La nuit m’attendais depuis longtemps lorsque je me suis endormi, plein des goûts de Vous, une main posé sur Votre taille… Et alors que le sommeil m’emporte, une flamme de bougie renait… Puis une autre. Derrière mes paupières clauses, un monde s’anime et prend vie.
Le drap glisse doucement et découvre mon corps à Votre regard. Un légé frisson parcourt mes reins. Je n’ai pas bougé. Je ne peux pas bouger… Je ne veux pas bouger…
Mes cuisses entrouvertes Vous accueillent. Je Vous sens derrière moi.
Vos yeux se posent sur mon bassin qui doucement le soulève. Ils cambrent mes reins et écartent mes genoux. Les fesses ainsi offertes, juste suspendus devant Vous, la musique de mon sang battant dans mes veines Vous supplie, Vous implore d’abuser de moi…
Alors Votre désir se pose sur ma corole et la flatte. Je gémi en silence. Et quand enfin il me pénètre, Votre regard me laisse juste assez de liberté pour que je me cambre plus encore…
Hannnn !!! Le sentir m’envahir….. M’ouvrir…Et me donner la force de Vous accueillir toute entière… Et établir la parfaite connexion… Branché à Vos désirs du plus profond de mon ventre…
Alors les bracelets de cuirs apparaissent à mes chevilles, à mes poignets. Mon corps se contorsionne sous la puissance de Vos vices, lui donne échos pour me présenter à genoux, les cuisses largement ouverte, le torse courbé en arrière, les mains liées à mes chevilles…
Votre sourire me caresse de sa longue lanière de cuir. Elle glisse sur mes épaules, sur mes seins, sur mon ventre jusqu’à ma queue… Oui je veux l’éprouver pour Vous… Avec Vous… Sur cette peau si fine qu’elle frissonnerait de terreur si Votre regard ne cessait de me hurler :
« C’est notre danse mon Empire… C’est notre musique… Je vais la jouer et nous allons en jouir… »
Alors un éclair dans Vos pupilles fait claquer Votre sourire. Sa lanière brûle ma queue une toute première fois. Et je puise dans l’acier de Vos yeux la force d’en dompter la douleur. Mon corps est hors de toute logique ! Il se tend vers cette brûlure, ouvre plus encore mes jambes.
Un nouveau claquement, l’intérieur de ma cuisse, et mon ventre s’affole ! Un autre encore sur mon torse, et puis comme un orage d’été, rependant ses torrents de cinglements brûlant :
Vous êtes entrez en moi ! Vous possédez mes sens ! Chaque claquement provoque chez Vous l’exacte réplique de mes propres frissons, de mes propres douleurs ! Vous ressentez ce que je ressens ! Et je ressens absolument tout de Vous !!
Est-ce mon plaisir qui Vous emporte ? Est-ce le Votre qui me submerge ? Se tiennent-t-ils tout simplement par les tripes pour s’emporter ensemble et nous submergé ?
C’est un tourbillon de peau, de sexe, de regard et de souffle ! C’est l’union de deux ouragans de vices lié par un pact d’amour et de tendresse… Libre dans un océan de confiance…
Votre bras se pose alors doucement autour de mon cou… Et devant mes yeux entrouverts, Votre visage endormi me sourit…
Je passe ma main dans Vos cheveux, dépose un baiser tendre sur Votre joue… Je souri… Et alors que je passe ma jambe tout contre la Votre, de douces brûlures entre mes cuisses m’accompagnent…
Sourire… Je n’ai pas rêvé… Ou peut-être que ma vie tout entière est un rêve….
Le drap glisse doucement et découvre mon corps à Votre regard. Un légé frisson parcourt mes reins. Je n’ai pas bougé. Je ne peux pas bouger… Je ne veux pas bouger…
Mes cuisses entrouvertes Vous accueillent. Je Vous sens derrière moi.
Vos yeux se posent sur mon bassin qui doucement le soulève. Ils cambrent mes reins et écartent mes genoux. Les fesses ainsi offertes, juste suspendus devant Vous, la musique de mon sang battant dans mes veines Vous supplie, Vous implore d’abuser de moi…
Alors Votre désir se pose sur ma corole et la flatte. Je gémi en silence. Et quand enfin il me pénètre, Votre regard me laisse juste assez de liberté pour que je me cambre plus encore…
Hannnn !!! Le sentir m’envahir….. M’ouvrir…Et me donner la force de Vous accueillir toute entière… Et établir la parfaite connexion… Branché à Vos désirs du plus profond de mon ventre…
Alors les bracelets de cuirs apparaissent à mes chevilles, à mes poignets. Mon corps se contorsionne sous la puissance de Vos vices, lui donne échos pour me présenter à genoux, les cuisses largement ouverte, le torse courbé en arrière, les mains liées à mes chevilles…
Votre sourire me caresse de sa longue lanière de cuir. Elle glisse sur mes épaules, sur mes seins, sur mon ventre jusqu’à ma queue… Oui je veux l’éprouver pour Vous… Avec Vous… Sur cette peau si fine qu’elle frissonnerait de terreur si Votre regard ne cessait de me hurler :
« C’est notre danse mon Empire… C’est notre musique… Je vais la jouer et nous allons en jouir… »
Alors un éclair dans Vos pupilles fait claquer Votre sourire. Sa lanière brûle ma queue une toute première fois. Et je puise dans l’acier de Vos yeux la force d’en dompter la douleur. Mon corps est hors de toute logique ! Il se tend vers cette brûlure, ouvre plus encore mes jambes.
Un nouveau claquement, l’intérieur de ma cuisse, et mon ventre s’affole ! Un autre encore sur mon torse, et puis comme un orage d’été, rependant ses torrents de cinglements brûlant :
Vous êtes entrez en moi ! Vous possédez mes sens ! Chaque claquement provoque chez Vous l’exacte réplique de mes propres frissons, de mes propres douleurs ! Vous ressentez ce que je ressens ! Et je ressens absolument tout de Vous !!
Est-ce mon plaisir qui Vous emporte ? Est-ce le Votre qui me submerge ? Se tiennent-t-ils tout simplement par les tripes pour s’emporter ensemble et nous submergé ?
C’est un tourbillon de peau, de sexe, de regard et de souffle ! C’est l’union de deux ouragans de vices lié par un pact d’amour et de tendresse… Libre dans un océan de confiance…
Votre bras se pose alors doucement autour de mon cou… Et devant mes yeux entrouverts, Votre visage endormi me sourit…
Je passe ma main dans Vos cheveux, dépose un baiser tendre sur Votre joue… Je souri… Et alors que je passe ma jambe tout contre la Votre, de douces brûlures entre mes cuisses m’accompagnent…
Sourire… Je n’ai pas rêvé… Ou peut-être que ma vie tout entière est un rêve….
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Lady Liliam
Nous avons dû faire le même rêve alors car j'ai encore en moi la sensation que m'a procuré le claquement de mon fouet sur ta jolie queue alors que nos regards étaient plantés l'un dans l'autre. Encore des moments magiques inoubliables....
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26/03/14