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Parmi mes martinets "maison" que je fabrique avec passion à l'aide de cuir parfois ancien trouvé sur des vide-greniers, il y en a quelques uns qui peuvent se révéler redoutables. Celui-ci par exemple, avec ses longues lanières épaisses et lourdes, ne met pas longtemps à faire rougir les fesses d'une polissonne ! L'appliquer directement culotte baissée n'est généralement pas mon choix. Ce serait beaucoup trop sévère ! A moins que la punie l'ait désiré ! Non, je préfère être méthodique et commencer par dessus la jupe ou la robe ce qui permet un échauffement progressif. Fervent partisan du jupon ou de la combinaison, une fois la jupe retroussée, j'aime prolonger une flagellation encore une fois progressive. Le frêle tissu ne protège plus guère et les cinglages se font sentir. Le petit jeu pervers consiste aussi à faire voler la combinaison en appliquant le martinet de bas en haut "sous les fesses". Il cingle alors les cuisses et le bas des fesses qui ne tarde pas à rougir. Un charmant petit jeu qui fait s'agiter délicieusement la punie.