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Qu'est ce que le pegging ?

Le pegging est une pratique sexuelle qui consiste pour une femme à pénétrer l'anus d'un homme à l'aide d'un gode ceinture, godemiché ou d'un sextoy adapté, souvent fixé à un harnais autour de la taille. Cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux BDSM ou simplement comme une expérience sexuelle non-conventionnelle. Bien que le pegging ait été longtemps considéré comme un sujet tabou dans la société, il est de plus en plus populaire auprès d'une grande variété de personnes. Les pratiquants du pegging peuvent être des couples hétérosexuels ou homosexuels, et ils peuvent être de tout âge, de toutes origines ethniques, de toutes orientations sexuelles, et de tous niveaux d'expérience sexuelle. Le pegging est une façon d'expérimenter des rôles de genre inversés, ou pour explorer la domination et la soumission sexuelle. Le pegging peut également être une pratique bénéfique pour les hommes souffrant de troubles de la fonction érectile ou de la prostate, en stimulant cette zone érogène souvent négligée. Il est important de souligner que le pegging, comme toute pratique sexuelle, doit être pratiqué en toute sécurité et avec le consentement mutuel. Les partenaires doivent s'assurer que le matériel utilisé est de qualité, que les précautions d'hygiène appropriées sont suivies et que les limites de chacun sont respectées tout au long de l'expérience.

sancontrefacon
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Candela
Le 31 décembre, à dix-huit heures, pour les douze prochaines heures, Eva et Alexandre allaient se comporter comme un couple banal, se préparant pour un réveillon très festif et arrosé avec quelques-uns de leurs amis. Ils attendaient l'ouverture de la première boulangerie à Paris à cinq heures, puis prendraient un petit-déjeuner en amoureux, les yeux dans les yeux, pendant les quelques minutes qu'il leur resterait. À moins qu'Alexandre n'en décide autrement -- l'année étant paire, il en avait le privilège -- à six heures du matin, Eva allait se mettre à genoux à ses pieds, esclave absolue pendant toute une année, jusqu'au prochain 31 décembre à dix-huit heures. Ils s'étaient rencontrés à peine majeurs, déchirés, réconciliés maintes fois, éperdument amoureux l'un de l'autre, mais incapables de vivre ensemble tant leur caractère était fort, puissant et entier. Leurs ébats étaient tout aussi violents et c'est Eva qui proposa cette solution alternative. Pour une durée d'une semaine dans son esprit, les échanges, réflexions et discussions amenèrent la conclusion que seule une durée plus longue serait viable, et ils tirèrent au sort le rôle de chacun : finalement, c'était le moins important, car esclave ou Maître, chacun vivait pleinement et sans limite la relation, dans un amour, une confiance et une violence contrôlée. Ils avaient commencé il y a dix ans, et Alexandre venait donc de terminer sa cinquième année d'esclavage. Chaque année était plus poussée, exigeante, l'un s'inspirant des idées et projets de l'autre, jamais rien n'était figé, et jamais aucun d'eux n'avait songé à utiliser cette sécurité qui était de décider d'arrêter après la libération d'une année d'esclavage. C'est comme si leur amour passionnel, loin de se tarir, ne faisait que se renforcer pour prendre des dimensions fantastiques, parfois déraisonnables, partagées par quelques-uns de leurs amis qui se refusaient à les juger, mais adoraient partager certains jeux très pervers avec eux. Jennifer, la sœur jumelle d'Alexandre, n'était pas fâchée de le retrouver de ce côté du manche, même si elle partageait une totale complicité avec Eva (c'est elle qui les avait présentés) et s'amusait beaucoup de leur relation. Elle avait cherché un compagnon pour instaurer une telle vie de couple, en vain : la passion fusionnelle était bien plus rare qu'il n'y paraissait. À dix-huit heures donc, Eva desserra le corset qui étranglait Alexandre depuis quarante-huit heures. Évidemment, il fallait terminer dans une sorte d'apothéose, quoique l'année avait été incroyablement riche en expériences nouvelles, transgressions inédites dont certaines irréversibles. Un seuil avait été franchi par Eva, consciente des répercussions à venir : elle s'était enfin sentie prête à de nouvelles et terribles folies, plus rien ne comptait que sa passion avec Alexandre. La peau était profondément marquée par les traces de lacet, avec des teintes rouges très foncées. Elle savait qu'il les garderait au moins quelques jours. Le collier fut la seconde contrainte qu'elle détacha, là aussi le cou était très marqué et la ligne était plus ou moins définitive, elle n'avait jamais vraiment disparu depuis l'année où elle avait décidé de le maintenir très serré. Alexandre se massa avec un bonheur inouï, retrouvant une liberté qu'il avait quasiment oubliée. Par tendresse, elle lui fit enlever lui-même son bâillon, massant doucement sa mâchoire fortement endolorie. Ses yeux à peine sortis du bandeau gonflable, clignaient pour s'accoutumer, cherchant passionnément son regard, son amour, leur fusion. Elle l'avait enfermé dans le noir et le silence depuis Noël, voulant que cette fête de nouvel an soit incroyable et inoubliable. Sans attendre, il la prit dans les bras, l'embrassa, la toucha, la pressa tandis qu'elle faisait de même. Ils s'échangèrent les mots d'amoureux fous ne s'étant pas vus depuis des années, retrouvant une passion intacte, un étonnement inouï à l'émotion provoquée par l'autre! Ils devaient se préparer pour la fête chez Jennifer, ils seraient en retard. Fébrilement, Eva défit la ceinture en silicone serrée à sa taille, assez lâche après une année de contrôle alimentaire où Alexandre avait perdu plus de dix kilos, ce qui lui allait merveilleusement bien. Enlever la cage de chasteté était un moment crucial, Eva avait tenu sa promesse : pour la première fois, il n'avait pas joui depuis qu'elle lui avait mise le 1er janvier dernier. Habituellement, elle craquait, mais cette année elle avait décidé de franchir un tabou, non pas de simplement le frustrer, mais de le tromper, et très souvent, parfois en complicité, le plus souvent sans qu'il ne puisse rien en savoir, mais en s'en doutant, ce qui rendait la souffrance et le désir exacerbés. Car c'était bien ce qu'elle cherchait, bien plus que des relations sexuelles autres, le rendre fou de désir, en manque et entrant dans une totale dévotion, exacerbée par son désir frustré. Il ne fallut que quelques secondes à son sexe pour se redresser. Son pénis ne ressemblait à rien qu'elle n'ait déjà vu : il était fait d'un cylindre épais, long, parfaitement droit, avec un gland très peu marqué, comme un gode au moulage simple et élégant. Et cette année, circoncis et orné d'un lourd anneau qui perçait son extrémité, en forme de cadenas. Une des transgressions qu'Eva lui avait imposée, dans une transformation irréversible, qu'il avait dû plaider auprès d'un chirurgien étonné mais finalement motivé par ce magnifique sexe. Le piercing était moins définitif, elle l'avait voulu pour assurer une fiabilité sans limite à sa cage de chasteté. Il n'ignorait pas que s'il l'enlevait aujourd'hui, elle recommencerait dans un an, avec un anneau encore plus gros ; celui-ci était déjà bien assez imposant. Et c'était une volonté d'Eva, c'était sacré! À genoux entre ses jambes, Alexandre était un peu anxieux de l'effet de l'anneau sur son gland pendant la pénétration. Eva le rassura, ayant pu le tester en réel : le perceur l'avait prise sauvagement devant lui, complètement KO par l'anneau qui venait d'être posé, fasciné par ses seins qui valsaient dans tous les sens sous son t-shirt blanc, tant le gros barbu tatoué la ramonait sans ménagement, par devant et par derrière. Il en avait gardé un souvenir très précis, et effectivement, l'anneau massif qu'il portait sur le sexe n'avait pas empêché le barbu de la prendre longuement. Eva frémissait d'impatience, tant elle avait hâte de le sentir en elle. Ils avaient certes fait l'amour cette année, mais, avec beaucoup de perversité, elle lui avait fait porter un gode ceinture, avec une réplique de son sexe qu'elle avait faite il y a deux ans déjà, et c'est ainsi qu'elle l'utilisait comme un sextoy. Mais ce soir c'était son sexe chaud, et son sperme qu'elle désirait avant tout. Il la pénétra doucement, tandis qu'elle écartait ses grandes lèvres pour faciliter l'intromission, jouissant de chaque décharge de plaisir dans son sexe et son corps. Comme il en avait rêvé de cet instant, s'accrochant souvent comme un naufragé à sa bouée, à cette image, à cette projection, à ce plaisir qu'il ne manquerait pas de prendre. L'anneau tirait certes sur le gland, c'était plaisant, tandis qu'il cognait sur le col d'Eva qui faisait des bonds de plaisir, et gémissait bruyamment. Leurs regards se cherchaient, il la tenait fermement, les mains enfoncées dans ses seins qu'il utilisait comme des poignées, elle jouant des anneaux de ses seins, sans lui faire mal cette fois-ci. Si ce n'était pas elle qui avait effectué la première pose, de semaines en semaines, elle avait pris un plaisir incroyablement sadique à augmenter le diamètre, provoquant en permanence des douleurs à la limite du supportable pour Alexandre. Elle avait projeté de lui faire porter à terme des anneaux de cinq millimètres de diamètre, mais le plaisir de la dilatation de ces anneaux était tel qu'il portait des barrettes de huit millimètres, lourdes et visibles qu'elle adorait. Lui avait trop souffert pour penser même à les enlever. Surtout, elle avait développé ainsi une sensibilité de ses seins qui était un vrai bonheur, sans compter la taille des tétons qui n'avaient rien à envier à ceux d'Eva. Non décidément, il n'enlèverait rien de tout ce qu'elle avait fait de lui pendant cette année. Eva était pleine de mots d'amour, Alexandre lui exprimait la dévotion la plus pure, vivant un bonheur inouï à la sentir ainsi partir sous ses mouvements lents et profonds. Il savait qu'elle n'était plus loin, il accéléra lentement, cherchant l'image forte qui le ferait partir peu après elle. Et les cris de jouissance d'Eva furent rapidement couverts par ceux d'Alexandre, en proie certes au plaisir de la jouissance, mais surtout à la souffrance terrible de cette jouissance refusée depuis tant de mois : son sexe était terriblement douloureux et cela ne fit que renforcer encore l'orgasme d'Eva, qui, d'un réflexe issu de son ancien rôle, lui tira les tétons à l'extrême, provoquant des cris stridents, où il était difficile de savoir si Alexandre appréciait ou était à l'agonie. Les deux amants s'abattirent l'un sur l'autre, il était temps de se préparer, mais l'énergie leur manquait. En se regardant, ils eurent un fou rire avant de s'embrasser passionnément. Il fallait se dépêcher pour leur soirée de l'année. C'est alors qu'Alexandre réalisa qu'il n'avait même pas enlevé le bouchon en verre qui bloquait son cul depuis quelques jours! Eva l'avait tellement habitué que cela lui semblait naturel. Il se sentit incroyablement léger en l'enlevant, mais une vague de tristesse l'emplit. Sans doute le contrecoup de l'orgasme et de la libération, il se dépêcha de rejoindre Eva sous la douche. Son corps nu le rendait fou, ses seins tombaient certes un peu malgré son jeune âge, la faute à une lourdeur excitante sur laquelle il allait faire tomber bien des tourments. Eva s'habillait devant lui, fixant ses bas sur son serre-taille, voulant se faire aussi belle que possible, aussi Déesse qu'il ne l'avait rêvée. La dévotion qu'il avait développée pour elle pendant ces douze derniers mois l'avait comblée, tellement excitée aussi, et lui avait permis de s'amuser tellement. Elle l'avait mis en danger, pour le tester, qu'il doute, remarquant qu'alors son amour ne faisait que se renforcer. Il lui suffisait de s'éloigner un peu pour qu'il veuille encore plus se rapprocher, c'était un vrai jeu pervers qu'elle avait poussé très loin. Comme lui indiquer qu'elle partait en week-end avec Jennifer, celle-ci passant faussement à l'improviste, éventant ainsi l'alibi d'Eva partie avec un amant quelconque. Il avait été dévoré de jalousie jusqu'à son retour, incapable de penser à un tel machiavélisme, en plus avec la complicité de sa jumelle, et loin de tout reproche, s'était jeté à ses pieds comme jamais. Elle le savait brillant, plus que n'importe qui et bien plus qu'elle. Il avait dû comprendre! Elle le regardait intensément, comme pour lui faire passer le message qui ne pouvait être dit : formulé, il perdait alors toute sa puissance! Alexandre se regardait dans la glace, comme Eva l'avait modelé ces derniers mois. Les piercings et la circoncision n'étaient pas les seules transformations qu'il avait dû subir. Déjà physiquement, elle lui avait fait perdre cinq kilos pourtant pas trop superflus, tout en lui imposant des exercices physiques qui l'avaient modelé comme jamais. Il admirait son corps, qu'il trouvait superbe, musclé et bien équilibré. Jamais il n'aurait eu la force sans son coaching très autoritaire. Son visage avait évolué et cela le troublait beaucoup. Il n'avait pas compris la démarche d'Eva, mais bien entendu s'y était totalement plié. Le visage était glabre, il était épilé au laser sur toute la barbe et moustache, mais aussi en partie les sourcils, les pattes et l'implantation supérieure de ses cheveux. De même dans la nuque, ses cheveux remontaient très haut maintenant, dégageant une nuque vierge, tout cela lui donnait une allure très féminine, pourtant loin de son gabarit : Eva lui avait toujours exprimé son attrait pour sa virilité, la puissance de son corps, la beauté de ses muscles. Certes le résultat l'affinait beaucoup, et les regards des femmes semblaient bien plus appuyés lui semblait-il. Eva le lui avait confirmé. Il croisa son regard intense dans le miroir, admirant ses courbes qu'elle trouvait pour sa part un peu lourde, mais qu'il adorait par-dessus tout. Ses longs cheveux noirs et raides tranchaient avec ses yeux bleus très clairs, presque étranges avec le mat de sa chevelure. Savait-elle qu'à cet instant il faisait un bilan, très partiel, de ce qu'elle lui avait fait subir? Il se retourna pour la regarder directement, un peu troublé, ne comprenant pas vraiment ce qu'elle voulait dire. Elle détourna ses yeux, et il termina de se préparer. Un dernier coup d'œil au magnifique tatouage qu'il portait maintenant au biceps, une chaîne fermée par un cadenas fait des lettres de son prénom. Ils étaient prêts à sortir, pourtant il n'avait envie que d'elle, il le lui murmura à l'oreille, elle fondit dans ses bras, lui assurant qu'elle était tout à lui. Elle avait quelques heures d'avance, songea-t-il. 2. Accoudés aux barrières du Sacré-Cœur, ils regardaient la ville endormie en cette aube du premier jour de l'année, dégustant les croissants chauds traditionnels. La soirée avait été festive comme prévue, Jennifer savait les organiser! Elle semblait heureuse de retrouver son frère pleinement et au moins pour une année, mais tout aussi heureuse de se coller à Eva dans une sensualité qui interrogeait Alexandre. Étaient-elles allées plus loin qu'elles ne le disaient? Cela l'aurait mis un peu mal à l'aise à vrai dire. Mais deux beaux éphèbes tournaient aussi autour de sa sœur, et il était heureux pour elle de son bonheur irradiant. Eva était tournée vers lui, écrasée entre la barrière et le corps d'Alexandre, il la tenait par ses fesses, qui le rendaient tout aussi fou que ses seins. Paradoxalement, autant ces derniers étaient fermes, autant ses fesses étaient incroyablement molles en défiant les lois de la physique, mais gardant un galbe d'adolescente! C'est à cet instant qu'il comprit le message muet, ou plutôt que son cerveau le comprit pour lui et ne le formula : -- Tu es prête et tu m'as préparé toute cette année? Elle ne répondit pas, enfouit sa tête contre son torse puissant, intimidée par la situation, inquiète aussi de sa réaction. Ils ne l'avaient jamais évoqué que comme une règle du jeu, mais jamais clairement. Il la serra fort dans ses bras, le sexe dur comme l'acier qu'elle sentait contre son ventre, elle leva son regard mouillé vers lui : -- Désires-tu, Eva, que cette année ne finisse plus jamais? -- Oui Maître! Sa voix était un murmure dans le bruit de la ville, les larmes coulaient sur ses joues. Elle n'avait cessé de transgresser leur relation toute cette année, sans jamais aller trop loin, qu'il sente à la fois ce que cela faisait, mais qu'elle était prête en retour, à subir bien plus, sans limite, comme ils se l'étaient promis, même s'ils avaient été assez sages avant cette dernière année. Elle n'avait pas hésité à le transformer, qu'il sente le pouvoir que cela confère, et son désir à elle qu'il la modèle comme il le voudrait. Elle n'avait cessé de le tromper, pour qu'il touche du doigt comme la jalousie, l'inconnu, le plaisir de l'autre pouvait nourrir paradoxalement une dévotion dévorante et absolue. Elle n'avait cessé de le torturer psychologiquement et physiquement, qu'il sache que la clé de l'absolu se trouvait dans ces excès et ces folies. Elle savait depuis le premier jour qu'elle le voulait en Maître absolu, dans une fusion débordante et excessive, et aujourd'hui, oui, elle était prête. Elle croisa dans son regard une lueur qu'elle connaissait bien, à la fois terriblement excitante et paniquant : Il avait une envie, hésitait à l'exprimer, tant elle était très extrême. Elle le serra, hocha la tête pour l'inciter : - Tout ce que tu voudras - Oui. Alors que fais-tu encore habillée? Une esclave vie nue. Elle fut interloquée une seconde, il y avait du monde même à cinq heures du matin, et surtout il faisait froid. Son hésitation fut, heureusement pour elle, à peine perceptible ; le cour battant elle fit passer sa robe par-dessus la tête, après avoir enlevé son manteau, la culotte et le soutien-gorge suivirent. Sur un geste d'Alexandre, elle ôta aussi le serre-taille et ses bas, même ses chaussures, tout fut ranger dans le coffre de la moto qui était à quelques mètres. Les badauds souriaient en la regardant, elle se mit à genoux, embrassa ses chaussures, le remerciant avec passion. Il la prit par les cheveux, il ne fallait pas rester trop longtemps. Son corps était couvert de chair de poule, avec la moto cela allait être bien pire. Sur le chemin du retour, elle se collait à lui, ayant ouvert son pantalon elle le branlait doucement, la queue reposant sur le réservoir de la moto. Ke froid était cinglant, elle en était heureuse, elle s'offrait, humiliée ainsi pieds nus. De nombreuses voitures les kloxonnèrent, heureusement aucune de la police! C'est une Eva frigorifiée qu'il baisa sauvagement sur le capot d'une voiture dans la rue, ne se souciant guère du passage, elle tournait la tête dans tous les sens, le ermerciant sans cesse, lui faisant mille promesses de soumission, lui, lui promettant des tourments sans fin pour le reste de sa vie. Ils jouirent tous les deux de leurs promesses, impatients de les mette à exécution.
travestiepourtoi44
qui socuperai de moi dans le 44 merci
travestiepourtoi44
qui soccuperai de moi dans le 44 merci
Soyez la première personne à aimer.
J'ai pu tester avec ma copine dernièrement. C'était notre première fois pour les deux donc nous étions pas très alèse mais c'était très excitant. On a commencé en petite cuillère ce qui me permettait de contrôler les mouvements et une fois un peu habitué elle est venue sur mon dos. J'ai beaucoup aimé le fait de ne pas contrôler la pénétration et de laisser le contrôle à l'autre.
7 personnes aiment ça.
Dominants07
Tu dis sur ton profil que tu n'a pas parlé bdsm avec elle... Cette pratique du pegging à été amené dans votre couple différemment ?
J'aime 11/09/24
jp06
Encore un veinard !!
J'aime 11/09/24
J'ai osé lui parler parler du bdsm mais cette pratique a été amené d'une autre façon. J'aime beaucoup l'anal (en tant que receveur) et je lui ai demandé si elle serait d'accord de me faire l'amour avec une strap-on. Le but n'étant pas d'être dominé mais juste de recevoir quelques chose que j'aime.
J'aime 12/09/24 Edité
jp06
Comme je dis un gros veinard
J'aime 12/09/24
Miss Ariella
Hier c’était la journée de repos de Barbara. Elle l’avait planifié en fonction du rendez-vous qu’elle avait à 17 h chez son dentiste. Matinée: Farniente 12 h : Déjeuner avec sa copine Lola Début d’ après midi : Tournée des boutiques pour acheter une nouvelle robe, et ensuite faire un saut à la SPA pour essayer de trouver le chien de ses rêves. Ça devait coller à ce détail prêt que depuis son réveil, Barbara se sentait dans état bizarre, sans qu’elle puisse le définir véritablement. A la fois légère et un peu « émoustillée ». Pourquoi ? Par quoi ? Elle n’ aurait su le dire, mais c’ était une sensation plutôt agréable même si elle était un peu déstabilisante. Finalement elle n’y prêtât pas plus d’attention que ça et la matinée s’écoula tranquillement. Vers 11 h elle se prépara et choisit de mettre une petite robe à bretelles aux motifs floraux qui lui arrivait à mi cuisse et des escarpins jaunes. Elle prit son sac et fila à pieds au restaurant pas très loin, retrouver Lola. Sur le chemin elle entra dans une maison de la presse. Elle trouva Biba et machinalement se mit à le feuilleter, histoire d’ avoir une idée du contenu. Elle passa rapidement les pages de pub et s’arrêta sur le premier article. Elle ne lu pas le titre, son regard directement attiré par la photo d’ouverture. Une superbe fille en dessous noirs dans une pose lascive, les poignets menottés dans le dos. Elle fût surprise. Ce n’ était pas trop le style du magazine. Elle tourna rapidement les pages et ne vit que des filles menottées ou ligotées dans des positions de plus en plus suggestives voire franchement obscènes. Ce qu’elle vit lui provoqua des sensations inattendues et très agréables. Plongée dans ses rêveries elle ne vit pas le vendeur s’approcher d’elle. « Bonjour! Je peux vous aider ? » Surprise Barbara referma vivement le magazine et balbutiât… « Heu… oui ?… enfin non ! Je le prends ». Le vendeur lui pris le magazine des mains et lui dit : « Très bon choix!… Vous avez toutes les tendances de la mode pour cet été ». Elle avait eu peur qu’il fasse d’autres commentaires. Mais non. Elle paya et sortit. Une fois dans la rue, elle feuilleta à nouveau le magazine . Toutes les photos qu’elle avait vue avaient laissé place à des photos « mode d’ été » comme l’avait annoncé le vendeur ! Intriguée, elle marchât jusqu’au restaurant où Lola était déjà assise à une table. Bonjour ! salut ! Bisous ! Bisous ! Comment vas tu ?…. Le repas se passa dans la bonne humeur. Quelques échanges de confidences. Barbara faillit parler de sa petite aventure, mais s’abstint … Projets…Amours…. et bien évidement deux, trois commérages. Le repas terminé Barbara proposa à Lola de l’accompagner pour faire la tournée des boutiques. Mais celle-ci déclina l’ invitation. A bientôt ! A Bientôt ! Barbara récupéra sa voiture et se rendit à la galerie marchande. Après avoir fait 3 fois le tour de la galerie!…. elle finit jeter son dévolu sur une robe d’été en dentelle, Banche, assez classique… Sympa ! Elle entra, la vendeuse lui trouva sa taille et elle partit l’essayer dans la cabine où elle passa sa peut être future robe. Quand elle se retourna pour faire face au miroir ce qu’elle vit la stupéfiât. Elle portait une guêpière noire en dentelle d’où débordait les 3/4 de sa poitrine, un porte jarretelle et des bas assortis. Quelque peut déroutée par ce qu’elle voyait, elle fit un pas en arrière. Elle n’arrivait pas à détourner son regard de l’image que lui renvoyait le miroir. Assaillit par une grande bouffée de chaleur, elle se vit se caresser les seins sensuellement, le dos appuyé contre la cloison, les cuisses entrouvertes. Comme cela faisait 10 minutes qu’elle était entrée dans la cabine, la vendeuse en ouvrant légèrement le rideau passa la tête et lui dit : « Si vous préférez vous pouvez vous voir dans le miroir du magasin… il est plus grand ! » En voyant apparaître le visage de la vendeuse Barbara crut qu’elle allait fondre de honte et croisa par réflexe ses mains sur sa poitrine. « Elle vous va très bien ! » s’ exclama la vendeuse. « Venez dans le magasin ! – Vous ne trouvez pas que c’ est un peu… Osé ?! » S’ entendit répondre Barbara. « Osé ! s’ étonna la vendeuse. Pas du tout. Elle est parfaite sur vous ! » Gênée, Barbara s’avança devant le miroir du magasin ou elle dut reconnaître qu’effectivement cette robe lui allait très bien. Elle régla sa nouvelle acquisition et partit rejoindre sa voiture garée au parking. Direction la SPA. En conduisant elle n’arrêtait pas de penser à tout ce qui venait de se passer. Que lui arrivait il ? Ce qui était certain c’est que ces événements avaient créer chez elle une vive émotion, plutôt agréable, qui lui avait provoqué quelques frissons délicieux. Arrivée à La SPA elle se dirigeât vers l’ accueil. Un homme d’ un certain âge plutôt sympathique tenant une laisse à la main lui demanda quel était le but de sa visite. Elle lui expliqua qu’elle avait l’intention d’adopter un chien et qu’elle venait voir s’il y en avait un qui pourrait correspondre à ce qu’elle cherchait. L’homme lui expliqua rapidement le fonctionnement pour l’adoption et la guida vers le chenil toujours munit de sa laisse. L’ arrivée de Barbara déclenchât multitude d’aboiements et jappements. Les chiens étaient visiblement heureux d’avoir de la visite. Elle fit un petit coucou à l’un, un petit « Oh ! qu’ il est mignon ! » à l’ autre. Pendant qu’elle les observait, Barbara vit l’homme arriver vers elle, d’un pas détendu, toujours sa laisse à la main. Arrivé tout contre elle, sans un mot, il lui passât le collier de la laisse autour de son cou. Quand elle sentit la sangle de cuir lui enserrer la gorge, Barbara lançât : « Mais !… mais!…. qu’ est… que … vous… faites ! » en ne se débâtant que très mollement, ce fût aussi le cas quand l’homme lui attachât, avec la laisse, les poignets dans le dos. Elle se tortillât, poussant des « Ohh !… » des « Noooon!… » des « Haaa!… » et se retrouva à l’ intérieur du chenil… Même si elle comprenait pas comment c’était possible, elle se retrouvait maintenant sans défense entourée d’une meute de chiens ! Les voyant s’avancer vers elle, Barbara voulu reculer mais trébuchât sur une gamelle qui traînait et se retrouva allongée sur le sol. Dans la chute sa robe déjà courte était remontée en haut de ses cuisses découvrant sa culotte et les bretelles qui ne retenaient plus rien, laissaient apparaître une partie de ses seins. Les chiens s’ approchèrent et se mirent renifler tout son corps. Elle tressaillit en sentant leurs souffles chauds et leurs truffes humides s’attarder longuement sur son appareil génital. « Non ! non ! Laissez moi, je ne suis pas votre chienne! Laissez moi sortir! Laissez moi sortir d’ ici ! » Une voix lointaine semblât soudain s’ adresser à elle…. « Madame !…. Madame !!! vous vous sentez bien ? Madame ! » La voix devint plus présente : « Ça va Madame ? Vous pouvez sortir , il n’ y a pas de problème ! » insistât l’homme de la SPA. Petit à petit elle revint à la réalité et finit par répondre « Oui ! je…Oui, oui ! ça va. Heu…. j’ étais…..Attaaaa…….. Mais…. tout va bien. Merci » « Vous avez pu faire votre choix ? – Heu!….Non! Je reviendrai un autre jour…..Merci. » Et elle sortit. Assise au volant de sa voiture Barbara ne démarrait toujours pas. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle se remémora la scène dans le chenil. Attachée, à demi nue, le sexe reniflé par des chiens ! Incroyable, se dit elle. Mais pire, quand elle avait repensé à scène du chenil quelques frissons délicieux l’avaient parcouru. « Bon n’y pensons plus » de dit elle ! Et elle démarra. 16 h 30, elle serait à l’ heure chez le dentiste. Installée dans la salle d’ attente, elle prenait son « mal en patience » attendant son tour. Comme d’ habitude il avait pris du retard. Pour tuer le temps, et surtout évacuer son angoisse elle feuilleta quelques magazines . Elle avait toujours eu horreur des dentistes. Au bout d’ un moment elle entendit enfin son nom. 17 h 20 ! Tout arrive ! Le dentiste la fît entrer dans son cabinet et après les formules de politesse d’usage, il l’ invitât à s’installer dans le fauteuil. Elle s’assit, cala bien son dos contre le dossier et étendit ses jambes, recherchant la position la plus confortable. « Alors, on va regarder tout ça ! Vous avez mal de quel côté ? – A droite répondit-elle – Allez ! Ouvrez la bouche ! » Le dentiste s’adressa à son assistante : « Béatrice vous préparez ce qu’ il faut… Merci ». L’ assistante sortit de la pièce « Préparer ce qu’ il faut ! » ces mots intriguèrent Barbara quelques secondes, puis elle se laissa aller et ferma les yeux pour ne pas voir ce qui allait se passer. Barbara entendit l’assistante revenir dans la pièce. Quand elle fût proche du fauteuil, le dentiste lui dit : « Allez y Béatrice attachez moi cette salope, elle adore ça ». Barbara se tendit lorsque l’assistante lui sanglât les poignets aux accoudoirs du fauteuil. « Serrez la bien ! » reprit le dentiste pendant que de son côté il fourrait ses doigts dans la bouche de Barbara qui s’était mise à gémir. Les poignets solidement attachés, l’assistante sanglait maintenant les chevilles de Barbara aux pieds du fauteuil, s’arrangeant pour que ses cuisses soient bien ouvertes. Dépassée par les événements, Barbara ne cherchait plus à comprendre et prenait du plaisir à cette situation. Totalement immobilisée, elle était maintenant offerte aux mains du dentiste qui lui palpait ses seins généreux et à celles de l’assistante qui lui caressait l’intérieur de ses cuisses. Quand les doigts de l’ assistante effleurèrent son sexe et sans qu’elle put y faire quoi que ce soit, son corps se mit à onduler et inconsciemment elle laissa échapper de petits cris…… « Je vous ai fait mal ? » demanda le dentiste qui ramena d’un coup Barbara à la réalité. Interrompue dans ses fantasmes Barbara fit non d’un signe de tête encore sous l’ emprise de ce quelle venait de ressentir. « Voilà ! c’est fini. Vous pouvez vous rincer la bouche. Vous m’ avez fait peur! Un moment j’ ai cru que vous alliez vous évanouir ! – Ah ! …Non, non, c’était ….. que…..je…. Quand…… Je ne…. pouvais… plus…..Heu!…enfin je vais bien, ne vous inquiétez pas, finit elle par dire. Merci » Après ce dernier épisode Barbara ne savait plus quoi penser. Il était indéniable qu’elle était fortement troublée par ses flashs « érotiques » qui jaillissaient depuis le matin. Elle réfléchit et pensa à une très bonne amie qui était psychologue. Ce serait peut être une bonne idée de lui passer un coup de fil. Juste pour avoir son sentiment sur le sujet. Elle l’ appela! Coup de chance elle était là. « Coucou… c’est Barbara Comment vas tu ? » ….. Blablabla…… « Que t’ arrive t il ? » Questionnât enfin la psy. « J’ai 10 mn avant mon prochain patient ». Un peu gênée malgré tout Barbara se lâchât et racontât toute l’histoire dans le détail à son amie. Après l’avoir écoutée attentivement, la psy lui dit de ne pas s’inquiéter que s’était ses pulsions sexuelles qui devaient être enfouies ou refoulées jusque là qui venaient demander leur droit d’exister et leur part de plaisir. « Je ne suis pas malade ? Je ne deviens pas folle ? – Pas du tout ! Rassure toi, mais si tu veux tu peux passer chez moi dès que j’ai fini ici. Vers 19 h 30. Nous pourrons en parler plus… longuement – Si cela ne te dérange pas c’est avec plaisir. – Bien sûr. – 19 h 30 c ‘est bon pour moi, confirma Barbara . A toute à l’ heure ». Elles raccrochèrent. C’était parfait. Cela laissait à Barbara le temps de passer chez elle pour prendre une douche. Il était un peu moins de 19 h 30 quand elle arriva devant la maison de sa copine psy. Elle sonna au portail. Celui ci s’ouvrit. Elle entra et se dirigeât vers le perron. Son amie l’attendait sur le pas de la porte. Elle l’accueillit, la fit entrer, lui dit de se mettre à l’aise. « Installe toi dans le canapé. J’en ai pour deux secondes. » Barbara s’installa et vit sur la table basse que son amie avait préparé un petit « apéro ». « Sympa » se dit elle. Bonne idée ! Son amie arriva et s’installa dans l’autre canapé, de l’autre côté de la table basse en face d’elle. Elles discutèrent de choses et d’autres en grignotant des biscuits au fromage. Entre deux olives, Sabine (c’est le prénom de son amie psy) en vint à aborder le cœur du sujet. « Dis moi, dit elle à Barbara. Au travers de ce que tu m’as expliqué au tel, ces sensations, que tu trouves bizarres sont simplement dues à des pulsions sexuelles que tu avais jusque là mise au placard et qui réclament aujourd’hui le droit d’être reconnues. Mais est ce que ce phénomène t’inquiète ou est ce que tu y trouves du plaisir ? » A la question directe Barbara se tortilla un peu gênée, mais finit par répondre que si au début de la matinée elle avait été un peu inquiète , après la visite chez le dentiste, même si elle était un peu désorientée, son appréhension s’était dissipée… Etant donné la réponse, Sabine compris que ce serait compliqué de lui faire avouer qu’elle assumait ses émotions et y prenait du plaisir. Elle décidât alors de passer directement au plan B. Sabine tira à elle un l’attaché case posé sur le canapé, l’ouvrit en retira une paire de menottes qu’elle posa sur la table basse devant Barbara. A la vue des menottes Barbara instinctivement redressa son buste, et son corps se tortilla un peu plus. Après les avoir fixé longuement, elle quitta les menottes des yeux et croisa le regard amusé de Sabine qui scrutait la moindre de ses réactions. Sabine ne disait rien. Elle se contentait d’observer Barbara, l’abandonnant, seule, aux prises avec le flot de sensations qui lui traversait l’esprit et le corps. Sabine la laissa mijoter un long moment dans cette situation, puis lui dit : « Alors ma chérie qu’est ce que tu en penses ? » Le visage de Barbara s’empourpra avant d’émettre quelques bribes de phrases entrecoupées de silences et d’hésitations. « C’ est à dire…. que….. en fait…..si….. mais je……. vois tu…. J’ ai très ……. en…. oui…. » Sabine sans interrompre Barbara dans ses explications inaudibles mais explicites, se leva. Elle fit le tour de la table basse, prit les menottes et dit à Barbara : « Donne moi tes mains ! » Comme hypnotisée Barbara fit ce que lui demandait son amie mais tentât tout de même une question : « Qu’ est que tu vas…..me…. – Tends les bras ! » coupa Sabine. Les bras tendus en avant, Barbara regarda avec gourmandise Sabine lui passer les menottes. Au contact du métal sur sa peau, Barbara se contracta un peu. Le premier bracelet se refermait sur son poignet avec des Clack ! clack! clack qui sonnaient à son oreille comme un emprisonnement délicieux. Elle frissonnât. Puis Sabine, prenant tout son temps lui menotta l’autre poignet et vérifiât que les bracelets étaient suffisamment serrés. La sensation d’ avoir les poignets menottés provoqua chez Barbara une vague de plaisir ponctuée par un gémissement voluptueux. C’ était sa première fois et elle s’en voulu aussitôt de ne pas avoir commencé plus tôt . Une fois Barbara menottée Sabine vint se rasseoir à sa place et reprit la conversation normalement, comme s’il ne s’était rien passé. « Et tes amours ? relança Sabine, Toujours célibataire ? ». Troublée par son enmenottement Barbara répondit d’une voix un peu cassée. « Plus ou moins, mais il suffit que je rencontre la bonne personne…. » Barbara adorait cette situation. Elle adorait être menottée devant son amie. Elle adorait sentir le plaisir s’insinuer partout dans son corps. Sabine vint alors s’asseoir à coté d’elle et l’embrassât. Lorsque leurs lèvres se rencontrèrent, que leurs langues s’entremêlèrent Barbara tressaillit de bonheur. Elle sentait les mains de Sabine lui caresser les seins et elle ne pu se retenir d’en faire de même. Les poignets menottés renforçaient encore son plaisir. C’est l’ instant que choisit Sabine pour dévêtir lentement Barbara. D’abord la robe…. puis le soutien gorge…. et la culotte Barbara dans un souffle et entre deux halètements poussa un gémissement profond… « Hmmmmmmoouuiiii ! J’ aime être à poil , sans défense devant toi ! » Dit elle d’ un air aguicheur…. « Attache moi ! oui ! Encore oui ! Fais de moi ta prisonnière suppliciée. – Ne t’ inquiète pas ma chérie…répondit Sabine, qui passait maintenant des menottes aux chevilles de Barbara… qui appréciât le geste. Te voilà prête pour débarrasser la table. Barbara excitée par cette obligation commença à rassembler tout ce qui traînait sur la table pour le mettre sur le plateau. Sabine en profita pour y ajouter une paires de pinces à … tétons. « Tu reviendras avec », dit elle. Mais avant que Barbara ne parte vers la cuisine Sabine lui mit dans la bouche un bâillon boule. Ainsi parée, Barbara se dirigeât à petits pas vers la cuisine. Elle se sentait un peut honteuse de déambuler à poil, menottée et bâillonnée à débarrasser la table, mais cette situation l’excitait encore plus. Elle réapparue quelque minutes plus tard avec à la main les pinces à tétons. Sabine vint à sa rencontre et prit les pinces des mains de Barbara. Celle ci l’observait avec délices et scrutait le moindre de ses gestes. Quand elle vit les pinces s’approcher de ses tétons elle frémit et quand elles mordirent dans sa chair elle poussa de petits cris aigus étouffés par le bâillon. A la capture de ses tétons Barbara se contorsionnât et voulut profiter de l’instant pour caresser ses seins bien gonflés, mais Sabine l’en empêchât en lui menottant les poignets dans le dos. Nouveaux gémissements de plaisir Sabine s’éloignât alors de Barbara en la laissant plantée debout au milieu du salon. Un peu plus tard Sabine vint lui bander les yeux et la fit tourner sur elle même pour la désorienter encore un peu plus. Barbara émit quelques gémissements, savourant chaque nouvelle étape de sa détention. Elle n’aurait jamais pensé prendre autant de plaisir à être entravée nue, les yeux bandés et bâillonnée, sans pouvoir se déplacer en attendant le bon vouloir de sa geôlière. Elle entendait Sabine aller et venir et essayait de la suivre dans ses déplacements, puis… plus rien ! Le silence. Elle se demandait où était passée Sabine tout en se disant qu’elle était peut être devant elle à profiter du spectacle de ce corps nu privé de tout ses sens. Elle attendit. Insensiblement les bruits reprirent autour d’elle. Plus discrets, plus feutrés. Elle les guettait, à droite… à gauche… devant… derrière… Elle gémit et se tortillât un peu plus fort, son ventre devenant de plus en plus brûlant. Tout à coup elle sursautât et se mit à haleter quand les doigts de Sabine vinrent fouiller furtivement son sexe. « Je voulais juste vérifier quelque chose », lui murmura Sabine à l’oreille et continua en l’embrassant dans le cou. Ce qui provoqua instantanément une floraison de frissons sur la peau blanche et douce de Barbara. Saisissant Barbara par un bras, Sabine l’obligeât à avancer dans la pièce. Puis s’arrêtât et la fit mettre à genoux. Une fois dans cette position Sabine lui menotta d’abord les coudes avant de menotter ses poignets à ses chevilles. Barbara se délectait de se laisser manipuler et pour exprimer toute sa satisfaction et son plaisir, elle poussait des hmmmm ! des Aaaaaah ! Savoureux. Sabine retira tranquillement sa jupe et sa culotte et vint s’installer dans le canapé juste devant Barbara qui ne la voyait pas. Elle ouvrit bien ses cuisses et dit à Barbara en lui retirant son bâillon : « Viens t’occuper de moi ! » Barbara, docile, avança son visage sans savoir ou elle allait. A tâtons si l’on peut dire elle cherchait un contact quand ses levèrent rencontrèrent enfin la peau de Sabine. Mais quelle était la partie du corps de Sabine que ses lèvres avaient touché ? Encouragée par Sabine, Barbara continua son investigation. Léchant ou embrassant la moindre parcelle de chair qui lui tombait sous la langue. Elle finit par rencontrer une partie plus humide. Au gémissement poussé par Sabine elle comprit qu’elle devait être proche d’ une zone sensible. Alors Barbara continua dans cette direction ou elle rencontra un peu plus tard le sexe trempé de Sabine qu’elle léchât comme une petite chienne affectueuse. Sabine profitait pleinement des soins vaginaux que lui prodiguait Barbara. Barbara qui était aux anges, obligée de lécher le sexe de son amie. Toute menottée, sans pouvoir se soustraire aux désirs de Sabine, elle développa un surcroît de sécrétion vaginale. Elle adorait être son objets sexuel, sa poupée à qui elle pouvait faire faire ce qu’elle voulait. Pendant qu’elle administrait de sa langue quelques délices à la chatte de Sabine, l’ondulation de son corps avait prit de l’importance et une houle profonde et chaude animait son bassin. Sabine entre temps s’était mis à haleter de plus en plus fort. Sentant un aboutissement proche, elle écrasa les lèvres de Barbara contre sa chatte, lança des Ouii! Ouiiii! ohouiiiiiiii ! et son plaisir arriva accompagné de gémissements aigus et saccadés. « J’ avais oublié comme tu léchais bien ! » dit Sabine au bout de quelques instants en remettant le bâillon dans la bouche de Barbara. Puis avec son pied elle poussât Barbara, qui déséquilibrée et incapable de se retenir se contorsionnât pour essayer de garder l’ équilibre. Elle cru un instant y être arrivé…Mais non!….Et elle s’ écroulât sur le tapis. Bien sûr, Barbara n’avait pas pu voir arriver la « poussette » de Sabine. Quand elle sentit son corps « chavirer » privée de la vue, elle cru faire une chute de 5 mètres de haut. Chute accompagné d’un grand, Haaaaaaaaaaa!!! Montant dans les aigus, qui cessa quand elle touchât le sol. Barbara avait adorée cette sensation de perdre pieds, d’être comme poussé dans le vide. Maintenant qu’elle était couchée sur le coté, rassurée, elle ondulait lascivement en tirant sur ses menottes pour encore mieux ressentir son enchaînement poussant de courts gémissements de volupté. Elle était devenu une vague de plaisir dégoulinant de sensualité. Après un long moment passé a se contorsionner dans tous les sens ; elle sentit les doigts de Sabine se poser sur ses seins et jouer avec les pinces toujours accrochées à ses tétons. Son corps se tendit et son bassin se projeta en avant comme une invitation à prendre possession du site. Au lieu de s’emparer de la proie offerte, Sabine, au contraire entreprit de détacher Barbara et lui retira les menottes qui l’entravaient. Barbara crut que c’était juste un jeu, mais quand elle entendit Sabine lui dire : « Voilà tu es libre. Je sais tout ce que je voulais savoir. Tu peux rentrer chez toi ma chérie ». Barbara n’en revenait pas. Elle était renvoyée chez elle totalement frustrée, le feu au ventre… Mais elle ne protestât pas et se rhabillât. Quand elle fut sur le point de partir, Sabine lui donnât une boite. « Tiens! c’est pour toi. Tu l’ouvriras en arrivant chez toi. Tu me diras ce que tu en penses ! » Elles s’embrassèrent… Barbara prit le cadeau, sortit et regagnât sa voiture. Assise au volant elle allait démarrer quand la curiosité la poussa à regarder le contenu de la boite, cadeau de Sabine. Elle la mit sur ses cuisses et l’ouvrit fébrilement. Elle y découvrit deux paires de menottes accompagnées d’un petit mot: « Amuses toi bien ! » Elle posa la boite ouverte sur le siège passager, mais la vue des menottes et le petit mot avaient instantanément raviver son désir. Elle hésitât un moment, puis n’y tenant plus elle prit une paire de menottes et les passât à ses poignets. Dès qu’elle se fût menottée elle se sentit envahie d’un immense bien être. Elle tortilla ses mains dans les menottes, vérifiât tout de même qu’elle pouvait conduire et démarra. Chaque geste qu’elle faisait lui rappelait que ses poignets étaient emprisonnés et lui provoquait des flux de plaisir. Elle roula comme ça une vingtaine de minutes et arriva devant chez elle. Une fois garée elle se demanda si elle enlevait ses menottes pour sortir ou pas ? La raison aurait voulue qu’elle les retire, mais cette sorte d’appréhension mêlée de plaisir et du risque d’être découverte dans la rue menottée était trop excitante. Elle décidât de les garder. Elle mit la boite dans son sac et sortit. Elle camoufla le plus possible ses poignets menottés. Il était 23 h elle ne risquait pas de rencontrer grand monde. Elle entra dans l’immeuble ; appela l’ ascenseur… personne ! Arrivée à son étage elle entendit du bruit sur le pallier. Ce qu’elle redoutait/espérait se produisit. La voisine sortait ses poubelles. Quand elle la vit elle ne pu s’empêcher de lui lancer un ; éBonsoir Barbara, ça va comme vous voulez ?!é Tout en essayant de dissimuler les menottes Barbara lui répondit que oui, qu’elle était un peu fatiguée et qu’elle n’avait qu’une envie c’était de se mettre au lit. « Passez un bonne nuit ! » répondit la voisine « Vous aussi » lui dit elle en filant vers la porte de son appartement. Elle Fouillât fébrilement dans son sac et finit par trouver ses clefs. Elle entra et verrouillât la porte derrière elle. Ouf! Enfin chez elle; enfin seule. La conversation avec la voisine lui avait donné des frissons sur tout le corps. Elle lâchât son sac et n’y tenant plus elle se caressa les seins à deux mains, debout au milieu du séjour. Elle poussa un profond soupir de soulagement… enfin ! Après quelques minutes de plaisir elle prit son cadeau dans son sac, fila dans sa chambre et se laissa tomber sur le lit et reprit ses caresses. Petit à petit elle retira sa robe et son soutien gorge, mais garda sa culotte. Tout en continuant de se caresser elle prit l’autre paire de menottes, la passa en frémissant à ses chevilles et se laissa aller sur le dos. Elle se tortillait comme un anguille, ses mains palpant ses tétons, ses cuisses, ses fesses, puis remontaient jusqu’à ses seins. Elle gémissait de bonheur en continu. Il lui restait à se caresser le sexe. Malgré elle, Barbara se retenait le plus possible sachant que ce serait la dernière étape de son plaisir. Mais le feu qui brûlait en elle était trop fort, alors ses doigts glissèrent sur son sexe encore protégé de sa culotte. Elle se caressa comme ça prenant de plus en plus de plaisir. Ses mains abandonnèrent son sexe pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Elle en sortit un gode aux dimensions plus que raisonnables qui ressemblait à une véritable bite. Elle le fourra d’abord longuement dans sa bouche…. continua en le passant entre ses seins opulents….et poursuivit jusqu’à son sexe. Là, elle poussa sur le coté l’entrejambe de sa culotte et frotta le gode sur sa vulve détrempée. Les menottes à ses poignets l’empêchaient hélas de se doigter le cul en même temps ; mais ce n’était pas grave tant qu’elle pouvait se fourrer la chatte. Ce qu’elle fit. Le gode sous la pression de Barbara s’y enfonça « comme dans du beurre » voire plus. Elle le fit pénétrer bien profondément et entamât un va et vient. Elle haletait doucement savourant chaque instant du plaisir qu’elle se donnait. Retirant le gode de sa chatte elle le fit pénétrer dans son anus, au maximum de ce qu’elle pu. Elle resta comme ça. Le gode bien calé dans son cul elle enfouit ses doigts dans sa chatte, pendant que de l’autre main elle massait son clitoris….Quand on sonnât à la porte Barbara surprise paniqua à l’idée que quelqu’un puisse la trouver dans cet état. Pendant qu’elle cherchait les clés des menottes….Elle entendit la porte s’ouvrir. Elle avait oublié son mec, Michel, qui avait les clés. Effectivement elle entendit appeler « Barbara c’ est moi ! » Quand il entra dans la chambre, il la trouva nue sur le lit s’agitant pour un motif qu’il ne comprit pas tout de suite. En le voyant Barbara s’écriât… « Nooonnnnn ! Noooonnnn ! » en essayant de se cacher, même si c’était peine perdue. Michel en s’approchant du lit compris enfin ce qui se passait. Sans rien dire il « arrachât » des mains de Barbara les clés des menottes qu’elle tenait bien serrées, faisant jaillir des « Noonn!, non ! » désespérés d’être surprise comme ça. Laissant Barbara gigoter sur le lit, Michel sortit de la chambre pour revenir quelques instants plus tard avec un gros cadenas. Il saisit les menottes qui enserraient les poignets de Barbara et les cadenassât par la chaîne à un montant de la tête de lit. Barbara était intenable. Se sentant prise au piège elle se tortillât de plus belle en poussant des « Hooooouiii ! » « Il fallait le dire que tu aimais te faire jouir menottée ! » Lui dit Michel en tirant sur les hanches de Barbara pour bien lui tendre les bras. Ensuite il lui ligotât les chevilles de chaque coté du lit. Les Jambes bien écartées les cuisses grandes ouvertes sur son sexe. Elle était magnifique le corps écartelé, les membres bien tendus. « Ha ! tu aimes ça ! te faire baiser attachée comme un chienne. – Oh! oui! oui! j’ adore oui ! Baise moi, baise moi comme une pute Ouiiii ! Fais moi tout ce que tu veux, mais s’il te plaît occupe toi de ma chatte trempée, dégoulinante de désir. S’ il te plaît ! Fais moi jouir. S’ il te plaît ! » Barbara ne maîtrisait plus rien. Ni son bassin ni le reste de son corps Michel lui pétrit les seins, tira sur ses tétons, les fit rouler entre ses doigts, les pinçât… Barbara était en fusion et avait réduit son vocabulaire à un seul mot : Ouuiii! Ouiii! Ouuiii! plus ou moins prononcés ou aigus suivant les circonstances. Michel, agenouillé à coté d’elle, prit le gode resté sur le lit et le fourra dans sa chatte où il l’enfonçât d’une seule poussée jusqu’à la garde. Barbara hurla de plaisir. Le souffle court elle haletait sous les aller et venu de Michel qui pour ajouter encore un peu plus de piment à la situation pressa son clitoris entre ses doigts. Sous cette pression , Barbara qui n’en pouvait plus des frustrations de la journée, sentit le plaisir monter d’un coup. Tout son corps se mit à tressaillir, à trembler à se tendre. Ses halètements devinrent plus forts plus rapprochés, plus aigus jusqu’à ce que l’ ouragan de sensations qui vivaient en elle se déchaîne. Elle suffoquait. Son corps crispé par cette déferlante elle ouvrit la bouche dans un cri rauque et saccadé presque inaudible….. Puis enfin comblée, elle s’affala d’un coup sur le lit, épuisée par cette journée éprouvante autant que délicieuse. Michel retira le cadenas qui retenait les poignets de Barbara menottés au montant du lit et lui glissa son sexe entre les mains. Assise sur le lit les cuisses toujours grandes ouvertes elle s’occupât de sa bite. Hmmmm! C’ était encore plus excitant de lui branler la queue les poignets menottés… Elle accéléra les vas et viens sur son membre gonflé et il se vida en quelques secondes….. Barbara se laissa aller repue…. et s’endormit… lessivée et menottée. Michel ne saurait jamais ce qu’avait été l’étrange journée de Barbara. Mais à son insu il en avait été le grand bénéficiaire.
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Herisson
magnifique programme !
J'aime 20/09/24
Sim67
Superbe histoire, impossible d'être de marbre en la lisant, j'avoue avoir le gland bien humide à la fin
J'aime 21/09/24
jm94
a ajouté de nouvelles photos à son propre album "Pegging entre femmes"
mich86
a partagé quelques photos
jp06
Bonne chance
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Germondras
Hummm. Bien profond....
J'aime 08/09/24
Germondras
Hummmmmm
Herolimite
Comme le face sitting, le pegging, le fétichisme des pieds… (la liste ne s’arrête pas là… nous sommes là avec des pratiques (très chouettes) Qui sont de gros fantasmes masculins. Des « clichés » de soumission! (Attention, je parle de clichés, je peux utiliser des expressions qui semblent critiques et jugeantes, il n’en est rien! Ce sont des pratiques que j’adore, je m’y reconnaît pleinement!!!) Il semble compliqué de trouver une maîtresse comme ça via les réseaux sociaux 95% d’homme avec ces demandes, minimum… Ça laisse peu de marge… Néanmoins, si les réseaux sociaux sont saturés d’hommes, la vie elle offre un bon 50/50 de ratio homme femme Et parmi ces 50% de femmes beaucoup sont ouvertes sexuellement… Donc… il faut communiquer entre nous… Ne pas avoir peur de parler de nos fantasmes, de nos désirs… Au pire on évacue une personne pas intéressée!
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Youky le soumi
Bonjour Herolimite et merci pour cette analyse que vous publiez que j'approuve largement... Toutefois, la dernière phrase me gêne un peu voire beaucoup selon si il s'agit d'une maladresse de vocabulaire ou une réelle pensée d'évacuer tel un déchet une femme qui n'aurait pas envie de soumettre un homme lambda ou son propre conjoint pour le dominer et prendre SON propre plaisir uniquement... Je suis depuis quelques années amené à gérer ma propre frustration puisque je rêve d'une vie gynarchique avec la femme que j'aime depuis 26 ans et marié depuis 22. Elle ne semble pas du tout adhérer au style de vie qui me fait tant envie avec elle alors que maintenant mes enfants que j'aime aussi font leur vie de leur côté, ce qui faciliterait nos jeux de rôles si on en arrivait là. La "non adhesion" de ma femme à mes fantasme ne fait pas d'elle un déchet à évacuer puisqu'elle est garnie de bien d'autres qualités et ceci n'étant pas, ni pour moi ni pour quiconque un défaut Maintenant que je viens d'évoquer la petite phrase qui me gênait sur votre publication, je vais quand même vous confirmer que j'approuve parfaitement votre analyse sur les ratios et donc les probabilités de trouver 1/4 de la population (soit 1 femme sur 2) qui ne serait pas opposé à dominé et soumettre 1 homme.... Encore faudrait-il que ces hommes qui rêvent " ou qui se prétendent soumis n'arrivent pas avec leur carnet de commandes pour dicter ce que la dominante doit li faire. Dans le cas "un bon de commande" il ne s'agit pas de soumission puisque ce serait la dominante qui exécutera les ordres....On est alors plutôt dans une relation de prestataires avec un donneur d'ordre qui veut s'offrir un plaisir... Les hommes font peur aux femmes avec leur libido. Ce n'est pas en se disant "soumi" que l'individu le devient. Dans le milieu D/s, ça s'appelle le dressage.Comme dans le milieu canin d'ailleurs que je connais bien. Il y a le côté éducation d'une part mais aussi le dressage qui va rentrer beaucoup plus dans les détails pour obtenir le comportement idéalement souhaitez.... Je pense qu'un homme ne peut être réellement soumi qu'une fois ce dressage en cours En revanche pour le côté éducation c'est aussi peut-être un mode culturelle à faire évoluer pour arrêter de faire croire dès le plus jeune âge que les hommes sont plus forts que les femmes... Plus musclés par la nature ...oui Mais pas plus fort Vous parlez de mieux communiquer entre les hommes et les femmes pour faire changer les choses... Je suis d'accord avec vous mais seriez vous prêt à afficher publiquement et sans pseudo vos valeurs pour la soumission à la gêne féminine? J'avoue ne pas en être là, mais je serai peut-être prêt à suivre un effet de meute au même titre que l'homosexualité n'est plus vraiment un tabou aux yeux du public Merci pour cette publication Bonne soumission
J'aime 27/08/24
Spartiatmaz
Bonjour, je me présente, je suis tout nouveau sur ce site et dans ce milieu varié.. je recherche une femme ou un couple ou juste des expériences à plusieurs, je suis totalement novice.. et j'aimerais expérimenté pas mal de choses pour connaître vraiment mon orientation 🙈 donc je sais pas çi vous pouvez m'aider un peu a rentré dans votre monde... ce serai super, n'hésitez pas à me contacter, je me trouve dans le 84 ' Vaucluse '
sodomisemoi
a partagé une photo
je cherche une domina qui pratique la sodomie avec godes , godes-ceinture , je suis de Belgique plus précisément de Namur soumis à certaine pratique si sodomie pratiquer et oui j'aime me faire pénétrer mon petit cul
Bonjour jeune soumis à envie d’être initié à cette pratique soumis très obéissant en Ile-de-France 26 ans prêt à être à votre sis
Je cherche une femme qui serait prête à me défoncer en pegging pendant des heures.
Bonjour recherche femme un peu dominatrice mais douce aussi car aucune expérience dans se domaine mais aime les petites pénétration anal
Bonjour recherche femme un peu dominatrice mais douce aussi car aucune expérience dans se domaine mais aime les petites pénétration anal
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour, Ma compagne m’a toujours sodomisé. Nous ne saurions plus nous en passer. Le temps passant, notre relation est de plus en plus D/s.
10 personnes aiment ça.
Non, bien sûr, et pour mon plus grand pl
J'aime 01/12/23
Marc Nancy
Un grand plaisir
J'aime 02/12/23
Sissy Florence
Quel veinard. Garde ta perle !
J'aime 07/12/23
Je suis bien conscient de la ch
J'aime 07/12/23
Sissy Florence
Il y a 2 couples ainsi sur Transtrav. Dans l'un madame a féminisé Monsieur et va le/la faire tapiner. Le bonheur parfait.
J'aime 07/12/23
Chanceux homme
J'aime 08/12/23
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@ Sissy Florence Il y a 2 couples ainsi sur Transtrav. Dans l'un madame a féminisé Monsieur et va le/la faire tapiner
J'aime 19/12/23
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@ sissy Florence, c'est une véritable soumission, mais je pense que j'aimerais essayer au moins une fois.
J'aime 19/12/23
docile 41
C'est quoi les pseudos sur transtrav ?
J'aime 23/12/23
a partagé une photo
J’aime être ainsi humilié….
21 personnes aiment ça.
pantyhose-fetish
Tellement beau et excitant
J'aime 05/12/23
Yesman59
La maîtresse prend son pied !
J'aime 19/03/24
jm94
a ajouté de nouvelles photos à son propre album "Pegging entre femmes"
5 personnes aiment ça.
jm94
XXL !
J'aime 14/08/24
jm94
La gourmandise est un péché capital !
J'aime 14/08/24
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