Corsée
le 17/02/25
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#Patrick
Croque en bouche ou tête à queue ?
Vous êtes assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,
Ma main vient se poser sur votre sexe bandé.
La fermeture glisse, mes doigts serrent votre tige
Et l'extirpe enfin, l'exposant au vertige,
La dégageant.
Mes mouvements sont de lents va-et-vient
Tout au long de votre hampe que je branle à deux mains.
Comme une naufragée s'accrochant à l'épave,
Je la serres plus fort dans des gestes plus suaves,
En l'agrippant.
Puis ma langue gourmande montre soudain sa pointe
Entre deux lèvres ourlées pareilles à deux mains jointes.
Ma bouche entraînée par un désir plus fort
Forme un cœur de baiser et s'approche encore,
L'embrassant.
Je le lèche, l'agace, le couvre de baisers,
Ma langue monte, descend, pour tout vous titiller
Et ma bouche vorace gobe en un geste sûr
Tout le haut de votre sexe, rouge comme un fruit mûr,
L'avalant.
Ni mes mains, ni ma bouche, n'accordent de répit
A votre sexe tendu, cette bite qui dans ma bouche vit.
Je la dégages enfin de mes lèvres brûlantes
Pour contempler, gourmande, cette pine bouillante,
Turgescente.
Je renifle et flaire vos arômes secrets,
Le doux parfum d'un corps par mon corps excité.
Tout en cambrant le cou, je hume chaque pli
D'un membre déployé en ce début de nuit,
Odorant.
Inlassable pourtant je reprends mon ouvrage.
Montant et descendant et à chaque passage,
Ma langue vous excite fort lorsqu'enfin je l'enroule,
Avant de regober et votre queue et vos boules,
Vous suçant.
M'accordant par instant un répit mérité,
De ma bouche de feu ma main prend le relais,
Pressante et agitée, en danseuse hystérique,
Elle effectue sur vous une danse érotique,
Vous branlant.
Agitées par mes mains qui bien plus haut s'activent
En soubresauts obscènes, vos bourses m'invectivent,
M'interpellent parfois dans leurs rondeurs ovales.
Alors, je tends tes doigts vers les fruits de mon mâle,
Les flattant.
Puis je reprends ma course, buccale cavalière,
Vous pompant crescendo, vous, me regardant faire.
Vous vous laissez sombrer dans une mer de plaisirs
Où je vous ai entraîné, manquant de défaillir,
En giclant.
Indécente pompeuse, j'accueille votre sperme.
Mon regard de triomphe défie vos yeux qui se ferment.
Vos saccades agitent votre membre glorifié.
Moi, je gardes votre jus comme un trésor confié,
Vous absorbant.
Appliquée et sensuelle je continue mon œuvre,
Ne laissant rien se perdre en futiles manœuvres.
Je désembouches enfin votre sexe ramolli,
M'allonge près de Vous et mets ma main sur lui,
A jamais
Texte anonyme et photo du net.
Bonne soirée à toutes et tous.
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stranger38
Amuse bouche ou dérapage? :-)
J'aime 17/02/25
ThomSoum
Une impressionnante manière de décrire une pipe. Puisse le destin vous mener à celle qu'il vous faut !
J'aime 17/02/25