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Durant nos belles années, nos jeux de fessées étaient monnaie courante quand nous partions en week end ou en vacances “en amoureux”. Cette année là nous avions loué dans le Lubéron un appartement dans une petite propriété familiale avec piscine. Nous avions le rez de chaussée qui donnait sur la piscine et la propriétaire demeurait à l’étage. Quand celle-ci partait, nous en profitions pour nous adonner à nos jeux sexuels, de fessées favoris, pour faire l’amour au bord de la piscine caressés par le soleil… etc… Je me souviens que ce jour là, alors que nous barbotions dans la piscine, j’avais entendu la voiture de la propriétaire partir.J’avais promis à ma Belle une bonne fessée dès que nous serions seuls, fessée justifiée par je ne sais plus quel faux prétexte. J’avais fixé la caméra sur son trépied en mode enregistrement et ma coquine savait ce qui l’attendait ! Dès qu’elle était sortie de l’eau et avant qu’elle ne proteste, ce qu’elle avait fait mollement pour la forme, je l’avais courbée sous mon bras, étiré son maillot de bain vers le haut pour découvrir ses fesses le plus possible et je lui avais “flanqué” une assez bonne fessée rapide à la main comme pour la punir.Je lui avais joliment rougi la peau nue qui dépassait du maillot dans un joyeux crépitement. La fessée avait été plutot appuyée et le bruit des claques avait fort bien résonné entre les murs qui bordaient la piscine. Je m’apprêtais à lui baisser le maillot pour continuer comme il se doit par une fessée “déculottée” quand nous avons entendu le bruit d’une porte ou d’une fenêtre qui s’ouvrait à l’étage.Je l’avais précipitamment relâchée et ma tendre épouse honteuse et confuse s’était précipitée à l’appartement (comme on peut le voir sur cette capture d’écran) sans même prendre soin de remettre son maillot en place. Les volets à l’étage qui restaient fermés la journée sous la chaleur d’été ne s’étaient pas ouverts mais je me demande encore aujourd’hui si la propriétaire, qui en fait n’était pas partie, n’avait pas été alertée par le bruit de la fessée et par les plaintes de la “punie”. Avait-elle vu une partie du spectacle que nous offrions à travers les persiennes ? Je ne le saurai jamais.J’étais allé ensuite vérifier au parking: sa voiture était bien là et c’était sans doute celle d’un voisin que j’avais entendue partir. Un peu plus tard quand nous avions croisé la propriétaire en soirée, nous nous étions efforcés de prendre un air dégagé mais son regard m’avait paru bien étrange avec un petit sourire qui m’avait semblé amusé. Quoi qu’il en soit, elle ne nous en a pas touché le moindre mot.L’épisode m’avait ravi mais mon épouse qui n’avait pas trop apprécié avait dû me dire quelque chose comme: “Tu te rends compte si elle nous a vus ! La Honte ! Qu’est-ce qu’elle va penser de nous ? Je ne veux plus de fessées ici, hein !”Nous avons donc prolongé nos jeux durant la suite du séjour à l’extérieur de la propriété, en voiture, en promenades…. Charmant souvenir ! J’en ris encore !