C’est notre deuxième utilisation. La première le crochet avait été trempé dans l’eau bouillante puis juste refroidit à la limite du supportable. C’était aussi l’hiver, j’aime bien que ma chose ait quelque chose de chaud dans le ventre, elle se plaint moins 😂 Cette fois-ci à température, légèrement frais, une longue introduction, trouver le bon angle, la bonne pression, pour que sa rosace s’ouvre mais pas trop vite, qu’elle en sente le diamètre. Elle souffle, elle inspire, peut être un léger murmure. Qu’importe elle doit en recevoir toute la longueur jusqu’au point de retournement de l’arc. Ce coude, large doit ensuite séparer le galbe de son cul, le marquer d’un trait fesse gauche fesse droit, qu’il en imprime ensuite le rythme des ondulations de son corps. Je choisi ma sangle, une sangle d’équitation, longue, rigide, je la double sur son corps en passant dans l’anneau. Il faut si prendre à deux fois, comme lorsque l’on sangle la selle de sa pouliche. Revêche elle garde de l’air dans sa panse. Je presse sur ces reins la sangle, en deux fois, trois crans de plus. Sa taille se rétrécit elle souffle, soupire, gémit. C’est en place. Elle se cambre naturellement, sa respiration contrainte donne vie à cette petite boule de métal au fond de son trou, il suinte, il est prêt. Ses fesses soulignée de ce trait de métal s’exhibent, insolentes mais moins indolentes. Fesser une provoque son onde de choc, sur le crochet qui remue la boule comme mon vit la pénétrant, j’y pense, pousser cette boule de mon gland, tête chercheuse et éclaireuse de ma verge, élargissant une voie pour mieux s’y perdre. Cochon me dira-t-elle. Je m’amuse. Fesser l’autre renvoie une ondulation sur le coude, les chairs de ses galbes glissent autour, elles marqueront d’un bleu autour de ce trait de métal. Brute me dira-t-elle, j’en souris animal. Dessangler une soumise crochetée est presque aussi périlleux que de s’approcher d’une pouliche énervée, le coup de talon peut être proche. Elle respire mieux mais elle sent toute la largeur de la bille qui redescend. La retirer le plus doucement possible, jouer autour du diamètre maximum, ne pas provoquer l’expulsion, contraindre le rectum dans sa plasticité, suavement tout en sentant sa sueur couler le long de ses bras, l’oree de son cul. L’entendre crier à sa vue expulsée « mais il est énorme », pour la prendre dans ses bras, exténuée de cette cavalcade, ses jambes me crochetant en retour, ses dents dans ma peau…j’aurais du lui poser un mors.
Categories: Bondage Shibari, Domination masculine
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1200 x 1604
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Atypik
J'adore. Le texte, la photo, l'humour, la complicité. Merci pour ce partage.
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18/04/24
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•⊹Angélique⊹•
Toujours de très beaux partages merci a vous deux et plein de bisous tout doux à "ma" Miss classe.
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18/04/24
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Thémis
Magnifique écrit.
On le vis avec vous ...
Merci pour ce partage qui me parle beaucoup, ayant eu des chevaux .
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18/04/24
Parloire
Ouaip. Les sales bêtes ça mord sans aucune reconnaissance 🙄
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18/04/24
insolence
Joli texte... sourire
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18/04/24
Jnp91
Moi j'y étais. Joli partage, merci.
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18/04/24
Madame Athena
Et bien, et bien,
Ma respiration saccadée au rythme de la lecture de vos mots.
Merci pour ces émotions 🌹
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18/04/24
Miss Laura
Ooooh!!!!! Daddy cachotier! Vous l’avez fait😂
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18/04/24
Onemoon
Oui @Parloire pour avoir monté presque tout ce qui se monte elle a la vivacité du troteur et la bratitude du dromadaire l’élégance en plus 😈
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18/04/24
Onemoon
@Madame Athena le souffle et la respiration sont aussi nos objets, insufflés et contraints 🔥
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18/04/24
Onemoon
@Themis, cuir sangle longe ventrière c’est déjà un univers 😇
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18/04/24
Onemoon
@Angelique insolence complices de plume 💋
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18/04/24
Onemoon
À hue et à dia Miss Laura je te conduit forcément sur le bon sentier 😈😈😈et vers la prochaine écurie avec les tiennes 🔥tu feras un peu de manège à la vue de tous !
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18/04/24
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