Empire
le 02/04/14
6 vues
J’ouvre les yeux sur mon profond sommeil. C’est ainsi chaque nuit que commence mon voyage. La magie de mes rêves m’emporte de plus en plus loin, de plus en plus profond.
J’ai mis très longtemps à comprendre pourquoi je n’y trouvais jamais rien d’autre qu’un herzats sans saveur de Votre magnificence. J’y étais pourtant le grand architecte ! Maîtres absolu et incontesté, l’infini de mes volontés y était loi….
Et pourtant, devant cet arbre gigantesque des possibles, je ne faisais que me perdre et désespérer…
Et puis, un soir, hier soir, tout devint d’une clarté limpide : Diriger mes rêves n’avaient aucun sens !
Je n’y trouverais Votre goût qu’en y lâchant prise… En Vous offrant même mes rêves…
Alors j’ai laissé mon esprit se glisser à Vos pieds. S’y lover… Et attendre… Dans ce même calme et cette même sérénité qui m’envahi quand je suis réellement blotti ainsi contre Vous.
Attendre sans rien attendre d’autre que s’éveille Votre volonté… Ce moment si singulier où le temps se suspend, ou plus rien d’autre que Votre souffle n’existe… Et Vous laisser peindre tous mes songes…
Texte en mille mots Pour ma Maîtresse :
Titre :
1001 mots :
Les rêves sont étranges quand ainsi on leur lâche la bride… Que révèlent-t-ils ? Je ne saurais le dire… Tout ce que je sais c’est qu’ils m’emportairent tout au bout de ma nuit… Et qu’à mon réveille, je Vous sentais encore tout contre moi… (50)

L’obscurité est totale. Pourtant rien de masque mon regard. Je sais que je n’ai pas perdu la vue. Vous me l’avez simplement ôtée… J’entends Votre souffle, je sens Votre présence. Mais impossible de Vous situez… Vous semblez être partout à la fois. (95)
Ma main se soulève et se tend vers un verre de cristal posé à coté de moi.
« Tu es sur de toi mon Empire ? Il ne pourra y avoir de retour en arrière … »
« Oui Maîtresse… Je suis parfaitement sûr de Vous » (136)
Vous souriez… Je ne Vous vois pas mais je le sens… Alors je prends le verre et le porte à mes lèvres. Le liquide chaud et sucré coule dans ma gorge… Je ne parviens pas à le finir… Ma main n’arrive soudain plus à le tenir et il se brise à mes pieds… (190)
L’effet est immédiat… Je le sens…
Je ne contrôle plus mon corps…
Alors la lumière emplie l’espace et Vous apparaissez. D’un mouvement de Vos doigts dans les airs, Vous faites croiser mes mains dans mon dos, au-dessus de mes fesses. (234)
Un autre geste et mon cops se soulève dans l’espace. Mes jambes s’ouvrent, mon cul se cambre. Vous essayez Votre tout nouveau jouet. (260)
« Nous partons en voyage Empire… »…
Vous fermez mes paupières et je plonge dans Vos envies… (276)
Je sens Vos doigts sur mes lèvres. Vous jouez avec ma bouche, l’ouvrez, la pénétrez, et par réflexe je suce vos doigts. Deux autres de Vos mains s’emparent de mes seins et la douce pression de Vos doigts m’électrise. Une autre main encore se pose sur mes fesses, les palpent, les écartent à deux mains ! Et une première claque, suivi d’une seconde plus appuyé, puis une autre et une autre… (348)
Je m’envole… Ne laissant pas ma langue quittez Vos doigts plantés dans ma bouche.
Je gémis… (365)
« Allons plus loin mon Empire … »
Tandis que vos deux mains m’écartent, une autre joue avec mon orifice. Les claques sont de plus en plus fortes et la pression sur mes seins devient enivrante. (399)
Ma tête tourne mais j’assimile tous Vos gestes.
La caresse d’un martinet sur mes reins… La caresse d’un autre sur ma queue tendue ! Les claques de vos mains s’alternent avec les premières caresses de Votre martinet… Et puis c’est avec celui qui bat ma queue que tout se synchronise et s’accélère. Tout gagne en puissance ! En force ! Et tout m’envahi !! (466)
Mon cœur raisonne comme jamais dans ma poitrine ! Je halète, je gémis, tout est trop fort pour moi ! Et quand les lanières de Vos innombrables fouets commencent leur frôlement, toute ma peau poussée à bout de ses sens me supplie de jouir enfin !!! (509)
Mais je ne contrôle plus ma jouissance non plus !!!
Et tandis que Vos fouets s’ajoutent à Vos mains qui me fessent, à Vos martinets, à vos doigts sur mes seins et dans ma bouche, je suis maintenu par Votre puissance au sommet d’un orgasme qui n’éclatera qu’a Votre ordre ! En dehors de toute ma volonté. (568)
Je Donnerais ma vie pour jouir ! Et me trancherais les membres pour tenir juste une seconde de plus dans cet absolu perfection des sens exacerbé à l’extrême extrémité !!! (596)
C’est alors que Vous ouvrez à nouveau mes paupières et que Je peux enfin découvrir Votre regard qui comme le mien s’est envolé au firmament d’un plaisir inouïe.
Et Vous tenez encore, et mon cœur se bat pour vivre et subir l’ouragan qui n’épargne rien ! (642)
« Maintenant… ouii… Maintenant !!! »
Rien ne cesse ! Martinets et claques gagnent encore en puissance ! Vos fouets dessinent marques après marques Votre nom en lettre de sang sur toute ma peau ! (671)
Alors mes cuisses s’ouvrent en grand face à Vous. Mon bassin se tend en avant, mon regard planté dans le Votre, c’est la mort qui m’attend…. Je le sais, je le sens bien avant que vos doigts ne me prennent, un, puis deux, puis trois, et enfin la main entière !!! (724)
Mon âme n’est plus qu’un flot de lave, je pisse du sperme en jet continu ! Chaque parcelle de ma peau implore la délivrance et l’explosion finale que Vous ne laissez pas encore venir ! Je bave, je râle, je hurle, je supplie ! De douleur, l’absolue frustration, de bonheur incommensurable et d’un plaisir au-delà de l’imaginable humain ! (784)
Et… le silence…. Tout a disparu… Tout… Je suis là suspendu dans les airs, le cul ouvert, la queue tétanisée de millénaire de désir, la peau stupéfaite du vide total de sensation après Votre déluge divin… Mon corps tout entier est parcouru de spasme d’une violence infernal ! Je n’ai pas la force d’articuler un seul mot… C’est mon regard qui Vous implore : (849)
« Délivrez moi Maîtresse… je Vous en supplie… » Vous hurle-t-il en silence…..
Alors, dans une douceur infinie, Vous posez Vos mains sur mon visage… Vos lèvres s’entrouvrent et viennent comme dans un rêve se poser sur les miennes… (888)
Et la terre se met à trembler !!! Les murs s’effondrent !!! Le soleil se lève et se meurt dans une danse démente ! (909)
Je jouis de ce baiser… enfin ….de l’orgasme le plus puissant que l’univers n’ai jamais entendu raisonner !!! (929)
La douceur de Votre Baisers empli tous mes sens. Elle me pare de beauté, laisse s’écouler hors de mon âme tous mes doutes, toutes mes craintes. Je ne suis que le fruit né de la pureté diamantine de ce lien qui nous lie l’un a l’autre.(981)
Vous me prenez dans Vos bras……. je voudrais tant Vous le dire…
Mais il ne me reste que trois mots…
« Maîtresse, je Vous………………………………………………………. »(1000)
Dimension: 225 x 225
Taille: 4.84 Kb
2 personnes aiment ça.