vient après.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Avant, il y a …Avant, il y a maintenant les écrous. Presque tous les jours. Les écrous </span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">viennent les titiller, les stimuler, Me rappeler à Ma condition, à Ma dévotion.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Et puis, comme si cela ne suffisait pas (et clairement ça ne suffit pas, souvent), Mon Prince Maléfique ajoute les aimants.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Les aimants c’est tellement vicieux. Au début, on les oublie presque. Facile. Mais leur perversion se fait jour petit à petit. Petit à petit, ils cherchent à se rejoindre. Faisant fi de ce qui les sépare : Mon téton !! Ils s’attirent, s’appellent sans se soucier de la chair déjà bien malmenée par l’écrou, des petits vaisseaux sanguins déjà bien congestionnés. Ils avancent, ils se rapprochent.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Et alors ce téton déjà bien coloré, change de couleur, gonfle et prend l’aspect d’une belle framboise mûre.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Mûre Je le suis alors assurément. Mûre et trempée de Mon indécence.</span><span style="-webkit-text-size-adjust: 100%;">Mon délicieux supplice peut alors commencer : Mes tétons plus que tout le reste lui appartiennent et Mes gémissements ne seront qu’encouragements à Sa perversion.</span>#photoperso#texteperso#exerciceimposéConsigne :A partir de la photo de Ton téton offert rédige un texte de minimum 1000 caractères dans lequel Tu le mets en valeur Tu l'honores.