GreyFondor
le 16/03/24
49 vues
SOUVENIR N°7
Pour personnes averties ! 😉😅
On frappe à la porte de ma chambre dans un hôtel parisien.
J'ouvre la porte, et je te vois quasiment pour la première fois : tremblante, le visage un peu rouge de honte.
Tes yeux regardent le sol, avant de venir à la rencontre des miens, puis retournent regarder tes pieds.
Jolie, brune, de beaux yeux pleins de vie, la presque quarantaine bien affirmée.
Tu es nue, totalement nue, comme je te l'avais demandé, comme tu l'avais accepté.
Certains diront …. imposé.
Moi je suis habillé tout de noir.
Je prend tout mon temps pour te regarder, te laissant dans ce trouble qui te fait honte mais t'excite en même temps.
J'attrape alors tes cheveux et te tire pour te faire entrer dans la chambre. Je ferme celle-ci sans relâcher ma prise sur tes cheveux.
Tu trembles. Tu frissonnes.
Je te donne une petite claque sur la joue.
Tu me regardes avec un sourire et dans tes yeux une lueur de défit.
Je te donne alors deux baffes plutôt fortes sur tes joues qui deviennent rouge.
Tu recules contre le mur, bouche ouverte, tremblante, légèrement affaissée sur tes jambes.
Tu me regardes dans les yeux, puis ton regard se porte vers le sol …. soumise.
Ma main descend toucher ton sexe : tu es trempée, sans que mes doigts entrent en toi, ils sont totalement mouillés.
Avec mon pied, je t'écarte les jambes.
Et je le vois, ce bouton turgescent, de la taille d'une noisette, énorme, décapuchonné, rouge, caché par aucune pilosité….. Impressionnant.
Tu m'en avais parlé.
Je le caresse en l'effleurant seulement, mais cela déclenche en toi de nouveaux tremblements, ton visage se crispe, ta bouche s'ouvre.
Alors je le pince plusieurs fois, très vite, surtout très fort : tes jambes sont prises de secousses, elles ne te tiennent plus, tu t'affaisses, accroupit, cuisses ouvertes, presque en silence.
Tu es totalement tremblante.
La moquette est mouillée de la cyprine qui s'écoule de ta fente, comme d'une fontaine.
Tu viens d'avoir ton premier orgasme de la soirée. Déjà.
- - - - - - - - -
Étonnamment, nous avions fait connaissance sur un site bien vanille.
Tu m'avais contacté et malgré le fait que tu habitais à plus de 500km de Paris, je t'avais répondu.
Après un échange de plusieurs mails à parler de nos vies, de nos goûts, musique, lecture, ciné, cuisine, notre conversation a dévié un moment sur la sexualité, nos vécus …
Et puis nos fantasmes.
Nous avions sur ce sujet bien plus de correspondances que nous aurions pu le penser vu le site de rencontre.
Nous avons échangé des photos.
Puis nous avons beaucoup parlé au téléphone. Régulièrement.
Nous passions des soirées, très chaudes, si ce n'est des nuits entières à parler de sexe, à imaginer des scenarii.
Enfin nous allions nous rencontrer : tu avais un séminaire organisé par ton travail sur la capitale. Celui-ci terminé, nous avons convenu de passer ensemble une petite semaine de "vacances" que nous avions tous les deux obtenu.
Mais impatient de te rencontrer enfin, j'ai retenu pour ta dernière soirée de séminaire une chambre dans ton hôtel. C'est ce que tu avais espéré sans me le dire.
Juste le risque de ne pas nous plaire au premier regard, qu'il n'y ait pas ce feeling, cette alchimie si nécessaire à l'envolée des sens …
Aussi nous nous sommes croisés vers l'heure du repas dans cet hôtel, sans nous parler, sans nous toucher, juste un regard ….. et l'échange de nos analyses sérologiques ….
Tu es donc venu jusqu'à ma chambre frapper à la porte.
Nue. Toue nue.
- - - - - - - - -
Je t'ai relevée sans douceur par le bras et je t'ai jetée sur le lit.
"À quatre pattes chienne, montre toi"
De toi-même tu te cambres en écartant tes fesses avec les mains.
Aucune pudeur, aucune retenue.
Je regarde ton sexe béant du fait de la position d'où s'écoule encore ta mouille, et ce cul si ouvert par l'habitude des pratiques anales.
"Tu es trempée salope, ton cul est dilaté, cela t'excite"
"Oui Monsieur, et j'en ai honte"
Je te donne une fessée, les tapes sont de plus en plus fortes.
"Donne moi ce cul, bien plus, maintenant"
Tu te mets à trembler, et tu pousses encore plus ton cul vers moi.
Une fesse, puis l'autre puis à nouveau la première …
Tes fesses deviennent rouges, je t'entends renifler et pourtant tu pousses à chaque fois ton cul vers moi, vers cette fessée qui te fait mouiller.
Vers le plaisir totalement masochiste d'une femelle soumise.
Je te claque entre les cuisses. Tu écartes tes cuisses car tu aimes cela.
Ton sexe devient rouge. Ta douce peau, si fine en cet endroit si intime, devient brûlante.
Je n'ai jamais vu une chatte couler autant en continu.
Je te lève alors la tête par les cheveux pour que tu puisses me sucer.
Tu me regardes dans les yeux en t'appliquant de ta langue, de tes lèvres, de ta bouche.
Tout cela explose dans ma tête, me fait bander à en avoir mal : tu m'avais parlé dans tes mails de ce que tu aimais, de ce que tu rêvais, comment ton corps réagissait, tout le temps, à chaque fois qu'on te touche, mais la réalité est tellement plus puissante que le virtuel …
"Ouvres bien ton cul, je veux entrer en toi facilement"
"Oui Monsieur, je ne mérite que d'être prise par là"
Tu t'écartes les fesses des deux mains, ton cul est ouvert, et j'enfonce alors ma queue d'un seul coup, pour la ressortir entièrement, et te pénétrer à nouveau.
En te tenant à nouveau les cheveux, te forçant à cambrer encore plus tes reins.
Je te présente ma queue que tu sens, que tu lèches et suces avec application, malgré le fait qu'elle sorte de ton cul, ou plus sûrement parce qu'elle sort de ton cul.
Et je m'enfonce dans ta bouche, jusque la gorge, en te tenant la tête, jusqu'à la suffocation, jusqu'à te faire couler des larmes, à chercher ta respiration.
Après de nombreux aller retour entre ton cul et ta bouche, je fini par te baiser le cul à grands coups de reins.
Mais je te veux plus ouverte encore.
J'enfonce alors dans ton cul deux doigts, trois doigts, puis quatre, puis c'est ma main qui entre en toi.
Tu te cambres, tu t'ouvres, tu te donnes. Totalement. Entièrement.
Je te défonce alors le cul, entrant et sortant ma main.
Et là tu te mets à trembler, à crier, à hurler.
Le plaisir prend totalement le pas sur la douleur. Mais as tu seulement mal ?
Tu pousses en toi une dernière fois dans un grand silence, puis tu t'affaisses sur les draps complétement trempés de ta mouille, jambes ouvertes. Ton sexe laisse couler son jus très abondamment.
Tu fermes les poings, ton corps se raidi, tu trembles de partout.
Et je t'entends pleurer. Pleurer de jouissance dévastatrice.
Tu soupir fortement, tu cherches de l'air …
C'est ton deuxième orgasme de la soirée, dévastateur, total, si profond qu'il t'a fait pleurer.
Je te soulève alors la tête, et te présente ma queue devant la bouche.
"Allez salope, fait moi jouir"
Tu me souris, tes yeux sont humides, et tu me prends dans ta bouche si chaude et aux lèvres si pulpeuses.
Et lorsque j'éjacule, pas une goutte de sperme ne ressort, tu avales tout avec délectation.
Mon cerveau explose de plaisir …
Tu me souris, te lèves puis te mets à genoux.
Et là tu m'embrasses les pieds, et me regardes à nouveau.
Je te caresse la tête avec de petites claques sur le dos, comme avec une chienne.
Et ton regard m'électrise ….
Retour sur le lit.
Après t'avoir bandé les yeux, et attaché les mains dans le dos, je m'assoie pour me reposer et je te regarde, perdue, les fesses rouges et mouillées, allongée sur ce lit d'une chambre d'hôtel.
Notre soirée ne fait que commencer et ce n'est que la première ...
Nous passerons ainsi une semaine ensemble, à visiter Paris, ses expos, ses musées, ses quais.
Toi souvent sans sous-vêtement, et un plug figé dans le cul.
Une semaine à baiser jusqu'à ne plus pouvoir, à te dilater comme tu le rêvais, comme tu l'aimais, comme nous en avions parlé, comme l'esclave que tu as déjà été, à nouveau sans aucune pénétration vaginale, sans pudeur aucune, presque sans limites …
Dans un univers quelques rares fois Vanille, très souvent SM, toujours D/s.
Pour notre plaisir.
Jusqu'à ce qu'on puisse se retrouver …
Vite, très vite …
Peut être …
Malgré la distance …
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
Dimension: 694 x 753
Taille: 75.53 Kb
4 personnes aiment ça.
Griffon 59
Superbe tout simplement, il y a parfois des chemins qui se croisent ..... ! Merci de votre partage, bon week-end à vous GreyFondor.... 1f609.png
J'aime 16/03/24