Bien débuter dans le pegging BDSM

Un guide pour explorer le plaisir du pegging (ou chevillage)

Le pegging BDSM est une pratique sexuelle de moins en moins tabous au sein des couples, qui s'articule autour de la sodomie qui peut apporter une nouvelle dimension de plaisir dans une relation intime. De plus en plus d'hommes et femmes tentent l'expérience au moins une fois durant leur ébats. Si vous êtes intéressé(e) par cette pratique et que vous souhaitez vous lancer, il est important de bien comprendre dès le début les bases, d'établir une communication ouverte avec votre partenaire et de prendre les précautions nécessaires pour faire en sorte que l'expérience soit agréable et sûre, et que chacun tire le meilleur parti de cette forme de sexualité. Dans cet article, nous vous proposons un plan pour bien débuter dans cette pratique sexuelle.

Comprendre ce qu'est le pegging

Dans le monde du BDSM, le pegging (ou chevillage) est une pratique qui implique la pénétration anale d'un homme par une femme grâce à un gode-ceinture (et idéalement une stimulation de la prostate). C'est une activité qui offre une inversion des rôles traditionnels (ce qui contribue à la rendre tendance d'ailleurs), où la femme assume, le rôle dominant en prenant le contrôle de la pénétration et l'homme joue le rôle soumis en offrant son anus. Une partie du plaisir féminin de cette forme de sodomie est en partie lié à la cérébralité rattachée à ces jeux de rôles pendant l'acte.

Le terme "pegging" a été popularisé par l'écrivaine et sexologue Dan Savage dans les années 2000, et depuis lors, il est devenu plus couramment utilisé pour décrire cette pénétration anale si particulière. Le pegging BDSM va au-delà de la simple pénétration anale, car il est pratiqué dans le contexte plus large du jeu de rôle et de la domination (par une femme) soumission (de l'homme) à l'aide d'un gode ceinture

Dans une relation BDSM, le pegging peut être utilisé comme une forme de jeu de pouvoir et de contrôle, où la femme prend le rôle dominant en tant que "dominante" et l'homme adopte le rôle soumis en tant que "soumis". Cela peut impliquer des éléments de discipline, de domination, de soumission, de sadisme et de masochisme (DS/SM) dans le cadre d'une exploration consensuelle de nouvelles sensations et de fantasmes, surtout si vous êtes en couple.

Le gode-ceinture est un accessoire essentiel dans le pegging(ou chevillage). Il s'agit d'un harnais qui se fixe autour de la taille de la femme, avec un godemichet en silicone ou en caoutchouc attaché à l'avant. Le gode-ceinture offre la possibilité de pénétrer l'homme avec contrôle et précision, permettant à la femme de ressentir un sentiment de puissance et de domination, tandis que l'homme peut explorer sa soumission et recevoir du plaisir anal.

Il est important de noter que cette pratique sexuelle repose sur le consentement de chaque partenaire et la communication ouverte entre les partenaires. Avant d'explorer cette pratique, il est crucial d'avoir une discussion approfondie sur les désirs, les limites et les attentes de chaque personne du couple. Une fois que les limites et les consentements sont établis entre l'homme et la femme, le pegging BDSM peut devenir une expérience érotique et excitante, offrant de nouvelles sensations pour chaque partenaire et une exploration mutuelle de la sexualité

Préparation physique et mesure de sécurité pour un pegging reussi

Hygiène

Une bonne hygiène anale est essentielle avant une séance de pegging BDSM afin de garantir une expérience agréable et prévenir les infections ou les blessures. Voici quelques conseils pour assurer une hygiène adéquate :

Vidange intestinale

Il est conseillé de vider vos intestins avant une séance de pegging en ayant une selle régulière. Vous pouvez le faire en suivant votre routine habituelle de digestion et en vous assurant de ne pas avoir besoin d'aller aux toilettes pendant la session.

Nettoyage externe

Prenez une douche ou utilisez des lingettes humides pour nettoyer soigneusement la zone anale externe. Assurez-vous d'utiliser un savon doux et non irritant pour éviter les irritations.

Utilisation d'un lavement anal

Certaines personnes préfèrent utiliser un lavement anal pour nettoyer plus en profondeur la région anale. Si vous choisissez cette méthode, utilisez de l'eau tiède et un dispositif spécialement conçu pour les lavements anaux. Évitez les lavements excessifs ou trop fréquents, car cela peut perturber l'équilibre naturel des intestins.

La lubrification avant le pegging

La lubrification adéquate est essentielle pour rendre l'expérience de pegging plus confortable, agréable et pour éviter les blessures. Voici quelques conseils importants :

Le choix du lubrifiant

Utilisez un lubrifiant à base d'eau de haute qualité pour faciliter la pénétration et réduire les frictions. Évitez les lubrifiants à base d'huile, car ils peuvent endommager le matériau du gode-ceinture en silicone et causer des irritations.

Une application généreuse

Appliquez généreusement le lubrifiant sur le gode et autour de l'ouverture anale. N'hésitez pas à en réappliquer au besoin tout au long de la séance pour maintenir une lubrification adéquate.

L'option d'un lubrifiant spécial anal

Si vous préférez un niveau de lubrification supplémentaire, vous pouvez opter pour un lubrifiant spécialement formulé pour les rapports anaux. Ces lubrifiants ont souvent une texture plus épaisse et offrent une meilleure lubrification pour une expérience plus confortable.

Matériel et sécurité

Lorsqu'il s'agit de choisir le gode-ceinture adapté et d'assurer la sécurité pendant la séance de pegging BDSM, voici quelques points à prendre en compte :

Taille et forme du gode

Choisissez un sextoy de taille et de forme adaptées à votre niveau d'expérience et à vos pratiques. Commencez par des tailles plus petites et progressez progressivement vers des tailles plus grandes. Optez également pour une forme lisse et conique, ce qui facilite l'insertion progressive. Choisissez une forme de godemichet qui offre une bonne stimulation de la prostate (sensation de chaleur). Multipliez les essais jusqu'à trouver votre gode favoris.

Harnais réglable

Assurez-vous que le harnais du gode-ceinture est réglable pour obtenir un ajustement parfait autour de votre taille. Un harnais bien ajusté offrira une meilleure stabilité et évitera les mouvements imprécis pendant l'acte sexuel. Certains harnais permette également une stimulation du clitoris de la femme. A envisager pour les femmes dont la cérébralité n'est pas suffisante pour tirer plaisir

  1. Matériaux de qualité : Choisissez un gode-ceinture fabriqué à partir de matériaux sûrs et non-toxiques tels que le silicone de qualité médicale. Évitez les matériaux poreux ou de mauvaise qualité qui ont tendance à abriter des bactéries et être plus difficiles à nettoyer.

  2. Nettoyage et entretien : Après chaque utilisation, nettoyez soigneusement le gode-ceinture en le lavant avec de l'eau tiède et du savon doux. Si possible, retirez le gode du harnais pour un nettoyage plus facile. Assurez-vous de bien sécher le gode et de le ranger dans un endroit propre.

En suivant ces conseils d'hygiène, de lubrification et de sécurité, vous pourrez profiter pleinement de votre expérience de pegging BDSM en minimisant les risques et en maximisant le plaisir tant masculin que féminin.

Progression et exploration

Progressivité

Lorsqu'il s'agit d'explorer le pegging BDSM, comme dans toute forme de sexualité non conventionnelle, il est important d'adopter une approche progressive dans l'acte. Notre conseil est de commencer lentement, en utilisant des godes de petite taille et en augmentant progressivement la catégorie de taille en fonction du confort et des limites de chacun. Respectez les réactions et les signaux de votre partenaire, et ne précipitez pas les choses. La progression progressive permet aux deux partenaires de s'adapter à de nouvelles sensations et de découvrir l'effet qui leur procure le plus de plaisir. La progressivité vous permet également de trouver la taille de gode et la position où la stimulation de la prostate sera la plus excitante en stimulant les zones les plus sensibles.

Communication continue

Encouragez les partenaires à exprimer leurs besoins, leurs désirs et leurs limites tout au long de l'expérience. La communication est essentielle pour ajuster l'intensité, la vitesse et la profondeur des mouvements afin de maximiser le plaisir de chaque partenaire. Encouragez également les partenaires à utiliser des signaux verbaux ou non verbaux pour exprimer leur confort ou leur inconfort, permettant ainsi des ajustements en temps réel pour un rapport plus satisfaisant ou plus conforme à leur envie.

Expérimentation

Il existe de nombreuses positions possibles, telles que la position du missionnaire inversée, la position de levrette ou la position de côté. Encouragez l'expérimentation avec différents angles, rythmes et profondeurs pour découvrir ce qui fonctionne le mieux pour les deux partenaires dans le cadre de cette sodomie. En plus des positions, les accessoires tels que les plugs anaux ou les sextoys vibrants peuvent également ajouter une stimulation supplémentaire et diversifier cette pratique sexuelle.


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A propos du groupe
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Qu'est ce que le pegging ?

Le pegging est une pratique sexuelle qui consiste pour une femme à pénétrer l'anus d'un homme à l'aide d'un gode ceinture, godemiché ou d'un sextoy adapté, souvent fixé à un harnais autour de la taille. Cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux BDSM ou simplement comme une expérience sexuelle non-conventionnelle. Bien que le pegging ait été longtemps considéré comme un sujet tabou dans la société, il est de plus en plus populaire auprès d'une grande variété de personnes. Les pratiquants du pegging peuvent être des couples hétérosexuels ou homosexuels, et ils peuvent être de tout âge, de toutes origines ethniques, de toutes orientations sexuelles, et de tous niveaux d'expérience sexuelle. Le pegging est une façon d'expérimenter des rôles de genre inversés, ou pour explorer la domination et la soumission sexuelle. Le pegging peut également être une pratique bénéfique pour les hommes souffrant de troubles de la fonction érectile ou de la prostate, en stimulant cette zone érogène souvent négligée. Il est important de souligner que le pegging, comme toute pratique sexuelle, doit être pratiqué en toute sécurité et avec le consentement mutuel. Les partenaires doivent s'assurer que le matériel utilisé est de qualité, que les précautions d'hygiène appropriées sont suivies et que les limites de chacun sont respectées tout au long de l'expérience.

Maîtresse Luna
Vers mes 30 ans, je me rendais souvent dans un magasin de vêtements. J'aimais bien les 2 filles, qui y travaillaient ! Surtout l'une d'elle ! Mais, j'ai promis à ma belle, de ne plus la tromper avec d'autres filles ! Donc, je me conduis "normalement" ! De toute manière, j'ai jamais dragué une fille ! Ce sont elles qui le font ! Ca m'arrange, parce que j'aime pas "draguer" ! J'en ai pas le talent. Ce jour là, j'arrive presque trop tard dans la boutique. Les filles sont absentes, c'est dont le patron qui m'accueille. Il est sympa, mais on dit de lui, qu'il est homo ! Je me connais ! Si il me fait des avances, je vais pas savoir dire non ! Surtout, qu'il est dans les critères des hommes qui me baisent ! 50 ans environ, et bien bâti ! Mais, je chasse ces pensées ! Tout le monde ne pense pas qu'au sexe ! "Qu'est-ce qu'il vous faut, jeune homme ?". "Un jean's 501 ! Brut !". "Bien, mettez vous dans la cabine, je vous apporte ça ! Un 38 ! C'est ça ?". "Oui ! Comment vous le savez ?". "Disons que j'ai l'œil !". Ca veut dire quoi ? Qu'il mate mon cul, quand il en a l'occasion ? Il revient avec deux Jean's, un 38 et un 40 ! "Voilà ! Je vous laisse passer le premier ! Essayez le 40 ! On ne sait jamais !". Je l'écoute ! C'est vrai que j'ai un cul assez cambré ! Je l'entend fermer la boutique ! "Je ferme ! C'est pour éviter les nouveaux clients !". "Euh, si vous voulez, je reviens demain ?". "Non, restez ! Vous, c'est pas pareil ! Je vous aime bien !". J'ouvre le rideau pour me montrer, avec le pantalon sur moi. "Il vous va bien, mais !...". Il s'approche et me demande: "Je peux ? Vous me faites confiance ?". "Euh, oui !". Il me soupèse les couilles ! "Mmm ! Non, là, c'est trop lâche ! Pourtant, vous avez de quoi le remplir ! Tournez vous !". C'est vrai que j'ai des testicules imposants, mais quand même ! De là, à les toucher ! Je m'exécute comme un pantin, abasourdi ! Il me palpe les fesses ! Et remonte le pantalon par la ceinture ! "Non ! Ca va pas non plus ! Allez, rentrez dans la cabine ! On va changer ce Jean's !". Est-ce parce que tout ça m'intrigue, et m'excite, que je me laisse conduire ? Surement ! Dans la cabine, c'est lui qui me défait le bouton de la ceinture ! il me dit ensuite, en faisant glisser le pantalon: "Allez ! Enlevez moi ça !". Je me baisse, il voit mes fesses cambrées, sous mon slip ! Il me touche le cul ! Alors que je me démène pour ôter le pantalon. "J'espère que l'autre pourra accepter tout ça ! Et votre sexe aussi !". Il me prend la main, et me la pose sur sa braguette ! "Vous voyez ? C'est comme ça que vous devez être ! Ca doit pouvoir prendre sa place !". "Euh, Monsieur ! Vous... Vous bandez là !". "Oh ! Oui, désolé ! C'est parce que vous m'excitez, ça devrait pas être permis, d'avoir un cul comme ça !". Je suis rempli d'un trouble sexuel énorme ! Il a une bite exceptionnelle, ce vieux vicelard ! Je ne peux plus le cacher ! Il sait que tout ça m'excite ! "Monsieur ! Qu'est-ce qu'on est entrain de faire ? Là ?". Il change de ton ! "Ben, je vais te baiser ! Voilà ce qu'on va faire ! J'ai entendu parler de toi, tu sais ?". "Qu... Quoi ? Qui ?". "Un ami qui t'encule au Sex-shop ! Il parait que tu vaux le coup !". Je reste sans réaction. Il me pousse dans mes retranchements. "Alors ? Oses me dire que t'en a pas envie ? Si t'en a pas envie, tu sors ! Sinon, c'est ma bite que tu sors ! Elle commence à me faire mal, d'ailleurs !". Je réagi toujours pas ! "Alors ? Tu décides ?". Je dois me décider ! Timidement, je pose ma main, sur la bosse que fait sa verge. Il prend ma bouche, aussitôt, pour m'imposer un premier baiser vicieux ! Il m'aide à libérer sa grosse bite, en même temps ! J'ai un soupir d'excitation, en la serrant dans mes petits doigts ! Je l'imagine déjà entrain de me transpercer l'anus ! Je vais déguster, mais j'aime ce coté, sexe imprévu ! Il me fait glisser contre son ventre, pour m'imposer sa grosse verge dans la gorge. "Orhhhhh ! Depuis le temps que j'ai envie de toi ! J'ai été patient ! Mais je t'ai eu ! Enfin ! Oufffffff ! Tu suces bien ! En plus ! Il a raison, mon pote ! Elle te plait ma queue ?". "Mmmmmm ! Mmmmmmm ! Mouiii ! Je l'adore ! Mmmmm !...". "Tant mieux ! Parce que tu vas te la prendre dans le cul ! C'est pas trop gros pour toi ? Il parait que non ?". "Mmmmmm ! Mmmmmmm ! Mouiii ! Je pense que ça ira ! Mmmmm !...". "Putain, si tu m'encaisses ! C'est que t'es une vraie p'tite salope ! On verra ça !". Je découvre un homme complètement différent sexuellement, que le patron serviable et respectueux que je connais ! Il est très directif et dominateur ! Et la dureté de sa grosse verge dans ma bouche, me prouve que je l'excite ! Elle me déforme la bouche ! Il se recule pour s'assoir, sur le petit banc derrière nous. Ses pieds sont entravés par son pantalon et son caleçon, à la base. Alors que ses cuisses sont écartées pour me permettre de lui pomper la verge, pendant qu'il m'accompagne de ses mains sur le crâne. "Hummmmmm ! Tu t'en sors bien ! T'es doué avec ta langue ! Orhhh ! Elle est bonne ta bouche !". Je me régale avec sa grosse bite, encore subjugué par ce qui m'arrive ! Mais une chose est sure ! C'est qu'une verge comme ça, je n'y résiste pas ! C'est impossible pour moi ! "Hummmm ! Tu vas me sucer longtemps ! J'adore ça ! Continues !". "Mmmmmm ! Slllrp ! Mmmmmm ! Mmmmmm !...". "Tu te régales autant que moi, on dirait ? J'ai raison ?". "Mmmmm ! Oui, elle est trop bonne ! J'aime vous sucer ! Mmmmmmmmm ! Mmmmm !...". "Orhhhhh ! Ouiiii ! C'est ça ! Putain ! Quelle salope ! Tu me bouffes bien la bite ! Orhhhh !". C'est vrai qu'il aime se faire sucer longtemps ! Ca dure presque 20 minutes ! Je commence à avoir mal à la mâchoire ! Il me libère, en me demandant, d'un coup: "Bon, on va aller dans mon bureau ! On sera mieux, pour baiser !". Il prend le temps, de se défaire de son entrave aux pieds. Ensuite, dans le bureau, il me fait mettre en levrette sur un fauteuil ancien, avant de me cracher sur l'anus ! J'ai enlevé ma chemise, je suis nu, en chaussettes, avec le cul offert à sa future saillie. Je m'étonne de le voir fouiller dans un tiroir ! "Attends ! On va mettre du gel ! Ce sera meilleur !". Il est attentionné, malgré son coté dominateur ! J'apprécie ! Il m'enduit l'orifice avec vice, en me taquinant l'œillet ! "Tu la veux, ma bite ? Tu te sens prêt ?". "Orhhhh ! Oui, je la veux ! J'en ai trop envie ! Encules-moi !". Ca ne tarde pas ! Il pousse déjà contre mon petit trou, qui va devenir très large, vu son épaisseur ! Mais, en attendant, je dois m'y habituer ! Il gagne chaque millimètre de pénétration avec patience, sous mes gémissements de plaisir. Petit à petit, son gland vient cogner mon coccyx, il me secoue le corps, en me faisant haleter. Sa grosse verge touche mon fondement, mais elle dépasse encore de quelques centimètres ! "Putain de salope ! Tu vas m'encaisser ! Ca va rentrer ! Moi, je te le dis !". Je me relève un peu, je connais mon corps, c'est une question d'angle ! Surtout au début ! Il passe d'un coup toutes mes barrières ! Ses grosses couilles frappent les miennes, à présent ! "Arghhhhhhhhhh ! Putain, je prend mon pied ! Elle est trop bonne ta bite ! Arghhhhhhhhhhh !". "Voilà, je savais que tu m'prendrais en entier ! Putain, je m'éclate ! T'es une bonne pute ! Tu le sais ?". Que veut tu répondre à ça ? Oui ! La preuve ! Tu m'encules, salaud ! Je me tais, pour jouir pleinement du cul. Après quelques assauts violents, pour assoir sa domination, il se calme, pour jouer avec ma chatte. Je râle mon plaisir anal, en sentant son énorme gland qui coulisse de mon œillet, le long des mes parois, puis force mon fondement et atteint mes profondeurs ! Il bouge toujours plusieurs fois, avant de ressortir sa verge, et recommence ! Il me dit qu'il adore m'entendre "couiner", quand je suis pris d'orgasmes. Putain ! Ces homos ! Ils ont vraiment l'habitude de baiser des culs ! Il est trop endurant ce mec ! Voilà qu'il recommence à m'enculer, mais sur le dos, en me relevant le cul, pour me mettre à hauteur de bite ! Putain, il ne me ménage pas, cette fois ! Il me défonce ! Tant et si bien que ma verge enfle en se secouant, sous ses enfoncements. Il voit que mon visage révèle ma jouissance anale, mais pas seulement ! "Tu vas gicler salope ?". "Mmmmmmm ! Mmmmmm ! Mouiiiiiiiiiiiiiiii ! Mmmmmm ! Mmm...Argggggggghhhhhhhhhhh !". Ca y est ! Mon sperme coule, et s'éjecte à la fois ! Suivant la puissance de ses enfoncements ! "Ouais, ça j'adore ! Craches tout, ma petite salope ! Jouis ! Elle te fait du bien ma bite ! Hein ?". "Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !...". Il augmente sa puissance de défonce anale. "Orhhhhhh ! Putain, tu m'as eu ! Puuuutain de salope ! Arhhh !". Il sort sa verge d'un coup, en me lâchant les fesses, et en activant ses doigts sur son gland ! Ca me gicle sur la face ! Il me pollue en plusieurs jets ! Puis, il me relève le cul, et replonge dans ma chatte béante, en râlant son orgasme ! On finit de jouir ensemble ! Un frisson de plaisir cérébral s'ajoute à mon orgasme ! J'aime jouir, avec le visage couvert de foutre chaud ! C'est la soumission totale pour moi ! Putain, il m'a baisé comme un dieu ! Le vieux ! Et c'est pas fini ! Il prend plaisir ensuite, à me laver le visage avec son gros gland, que je dois lécher ! J'adore ce jeu pervers, on s'en régale longuement tous les deux ! Il va ensuite s'affaler sur l'autre fauteuil ! "Putain, c'était bien bon, tout ça ! Tu reviens quand tu veux ! Chéri !". "Orhhhh ! Vous m'avez tué ! Monsieur !". "Appelles moi Seb ! C'est Jean-Sébastien ! Mais Seb, c'est plus simple ! Tu veux de quoi te nettoyer ?". "Oui, je veux bien ! Merci... Seb !". Il me passe un mouchoir en tissu, c'est efficace ! Surtout pour mon anus trempé de jus, et de foutre ! "Tu peux le garder ! Ca te fera un souvenir !". "Merci Seb !". "Bon, on va se bouger, mon mec m'attend ! Tu gardes ça pour toi ! OK ?". "Bien sur ! Ca m'arrange ! D'ailleurs !". On se rhabille ! Il met le Jean's de taille 38 dans un sac, et me le tend ! "Tiens ! Je te l'offre ! Reviens me voir ! A la même heure, ça m'arrange ! C'est mieux pour baiser ! T'auras pas des fringues gratuits ! Mais j'aimerai recommencer, si ça te dit !". "Euh, quand je pourrai alors ! Je suis en couple !". "Je sais ! Ta femme est très gentille, et très jolie, d'ailleurs !". "Merci ! Au fait ? Comment il est, ton ami ? Celui qui m'a baisé au Sex-Shop ?". "C'est le patron ! Il parait que tu te tapes son employé aussi ?". "Euh... Oui, c'est Eric ! On s'aime bien !". "Je le comprends ! T'es un bon coup ! Allez, on y va !". Je suis rentré chez moi ! Mon fessier encore chamboulé, et tout endolori par sa saillie anale ! J'ai eu des petits "accidents" d'écoulements sur le chemin. Le soir venu, alors que Corinne dormait, je me suis branlé en revivant mon aventure ! Dès lors, j'avais des petites ristournes sur mes achats ! Je lui rendais visite, tous les deux ou trois mois environ ! Ce qui nous permettait, de ne pas nous lasser ! Mais après moins de deux ans, c'est arrivé quand même ! Ca devenait moins excitant ! Il perdait son endurance aussi ! Et de mon coté, j'avais un autre amant qui avait les mêmes atouts que lui ! On a gardé de très bons rapports ! Et on a "craqué" quelques fois ! Mais c'était anecdotique !
14 personnes aiment ça.
CocuEnviePassif
Ou est ce magasin + ?
J'aime 17/04/25
soumyvbi
Ca , me rappel à moi aussi de bons souvenirs .Merci , pour ce beau partage , bien écrit , Maîtresse Luna
J'aime 18/04/25
j'adore les adventures...
J'aime 18/04/25
soumyvbi
maracuya :quels genres "d'adventures" ??
J'aime 19/04/25
Marc Nancy
Beau récit
J'aime 19/04/25
celitrave33
j'aimerai bien un patron de magasin comme celui-lâ !
J'aime 19/04/25
je suis ouvert a tout...
J'aime 19/04/25
Très belle histoire qui fait envie.
J'aime 20/04/25
BellesFesses04
Humm OuaOu ça donne vraiment envie tout en lisant je me suis caressé les tétons par dessus mon polo et c’était vraiment exquis de m’imaginer à la place de ce client ! Vraiment merci, beau recis qui donne vraiment envie
J'aime Il y a 12 heure(s)
Chimeria
a partagé une photo
J'adore qu'on s'occupe d'eux
8 personnes aiment ça.
soumyvbi
Ils sont magnifiques , et ce serait un plaisir de m'en occuper ,Chère Madame 2665.png
J'aime 18/04/25
soumyvbi
1f60d.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png
J'aime 18/04/25
soumyvbi
Je suis tombé sous votre charme ,chère , Chimeria , je crois bien que j'ai CRAAAAAAAAQUé!1f618.png
J'aime 19/04/25
soumyvbi
Chimeria : 1f60d.png
J'aime 24/04/25
Cmoi3434
a partagé une photo
Bonsoir à tous et a toutes ! Qui veut l'essayer ? J'ai acheté ça.. malheureusement il me manque une partenaire complice pour l'utiliser... 😅😅😅
9 personnes aiment ça.
soumyvbi
Il faut l'offrir à une Femme de caractère 1f609.png qui aime ça ,défoncer des p'tits mecs
J'aime 24/04/25
Slutty - soumiss1966
Test d'endurance ...
23 personnes aiment ça.
Soum-itch
J'aurais bien aimer être tester aussi...
J'aime 23/02/25
Slutty - soumiss1966
@ Soum-itch J’apprécie la chance que j'ai. Merci.
J'aime 23/02/25
dommage pour moi , bien que j'apprécie beaucoup les jeux anaux , je ne supporte ni un gros calibre , ni une pénétration qui dure ! je suis privé de ce cadeau a ma maitresse !
J'aime 14/03/25
Slutty - soumiss1966
@ philippe Ce n'est pas grave, il y à tant d'autres moyens de satisfaire sa Maitresse. De plus cela permet à votre Maitresse de prendre un second soumis, ce qui ouvre le chant des possibles.
J'aime 14/03/25
soumyvbi
Je postule alors lol ,,,car moi j'adore ça ...les jeux annaux 1f609.png1f607.png
J'aime 18/03/25
Marc Nancy
Belle saillie vigoureuse pour ce soumis
J'aime 18/03/25
soumyvbi
C'est comme ça qu'on les aime ,,,vigoureuses !!1f60d.png
J'aime 18/03/25
Chimeria
Hmmmm ça doit être délicieux
J'aime 10/04/25
Slutty - soumiss1966
Ça l'a été effectivement, j'ai eu mal mais ce fut un reel plaisir. Merci.
J'aime 10/04/25
soumyvbi
C'est divin de se faire mettre par une Femme !
J'aime 11/04/25
soumyvbi
Chimeria : vous dites "ça doit être ...".Dois je comprendre , que vous n'avez jamais été...?
J'aime 11/04/25
soumyvbi
/ Si tu as eu mal, c'est que tu n'étais pas assez préparé , non??
J'aime 11/04/25
Slutty - soumiss1966
Non soumyvbi, c'est la durée et l'intensité du travail qui à entrainé la douleur.
J'aime 11/04/25
soumyvbi
mouais , je comprend lol Mais ne crois pas que je vais te plaindre hein ?!!!1f609.png
J'aime 11/04/25
Maîtresse Luna
Il faut apprendre à laisser les autres s’aimer comme ils aiment et non comme nous voudrions qu’ils aiment.
18 personnes aiment ça.
Douxreveur
Chacun est libre d'aimer qui il veut , comme il veut ! Le droit à la différence !
J'aime 04/03/25
Youky le soumis
C'est bref et concis
J'aime 04/03/25
Wam
J adore
J'aime 04/03/25
soumyvbi
Oh que cette phrase est juste ,chère Madame Luna 1f44d.png2665.png
J'aime 05/03/25
Marc Nancy
Oui, tolérance, respect et liberté, c est la base
J'aime 05/03/25
Chimeria
Tout à fait d'accord avec vous
J'aime 10/04/25
soumyvbi
Nous partageons donc , les mêmes valeurs!
J'aime 11/04/25
soumyvbi
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J'aime 12/04/25
Dom_Leecha
a partagé une photo
Bonsoir, petit souvenir à vous partager.
32 personnes aiment ça.
delicieuseslechouilles
Magnifiques moments pour un soumis, d’être honoré analement par une Dominatrice
J'aime 17/03/25
soumyvbi
Ouiiiiii delicieuseslechouilles , car c'est véritablement un honneur , pour nous !!!
J'aime 19/03/25
Chimeria
Ça donne envie de s'empaler dessus, et de gémir à en perdre la tête
J'aime 17/04/25
delicieuseslechouilles
Chimeria, j’adorerais te faire gémir de plaisir
J'aime 17/04/25
Chimeria
Merci mais je suis pas branchée soumis précoce ect....
J'aime 17/04/25
soumyvbi
a partagé une photo
Hello mes amiEs Je vous présente ,LA Femme idéale ,pour notre "sport" Bisous et bon Week end
24 personnes aiment ça.
puceau90
Je me Prosterne devant Madame, je reste bouche bée, sous Votre Magnifique Beauté, je suis Votre esclave Sublime Maîtresse.
J'aime 26/10/24
Sublime ...
J'aime 26/10/24
soumyvbi
éééééh puceau90 1f601.png reste calme , ce n'est qu'une photo du net , chérie 1f60a.png
J'aime 27/10/24
soumyvbi
Je vois avec plaisir , que cette photo a un gros succès ...1f601.png1f607.png
J'aime 29/10/24
puceau90
oui mais c'est une belle photo, alors c'est avec plaisirs que l'on admire, c'est mon point de vue, merci pour le partage
J'aime 29/10/24
soumyvbi
Mais de rien puceau90 , c'est bon de partager ses passions avec des personnes qui apprécient les mêmes plaisirs 1f609.png2665.png2665.png2665.png2665.png
J'aime 30/10/24
soumyvbi
Merci ,Duo2curieux , à moi aussi !!!C'est une photo du net2665.png
J'aime 18/02/25
soumyvbi
Je l'ai trouvé tellement belle , que je n'ai pu résister , de l'exhiber
J'aime 23/04/25
jm94
a ajouté de nouvelles photos à son propre album "Strap-on Mistresses"
32 personnes aiment ça.
Slutty - soumiss1966
Très jolie photo, pour donner envie ...
J'aime 20/01/25
DANDY83
Femme, un totem?…
J'aime 22/01/25
Tout est dans le regard...
J'aime 22/01/25
Lsdmen04
Faudrait je m'entraîner
J'aime 22/04/25
Adelaide
Voilà plus de deux mois que le nouvel an est passé, et il m’arrive encore de penser à cette fille au regard de braise. Je me réveille le matin excité, me remémorant presque malgré moi cette nuit brûlante. Les deux filles avec qui j’ai couché depuis n’ont pas éclipsé celle que j’appelle à présent « ma Vénus ». Pour la première fille, j’étais trop saoul et probablement trop peu intéressé. Pour la seconde, je ne dirai pas que le très classique et très courtois missionnaire du samedi soir ait laissé en moi une empreinte éternelle. Je vous en parle de nouveau aujourd’hui, car ma nymphe vient de me contacter par message il y a dix minutes. J’ai reçu ce matin un très succinct « Salut toi, je ne sais pas si tu te souviens de moi, mais on s’est « croisé » au nouvel an de cette année. Je voulais savoir comment tu allais. Bisous » Je réponds rapidement que tout va bien pour moi et lui retourne sa question. Elle renvoie « Très bien, très bien de mon côté. Je t’ai contacté, car je repensais à toi. Je ne sais pas si tu vas bien le prendre, mais crois-moi, pour moi, c’est un compliment, tu fais partie des meilleurs coups que j’ai eu. » Je l’en remercie en ajoutant que venant d’elle, c’est un éloge qui a d’autant plus de valeur qu’elle possède de nombreux éléments de comparaison. Je reçois « oui, c’est vrai (avec un smiley qui rougit). D’ailleurs, j’organise une rencontre entre les différents « compétiteurs » (smiley qui rit) chez moi vendredi soir. J’ai bien sûr pensé à toi. » « Que me propose-t-elle ? » Pensais-je. Mon excitation montait soudain. Je remarque qu’elle ne m’a pas posé directement la question de savoir si je souhaitais venir ou non. Je n’ai jamais participé à ce genre de « rencontre ». Le temps passe et je ne réponds pas à son dernier message. Le soir, je m’imagine des scènes d’orgies en me demandant si je me sentirais à l’aise et si je pourrais profiter du moment, ou si, une fois nu, je ne chercherais pas à fuir rapidement. Une journée passe et je ne pense qu’à cela. Je me couche sans parvenir à trouver le sommeil. Sous les coups de trois heures du matin, épuisé, je revois par flash son cul que je pénètre lentement, et j’entends distinctement ses gémissements et ses cris étouffés dans l’oreiller. Je me décide à lui répondre. « Pourquoi pas ? On serait combien ? » Je me recouche en regrettant presque de me mettre partiellement engagé. Cinq minutes plus tard, mon téléphone s’allume dans la nuit et je reçois sa réponse. « Avec toi, on sera quatre en tout (avec un smiley qui sourit) » Ma première réaction a été de penser que c’était décidément une créature de la nuit pour répondre à une heure pareille, et deuxièmement, le « faible » nombre de participants a eu tendance à me rassurer. Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais que je ne sais pas si je pourrais rester longtemps, étant donné que j’ai pas mal de travail à faire chez moi samedi. Ainsi, je m’engage en me laissant une excuse pour partir au cas où je serais trop mal à l’aise. Presque immédiatement après avoir envoyé mon message, je reçois : « Pas de problèmes, c’est déjà super que tu puisses passer. J’habite au 22 avenue d’Italie dans le treizième à Paris. À vendredi donc. Dort bien, s’il te reste encore quelques heures de sommeil. (Avec un smiley qui envoie un cœur) » Ça y est, j’ai mis le premier pas sur l’escalier qui mène au plus grand toboggan du parc d’attraction. Les jours passent et, étonnement, je ne pense pas particulièrement à l’évènement à venir. Je suis étrangement serein. Vient le vendredi soir. La tension augmente de nouveau pendant que je me prépare dans ma salle de bain. Je m’habille de façon assez sobre, tout en restant élégant avec une chemise à carreau et un jean avec une coupe près du corps. J’écoute de la musique dans les transports, de façon à détourner mon attention et à rester calme. Je suis dans sa rue et mon cœur commence à battre plus fort et plus vite. Je dois rester dans l’action, trouver rapidement son appartement, monter quatre à quatre les marches et ne pas me poser de questions. Ça y est, je me trouve devant son immeuble. Je sonne. Personne ne répond, mais on ouvre la porte. Je trouve son nom sur le tableau d’affichage du sasse de l’entrée, à côté duquel est indiqué le bâtiment et l’étage de son appartement. D’un pas décidé et faussement décontracté, je marche dans la cour et grimpe à pied les trois étages. Il y a deux portes d’appartement sur le pallier. J’entends nettement de la musique et des gens qui parlent derrière la porte de gauche. Je sonne à nouveau. On ouvre et je retrouve cette fille encore plus belle qu’elle ne semblait l’être la dernière fois. Elle a les cheveux coupés mi-long, châtains avec des mèches blondes, de grands yeux bleus en amande, une bouche rouge pulpeuse, avec une lèvre inférieure légèrement plus charnue, un minois de poupée russe, une jupe courte en daim marron, et un chemisier dans le genre qu’elle portait à nouvel an, c’est-à-dire avec un décolleté incroyablement sensuel. Elle est sexy et elle a du style. « Salut ! Entre je t’en pris. » me dit-elle avec un grand sourire. Elle m’embrasse en prenant bien le temps d’apposer ses lèvres sur mes joues et en me prenant par la hanche. Elle m’invite à entrer. J’avais ramené un très bon porto que je gardais dans un de mes placards en attendant une occasion spéciale. « Ah, merci, c’est gentil ! » dit-elle en voyant la bouteille que je lui tendais. « Viens, c’est par là », ajoute-elle en me désignant ce qui semblait être le salon. La lumière tamisée laissait apparaitre une décoration et un ameublement d’un goût certain. Les deux canapés en velours bleus s’accordaient très bien avec les nombreuses plantes, les miroirs et bibelots dorés qui se trouvaient un peu partout dans la pièce. Je trouvais là également deux jeunes hommes de ma tranche d’âge. Ils discutaient un verre à la main chacun devant une table basse remplie de biscuits apéro, d’olive et d’autres amuse-bouches. « Salut ! » me lancent-ils en cœur. « Salut ! » leur répondis-je, toujours avec mon air faussement décontracté. D’approche chaleureuse, je me suis senti assez rapidement en confiance avec eux. L’un était plutôt grand et brun et travaillait dans la finance, et l’autre, de taille moyenne, comme moi, était châtain foncé et travaillait dans l’évènementiel. Nous entamâmes les présentations et discutâmes pendant cinq bonnes minutes, suffisamment pour que je me trouve tout à fait à l’aise et serein, dirons-nous. Nous nous étonnâmes de ne pas voir notre hôte qui lança à un moment depuis la cuisine, devant notre étonnement formulé à voix haute : « J’arrive, j’arrive, ne vous en faites pas ». En effet, elle vint rapidement sur ses jambes minces et dénudées, les bras chargés de ce qui semblait être deux plats qu’elle avait préparés. Nous lançâmes tous un « Ah merci ! » plus ou moins en même temps. « Nous sommes bien accueillis ici », dit le grand brun. « C’est normal… C’est moi qui vous remercie d’être venu », répondit-elle d’un air légèrement timide. S’en sont suivies différentes discussions autour des métiers de chacun, de la situation amoureuse des uns et des autres, etc. Une heure passa et nous avions déjà bien bu. Nous fûmes tous probablement très contents de trouver des convives sympathiques et intéressants. Les cadavres de bouteilles s’accumulaient au pied de la table basse. Nous parlions tous plus forts, et je trouvais à présent qu’il faisait trop chaud dans la pièce. Le regard légèrement embué, je m’arrêtai un instant sur elle. Ses lèvres chaudes, ses cheveux souples et sa jupe qui remontait à mesure que la soirée se déroulait, dévoilant ses jambes sensuelles, firent monter le désir en moi. « Ah, j’ai oublié les petits fours », dit-elle soudain. Elle se lève et, sans rabaisser sa robe, elle se dirige vers la cuisine. « Je vais t’aider », ajoute le grand brun. Je me retrouvais seul avec l’autre convive avec qui nous continuâmes notre discussion. Cinq minutes passent et je m’étonne de ne pas les voir revenir. Je regarde en direction de la cuisine et je vois dans l’entrebâillement de la porte les jambes de notre hôte en angle par terre, indiquant vraisemblablement qu’elle est à genoux. À y regarder de plus près, on voit ses cheveux qui apparaissent par intermittence régulière. « Je crois qu’ils ont commencé à s’amuser sans nous », lançai-je à mon collègue. Quelques petites minutes plus tard, ils revinrent dans le salon, notre hôte en première. « Désolée de vous avoir fait attendre », s’excusa-t-elle sans qu’aucun signe de remord ne vint agrémenter son discours. Je sentais mon membre se raidir dans mon pantalon et l’excitation accélérer les battements de mon cœur lorsque je l’imaginais s’acoquiner dans la cuisine. « Si nous jouions à un petit jeu ? » Proposa le grand brun qui semblait très à l’aise avec cette tension palpable dans la pièce. « Nous allons tester tes compétences ? » Ajouta-t-il en la regardant. « Pourquoi pas ? » répondit-elle, un sourire en coin des lèvres. Il partit dans le couloir vers l’entrée et en ramena un petit châle en soie. « Laisse-toi faire ». Il se plaça à côté d’elle et lui banda les yeux. Elle sourit davantage et se laissa faire. Il se tourne vers nous et précise : « Vous ne lui dites rien, hein ? » Nous acquiesçons en silence. Il commence par prendre un petit four présenté sur le plateau qu’elle avait apporté. « Ouvre la bouche ». Elle ouvre et nous apparaît sa langue rose. « Hmmm. C’est bon ça… » dit-elle en riant et non sans provocation. « C’est un petit four au fromage frais », ajouta-t-elle simplement. Nous dîmes en cœur « Bravo ! » Il lui fit goûter un autre petit four et elle trouva à nouveau l’aliment qui le composait. Le grand brun se tourna doucement vers nous en nous faisant signe de ne rien dire. Il s’approcha d’elle, lui demanda à nouveau d’ouvrir la bouche, et fit glisser très doucement l’index de sa main droite. Elle sourit immédiatement. La bouche pleine de son doigt, elle dit : « Je me demande vraiment ce que c’est. Je vais bien le goûter pour pouvoir vous le dire. Les mains sagement posées sur ses cuisses, elle fait des va et vient en impulsant de petits mouvements à sa tête. L’excitation monta en moi violemment. « À toi », me dit l’instigateur de ce jeu. « On va te faire goûter différentes saveurs ». Il retire son doigt. Pendant que je m’approche, elle garde la bouche à demi-ouverte en attendant que je vienne la remplir. Je glisse doucement mon index également dans sa bouche chaude et humide et contemple l’érotisme intense de cette beauté, sagement appliqué à la tâche. Elle suce lentement mon doigt et commence à écarter légèrement les jambes. L’organisateur vient se placer à côté d’elle et commence à lui caresser l’intérieur de la cuisse en la fixant. Spontanément, elle écarte un peu plus les jambes jusqu’à ce qu’elle soit largement ouverte. Sa culotte en dentelle blanche nous apparaît. Après quelques allers-retours le long de sa jambe, il finit par s’arrêter sur son entrejambe et y glisse sa main. « Tu as l’air d’adorer les dégustations, toi. Elle est trempée… » dit-il en se tournant vers nous. Elle retire mon doigt et ajoute : « Je n’ai pas tout goûté, je crois. » Le dernier participant qui n’avait fait que regarder depuis le début se rapproche, je lui cède la place, et toujours devant cette bouche ouverte, il déboutonne son pantalon et en sort son sexe. Nous ne l’avions pas encore remarqué, car assez silencieux, mais il semblait brûler par l’excitation, presque hagard. Il place sa queue devant la bouche de notre hôte et l’enfonce lentement. On entend un net gémissement de satisfaction de la part de cette beauté qui semble être parvenue à l’endroit précis où elle souhaitait aboutir. L’orgie a belle et bien commencé et, contrairement à ce que je pensais, je ne suis pas du tout mal à l’aise. L’excitation a une forme d’empire sur moi qui me fait me concentrer uniquement sur mes objectifs, celui de me satisfaire pleinement et de posséder cette femme. Par des vas et vient avec sa bouche de moins en moins retenus et de plus en plus avides, elle se saisit du membre en même temps qu’elle le suce. « Non, non, non. Pas avec les mains », interpelle le grand brun. Il part dans le couloir et amène une autre écharpe. Il se place à côté de notre hôte et sans ménagement lui saisit les poignets, les place dans son dos et les lui lie. Là, elle suça avec encore plus de vigueur celui qu’elle avait déjà en bouche. Loin de se calmer, ce dernier s’emportait dans sa transe. Il devait trouver qu’elle ne le suçait pas assez rigoureusement, et il lui saisit les cheveux en formant une queue de cheval à l’arrière de sa nuque, pour accorder le rythme des vas et vient à son excitation débordante. Il était pris d’une forme de frénésie qui ne semblait pas effaroucher la belle, loin de là. « Alors on peut lui faire ça… » Me disais-je en moi-même. Je sortis à mon tour mon sexe, que je vins placer à hauteur de visage, sur sa droite, et je commençai à me masturber. Je la trouvais à la fois tellement belle et tellement vicieuse, que le contraste des deux acheva de m’exciter. Je touchai maintenant son visage en même temps que je me branlai. Le grand brun décida de lui enlever le bandeau des yeux. Il pensait sans doute qu’elle n’avait plus besoin d’artifices pour nous être soumise. Ses yeux magnifiques semblaient donner encore plus de vigueur à celui qu’elle suçait, puisqu’il accéléra le mouvement, si bien qu’il se retira subitement, comme pour s’empêcher de venir en elle. Elle sourit d’un air triomphant et lui lécha malicieusement le bout du gland qu’elle pouvait encore atteindre avec sa langue. Il ne résista plus, et frénétiquement il pénétra de nouveau sa bouche en faisant de rapides allers-retours. Ses mouvements devinrent presque convulsifs, et dans un râle à peine contenu, il finit par lui jouir dans la bouche. Elle ne bougea pas et reçu tout sagement. Il lui lâcha les cheveux et vint s’asseoir sur le fauteuil en face du divan où elle se trouvait. Elle venait d’asséner le premier KO de la soirée. « Dites donc, t’es très gourmande, toi ! T’as bien tout pris dans la bouche ? » demande le grand brun. Elle ouvre docilement la bouche pour montrer son contenu blanc translucide. Le sperme commençait à couler aux commissures. Elle se dépêche finalement d’avaler la décharge de notre collègue avant que davantage ne déborde. « C’est bien, t’es une bonne hôte », conclut l’organisateur, tout en ouvrant à son tour son pantalon. Le sexe à l’air dans une main, il la prit par le bras de l’autre main et positionna son buste sur le large accoudoir du canapé. Ainsi, les mains toujours liées dans le dos, elle était à genoux, prenant la largeur du divan, les fesses écartées. Je me dirigeai spontanément derrière elle, quand mon collègue encore valide se positionna devant. Avide, à la merci de ce grand homme, elle prit sans ménagement son sexe dans la bouche. Il s’activa à son tour, comme s’il se branlait avec sa jolie bouche rouge. Moi, je contemplais ses magnifiques fesses rebondies, encore un peu cachées par sa jupe qui était largement remontée. Son tanga en dentelle blanc soulignait magnifiquement ses courbes. Je lui retirai habilement sa jupe qui s’ouvrait sur le côté, et finit par faire glisser doucement sa culotte le long de ses jambes pour enfin l’enlever. S’offrait à moi l’une des plus belles visions du monde, à savoir la délicate chatte épilée et légèrement rosée de celle que j’appelais « la déesse ». Je saisis avec mes deux mains ses fesses douces et fermes à la fois, et je les écartai pour qu’elle se dévoila totalement à moi. Je décidai de plonger ma langue dans sa chatte pour la goûter. Elle sentait quelque chose entre la fraise et la transpiration. Je remontai avec ma langue jusqu’à son anus, et assez vite elle écarta encore plus ses jambes afin de s’ouvrir davantage, et je perçus du fait des petits coups de son corps sur mon visage, qu’elle s’affairait davantage à la tâche de son côté. Quand son entrejambe fut bien ouvert et son anus lubrifié, je me dressai au-dessus d’elle. J’écartai sa fesse d’une main pour ouvrir son sexe, et de l’autre je guidai ma verge en sa direction. Elle était serrée, mais aussi très mouillée, si bien qu’avec trois coups de bassin, je m’enfonçais profondément en elle. Elle poussa un fort gémissement, étouffé par la queue qui lui obturait l’entrée de la bouche. Je la baisais en enfonçant mon sexe jusqu’à la garde, et m’activais à présent cramponné à ses magnifiques fesses. Notre ami l’éjaculateur quasi-précoce avait commencé à reprendre du poil de la bête, et il revint dans la partie en se masturbant sur le dos et les fesses de notre hôte. Il semblait prendre un plaisir certain à la parcourir du bout de son gland. Puis après un certain temps, sans dire un mot, il se plaça avec une grande dextérité sous notre nymphe. Il lui lécha avidement les seins et lui prit les fesses avant de les écarter. Je retirai mes mains afin de le laisser faire. Le grand brun se pencha sur elle, et pendant qu’elle avait encore sa bite dans la bouche, il lui à écarta les jambes de sa main en se courbant sur elle, jusqu’à ce qu’elle soit suffisamment basse pour que sa chatte touche le membre du collègue allongé sous elle. J’accompagnai le mouvement et m’abaissai également. Elle commençait à faire des mouvements de bassin afin de se frotter en même temps que je continuai de la baiser. Pris de compassion pour mon collègue qui devait attendre sur le palier sans pouvoir profiter pleinement de la fête à l’intérieur, je me retirai de sa chatte si douce pour lui laisser la place. Il comprit bien vite la manœuvre et assura la continuité du service en la pénétrant promptement. Ce gars avait une forme de frénésie dans sa façon de baiser. Il la prit vigoureusement en enchainant très rapidement les vas et viens. Ce qui ne semblait pas déplaire à notre hôte, qui dut même extraire la queue du grand brun en tournant sa tête afin d’hurler de plaisir. Ce dernier, le membre en l’air, détacha les mains de la belle, qui put donc se redresser de toute sa superbe sur notre collègue affairé à la tâche. Nous la regardions tous deux ébahis par la beauté de ce corps qui ondulait lascivement sur ce satyre avide de jouissance. L’organisateur de parties fines, qui était plein de ressources, prit le téléphone de notre hôte posé sur la table basse avec lequel il commença à filmer la scène. Bien loin de la rebuter, cela sembla la galvaniser et on la vit se déhancher de plus belle en se tenant les cheveux et criant encore plus fort. Cette séquence viendra enrichir sa collection personnelle me dis-je. Au bout de deux minutes environ, notre déesse nous interpella doucement : « C’est gentil de maté, mais il ne faudrait pas me délaisser non plus ». Le message était clair. Le grand brun me regarda et lâcha un pragmatique : « Je suis désolé, mais je crois que ça sera plus simple pour elle si c’est moi qui passe par derrière. » En effet, son membre n’était pas dépourvu de taille, mais le mien était plus large. J’abdiquai et me plaçai devant ma nymphe pendant qu’il faisait le tour. Je vis son visage de plus près, elle avait les pommettes empourprées et son front était perlé de petites gouttes de transpiration. « J’avais oublié que tu étais si bien monté, toi », me lança-t-elle avant de prendre mon sexe à pleine bouche. Le grand brun arrêta la chevauchée d’une main autoritaire placée sur la hanche de notre beauté, pendant qu’il tenait son membre et tâchait de l’introduire. Je ne voyais pas directement l’action, mais j’avais une idée assez précise de là où nous en étions, puisque ma nymphe se crispa soudain, ferma les yeux, fronça ses sourcils et arrêta les va et vient de sa bouche sur ma queue. « C’est bon ça ? » demanda le grand brun d’un air légèrement sardonique. Elle ne répondit pas et resta concentrée et crispée. « Ça y est, je suis dans ton cul », ajouta-t-il. Les corps qui s’étaient figés un instant commencèrent à se mouvoir de nouveau. Notre satyre du dessous reprit en accélérant ses coups de rein, le grand brun précautionneusement mais inéluctablement appuya ses allers et venus et elle reprit son adroit massage buccal. Le train de la jouissance était en marche et cette beauté qui était baisée de la plus intense des façons semblait commencer à brûler de l’intérieur. Elle me suçait de plus en plus vite, puis frénétiquement, jusqu’à ce qu’elle se crispe cette fois violemment, qu’elle sorte ma bite de sa bouche et hurle un orgasme tel que je n’en avais jamais vu auparavant. Mes collègues chauffés à blanc également accélérèrent. Nous nous trouvions au cœur d’un chaos orgasmique où tous les sens étaient saturés, où les corps étaient mêlés et où les cris et les râles des uns et des autres raisonnaient comme la finale d’une symphonie épique. Au bout d’une minute notre nymphe semblait s’apaiser, encore étourdie de ce qu’elle venait de vivre, elle se dressa lentement de toute la superbe avec ce corps intensément érotique, et elle s’assit sur le divan. Notre hyperactif se leva lui aussi pour lui laisser la place et se masturba énergiquement de la main droite. Elle se laissa faire docilement. Au bout de quelques secondes seulement, il lui éjacula sur la joue gauche ainsi que sur la bouche. Comme si cela ne suffisait pas, il finit par étaler avec son gland le sperme qui avait jailli sur sa bouche. Le grand brun et moi-même, nous vîmes à notre tour réclamer notre part d’orgasme, et nous nous plaçâmes de part et d’autre de notre nymphe, toujours assise sur le divan. Elle attendait que nous venions la recouvrir à notre tour. Voir cette fille si docile et si perverse finit par m’amener au comble de l’excitation et, dans un mouvement rapide, je me plaçais devant son visage où ma bite scanda par un jet important la conclusion de cette brûlante affaire. Le technicien de la perversité, lui qui avait toujours des idées et qui en voulait toujours plus, lui demanda d’ouvrir la bouche. Elle s’exécuta et, en quelques secondes également, il lui jouit à l’intérieur. Elle en avala le contenu avant de se lever doucement et de s’éclipser dans le couloir qui menait aux profondeurs de son appartement.
7 personnes aiment ça.
super adventure
J'aime 20/04/25
CocuEnviePassif
Si une femme du Rhône a envie.. J'ai le. God ceinture
3 personnes aiment ça.
Soumis74
Merci de m avoir accepté
J'aime 05/02/24
soumyvbi
EZt ton épouse ????
J'aime 19/04/25
CocuEnviePassif
Aucune femme ou couple qui fait cette pratique sur Lyon ??
Soyez la première personne à aimer.
soumyvbi
Pourquoi , ne pas nous la montrer , même discrètement , ta futur cocufieuse ???
J'aime 19/04/25
Chimeria
a partagé une photo
Femme transgenre ouverte tbm godeuse fisteuse bienvenue
10 personnes aiment ça.
Douxreveur
Tout cela me semble Joli !
J'aime 10/04/25
Douxreveur
Oui de poser mes lèvres partout pour des petits bisous doux ! Pour commencer !
J'aime 10/04/25
soumyvbi
ouchhhh , quel merveilleux clito 2665.png
J'aime 11/04/25
soumyvbi
J'adore Noemie 1f60d.png1f61b.png1f618.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png2665.png
J'aime 12/04/25
soumyvbi
Envie de tout manger 1f61b.png
J'aime 13/04/25
Chimeria
Et moi d'une grosse bien endurante
J'aime 13/04/25
soumyvbi
Coquine !!!!1f609.png
J'aime 14/04/25
celitrave33
quel bonheur a regarder et sûrement à déguster !
J'aime 17/04/25
Adelaide
Nous sommes cinq à être réunis. Cinq, bon chiffre pour une partouze : ne jamais être un nombre pair pour baiser ensemble. Il y a trois hommes montés, disons normalement, et nous, deux femmes du genre sensuelle. Nous dinons bien vite, et à chaque plats nous enlevons chacun un vêtement. Avec Fleur, l’autre fille nous sommes volontairement assez peu vêtue, juste pour ne pas offenser la décence. Les hommes eux sont presque endimanchés. Je suis la première totalement nue, sauf un string que j’ai baptisé ainsi parce qu’il cache à peine le début de ma fente. Bien sur mes deux voisins en profitent pour me caresser la poitrine. Même Pierre, le mari de Fleur en profite pour passer une main entre mes cuisses qui j’écarte. Il me fait mouiller ce salaud. Je fais celle qui ne comprend rien. Fleur outre une main de son mari qui se partage entre sa femme et moi, reçoit également deux mains, une sur les fesses par derrière et l’autre sur un sein. Nous continuons à bavarder de la pluie et du beau temps comme si rien ne se passait alors que nous n’attendons plus qu’une petite liqueur pour nous faire mettre. Nous n’avons rien prévu de particulier, chacun est libre de baiser avec qui il veut, comme il veut. C’est « open scuw ». J’ai mes envies, j’espère les satisfaire. Je voudrais bien fister le cul d’un homme. Et si par hasard, Fleur veut je ne l’empêcherais pas de me sucer, j’ai envie d’elle depuis longtemps sans oser le lui dire. Pourtant ce ne sont pas les occasions de nous confier l’une à l’autre qui nous manque. Qui sait elle aussi a sans doute envie de moi. Enfin le repas est terminé. C’est Bernard, mon mari qui donne le signal en demandant tout fort à Fleur de venir le sucer. Ils vont sur un des divans, Bernard s’assoit confortablement, la bite sortie du pantalon, Fleur vient à coté de lui. Lentement elle le déshabille pour qu’il soit à l’aise. Ils échangent un long baiser. Puis, lentement, comme pour faire durer le spectacle, Fleur s’accroupit devant la bite bien dure de mon mari. Nous nous levons tous pour bien voir : les hommes bandent déjà comme des ânes. Moi je mouille pas mal, n’importe quoi pourrait entrer dans ma chatte facilement. La langue de Fleur lèche la bite en passant par les couilles avant de remonter lentement tout le long de la tige. Sa main prend la bite en l’entourant pendant que la langue continue son ascension jusqu’au frein du gland. Elle le lèche comme le ferait un chien avec la main de son maitre. Bernard ferme les yeux : je ne le suce jamais ainsi. Pierre envie Bernard, sa femme ne le lèche pas non plus ainsi. Où a-t-elle été apprendre ça encore. Il se branle en regardant la bouche de sa femme engloutir enfin la bite de Bernard qui est aux anges. Je suis surexcitée, il faut que je me satisfasse vite sinon je vais crever de désir. Henri me regarde, il prend un sein le caresse lentement à le faire presque doubler de volume. Il passe derrière moi pour passer sa main par derrière vers le clitoris. Il me branle, la vache aussi bien que Bernard. J’écarte bien les jambes. Je cherche sa bite derrière moi. Quand je l’ai en main je ne la ménage pas, je le branle un bon coup avant qu’il se retire pour venir entre mes fesses. Il va m’enculer, ce con. Et en plus je vais me laisser faire. Je prends la cyprine en trop sur mon abricot pour la mettre sur l’anus. Il me fait pencher un peu en avant. Nous regardons toujours la bite de Bernard pour voir si Fleur gardera le sperme dans la bouche, sinon je suis prête à le prendre. Henri cherche à peine mon cul. Je l’ouvre comme je peux. C’est la première fois que nous baisons ensemble. Je ne sais même pas s’il baise bien. Il a trouvé mon entrée de derrière. Lentement il entre en me faisant déjà jouir dès sa pénétration. Il en a un bien gros pour mon petit trou. En entrant lentement comme il fait, il agrandit mon cul, il écarte bien les chairs pour mon bonheur. Quand il m’a enculé à fond, il commence ses aller et venues. Je suis tous ces mouvements. C’est bon, je me laisse sodomiser uniquement pour mon plaisir, je ne pense même pas que je lui en donne. Non, c’est uniquement pour moi. C’est pour ça que je jouis sans cesse. Je sens quand il crache son sperme dans mes intestins. C’est bon, très bon et totalement immoral. J’étais égoïste. Bernard jouit dans la bouche de Fleur qui lui tient les couilles. Elle ne pense pas à moi, elle garde tout pour l’avaler lentement en me regardant dans les yeux. Elle a eu sa ration dans la bouche et moi dans le cul. Nous sommes quittes. Reste Pierre qui fini lui aussi de se branler quand sa femme fait jouir Bernard. Son sperme à lui se perd sur le corps de mon mari. Les hommes sont hors jeu pour un petit moment. J’en profite pour essayer d’embrasser Fleur sur la bouche. Si elle évite le contact la première fois, elle accepte la seconde. Quel baiser nous échangeons, plein d’obscénité : nous y sommes. Le reste arrive normalement. C’est même elle qui me caresse la première entre mes cuisses. Je veux le lui rendre quand elle me fait coucher sur le tapis. Elle vient entre mes jambes, la langue en avant. Elle veut faire un cunnilingus. Je n’ai rien contre. Je sens d’abord son souffle chaud sur ma fente, puis sa langue qui écarte mes lèvres pour aboutir à mon bouton d’or. Elle le fait bien sortir et me lèche lentement. Elle doit avoir l’habitude de faire ces choses aux filles. Notre action réveille les bites de ses messieurs. J’en trouve deux, Bernard, mon mari et Pierre celui de Fleur qui me tendent leur bite. Je le prends dans les deux mains. Celle de Bernard m’est familière, je ne passe pas un jour sans la branler. Celle de Pierre est une découverte avec son gland foncé, plus gros que le fut de son axe, agréable à masturber. Je ne vais pas trop vite pour faire durer leur plaisir le plus longtemps possible. Je remarque que le troisième homme s’occupe du cul ou du con de Fleur. En tout cas, sa bite est dans son ventre. Je vois son arrière train monter et descendre : elle se fait mettre. Je sens dans mes reins d’abord, puis dans mon sexe et montant vers la colonne vertébrale le grand frisson de l’orgasme majuscule. Je sens que tout mon fourreau est plein de plaisir. Fleur vient sur moi, entrainant son amant. C’est-ce que je pensais elle se fait baiser, son amant restant lui accroché à sa figue. Elle me donne un baiser sur la bouche encore meilleur que le premier. Je finis de branler les deux bites : je reçois leur jus sur la figure. Pour celui de mon homme, c’est normal, pour le mari de celle qui vient de me faire l’amour c’est la première fois qu’il me fait ça. La langue de Fleur lèche toute la semence des deux hommes. Elle l’a en entier dans sa bouche. Cette fois elle m’embrasse encore sur la bouche pour me donner sa langue pleine de sperme. Nos langues jouent avec la liqueur avant de les avaler lentement : nous nous sourions. Je lui fais la proposition que je tais depuis longtemps : - Si tu veux nous pouvons rester amantes ? - Je ne demande pas mieux. Baises moi maintenant. Elle se retourne pour me présenter sa foufoune. Elle me plait beaucoup, remplie de cyprine et de sperme. Ma langue n’a plus qu’à fouiller dans son intimité. Son clitoris est gonflé. Je peux facilement le prendre dans la bouche pour le lécher. Quel gout délicat que sa liqueur. Je sens bien son orgasme arriver, se réaliser et finir un bon moment après. Elle me rend le service de me sucer encore une fois. Bernard, mon mari nous a entendues nous entendre pour baiser souvent ensemble. - Je pourrais moi aussi baiser avec vous ? - Non, après tant que te veux pas pendant. Nous nous aimerons quand nous voudrons où nous voudrons. - Dans un hôtel confirme Fleur, dès demain après midi. Le lendemain encore un peu fatiguée de la longue baise de la veille je suis en avance à l’hôtel : celui de l’entrée de la ville. La chambre est déjà retenue. Sous le regard goguenard de la réceptionniste je monte dans la chambre. Je n’attends même pas que Fleur soit là, je me mets nue aussitôt. Je commence même à me branler en l’attendant. Quand elle entre je suis sur le point de jouir. Elle vient vite vers moi pour remplacer ma main par sa bouche. Je tends mon ventre vers elle. Sa langue à tôt fait de me faire partir dans les limbes. Enfin sa bouche est sur la mienne. Nous faisons durer un baiser des plus chauds. Notre commune nudité permet à nos mains de se promener sur le corps de l’autre. Nous sommes liées simplement pas nos langues gourmandes de la cyprine de l’autre. Nous finissons aujourd’hui par un 69 particulièrement relevé, nos langues sont dans le cul de l’autre. Nous décidons d’inviter chaque semaine un de nos maris. C’est ainsi que Pierre, celui de Fleur pourra venir Mardi. Il y a une condition que je pose : je tiens à fister Pierre. Le Mardi elle vient avec son époux en sachant fort bien ce qui l’attend. Nous sommes nus tous les trois. Lui est enchanté d’être avec deux filles qui vont se baiser. Il bande par avance : je le prends dans la bouche pour le sucer comme je sais faire à Bernard. J’avale presque chaque couille pendant que je le branle lentement. Puis, ma bouche mordille la base de sa queue. Il bande de plus en plus, je sens durcir sa bite. Il me fait mouiller. Je continue pour lécher le gland là où il est le plus visible. Pour finir je le lèche dans la bouche. J’aspire en même temps. Enfin je reçois de longs jets de semence. Je garde tout précieusement pour aller embrasser Fleur pour partager mon butin. Nous nous régalons du sperme. Nous reprenons nos amusements entre filles. Bien sur nous ne jouons pas à la poupée, sinon à prendre l’autre pour un jouet, ce qui est un peu le cas. Nos lèvres sont sur les seins, les fesses, les cons et bien sur les lèvres. Notre jus nous plait tellement que nous en sommes fardées avec lui jusqu’au front quelques fois. Nous finissions un 69 particulièrement jouissif quand la bite de Pierre reprend vie. Je m’occupe de lui, aidée par Fleur qui enduit l’anus de son mari avec sa cyprine. Il se doute que la suite se trouve sur son anus. Je le fais mettre en levrette, il a le cul bien visible. Fleur regarde en détail ce que je fais. J’arrive péniblement à entrer deux doigts dans l’anus. Tant pis je force encore et soudain d’un seul coup c’est toute ma main qui est dans son cul. Fleur regarde la scène en se branlant. Je fais aller et venir ma main : Pierre se tord de douleur, puis d’un seul coup il commence à prendre son plaisir : sa queue qui débandait se remet à la verticale. Je me masturbe en voyant le résultat. Soudain un jet de sperme part de la bite. Il jouit, la vache. J’enlève ma main. Il me remercie en m’embrassant sur la bouche. - Tu es une salope tu m’as enculé et fais jouir. Le pli est pris, chaque semaine un mari a droit à être fisté.
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Douxreveur
Quel magnifique récit de cette belle opportunité entre vous ! Juste Pour les plaisirs, avec tant d'envie ! Merci de votre beau partage !
J'aime 12/04/25
Cmoi3434
🤤🤤🤤🤤
J'aime 13/04/25
soumyvbi
Superbe ,Adelaide , vous avez beaucoup de talent , j'ai adoré et ça m'a fait...comment dire?? Beaucoup d'effet ...1f609.png Je ne sais si c'est du vécu , mais si c'est le cas , vos époux ont beaucoup ,beaucoup de chance 1f609.png1f618.png2665.png Merci pour ce beau partage
J'aime 13/04/25
Quels heureux maris vous avez d'avoir des femmes si épanouies et libres que vous !! Bravos à vous mesdames vous êtes superbes !
J'aime 13/04/25
celitrave33
Quel rêve tu nous raconte j'en suis tout trempe d'envie !
J'aime 17/04/25
Une histoire simple Deux êtres dans leur élément naturel. Si abandon, possession, appartenance, exigences, intransigeance, cérébralité riment avec jouets, pratiques, objets, humiliation, alors nous seront peut-être en phase... .:.
Adelaide
La clystérophilie (aussi communément appelée klysmaphilie) est une pratique sexuelle consistant à administrer ou à se faire administrer un liquide dans l'anus et le colon.
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Youky le soumis
Et quel est son rôle Madame? Lubrifier ou dilater?
J'aime 13/04/25
arielle33
Merci Madame pour votre message instructif
J'aime 13/04/25
Chimeria
Merci beaucoup pour l'information même si c'est pas facile à placer dans une conversation.
J'aime 13/04/25
SwitchLoicbidu59
J'ai vraiment encore beaucoup à apprendre, déjà pour commencer par devenir une bonne "femelle" soumise serait Un bon début
J'aime 14/04/25
soumyvbi
Adelaide , c'est ce que je pratique pour mon hygiène , et je ne savais pas que cela ,s'appelé ainsi. Merci Madame , comme quoi on apprend à toute âge1f44d.png2665.png
J'aime 14/04/25
Chimeria
Un petit lavement pour être bien mouillée pdt la sodo, dégoulinante de plaisir et gémissante à faire trembler les murs ou du moins son être. 👅👌
J'aime 14/04/25
soumyvbi
Oui Chimeria , c'est un peu ça 1f60d.png
J'aime 15/04/25
Adelaide
Une chambre d’hôtel, classe … Ce n’est pas raisonnable mais tu es terriblement excitée. Comment ce parfait inconnu, t’a t’il convaincu en qq messages échangés de céder à cette tentation, cette soumission… Tu n’en sais rien…mais tu es décidée a offrir ton corps, ton intimité à cet homme pour son plaisir et surtout le tien. Le cadre et le ton employé t’ont mises en confiance mais c’est avec une certaine appréhension mêlée d’excitation que tu pénètres dans cette chambre. Comme demandé, Tu avais récupéré un pass dans une enveloppe à la réception, tu entres et refermes la porte et tu découvres sur le lit, comme indiqué sur l’enveloppe, plusieurs objets et une feuille sur laquelle figure de nouvelles instructions: « 1- mets toi nue 2- ranges tes affaires dans le dressing et ferme le à clef. Tu peux garder la clef et l’attacher au collier posé sur le lit 3- insères le plug anal ( tu trouveras du gel sur la table de nuit si besoin) 4- inséres l’œuf vibrant 5 - installes les bracelets de cheville avec les mousquetons 6- enfiles les mêmes bracelets à tes poignets 7- enfiles le collier et installes les 2 pinces tétons attachés aux chaînes du collier sur tes seins. 8- mets le masque sur tes yeux 9- installes le casque audio sur tes oreilles 10- installes toi sur le lit en position levrette à l’aide du coussin tantra. Tu écarteras les cuisses et les bras pour former une étoile dont le centre sera ton cul. » Tu peux encore t’enfuir mais le veux tu…? Tu t’exécutes. Te voilà nue, le cul et la chatte occupés par des objets intrusifs, offerte et complètement isolée avec le masque et le casque qui te diffuses une musique zen. La chaleur de la pièce fait que tu te sens bien et si tu n’étais pas si excitée par la situation et par la curiosité de ce qu’il va se passer, tu pourrais t’endormir… Toujours isolée, tu trouves que le temps commence à devenir long mais à ce moment là, tu sens que cela se met à vibrer dans ton ventre… très doucement mais tu le sens… tu trouves la sensation agréable. Puis tu sens une main sur tes fesses qui t’effleure plus qu’elle ne te caresse: tu sursautes prise de surprise et la tu te rends compte que tu est immobilisée! Tes mains et tes chevilles ont été attachées sans que tu ne t’en rendes compte. Tu paniques et ton inconnu s’en rend compte et vient te murmurer à l’oreille en soulevant ton casque: « tout va bien, tu es dans de bonnes mains. Vis cette expérience unique et laisse toi aller à ta jouissance. Je vais profiter de ton corps mais il va m’en remercier. » Il reprend ses effleurements tandis que les vibrations s’accélèrent dans ton vagin. Les effleurements deviennent caresses et massages; tu te détends. Il descend progressivement sur tes fesses ou il titille le plug qui couvre ton anus. Il le sort doucement et tu sens sa langue descendre dans le sillon de tes fesses et s’arrêter sur ton petit trou. Il tente d’en forcer le passage et insérer sa langue dans ton trou du cul… Les vibrations s’accélèrent encore dans ton sexe qui est désormais beant! Tu as le sentiment de sentir ta cyprine couler le long de tes cuisses: tu es follement excitée et tu sens cochonnes et un peu salope de t’offrir ainsi… Il te lèche divinement bien l’anus… puis il poursuit sa descente jusqu’à ta chatte en prenant soin de te remette le plug. Il écarte tes levres, prend de sa langue la cyprine que crache ton vagin, découvre chaque recoin de ta chatte avant de trouver ton clitoris fièrement dressé et prêt à jouir de toutes ces intentions. Il le saisit entre ses lèvres et tu jouis en tremblant de tout corps contraint. Les vibrations ne s’arrêtent pas pour autant et tandis qu’il repart à l’assaut de ton trou du cul, tu dégouline de jus de chatte… Il retire le plug et tu sens qu’il introduit son index. Malgré la salive, tu es encore un peu sèche… et il t’enduit alors le conduit anal de gel et son index, suivi de son majeur, te fouille le fondement. Une nouvelle dose de gel et tu sens un objet plus long entrer dans ton fion… cela n’en finit plus de te pénétrer… tu te dis que cela va ressortir par ta bouche et cela te fais sourire. D’autant plus qu’avec la préparation et le gel, la sensation n’est pas du tout douloureuse et même plutôt agréable avec les vibrations de ton vagin. D’un coup, tu sens l’objet gonfler et te remplir le trou du cul comme jamais tu ne t’es sentie remplise. Ca gonfle, ca gonfle, ca gonfle… tu as peur que cela explose dans ton anus! Mais la manœuvre est douce et pas douloureuse. Jamais tu n’as été dilaté comme cela… D’un coup, ça ce dégonfle et l’objet est retiré de ton fion que tu sens encore ouvert au point de sentir l’air s’y engouffrer. Sensation étrange… Ton inconnu y remet ses doigts sans difficulté avec une nouvelle dose de gel. Puis tu sens deux mains posées sur ton cul, et la queue de ton inconnu te pénétrer doucement l’anus… ton inconnu t’encule… Cela n’est pas une surprise car vous aviez échangé sur ce que tu acceptais ou non de faire dans cette expérience… mais tu ne pensais pas qu’il commencerais à te pénétrer ainsi. Il commence alors de lent va-et-vient dans ton cul avec ta chatte qui continue de vibrer. Il accélère le rythme quand les vibrations accélèrent également. Il te claque le cul en rythme, tandis que la musique zen s’est arreté au profit de parole sussurré dans tes oreilles: tu es une bonne cochonne pour donner ton cul a un inconnu? Tu aimes une bonne bite dans le cul? Ton cul en chaleur te fait jouir? Tu jouis du cul, hein petite cochonne en chaleur Les mots, les claques, les vibrations et cette queue qui te ramone le cul ont raison de toi et tu jouis encore une fois comme une chienne en rut tandis que ton inconnu se déverse dans sa capote. Tu sens alors un liquide chaud sur tes fesses et des mains qui l’étale. Il t’imprègne le cul de sa semence en déversant le contenu du préservatif sur ton derrière. Cela donne un sensation de fraîcheur à tes fesses. Puis plus rien…. Les vibrations finissent pas s’arrêter, l’audio aussi. Ta position indécente t’engourdie un peu et devient inconfortable. Tu remues un peu et oh surprise! tu es libre de tes mouvements… Tu te redresses, retirant casque et masque. La chambre est dans le noir, tu allumes la lumière. Tes yeux ont du mal à s’acclimater: plus personne dans la pièce! Ton inconnu est venu, t’a bouffer le cul et la chatte, t’a enculé, le tout en te faisant jouir 2 fois et a disparu ! Le gougeat! Tu découvres après ce constat, un mot sur la porte: « Merci chère inconnue pour ce moment de pure bonheur sexuel. J’espère que l’expérience fut aussi jouissive pour vous que pour moi. Je me doute que ma disparition laisse peut être en vous une certaine frustration. Aussi, pour ne pas vous laissez dans un tel état, je vous propose les suites suivantes à notre expérience peu banale: 1- l’expérience vous a moyennement plus et ne souhaitez pas renouveler ce type d’expérience: je vous propose de prendre une douche et que vous repreniez vos affaires et que vous m’attendiez au bar de l’hôtel afin que nous ne soyons plus inconnus et que nous debriefions de cette expérience 2- vous avez adoré l’expérience et souhaitez en vivre de nouvelles. Dans ce cas, il est important que nous restions inconnus. Aussi je vous propose de prendre une douche et de quitter ce lieu en me laissant votre culotte comme signe de votre choix. Nous reprendrons contact pour une nouvelle expérience. 3- vous avez adoré vous soumettre à mes désirs et vous souhaitez devenir ma soumise. Je vous propose de rester nue imprégné de ma semance dans cette chambre afin de démarrer de suite votre formation et de discuter les termes de notre contrat maître/esclave. Tu garderas tous les accessoires (sans le casque et le masque, mais avec les bracelets, le plug, l’œuf et le collier) et Tu m’attendras nue à genoux devant le lit, les cuisses écartées et les mains derrière la tête Je repasse dans cette chambre constater votre décision dans 30mn » Alors que vas-tu choisir? Ton inconnu a raison sur un point: son départ à générer en toi de la frustration! Tu avais bien imaginé d’être à l’aveugle dans cette expérience mais tu avais aussi imaginé découvrir ton inconnu à la fin de l’expérience… Tu dois cependant reconnaître que cette expérience a réellement été jouissive. Tu dois aussi reconnaître qu’il a su y faire pour te mettre en confiance: le joli cadre , le mot de code pour tout arrêter si besoin et une certaine bienveillance qui se dégageait de cet inconnu avec une volonté affichée et après coup réelle de se concentrer sur ton plaisir. Bref, malgré cette frustration, tu étais contente et te félicitais d’avoir fait confiance peut être de facon inconsidérée à cet inconnu. Son dernier mot montre également une réelle bienveillance car au final, c’est toi qui a les cartes en main… Le choix est donc difficile… tu crèves d’envie de le voir mais l’expérience t’a plue donc ça ne peut pas être le choix 1. Tu as adoré l’expérience mais tu veux le voir… donc le choix 2 ne te convainc pas à 100% Devenir sa soumise ne te déplaierait pas car tu sens de la bienveillance en lui et de l’imagination, et cela te permettrait de le voir. Mais en même temps, tu revivrais bien une nouvelle expérience comme celle que tu viens de vivre…. Au final, tu finis par trouver tous ces choix trop réducteurs! Et si tu sortais du sentier qu’il te trace? Quels sont au final tes objectifs à toi? Et du coup, n’ aurait il pas d’autres choix au plus proches de tes objectifs qui sont: 1- tu veux le découvrir aujourd’hui 2- tu veux revivre une deuxième expérience 3- tu veux devenir sa soumise Ta décision est prise… Tu prends ton stylo et écrits sur sa feuille. Puis tu va chercher ta culotte et retourne sur le lit. Cette fois ci tu utilises le coussin tantra dans l’autre sens pour t’allonger sur le dos et surélever tes fesses pour mettre ta chatte au premier plan. Tu parviens tant bien que mal à remettre les mousqueton de tes chevilles et de ton poignet gauche. Tu remets ton masque, le casque et tu places ta culotte dans ta bouche. Et à l’aveugle tu essaies de remettre le mousqueton à l’attache de ton poignet droit sans succes… Notons que tu t’y attendais… Et la tu attends… Tu ne l’entends pas mais ton inconnu revient et vient de découvrir ton mot devant ta chatte! « J’ai adoré cette expérience et t’en remercie! Tu as bien deviné ma frustration de ne pas avoir pu te découvrir. J’ai très envie de te voir et t’endendre pour debriefs de tout cela et j’ai aussi très envie de devenir ta soumise sexuelle pour assouvir tous tes désirs pourvus que tu me fasses jouir comme tu viens de le faire! 2 fois! Aussi, j’ai opté pour tes 3 propositions à la fois: d’abord la 2: tu trouveras ma culotte dans ma bouche Ensuite la 1 et la 3, quand tu m’auras faites jouir encore au moins 2 fois, on discutera de tout cela et de mon contrat de soumise Si tu valides mon choix 4, fais moi vibrer 3 fois et rattaches mon poignet droit pour l’expérience 2! Si tu préfères ton choix 1, retires simplement mon masque et le casque. Si tu préfères ton choix 2, retire ma culotte de ma bouche et sors de la chambre Si tu préfères ton choix 3, laisse le vibreur en marche et retires mes attaches, ma culotte, mon masque et mon casque que je prenne ma position de soumise »
Pour un nouveau soumis à la hauteur de mon talent... qui saura mériter mon attention et mon temps... Je suis sévère, exigeante, je punis facilement et sans état d'âme. Je sais aussi reconnaitre les efforts et la volonté, et, comme les punitions, les récompenses sont distribuées ; je suis juste mais aussi très partiale parfois... Lady Chiara. .:.
Maîtresse Luna
Je m'appelle Ania, une salope en chien qui guette le moindre chibre qui a envie de se lever, voire de ne plus dormir. Ne me croyez pas si naïve. Ma dangereuse curiosité est tenue en laisse par mon double magique, Annece, guerrière adoubée par mes soins et qui ne se laisse pas faire, prend le relais si besoin. Vous ne savez pas à qui vous avez à faire. Je vais vous montrer. Je tiens à dire que je ne souhaite pas moi-même exercer tous les fantasmes que vous lirez ici, dans mon exutoire. * Parlons cul Ania se lève, prépare son café et débute une séance de yoga. Elle pratique 20 minutes par jour un yoga dont elle commence à maîtriser les rouages. Plus rien ne craque chez elle, à part son string. Elle se remémore des ébats avec un amant qui l'a faite grimper au septième ciel une bonne dizaine de fois, en une nuit. Il avait tout prévu. Cordes, menottes, champagne et masque en tout genre. Il passe derrière elle et lui met une main au cul. Elle serre les genoux, comme si elle retenait des gouttes de mouille qui parleraient déjà sur son string. Elle lui répète qu'elle est à lui et qu'elle n'attend que ses ordres : A genoux ! Chienne... Wouf ! répond-elle. * J'écris à côté de mon conjoint. Je suis assez gênée du contenu de mes écrits car je sais qu'il zieute de temps en temps et je me demande ce qu'il en pense. Bref, revenons en à nos moutons. * Il me faut du cul. Je vais être cash. Je recherche des scenarios ou je suis une parfaite esclave traitée en poubelle, soubrette, animalisée, objectisée, ifiée, fion, travesties etc. Je t'explique... * Le contrat J'ai rencontré mon Maître sur un site de rencontre BDSM. Nous nous sommes vus plusieurs fois à Paris, dans de chouettes hôtels, mais c'est la première fois que je vais chez lui. D'ailleurs, c'est la dernière fois que je vois mon chez moi car je vais emménager dans son manoir en tant qu'esclave tantôt soubrette, tantôt chiennasse, tantôt truie. Nous sommes amoureux, mais nous allons enterrer notre amour car "je" dois disparaître pour laisser la place à La Soumise. Nous avons prévu des "vacances" où j'aurai le droit d'être moi (on inventera notre prossession). Cela me rassure, mais l'intérêt de Maître O est de voir l'évolution de ma disparition. (Je sais qu'au fond, il entretiendra par amour cet ancien moi, et moi, par amour et désir, je m'en distancerai). Je pratique le BDSM depuis des années, je parle à cet homme depuis plusieurs années aussi, je suis prête à m'adonner à mon plus grand fantasme, bien que je sache que j'ai un droit, et un seul, c'est celui de changer d'avis à tout moment. Il m'a envoyé le contrat que j'ai signé à l'aveugle la dernière fois. Je n'ai eu le droit de le lire que dans le train. Mais je me souviens encore bien de ce qu'il a écrit et des grandes idées, comme des contraintes des plus ridicules, comme je le suis. En effet, Maître O souhaite que je m'insulte même dans mes pensées pour m'habituer au traitement qu'il va m'infliger et par-dessus tout, car c'est naturel étant donné ma condition. D'ailleurs, seul lui peut utiliser ce mot "condition" (je vais me fouetter deux fois car j'y ai pensé deux fois, me conseillerait-il, je le ferai dans le bain) car comme je ne suis rien, on ne peut même pas parler de condition (3 fois). "Bête en plus, l'entends-je, stupide truie." Je vais douiller. Je renonce à mon nom, mes droits et mes possessions afin qu'ils soient sous la tutelle du Maître. Je reconnais que les revenus que j'engendrerai à la suite de la signature du contrat lui seront immédiatement versés. Je reconnais que je n'ai pas la faculté d'ouvrir et de m'occuper de tout compte bancaire et renonce ainsi à l'utilisation de l'argent tant que le Maître le juge nécessaire. Je m'engage par le mariage et la mise sous tutelle à changer d'identité, niant ainsi toute vie précédant ce contrat. Désormais, je m'identifie à malicia la Poubelle truie Smith (c'est le nom de Maître O), propriété exclusive de son serviteur. Droits et devoirs : Je n'ai pas de droit. Le maître peut en décider autrement expressément mais je demeure silencieuse. Je dois démarrer la journée à 5h. Mon réveil sera le bruit pré-enregistrés des ronflements de mon Maître dans mes écouteurs scotchés aux oreilles. Je sors de ma cage et je rampe jusqu'au lit de mon maître pour ne pas le réveiller. Je le suce tant qu'il dort encore. Je ne dois pas oublier car chaque pièce de la maison est sous surveillance vidéo. A 6h, je lâche le membre de mon maître pour faire le ménage de toute la maison, de préférence en tenant les ustensiles par la bouche et les mains attachées dans le dos. A 9h, je présente le petit-déjeuner au pieds de mon maître afin qu'il vérifie que tous les aliments sont présents, sinon, il m'attache au lit et me gave avec un entonnoir des déchets alimentaires de la veille et qui sont encore dans la poubelle, afin que je n'oublie pas mon nom, à défaut d'oublier mes tâches si précieuses pour mon maître car j'ai la responsabilité de le chérir. A 10h je lèche le corps entier de mon Maître dans un bain chaud que j'aurai préparé lorsque mon Maître est occupé à autre chose. A 11h je prépare le repas et à 12h précise mon Maître mange tandis que je lui masse les pieds sous la table. L'après-midi est dédié aux activités que le Maître a choisi. Minuit, je baisse le chauffage et je retourne par terre à 4 pattes nue dans ma cage, le cul seulement paré d'un gros plus anal. J'allume un appareil audio, je porte les écouteurs à mes oreilles et je monte le volume pour écouter les ronflements du maître jusqu'à ce que je m'endorme. Je demeure à quatre pattes la plus grande partie de mon temps. Même pour les tâches ménagères. J'ai le droit de me lever mais le mètre que je dois parcourir d'une étagère à l'autre, lorsque je passe les poussières, je dois l'effectuer à quatre pattes, donc me rasseoir et ramper. Il me lance un cahier et un crayon mal taillé... Activités : - Apprendre à conduire. La voiture et mon Maître (en effet, elle a plus d'esprit que moi), m'ordonne de m'asseoire sur la poulie du remorqueur et de me l'insérer afin que la voiture m'apprivoise. Que dois-je ajouter comme activités ? _________________ J'ai essayé le womanizer d'une copine. Elle m'a faite jouir jusqu'aux larmes.
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Carpo
C'est assez lassant, ces pavés de textes tirés d'autres sites (ici : https://www.histoires-de-sexe.net/le-contrat-51534 ) et mal copiés-collés dans des rubriques inappropriées, tout cela par des comptes qui sont tous plus ou moins les mêmes (la ville et le nom de la maitresse diffèrent, sans vraiment rien de plus), sans doute dans le but d'hameçonner du monde...
J'aime 10/02/25
soumyvbi
Vos textes sont magnifiques .Vous devriez les publier .
J'aime 12/04/25
Cmoi3434
a partagé une photo
jadore le plaisir anal je kiff trop m'empaler sur mon gode ventouse ! Je j'aimerais trop me faire prendre par une femme avec un gode ceinture hummm
5 personnes aiment ça.
soumyvbi
Oui , c'est magnifique de se faire défoncer par une Femme .Qu'Elle manifeste sa supériorité .
J'aime 11/04/25
soumyvbi
PS: par une vraie queue de mâle , c'est pas mal , non plus (sans jeux de mot )1f601.png
J'aime 11/04/25
Bonjour à tous, C’est une pratique que j’apprécie énormément lors de séance avec maîtresse tatiana
7 personnes aiment ça.
Bizbi
Et on le comprends bien 😊.
J'aime 15/11/23 Edité
reformatoryspank
oui, je connais et qu'est ce que c'est bon !!!
J'aime 02/04/25
###PROFIL BANNI###Alma
Après m'avoir aidée à enfiler ma lingerie glamour, Natacha m'installe devant ma coiffeuse pour me maquiller.Elle prend tout son temps pour poser mes faux cils, l’eye-liner, le fard à paupières et le mascara.Je remonte les cheveux de ma perruque sur ma nuque afin qu'elle puisse étaler le fond de teint sur mon visage et mon cou.Elle termine en peignant mes lèvres d'un rouge vermillon.Prenant l'initiative, elle m'allonge sur son lit en me disant :- Aujourd’hui, c'est toi qui fait la fille.Elle remonte lentement sa main jusqu'à la lisière de mes basPuis, elle glisse ses doigts dans ma culotte fendue en saisissant ma queue qui lui dévoile ses attentes.Elle sourit en la voyant jaillir devant ses yeux.Sans me quitter des yeux, elle aspire mes bourses en tirant doucement dessus pour accroître la pression sur mon frein.Dans le même temps, elle enfonce son majeur dans ma rosette en m'arrachant un râle de plaisir.Elle poursuit en glissant maintenant trois doigts dans mon conduit anal pour mieux me masser la prostate.Voyant mon anus s'ouvrir comme un fruit mure, elle rentre sa main qui est littéralement aspirée dans mon conduit anal.Par d'habiles torsions du poignet, elle m'enfonce son bras jusqu'au coude.Je sens ton pouls battre contre mon bras, me dit-t-elle d'une voix excitée.Les contractions de plus en plus rapprochées de ma chattesur son bras lui indique que je suis sur le point de jouir.Elle le retire lentement en me disant Je ne veux pas que tu éjacules maintenant car j'ai une surprise pour toi, rajoute-t-elle en me bandant les yeux pour que je me concentre mieux sur le plaisir qui m'attend.Puis, elle pose sur mon ventre une masse volumineuse et lourde qui s'étale de la racine de mes cuisses jusqu'aux bonnets 105/D de ma guêpière.- Je te laisse quelques instants pour découvrir ton nouveau jouet, me dit-t-elle.Je palpe avec inquiétude ce qui m'apparaît être un gode en pensant n'avoir jamais été prise par un tel calibre.Je peux à peine en faire le tour avec mes mains en évaluant son poids à plus d'un kilo.- Il est monstrueux, lui dis-je d'une voix troublée par l'émotion...- Ce phallus est doté d'un gland impressionnant et son diamètre croissant jusqu'à sa base mesure dix centimètres, me précise-t-elle en souriant.- De plus, sa longueur va me permettre de t'empaler jusqu'au nombril...En palpant ce sexe cyclopéen, je pressens que son gland épais et bien formé va me donner du plaisir.Je remarque que ses grosses veines saillantes courant sur sa hampe vont me provoquer une forte jouissance et que Natacha parviendra à ses fins.Je tente de me rassurer en pensant que j'ai déjà été prise par de gros calibres.Natacha m'allonge sur le dos en plaçant un épais coussin sous mes fesses pour mieux m'empaler.Elle écarte la fente de ma culotte ouverte en tapotant doucement le gland contre mon œillet qui frémit de désir.Afin de me détendre, elle le fait glisser longuement dans la raie de mes fesses.J'écarte les cuisses en ayant une envie folle d'être prise comme une fille.En sentant le gland forcer mon œillet, j'ai la gorge nouée par l'émotion et je serre les fesses dans un réflexe de défense.J'ai le souffle court et le cœur battant la chamade lorsque ma maîtresse accentue sa pression.- Détends toi ma belle, me dit-t-elle en souriant.Rassurée, je cambre les reins tout en poussant pour l'aider à l'enfoncer le plus loin possible dans mes reins.Lorsque Natacha me pénètre, j'ai l'impression d'être vierge et de subir un véritable viol.Voulant abréger mes souffrances, j'écarte en grand les cuisses afin qu'elle puisse m'embrocher plus facilement.- Tu es une vraie salope, s'exclame t-elle.- Pousse plus fort pour m'aider à t'enculer.Natacha empoigne ma queue bien raide en la sentant tressauter de désir dans sa main.Elle me masturbe habilement pour diminuer la douleur qu'elle m'inflige en forçant mon passage.Avec perversité, elle flatte mon instinct masochiste en associant la douleur au plaisir.Lorsque le gland finit par rentrer, j'éprouve un net soulagement.Ma domina fait alors une pause pour me laisser souffler.- Je savais bien qu'il finirait par passer, me confie-telle en lubrifiant copieusement les vingt centimètres restant.Lorsqu'elle commence les va et vient dans mon ventre, j'ai l'impression d'être ouverte en deux comme un fruit mure.Je me contorsionne en roulant des hanches comme une hétaïre pour aider cet énorme sexe à passer la courbure de mon intestin.Quel bonheur de me sentir bien prise !Le fait d'avoir les yeux bandés amplifie mon émoi.Comme une femme qui titille son bouton d'amour en serrant ses cuisses pour jouir, je caresse mon frein en contractant mes sphincters pour mieux sentir les reliefs de ce pieu qui m'empale.Quand elle me voit perdre toute pudeur et caresser ma queue comme un clito, Natacha comprend que je vais bientôt craquer.Elle retire le gode de mes reins et je l'entends sortir de mes fesses dans un bruit de succion.J'éprouve alors un profond sentiment de frustration en ayant la chatte béante.Natacha stimule maintenant d'une main experte ma prostate tout en massant mon périnée pour me faire jouir du cul.Très vite, je suis emportée par une vague déferlante de plaisir et une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière.Ma maîtresse retire mon bandeau pour me laisser découvrir son bras enfoncé jusqu'au coude dans mes reins.Un moment plus tard, je m'apprête à passer la nuit avec Natacha quand je la vois sortir d'un tiroir un double gode ceinture.Il est formé d'un énorme phallus en externe et d'un plus petit en interne.Après avoir enfoncé ce dernier dans sa chatte, mon amie attache solidement à sa taille le pieu qu'elle me destine.En me fixant de son regard de braise, elle me montre sous tous les angles ce sexe épais qui se balance lourdement entre ses cuisses en retombant sur ses genoux.Elle se couche à mes côtés en me disant :- Cette nuit, je vais pouvoir réaliser mon fantasme en te violant pendant ton sommeil.L'idée n'est pas pour me déplaire et je m'allonge sur le côté en lui tournant le dos tout en plaquant son énorme queue dans la raie de mes fesses avant de m'endormir.Quelques heures plus tard, je me réveille en sentant le souffle de Natacha sur ma nuque.Je suis étendue sur le ventre et plaquée contre le matelas par le poids de son corps.Je réalise qu'elle m'a déjà empalée jusqu'à la garde en sentant son bassin collé contre ma croupe.Natacha écarte mes fesses avec ses pouces pour s'enfoncer toujours plus loin dans mes reins en me fouillant les entrailles.Excitée par le gode interne qui stimule son clito, Natacha est la première à jouir.Peu de temps après, mes contractions anales rapprochées lui annoncent l'imminence de mon orgasme.J'éprouve une forte jouissance lorsque ma sève coule longuement en continu de ma queue en se répandant sur ma guêpière.Je reste immobile, les cuisses écartées en laissant Natacha continuer à s'activer dans mon ventre...SandratvtgFaites moi part de vos expériences dans l'utilisation de vos jouets intimes.
15 personnes aiment ça.
soumyvbi
Je confirme pour l'avoir vécu , à peu près ainsi .C'est merveilleux !!
J'aime 24/03/25
DANDY83
ça donne très envie de découvrir ces sensations!...
J'aime 24/03/25
soumyvbi
DANDY83 :Trop bon et trop intense .1f44d.png1f60d.png
J'aime 25/03/25
Sim67
Magnifique, ça donne vraiment envie de vivre une telle nuit
J'aime 25/03/25
Adelaide
Vous connaissez mon goût pour la domination féminine et les jeux bisexuels. Lors d'un congrès, je remarquais cette universitaire BCBG, un peu plus âgée que moi. Le soir à l'hôtel, nous avons discuté un peu à l'écart. Elle trouvait mes travaux dignes d'intérêt, La discussion prit une tournure plus intime. Je connaissais sa réputation sulfureuse, soupçonnée d'harcèlement. Mon intérêt était qu'elle s'intéresse à moi et j'étais prêt à en payer le prix. Elle m'avoua qu'elle était très exigeante quant à la soumission de ses amants. Je l'assurais de mon entière dévouement, de mes gouts en matière de soumission , de mes qualités buco génitales et de mon expérience. Aussi elle m'invita à la suivre dans sa chambre où je dû me mettre nu à genoux sur un épais tapis pendant qu’elle se déshabillait. Elle vint vers moi, m'enjambais en me redressant la tête et s'assit sur ma bouche en écartant bien ses lèvres. Elle me demanda de la lécher, ce que je fis immédiatement avec délectation. Je m'enivrais de ses odeurs intimes qu'elle avait forte après une journée de travail en pantalon. Aux fragrances marines s'ajoutait une odeur forte d'urine. Elle en profitait pour me tenir la nuque d'une main et de faire des mouvements d'avant en arrière du bassin qui ajouté à ma salive, me barbouillait le bas de mon visage. Elle m'ordonna de glisser la langue le plus possible à l'intérieur de ses muqueuses. J'avais le nez sur son anus qui émit des flatulences. Elle entreprit de se caresser et écartant les fesses, vint poser son rectum sur ma bouche et me dit de continuer à la lécher. Elle me félicita pour mes prestations me disant que je ne lui avais pas menti puis elle s'allongea sur le bord du lit en écartant bien les jambes pour que je continue par un cunnilingus. J'utilisais tout mon savoir faire sous ses encouragements, quand elle ne se caressait pas la poitrine, elle guidait ma tête de ses deux mains. Ma langue frétillait sur son clitoris que je léchais, suçais, aspirais pendant de longues minutes puis sa mains remplaça ma bouche. Elle pinça ses grandes lèvres entre deux doigts et fut secouée de longs spasmes de tout son corps en même temps qu’elle gémissait des feulements rauques. Je vis son corps recouvert de sueur, en même temps que je recevais un liquide claire et inodore sur le visage. Elle resta un moment à récupérer puis m'entraina sous la douche. Elle me fit reprendre ma position à genoux entre ses jambes. Elle me dit d'ouvrir la bouche car j'allais recevoir une douche dorée. Effectivement, quelques secondes après, je recevais un jet d'urine dans ma bouche qui n'en finissait pas. J'étais inondé de la tête aux pieds. Elle me fit relever, saisit me verge et m'autorisa à me lâcher à mon tour. Elle dirigea le jet sur ses pieds qu'elle me fit lécher ensuite. Nous primes la douche ensemble, je dus la laver dans le dos, les fesses avec la main, sous les bras er les pieds puis la sécher dans les grandes serviettes moelleuses mises à notre disposition. Elle me frictionna aussi, énergiquement. Elle m'annonça que l'on allait sortir. Pour cela, je l'aidais à revêtir un leggings en cuir à même la peau, des bottes qui lui arrivaient aux genoux, une guêpierre que je serrai très fortement. Puis elle s'empara d'une cape noire également pour finir. Pour ma part, j'étais toujours nu, elle sortit d'un écrin, une cage de chasteté en inox. Un anneau encercla mes bourses à leur base et la verge. Je glissais ma verge dans un cylindre ajouré qui se fixa sur le sommet de l'anneau avec un astucieux système de fermeture. Elle m'imposa le port de collants résilles fendu à l'entrejambe, des talonnettes, une jupe écossaise s'arrêtant au dessus du genou, un bustier avec une poitrine siliconée et enfin mes lèvres furent recouvertes d'un rouge éclatant. C'est ainsi que nous traversâmes le hall heureusement désert de l'hôtel et prîmes un taxi. Quand nous sommes arrivés devant un bar bien éclairé , elle me commanda d'enfiler une cagoule en vinyle noire percée de trous pour mes yeux, mes narines et ma bouche. Je me dandinais alors pour atteindre le comptoir. L'atmosphère était bruyante et agitée. Le dress code fetish. Deux filles aux cheveux peroxydés, tatouées et au multiples percings se galochaient. Ma maîtresse commanda d'autorité plusieurs mélanges d'alcools forts que je dû ingurgiter avant de me diriger vers le sous-sol. Celui-ci, fort sombre m'a paru immense par rapport au bar. Nous sommes descendus par un escalier métallique très étroit. Une première salle avec des casiers, une seconde salle où une foule bigarrée dansait sur de la techno puis un couloir, des toilettes : sur un côté on trouve un bac en zinc qui sert d'urinoir collectif. Un homme nu y est allongé, les pieds dépassant. Il a une barbe hirsute. De l'autre côté, une douche collective inoccupée puis une série de couloirs obscures. On entend des gémissements, des claques sur les fesses. Soudain, nous débouchons dans une pièce plus éclairée munie de trous à différentes hauteurs. Maîtresse me pousse au milieu. « Ce soir, tu es ma petite pute qui va bien se régaler. » Elle connait mes goûts en la matière. Un coup d'œil me permet de comprendre que des marches à différentes hauteurs permet de présenter son sexe confortablement, le dos appuyé contre la parois opposés. Une petite lumière dans le couloir indique qu'il y a quelqu’un qui est prêt à offrir sa bouche ou son cul. Le passage est étroit et débouche dans un couloir opposé à l'entrée de la salle, petite, elle aussi, pourvue de tabourets et coussins où peuvent officier quatre pompeurs au maximum. Pour l'instant, je suis seul avec Maîtresse. La petite lumière est allumée à l'extérieur et une première queue se présente. Je la prends en main, la soupèse, je déroule le prépuce, du pouce, j'effleure le méat. Ma langue lèche le gland, mes lèvres en font le tour puis j’avale la verge en entier. Ma bouche butte sur ses poils pubiens. Il ne me voit pas. Je me retire entièrement et le branle. Son sexe a pris une bonne consistance. Ma maîtresse sort une paire de menottes et me lie les mains dans le dos. Elle pousse ma tête, j'embrasse la verge sur toute sa longueur avant de l'enfoncer au maximum. Elle bute sur ma glotte. Le gars ressort et me lime consciencieusement. Il baise ma bouche, je l'aspire quand il ressort et serre mes lèvres au maximum. Ma langue écrase sa verge contre mon palais. Il donne des coups de rein dans la cloison puis de longues giclées tapissent mon palais er ma cagoule. Je le lèche une dernière fois pour le nettoyer. Deux nouvelles queues sont apparues. Mes mains étant entravées, je fais des va et vient , allant de l'un à l'autre. A peine commencé, je reçois une grosse éjaculation sur le visage que je ne peux essuyer étant entravé . Je suis à moitié aveugle. Le suivant est très long. J'interromps ma fellation pour m'occuper d'un nouveau venu à la bite volumineuse et circoncise. Je me régale à la déguster, je l'embrasse, la mange et l'avale complètement. Je masse le gland avec mon œsophage, ma tête monte et descend longtemps quand il accélère pour éjaculer. J'en avale une grande partie mais le reste s'écoule sur mon bustier dégoulinant de bave et sperme. Ma maîtresse est satisfaite et je fatigue après une demi heure et six fellations. Ma bouche est ankylosée, mes lèvres sont irritées. Nous quittons la pièce mais pas la cave, nous déambulons. Beaucoup de pièces obscures propices aux attouchements occupées par des couples ou des trios. elle me pousse dans une pièce où il y a une croix de Saint André et me couche sur un fauteuil, la tête et le buste en avant. Elle découvre mes fesses et me claque violemment. Je reçois une fessée cul nu, les mains toujours menottées dans le dos. D'autres fessées suivent puis on me caresse les fesses. Ce ne sont pas les mains de Maîtresse qui ne m'a jusque-là jamais caressé. Un liquide froid s'écoule dans ma raie , un premier doigt l'étale sur ma corolle puis plusieurs doigts font pénétrer le gel dans mon conduit. Une verge se présente et force le passage. La douleur vive s'estompe peu à peu. J'ai envie de me masturber mais cela m'est impossible. Une autre verge se présente devant ma bouche et je suis pris en sandwich. J'ai un orgasme prostatique, mon sperme coule en continu sur l'assise du fauteuil tandis que mon sodomisateur accélère et se répand dans mes entrailles. Il décule en même temps que son acolyte se lâche dans ma bouche. Alors que nous remontons vers la surface, je sens des mains me palper les fesses. Au bar, je reprends des forces. L'atmosphère est plus calme, plus intime. Des couples homosexuels des deux sexes flirtent ou papotent. Il est trois heures du matin quand nous arrivons dans sa chambre. Quelques photos plus tard, je suis à nouveau présentable. Quelques heures plus tard, nous retrouvons en séance plénière. Nous nous saluons comme si rien n'avait eu lieu. Je suis un peu tendu, je dois présenter mes travaux pour obtenir des financements. Grâce à ses relations, mon intervention a beaucoup de succès, une bourse va me permettre de développer des recherches prometteuses.
17 personnes aiment ça.
Marc Nancy
Magnifique récit. Cela s appelle payer de sa personne !
J'aime 19/03/25
soumyvbi
Ce que j'appel , une "Sacrée Soirée" mmmmmmmmmmh
J'aime 20/03/25
Lola6942
C'est un joli récit ,mais personne ne se protègent avec des capotes ?
J'aime 20/03/25
soumyvbi
Lola ça va de soit ,toujours couvert quand on ne connait pas !!! mais il y a aussi des personnes saines , après vérifications , bien entendu , alors dans ce cas ...
J'aime 21/03/25
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