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Souvenir, souvenir.... Il convient de convertir nos épouses aux joies de la fessée conjugale le plus tôt possible. Sur cette photo, Madame était bien jeunette ! Il s’agit du haut de gamme des jeux de fessées entre adultes que j’ai eu la chance et le bonheur de pratiquer durant de nombreuses années avec mon épouse. La chance, d’avoir une partenaire de jeux à la fois cérébrale et masochiste, qui puisse son plaisir dans ces situations ponctuelles où elle cesse d’être une femme libre et libérée du patriarcat, pour devenir une épouse obéissante et surtout désobéissante, qui demande à être traitée, pour son plaisir, comme une vilaine petite fille… le temps d’un jeu sexuel... Et bien évidemment il s’agissait alors de pratiquer la fessée franchement punitive la plus réaliste possible. La règle d’or étant le consentement. Quand Madame était très joueuse, il nous arrivait de décider d’un commun accord que durant une période donnée qui pouvait aller d’un après midi à plusieurs jours, ma petite Chérie enfilerait sa panoplie de petite fille «à punir», de vilaine gamine qui désire être fessée ou fouettée ”pour de bon” dans le cadre d’un jeu désiré. Quand on est enfant on essaie de jouer «pour de vrai». Quand on est adulte aussi. Dans ce cadre ce jeu, ma chère épouse ponctuellement aimait à faire en sorte de mériter d’être fessée. Pour son plaisir et le mien ! Fessées méritées ou non dans le respect de règles de jeu établies d’un commun accord.