SoumiseS
le 27/05/24
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#photodunet #texteperso
Ce moment où mon Maître me dit « suis-moi » et qu’il se dirige vers la chambre. Cet instant où je vois ses yeux qui pétillent et je sens qu’il a une idée derrière la tête. Ces papillons dans le ventre quand je sais que la suite va être intense.
Des explications et je m’allonge, telle qu’il me la demandé, nue, vulnérable, impatiente, dans l’attente. Et pourtant, tellement sereine, tellement en sécurité, tellement heureuse.
Ces moments de jeux où mon Maître fait de moi sa chose, un corps à prendre, à utiliser. Ces instants où je me sens sienne, où je n’ai qu’à accepter, suivre, m’ouvrir, être. Ces papillons dans le ventre quand j’entends ses gémissements, signe de sa satisfaction.
Sa queue dans ma bouche, profonde, brûlante, envahissante. Son sexe dans ma gorge, gonflée, impatiente. Et pourtant, un tel plaisir de le sentir venir, de le voir prendre plaisir.
Ces moments de plaisir quand mon Maître me prend, me remplit, m’assaille. Ces instants de bonheur yeux dans les yeux, petits baisers volés. Ne pas se déconcentrer. Le prendre dans ma bouche et lui rendre un peu de ce bonheur, de ces moments où le temps s’est arrêté.
Puis suivent les coups, plus forts, plus intenses, plus nombreux. J’ai fauté et je suis punie, mais pourtant, j’ai honte, le plaisir est fulgurant. Une punition ou une récompense. Je ne sais plus. Je prends. Ces moments avec lui, le plaisir et la douleur se mélangent. Je suis à lui et je prends.
Sa main sur mon clito, sa bouche sur mes têtons, je suis une vague et je bouge au rythme de ses doigts. Je le sens sur moi, contre moi, tout à moi. Pendant un instant, il n'est là que pour moi. Mon plaisir est là, dans ces moments là.
Ce moment où mon Maître s’allonge, fatigué, essoufflé, mais ses yeux pétillent du plaisir donné, reçu. Cet instant où l’on est l’un contre l’autre, repu, où le temps s’est arrêté.
« Suis-moi », sans hésitation, Maître, je vous suis, je suis, je suis à vous.
Dimension: 640 x 427
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Fessermoi18
J'adore, c'est si sensuel et érotique cette façon d'enlever le dernier habit qui l'habillait encore...
J'aime 03/06/24