Sucs

Levée par deux doigts, dans sa vulve, l’autre main sous ses reins je la soulève.Je lui avais promis de la scroller, de mon index comme sur une page d’un site porno, je fais défiler les images, les positons au rythme de mon érection. Mon index joue de ses parois internes, de ce petit coin intérieur que je presse à côté de son éponge.Toutes ses semaines sans pénétration, elle était prête, elle gémit sur le premier frôlement de ses lèvres, sa vulve déjà quasi ouverte comme un appel. J’attend, sourd à cette presque supplique. Elle était juste avant au prieuré, doucement fesses rosées à rougies, son désir est monté, ses flux la trahissent. Je n’insiste pas, juste le nécessaire pour te troubler, je te submergerai autrement. Son corps renaît, sa féminité se réaffirme, elle a besoin d’un d’hom, là, qui ne parle pas , qui ne demande pas, qui prend ton corps à l’écoute, son corps connu.Je la soulève de deux doigts ancrée dans ton intérieur, je te dépose cambrée en travers de sa méridienne. Sa tête à la renverse elle a mon sexe au fond de sa gorge comme seule explication.Tu jaillis par petit jet, doux, te tordant de plaisir, tu inondes cette tropezienne. Mes lèvres au plus prêt sur ton clito, j’en contrôle le débit au creux de ma paume. Gênée, troublée tu es mon Indécente.Tu t’enroules dans mes bras, lotie et si fragile. Ensuquée, j’absorbe la lente descente de ton souffle.