Par : le 21/09/21
Deux semaines se passèrent sans que nous nous voyions. Nous avions chacun nos activités et vies professionnelles qui ne nous permettaient pas de caler nos agendas. C’était ainsi et nous ne faisions pas de plan sur notre prochaine entrevue. Quelques questions me trottaient en tête. Avait-elle été trop loin et la gêne l’aurait-elle emporté ? Si c’était le cas, cela ne changerait rien de toute façon. Je réfléchissais à la suite sans m’encombrer l’esprit du pourquoi et du comment. Toutefois, afin de tester son envie de continuer, je pris le temps d’aller jusque sa boîte aux lettres ou j’y déposais un petit colis. Une fois de retour chez moi, je lui envoyais un texto pour lui dire qu’elle avait un colis en attente dans sa boîte, mais qu’elle ne devait pas l’ouvrir jusqu’à notre prochaine entrevue. Je passe sur la série longue comme le bras de textos pour essayer de savoir ce que contenait ce colis. J’ai d’ailleurs coupé cours en lui disant que trop de questions finiraient par faire que je le reprendrai. Silence radio depuis ! J’avais pris soin de mettre une petite pastille avec un tampon spécifique pour être sûre que lors de notre prochaine séance, elle ne puisse tricher. Je ne fus pas étonné qu’elle me recontacte le lendemain. Le rendez-vous était pris pour dans deux jours. La connaissant, je l’imaginais aisément tourné en rond à se demander ce que pouvait contenir cette boîte. Deux jours étaient passés. Je regarde ma montre et me mets à la fenêtre. Elle est pile à l’heure. Pressée de savoir ce que contient la boîte sans aucun doute. Elle porte encore l’une de ces robes moulantes outrancières avec des talons hauts. J’entends ces pas dans l’escalier de ma maison. Je la devance et me place en haut des marches. Elle est surprise. – Bonjour ! Me lance-t-elle. – Bonjour ! Ne monte pas encore ! Je veux que tu montes ces marches à 4 pattes. Lui dis-je. https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-iii/
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Par : le 25/05/20
Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé… Seul le bruit de ses talons aiguilles sur le parquet et sa robe frottant sur ses hanches rompt le silence. Elle tournoie autour du fauteuil sur lequel je suis attaché les yeux bandés à attendre. Elle s’est fixée devant moi. Plus de pas. Plus de mouvements. De ses genoux, elle écarte un peu mes jambes me découvrant et lui laissant une pleine vue sur ma nudité et mon sexe déjà tendu par la situation. Elle sourit ? Sans doute..un petit sourire narquois, je l’imagine aisément. Je sursaute. Je n’avais pas anticipé son mouvement. Un doigt ganté effleure mon gland et descends le long de ma verge. Douce sensation en appelant plus mais rien ne vint. Juste encore une attente de quelques minutes qui semblèrent être des heures. Elle se déplace de nouveau relançant le balais des claquement de talons sur le sol et la mélodie du vêtement sur les hanches. Un baiser se pose sur mes lèvres auquel je répond tendrement. Nos lèvres se séparent et c’est sa langue qui prends le relais, léchant sensuellement mais fougueusement mes lèvres comme pour indiquer que c’est elle qui mène la danse. Un passeport à la luxure dont elle seule pourrait valider le voyage. Le fauteuil tremble. Je devine qu’elle vient de prendre une position d’où elle me surplombe. La chaleur de son corps emplit mon visage. Elle écrase ses fesses sur celui-ci me demandant prestement d’user de ma langue. Quelle diable de position doit-elle avoir pour être ainsi ? Je meurs d’envie d’avoir les yeux libérés de cette étoffe et profiter de cette vue osée et imprenable. Elle le sait et en joue, balançant son cul de gauche à droite en me cognant le visage comme pour me narguer. Lire la suite : http://comtedenoirceuil.com/le-supplice-de-tentale/
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Par : le 01/05/20
Depuis déjà des mois j’occupe la maison de par une activité professionnelle néant. Ce temps de recherche d’emploi me laisse aussi beaucoup de temps pour développer mon imaginaire sexuel et imaginer de nouveaux fantasmes dont je sais, certains ne caresseront pas son esprit que j’aimerais plus audacieux et pervers. Pourtant je soulage ma conscience de son énergie sexuelle en remplissant quelques articles sur mon blog à caractère informatif avec une touche de pornographie. Cela m’occupe et me donne l’impression de faire une thérapie ou je me révèle à elle comme si elle lisait régulièrement ces pages qui livrent parfois entre un article futile traitant d’un incident sexuel ou d’une loi ayant comme sujet le sexe ; un fantasme que je glisse aux yeux des quelques internautes curieux qui passent par ici juste attirés par une image tirée d’un film X. Lire la suite : http://comtedenoirceuil.com/tous-ces-midis-perdus/
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