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31.07.2024 Moulin Marquis[M] Un autre texte de ma soumise Anaïs, deuxième chapitre construit autour de deux photographies, un texte authentique et sincère.Merci ma petite chienne. 2. Destinationhttps://fetlife.com/users/17492428/pictures/176079445 Nous arrivons, vous m’aider à sortir du coffre de votre voiture, il n’est pas évident de se mouvoir avec les chaînes. J’aime cette part de vous, vous êtes exigeant, intransigeant, ne laissez rien passer et en même temps, vous êtes attentionné et tendre. Une main de fer dans un gant de velours… Une petite phrase de votre part, “tu ne pourrais pas t’enfuir bien loin avec ces chaînes”. Elle me fait sourire intérieurement, je n’en ai aucunement l’envie et cela ne me serait jamais venue à l’esprit bien au contraire. Vous m’en libérez, j'en éprouve une certaine frustration. J’aime vos chaînes. Elles signifient que je suis plus que votre soumise, plus que votre chienne. Je suis Vôtre esclave. Vous m'ordonnez de me revêtir, j’en déduis que le lieu n'est plus suffisamment isolé pour nous abandonner complément à nôtre univers. Une nouvelle petite frustration mais je sais que nous en profiterons mieux plus tard.[M] Sur cette photo, tu prends la position que je t'ai apprise : la position en nadu des femmes-esclaves de plaisir des Chroniques de Gor de John Norman, les cuisses ouvertes, le sexe accessible. L'esclave attend les ordres de son Maître. Tu attends pendant que je prépare les accessoires dont j'aurais besoin tout à l'heure, notamment un fouet et la cravache mexicaine que tu redoutes tant.Mon sac à malices est prêt. Nous nous mettons en route. Je te fais visiter ce site remarquable qui abrite le plus grand porche naturel d'Europe et la cascade éponyme : le moulin marquis.Évidemment, j'aurais préféré te prendre nue au pied de la cascade… te prendre.Mais, par égard pour les promeneurs en contrebas et en responsabilité vis-à-vis des enfants qui les accompagnent, je n'en ferai rien. Nous nous contentons de cette photo en contre-plongée qui laisse entrevoir ton sexe.https://fetlife.com/users/17492428/pictures/176079374[M] Notre lien extraordinaire flotte en permanence tout autour de nous, même dans nos activités les plus ordinaires, comme par exemple cette balade au milieu des promeneurs. Tu es belle ma petite chienne… tu es belle. Nous entreprenons notre promenade, nous nous sommes bien trouvés sur ce point, j’aime me balader, randonner, me retrouver en pleine nature. Et vous semblez tout autant l’apprécier. J'écoute chacune de vos indications sur le lieu, le nom de ces falaises, les diverses voies d’escalade, j’essaie de tout retenir, je m’en imprègne, m’en instruit. Cet instant, où nous sommes entourés d'autres promeneurs, se veut plus léger et moins formel. J’en oublie d’ailleurs de ponctuer certaines de mes phrases pas “Maître” je m’en mord les lèvres a chaque fois, j'essaie de me reprendre tout de suite mais vous êtes plus rapide que moi, je m’en veux de ne pas être plus vigilante aux paroles qui franchissent ma bouche et espère ne pas trop alourdir ma punitions. Arrivés au bout du sentier nous apercevons la cascade, au loin, nous découvrons les grottes, savourons leur fraîcheur, prise d'une envie, d'un fantasme de nous y aventurer plus profondément, de trouver un recoin isolé des marcheurs, je l’imagine sombre illuminé de quelques bougies et de cierges ou éventuellement une faille dans la roche qui laisserait entrer un faisceau de lumière, nous replongeant en un instant des plus solennels dans notre univers où seuls vous, vos désirs et vos envies font loi. Nous nous rapprochons de la cascade pour nous retrouver à son pied, vous souhaitez prendre quelques photos, j’aimerais que vous me marquiez ainsi à son pied inscrivant cet instant dans ma chaire. Malheureusement trop visible des promeneurs nous les voyons sur le sentier juste en face. Vous devenez ma raison, me rappelant que ce public est loin d’être averti et que certains mérite d'être préservés de ce que nous souhaitons vivre. Je vous avoue que depuis le début de notre journée j’ai fait abstraction de tous ceux qui ont pû nous entourer, il n’y avait que vous et vos exigences mon Maître. Il ne suffit que d'une seule consigne de votre part, un mot et je m'exécute mon Maître.[M] Un ordre et tu obéis. Je n'en doute pas. Nous aurons d'autres occasions de te mettre à l'épreuve. Merci pour ce récit ma chienne soumise, mon esclave.