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mia michael

mia michael

femme soumise. Vit à Bruxelles, Bruxelles, Belgique. 44 ans. est marié(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/02/22
À l’intérieur, c’est beaucoup plus grand que je ne pensais. Il y a pas mal d’Hispaniques. Les gardes qu’on a vus sont attablés dans le fond du restaurant. Il y a aussi le grand Texan qui m’a appris à fouetter. En nous voyant arriver, il me demande : — Alors, Summer ne t’a pas vendue ? Ça va me poursuivre, ça. Il me prend par la main pour me faire asseoir sur ses genoux, puis il dit à Summer : — Je peux te l’emprunter ? Je voudrais lui montrer quelque chose dans les toilettes. — Bien sûr. Eh, oh, je suis là moi ! On peut me demander mon avis avant de m’emprunter ! Et puis, je me doute de ce qu’il va me montrer ! Summer me regarde et je devine ce qu’elle pense : "Comment elle va s’en sortir ?" Je réponds : — Ça tombe bien, je dois faire pipi. Summer me sourit, elle apprécie ma réponse... Pourquoi faire la Sainte Nitouche, j’ai envie qu’il me baise depuis que j’ai senti la barre dure de son sexe contre mes fesses, et puis vous êtes déjà au courant de tout ce qui m’a excitée, cet après-midi. Il me dit à l'oreille : — Depuis que j’ai senti ton cul contre moi, j’ai envie de te prendre en levrette. Vous voyez : pareil ! Un de ses copains se lève en annonçant : — Je vais faire le guet... Les toilettes se composent d’un lavabo et deux cabines avec des w.c. Le Texan me dit : — Penche-toi et tiens-toi au lavabo. Quand je suis en position, penchée en avant et bien cambrée, il se met à genoux derrière moi. C’est gentil, je ne pensais pas que c’était son genre. Il écarte mes fesses pour me lécher plusieurs fois, depuis le clito jusqu’à l'anus. Charmante attention, mais ce n’était pas nécessaire de m’humidifier, ma chatte s’est déjà chargé du job ! Il se relève, me prend par les hanches et s’enfonce en moi lentement mais à fond. Ouch ! Il est bien monté...   Il me baise à grands coups de reins, j’en avais besoin depuis que... qu’on m’a obligée à fouetter ces filles. Quelques minutes plus tard, je jouis. Repenser aux filles punies, ça a été la goutte d’eau. Il continue 5 ou 6 minutes de plus et je sens que je vais repartir, quand il jouit, lui aussi. Eh ! C’est vite ! Il se retire et me donne une claque sur les fesses en disant : — Bouge pas ! — J’ai pas eu le temps de... Oui, je le dis... même si ce n’est pas adroit. Il répond : — Reste dans cette position et tais-toi. Il ouvre la porte, son ami entre et, sans un mot, même pas "Vous permettez ?", il enfonce son sexe en moi et se met à me baiser. Ils me traitent vraiment comme une pute... ou... comme une esclave. Quelques coups de reins plus tard, je jouis à nouveau. C’est bon, quand ils sont deux, même un peu rapides ! Le copain jouit lui aussi en vitesse, puis il repart sans un mot. Heureusement qu’il ne dit pas "Au suivant !" Deux, c’est bien et ça me suffit. Je passe aux toilettes pour faire pipi et pour expulser le petit cocktail de spermes dont ils m’ont fait cadeau. Quand je reviens vers notre table, je suis un peu gênée. Tout le monde me regarde en souriant. Je vais vite m’asseoir sur une banquette près de Summer et je trempe un chips dans du "guacamole" qui se trouve au milieu de la table. C’est chouette, Venice ! Je suis plus calme. Si, si... me faire baiser par deux mecs dans les toilettes, ça calme. Je m’amuse bien avec les amis de Summer. On boit de la tequila, ils disent des "shots", ça pique, mais c’est bon... La soirée se prolonge et vers 3 h du matin, Summer me dit : — Demain à 10 h on a rendez-vous avec ton agent. Faut qu’on y aille. — On peut pas rester encore un peu ? — Non, viens. Pppffff... Après avoir dit au revoir à tout le monde, on rentre. Je chantonne dans la voiture pendant le retour, je suis bien... même si tout tourne un peu autour de moi. Dans sa chambre, on se déshabille et je l’enlace en disant : — Merci Summer, c’est la meilleure soirée de ma vie. — T’es bourrée... Elle me repousse et va faire pipi en disant : — Tu vas être belle demain... M’en fous, j’ai juste envie d’elle. Depuis le pied du lit, je me glisse entre ses jambes et je colle mes lèvres à sa chatte. Elle murmure : — T’es insatiable, toi. Mais, elle me laisse faire. Je m’endormirais bien là... mais dès qu’elle a joui, elle me repousse et je me mets dans le lit. Au milieu de la nuit, je dois vite aller dans la toilette pour vomir. Ouch ! Je vais arrêter de boire des "shots" ! Je me rendors péniblement... — — —  Le lendemain matin, je suis réveillée par Summer qui me secoue en disant : — Allez, debout ! Elle me traîne sous la douche... L’eau est froide. J’ai beau pousser des cris, elle me maintient sous le jet. Ouch ! Ça réveille. Elle finit par me lâcher, en me disant : — Tu as 5 minutes pour te maquiller et t’habiller.... J’ai mal à la tête... Je ne boirai plus jamais de ma vie ! J’ai juste le temps de me coiffer un peu et d’enfiler ma robe que Summer me tire hors de la chambre. On monte en voiture et... on va où déjà ? Ah oui, chez un agent. Le moteur fait trop de bruit et j’ai des hauts le cœur. Ayant plus ou moins reconnu l’avenue qu’on prend, je demande à Summer : — Il habite près de Topanga ? — Oui, sur la plage à Malibu. Cool... On arrive devant l’entrée. Depuis la voiture, Ashley sonne, puis annonce dans le parlophone : — Summer. La grille s’ouvre. Elle me dit : — On va se faire engueuler. Aaah ? Ça commence bien... L’entrée est quelconque, mais par contre, la propriété est superbe : une grande maison à un étage avec une piscine entourée de végétation0 La plage et la mer sont un peu en contrebas, il y a un escalier en bois pour y arriver. Et maintenant, je sais nager... Devant la maison, une grande femme bien en chair et vêtue d’une robe noire nous attend. Elle n’a pas l’air commode. Derrière cette elle, il y a deux filles en uniformes de servante avec toute la panoplie : petit tablier et coiffe sur la tête. Ce sont sans doute des esclaves, mais je n’ose pas le demander. La femme dit : — Bonjour Mademoiselle Summer, bonjour Mademoiselle Ashley.. Summer répond : — Bonjour Madame Stone. De quelle humeur est le patron ? — Comme vous imaginez. Summer grimace, tandis que les servantes font une révérence quand on passe devant elles. J’adore ça... On suit Madame Stone jusqu’à une terrasse qui donne sur la piscine. Sous une grande toile, un vieux petit bonhomme est assis derrière une table, sur laquelle se trouvent un PC et des papiers. Derrière lui, il y a aussi deux servantes en uniforme, les mains croisées sur le pubis, la tête baissée. Summer lui dit : — Bonjour Monsieur Leyssens, désolée pour le retard. — Bonjour Summer. Tu devrais être là depuis 10 minutes ! — Je sais on a perdu dans un embouteillage. Ça m’arrangerait que vous n’en parliez pas à Monsieur Sam. — Redevable ? Elle lui serre la main, en disant : — Redevable. Mais c’est quoi ça ? Ils font partie d’une secte ? Moi aussi, si je me souviens bien, je suis "redevable" à Summer. Je ne sais même plus pourquoi. Le petit bonhomme me regarde attentivement, avant de me dire : — Tu as des cernes sous les yeux. C’est toujours comme ça ? — En fait... hier soir, j’ai mangé mexicain, Monsieur. Je ne suis pas habituée à ce genre de cuisine et j’ai été malade durant la nuit... — Moi aussi, j’ai du mal à supporter cette nourriture. Bon, passons pour cette fois. Alors, tu es prête à faire tout ce qu’il faut pour réussir dans le cinéma ? — Oui, Monsieur. — À coucher avec des hommes, des femmes ? — Oui, Monsieur. — Tourner nue ne te pose pas de problème ? — ... Euh... non. — Alors enlève ta robe, que je voie comment tu es faite... Tu peux garder ta culotte. — Ça ne va pas être possible, Monsieur... Tête du gars qui se demande à quoi je joue. J’enlève ma robe par le haut d’un mouvement félin – si, si – et j'ajoute : — J’ai pas de culotte. C’est bien joué, non ? Je tourne sur moi-même pour qu’il puisse admirer ma plastique... de rêve. Il me dit : — Je prendrais bien quelques photos, si ça ne te dérange pas. — Au contraire, j’aime qu’on me photographie. Il crie : — Syl ! Appareil photo. Une servante arrive en courant et se met à genoux devant lui. Elle lui  tend un appareil photo qu’elle tient à deux mains. J’en veux des esclaves, moi, c’est trop cool ! Le gars a l’air aussi vieux que les séquoias du parc naturel qui se trouve pas loin, et pourtant, il se lève avec souplesse et se met à tourner autour de moi. Je prends des poses de pin up. Il me fait même des compliments... à tel point que je lui dis : — Ce serait intéressant que je pose avec une esclave nue0 — Très bonne idée. Il crie : — SYL, à poils et aux pieds, de notre invitée ! La fille enlève son tablier, sa robe noire et vient se mettre à genoux devant moi. Je lui dit : — Regarde-moi ! Elle obéit et, comme je m’avance un peu, ses lèvres s’enfoncent dans les poils de ma chatte. Je regarde Monsieur Leyssens, qui hoche la tête en souriant. C’est un feu vert ça, non ? Alors j’écarte les jambes en disant à Syl : — Tu ne veux pas être fouettée ? — Non, Maîtresse... — Alors, fais-moi jouir. Elle glisse son fin visage entre mes cuisses et colle sa bouche contre ma chatte. Je mouille son visage.   Putain, je me doutais qu’une fille qu’on menace du fouet devait lécher comme une reine... façon de parler, bien sûr. Elle me lèche, me suce... Spencer fait des photos en pied, elle et moi, et puis de mon visage. Il me dit : — Regarde l’appareil, je veux t’avoir quand tu jouis. Ce seront des photos vraiment indécentes, je... jouis en tenant le visage de l’esclave collé à ma chatte. Spencer est tellement content qu’il me dit : — Monsieur Sam a raison tu es une future star. — Merci, je ferait pour ne pas le décevoir. Une secrétaire, pas une servante, passe la tête pour dire : — Monsieur King est là, Monsieur. — J'arrive. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search 
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Par : le 23/01/22
Fouetter les filles, je le fais uniquement parce que Summer insiste et que les filles n'étaient pas en rythme. Le Texan me dit : — Je vais te montrer. Il me donne le fouet, puis vient se coller à mon dos, comme on le fait pour apprendre à quelqu'un à jouer au golf. Il me dit : — Je comprends que tu plaises à Monsieur Sam, tu as un super cul ! Je tourne la tête pour le regarder dans les yeux, en disant : — On dirait que vous avez un grand couteau dans la poche de votre pantalon, M'sieur ! Il rit puis répond : — On parlera de ça plus tard. Maintenant, le fouet. Tu peux frapper fort, les lanières font mal, mais ne blessent pas. Il me montre le mouvement. Oh ! Le fouet siffle dans l'air tandis que je frotte mon super cul sur... son couteau. On répète quelquefois le mouvement, jusqu'à ce qu'il me dise : — OK, c'est bien. Les filles, en position. Aussitôt, elles nous tournent le dos et se penchent en avant, les avant-bras posés sur les cuisses. Quelles belles cibles ! L'une blanche, l'autre bronzée... Ted me dit : — Donne à chacune deux coups sur les fesses, deux sur les cuisses et un sur les mollets. Je lève le fouet et les lanières viennent claquer sur la cible blanche. La fille a un petit sursaut. Ted n’est pas satisfait : — C'est beaucoup trop mou, celui-là ne compte pas. Il se tourne vers Summer pour lui demander : — Dis, je peux fouetter ta petite sœur pour qu'elle comprenne ? — Bonne idée. Aussitôt, je lève le fouet et je frappe. Les lanières sifflent et viennent claquer sur les fesses. Cette fois-ci, la fille pousse un cri. Je recommence sur ses fesses,  puis sur ses cuisses et ses mollets. La fille crie chaque fois, il a l'air de faire vraiment mal, ce fouet, même s'il ne blesse pas. Je plains les filles, mais vous voyez, je suis obligée de le faire. Les fesses de la fille s'ornent de jolies marques rouges, c'est comme si j'avais... signé son cul. Ensuite je passe à la Métisse. Le fouet claque aussi fort sur ses belles fesses et elle crie, surtout pour le dernier coup sur les mollets. Quelles douillettes, ces filles ! À la fin, je suis en sueur et... mouillée. Ça doit être d'avoir senti le sexe du Texan contre mes fesses et un peu aussi d'avoir été obligée de fouetter les filles. Je rends le fouet au Texan en le remerciant et je lui fais mon regard : « Toi, quand tu veux, où tu veux ». Summer lui dit : — Merci Ted, — Avec plaisir. Vous venez à Venice ce soir ? — Oui, on viendra manger. On quitte le hangar. Summer salue et embrasse tous les gens qu'on croise. Dehors, elle me dit : — Je suis sûre que tu es toute mouillée, d'avoir fouetté ces filles. Je deviens carrément rouge ! Pratique quand on s'apprête à mentir ! Alors, je dis la vérité : — Oui, c'est vrai... mais ça me culpabilise, aussi. — Enfin, la vérité ! Bon... Il faisait pétant de chaud dans ce hangar, j'ai sué comme une truie. On va se baigner. Oui, elle a le rude langage des chasseurs de primes, Summer. Je lui demande : — Dans une piscine ? — Non, dans la mer. Tu pourras faire un vœu, quand tu pisseras dedans pour la première fois. — Pourquoi je ferais ça ? — C'est l'eau froide, toutes les filles pissent dans la mer et les piscines. Les mecs, j'sais pas. On prend un petit sentier... Nous croisons des gens que Summer connaît. Ils s'embrassent, puis embrassent sa petite sœur pendue à son bras. Il y a des ouvriers qui travaillent un peu partout. Ils nous sifflent au passage, on leur fait bonjour... Cool ambiance, un peu colonie de vacances. On arrive sur la plage qui est en contrebas 2 ou 3 mètres plus bas. D'un côté de la plage, il y a un restaurant avec une terrasse qui surplombe la mer et de l'autre, un grand hôtel avec une piscine... Devant nous, une grande plage de sable et la mer... c'est grand, non c'est immense! Il n'y a qu'une famille d'un côté et un groupe de jeunes de l'autre. C'est la première fois que je me retrouve sur une plage et que je me baigne. La mer me fait peur à cause des requins ! Summer me dit : — La dernière dans l'eau sera vendue ! Elle enlève son jean et son tee-shirt, puis court pour plonger dans l'eau. Comme ça, d'un coup ! Bon, vendue, elle me charrie, j'en suis sûre. J'enlève ma robe et je cours aussi vers la mer. Je trempe mon pied dans l'eau. Oh, c'est froid ! À ce moment-là, un gros balaise, qui était plus loin avec sa famille, arrive en criant : — Non mais, ça va pas la tête de vous mettre à poil ! — Mais euh... je suis avec Summer... Summer Hunter. Comme sur son parking, la tête du balaise change et il bredouille : — Pardon Mademoiselle, je n'avais pas reconnu Mademoiselle Summer de loin... Soyez gentille, ne lui répétez pas ce que je vous ai dit. C'est ma femme qui m'a obligé... Moi, je vous trouve très, très jolie... — Ça va, je ne lui dirai rien. — Merci Mademoiselle. Il repart vers sa famille. Le nom de Summer et celui de Sam, c'est magique. Je remets mes pieds dans l'eau. Ouch ! C'est toujours aussi froid... Summer nage vers moi et elle me demande : — Qu'est-ce qu'il te voulait ? — Me prévenir qu'il y a des méduses. — Évidemment ! Quel con... Viens nager ! Elle me prend par la main et me tire dans l'eau, je crie : — Summer, non... je... — Tu as peur de l'eau ? — Je ne sais pas nager. Ben oui, il n'y a pas la mer à Notasulga et la piscine de la famille, je ne pouvais pas l'utiliser. Elle me dit : — Faudra que tu apprennes. Si tu fais des films, il y en aura sûrement où tu devras nager... D'ailleurs, je vais t'apprendre. Elle se colle à moi et me fait basculer vers l'arrière en me maintenant contre elle. Je crie, je supplie, elle s'en fout. Arrivées au large, enfin, un peu au large, elle me dit : — Maintenant, nage vers la plage et tu sauveras ta vie. — Je t'en prie, Summer ! — NAGE ! Quand elle me lâche, je barbote comme un chien et... ça me permet de flotter. Elle nage à côté de moi pour me montrer les mouvements de la brasse, en disant : — Fais comme ça avec tes bras... Je nage... hoourraaah ! Oups ! J'ai avalé un peu d'eau, c'est salé ! Je continue à nager jusqu'à ce que j'aie pied. J'ai eu vraiment peur, mais voilà, ça y est, je sais nager. Je lui dis : — Merci, mais, tu sais, j'ai eu vraiment peur. — Non ?? J'avais pas remarqué ! En plus, tu m'as tutoyée. — ... Oui, je peux ? Elle hausse les épaules, comme si ça allait de soi que je la tutoie. On va s'asseoir sur le sable sec, un plus haut sur la plage. Elle se couche. Je regarde son corps... Du doigt, je suis le tracé d'un tatouage, puis de ses cicatrices... Le gros balaise vient vers nous et il me fait un clin d'œil avant de dire : — Bonjour Mademoiselle Summer, vous voulez des bières fraîches ? Elle s'assied et répond : — Volontiers. Il décapsule deux bouteilles. On le remercie. Je bois, ça fait du bien. Il explique à Summer : — J'ai fini d'installer les caméras à l'hôtel, alors ma famille est venue me rejoindre sur la plage. — T'as bien fait. — Merci Mademoiselle Summer. — Merci pour les bières. Il s'en va. Summer me dit : — Mets-toi sur le ventre. Mais pourquoi ? Bon, je le fais, elle se couche et pose sa joue sur mes fesses en disant : — Super coussin... Oui mais, c'est intime, sa joue sur mes fesses. En plus, tout à l'heure, on m'a pratiquement obligée à fouetter des filles et puis à me balader à poil en public... Pas étonnant que ma chatte devienne aussi mouillée que... le Pacifique. Je me tortille un peu, ce qui me vaut un : — Arrête de bouger ! J'envoie le message "un peu de patience" à ma chatte. Heureusement, Summer n'est pas le genre à rester longtemps sans bouger, puisqu’elle me dit : — Viens, on court un peu et ce sera l'heure de partir. Bon... on démarre sur la bande de sable dur et mouillé, laissé par la mer qui se retire. Bien sûr, elle court plus vite que moi, ce qui me permet d'admirer ses fesses remuant au rythme de ses enjambées. Une dizaine de minutes plus tard, je suis de nouveau en sueur, elle aussi. Elle me dit : — On se trempe et on rentre... Summer entre dans l'eau et, comme j'hésite, elle m'éclabousse abondamment. Après avoir crié, je me lance. C'est frais, ça fait du bien... et puis, ça calme ma chatte qui bouillait entre mes cuisses. Summer me dit : — Allons-y.... Il vaut mieux s'habiller devant le parking, comme ça, on sera déjà sèches. Cette idée ravit ma chatte. On repart de la plage aussi nues que le jour de notre naissance. Les ouvriers qu'on croise ou qui travaillent sont encore plus contents qu’avant : ils nous sifflent, nous complimentent... Summer me prend par la taille et on marche en roulant des hanches et en riant. On se rhabille dans la grande pièce d'accès. Summer m’asticote de nouveau : — Tu sais, j'hésite encore entre te vendre et t'emmener. Je ne le crois presque plus... On descend en ascenseur pour prendre la voiture. Je lui dis : — Merci beaucoup pour tout, Mademoiselle... euh... Summer. — Avec plaisir, petite.       On prend la route du bord de mer en passant par Santa Monica. Dix minutes plus tard, on est à Venice. C'est un peu comme je l'imaginais : la plage, les belles filles et les hommes baraqués en maillot qui se baladent ou font du roller... Summer se gare dans une petite rue. On ne va pas au bord de mer, mais vers un petit bar restaurant qui s'appelle "Sol Poniente". Elle me dit : — C'est là qu'on se retrouve. — Ça veut dire quoi, Sol Poniente ? — Soleil couchant.11 — C'est joli... À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search 
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Par : le 11/01/22
Dès que la fille a entendu le nom de Monsieur Sam, elle s'est aussitôt excusée. Je la prends par la taille et je dis aux touristes : — Vous avez deux Marilyn pour le prix d'une. Là on est mitraillées, surtout quand je lui dis : — On s'embrasse ? Nos lèvres se touchent. Les touristes raffolent, on fait des selfies. On a plein de petits billets dans les mains comme à "House of Pussies". Je donne tout à la fille en disant : — Regarde ce que tu dois faire. Je tourne sur moi-même, et ma jupe s'envole. Les flashs crépitent... peut-être parce que je n'ai pas de culotte....  J'entends une grosse voix d'homme : — Qu'est-ce qu'il se passe ici ?? C'est un agent. Summer lui répond : — C'est une starlette de Monsieur Sam... Là, il change de ton lui aussi, dingue. Il me dit : — Quand tu fais voler ta jupe mets quand même une culotte. — Oui Monsieur l'agent. Chouette ambiance, non ? La fille est ravie de la recette qu'on a faite. Elle me dit : — Merci beaucoup. Si tu as besoin d'une doublure pense à moi. Je lui donne mon n° de Gsm et je pars avec Summer qui m'a fermement prise par le bras. On fend la foule des touristes qui me photographient encore. Elle me dit : — Tu es douée pour te faire remarquer toi. Eh oui ! C'est comme ça quand on est une future star. On reprend sa voiture. Je lui demande : — C'est loin ? — A côté de Malibu.  — Tout ça appartient à Sam ? — Oui. Monsieur Sam et ses associés ont acheté un grand terrain dans le parc de Topanga et plus exactement dans le lagon. Il voit les choses en grand. Il y a déjà un bar et un restaurant et on construit un genre de parc d'attractions... Et il y a déjà des bureaux, les logements des esclaves, les pistes d'entraînement... — et... euh... si les esclaves n'obéissent pas.... — Dis tu es un peu obsédée, non ? Je lui explique : — Il n'y a pas longtemps, j'ai vu une femme qui fouettait une esclave devant une grosse ferme... et, depuis, j'y repense souvent. — Tu pourras en fouetter une si tu veux — Moi ? — Ben oui, toi... — Je préfère assister — Comme tu veux. Je ne sais pas pourquoi, mais, c'est surtout voir une file fouettée qui me plairait et bien sûr, s'il y a une raison. On prend la route qui longe les plages vers le nord. On arrive à Malibu... Je lui dis : — Oh ! La mer ! C'est la première fois que je la vois en vrai. On peut aller à la plage ? — Il y a la mer et une plage aussi où on va... On ira se baigner. Et puis tout à coup, je me dis que tout se passe trop bien. Une fois sur place, qu'est-ce qui l'empêchera de me vendre comme esclave ? Elle m'a dit qu'elle était un genre de mercenaire travaillant pour Monsieur Sam, mais si son boulot c'était justement de trouver des filles et de les amener... Elle me dit : — On est là dans 5 minutes. Je ne réponds rien. Elle me jette un coup d'oeil, en disant : — Qu'est-ce que tu as ? — Dites, vous n'allez pas me laisser là ? Elle rit et répond : — T'es une vraie paniqueuse. Si je voulais te vendre, tu ne serais pas assise à côté de moi, mais ligotée et bâillonnée dans le coffre... Je ne dis toujours rien, alors elle ajoute : — Quoique tu me donnes une idée, là ! Je suis sûre que je pourrai te vendre un bon prix. Allez, c'est dit, je te vends ! Je pousse un bête petit gémissement de trouille et elle dit : — Je ne vais pas te vendre mais je te ferai fouetter, puisque tu aimes ça.... — NON ! J'aime juste voir et pardon d'avoir un peu la trouille, mais tout est tellement nouveau pour moi. Vous n'êtes pas fâchée... s'il vous plait... Elle rit, mais ne répond rien. On arrive devant une entrée monumentale : deux esclaves enchaînées et vêtues de haillons se font face des deux côtés de l'entrée. Entre elles, il y a l'entrée d'un parking souterrain. J'ai envie de faire pipi de trouille. Je me raisonne, Summer a l'air gentille... En fait, non, elle n'a pas l'air gentille. Elle se gare et je mets ma main sur sa cuisse en disant à nouveau : — Vous n'êtes pas fâchée ? Elle sort de la voiture. Un homme vient vers nous en disant : — Summer, ma belle, comment ça va ? Elle l'embrasse et répond : — J'amène une esclave, combien tu me l'achètes ? — Faut voir la marchandise. Je suis sûre qu'elle lui a fait un clin d'oeil ! Si, si... Elle me dit : — Viens te montrer petite esclave. Je sors de voiture, l'homme me prend par le poignet et lève mon bras puis il me fait tourner sur moi-même. Il fait une grimace et dit : — Pas bien grasse. Je te l'échange contre un pack de bière. — OK, vendue. Au revoir Ashley. Il lâche mon poignet et il met une main sur mes fesses et l'autre sur mes seins. Je lui dis très vite : — Je vais faire du cinéma pour Monsieur Sam. Summer lève les yeux au ciel et dit : — C'est vrai, ça ! Et dire que j'ai failli te vendre. Ils rient tous les deux. Qu'est-ce qu'ils sont bêtes ! Oui, moi aussi ! L'homme lui dit : — On a reçu des belles filles... — On va aller les voir. — A tout à l'hure, Jo — A tout à l'heure les filles. Puis il ajoute en me regardant : — A tout à l'heure... sauf si elle te vend. Ils s'amusent ! N'empêche j'ai paniqué et je suis toujours un peu mal à l'aise. Le parking est immense, mais il n'y a qu'une vingtaine de voitures et de camionnettes. Je vois une flèche indiquant - 1, il y a donc des parkings en dessous de celui-ci. On prend un ascenseur et on se retrouve dans une grande pièce entourée de vitres. Le soleil me rassure. Plusieurs personnes viennent embrasser Summer et moi par la même occasion. Heureusement, elle ne me charrie plus. Il y a des ouvriers qui travaillent un peu partout mais manifestement, ce sera bientôt terminé. Je lui demande : — On va bientôt accueillir les gens ? — Dans quelques jours, je pense. On va voir les esclaves et puis je te montrerai la plage. — Merci... — Tu n'as plus peur ? — Plus trop... Elle rit... Je l'amuse, donc elle ne me laissera pas ici... On passe devant diverses attractions, un peu comme dans une foire... Derrière une rangée d'arbres, il y a un entrepôt qui n'est que fonctionnel. Summer prend son téléphone et appelle quelqu'un. Elle dit : — C'est Summer Hunter. Amusant, parce que Hunter veut dire chasseur et elle m'a dit qu'elle était une sorte de mercenaire et de chasseur de primes. Un homme vient ouvrir et ils s'embrassent. Il lui dit : — C'est gentil de nous rendre visite. Tu nous apportes un cadeau ? Il me regarde en disant ça. Comme une gamine, je prends la main de Summer. Elle rit et dit à l'homme : — Elle s'est mis dans le tête que je venais la vendre. C'est la nouvelle pouliche de Monsieur Sam. L'homme est un grand blond, il me regarde et dit : — Tu es une bien jolie pouliche Avec un petit chat dans la gorge, je réponds : — Merci M'sieur. Il dit à Summer : — Tu connais les lieux, fais comme chez toi. On est dans un petit bureau. Il pousse sur un bouton, un panneau coulisse et on se retrouve sous le hangar. Il y a une musique assez rythmée. Le long des murs, il y a des filles nues dans des dizaines de cages. Les grandes cages contiennent une dizaine de filles, collées les unes aux autres. Il y a aussi des filles seules dans des toutes petites cages. Une dizaine d'esclaves se trouvent sur un rang au milieu d'une piste. Devant elles, il y a une jeune fille et un homme avec un stetson, ils ont tous les deux un fouet en main. Les esclaves sont une dizaine, nues, à part un collier de fer. Je pense qu'elles répètent un numéro de "Pompom girls". Les filles sont jolies, bien faites et de toutes les couleurs depuis une rousse à la peau très blanche jusqu'à une Noire couleur ébène en passant par des Hispaniques, des Métisses et des Asiatique. Un très bel échantillonnage des articles qu'on peut acheter dans la maison. Elles dansent en marquant la cadence avec le pied, ce qui fait trembler leurs seins et leurs fesses... Quand elles sont de dos, je vois les marques rouges des fouets sur leurs fesses, leurs cuisses et leurs mollets... Ouch ! Mes jambes deviennent molles et mon bas-ventre, humide. A la fin du numéro, un garde crie : — Numéros 1 et 7, vous n'étiez pas en rythme. Aux pieds ! Les filles viennent se mettre devant lui en grimaçant un peu. Summer s'avance vers le garde en disant : — Salut Ted, mon beau Texan — Oh salut Summer. Ils s'embrassent sur la bouche, puis il m'embrasse et il lui dit : — Tu promènes ta petite soeur ? Elle secoue ma main qui serre toujours la sienne en disant : — C'est la nouvelle pouliche de Monsieur Sam et elle fantasme sur les esclaves et le fouet. Le Texan me dit : — Ces deux-là doivent être punies, tu veux le faire ? C'est Summer qui répond : — Bonne idée. Vas-y Ashley. — ... euh... c'est que... — Tu préfères que Ted te fouette ? — NON!!! Je veux bien, mais je ne sais pas comment faire.   A suivre.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 31/12/21
9 - La Cité des Anges. Ils me regardent tous dévorer. Je prends des beignets qui restent. De toute façon, ils les laissent dans le plat. Sam me dit : — Je vais prendre rendez-vous avec Johnny Heyssen, le meilleur agent. Tu veux que Summer te montre la ville ? J’avale un demi-beignet, tousse un peu puis réponds : — Oui M’sieur, avec plaisir. Je me rends bien compte de mon manque de manières, mais c’est normal quand on vient de la campagne. J’apprendrai. Sam me donne 500 $ ! C’est en attendant que je signe un contrat avec son agent. Avec lui, il y a eu l’accord que vous savez ! Je le remercie et j’embrasse Sam, Pussycat et même le garde du corps. Ensuite, je pars avec ma copine Summer. Enfin, copine n’est pas le mot. Je me sens en sécurité avec elle. On va prendre sa voiture... À l’intérieur, c’est assez bordélique. Quand elle met le contact, le moteur rugit ! J’ai l’impression que sa voiture, c’est un loup déguisé en agneau. On roule dans LA, c’est une ville immense... elle me demande : — Tu veux louer une chambre dans le motel où je suis ? — Je ne pourrais pas rester avec vous ? Je vous donnerais le prix de la chambre. — Pour quelques jours, d’accord. Ensuite tu iras dans un centre pour apprendre à jouer. Je vais me reposer 2 h, puis je te montrerai la ville. Qu’est-ce que tu veux voir ? — Hollywood Boulevard, le "Walk of Fame." C’est l’endroit où il y a les empreintes des mains et des pieds des stars. — Bon, OK... Ce soir, on rejoindra des amis à Venice. Si tu veux, on peut passer voir les esclaves. Ce n’est pas encore terminé, mais tu les verras. — Sérieux ? — Arrête de demander ça, si je te le dis, c’est vrai. — Oui Summer. J’aimerais beaucoup y aller. Vous connaissez ceux qui sont là  ? — Bien sûr, c’est la société de Monsieur Sam et de ses amis. — Il a vraiment beaucoup d’activités. Elle pousse un soupir avant de me demander : — Tu n’as toujours pas compris qui c’était ? — ... Euh... un riche homme d’affaires ? Elle rit et répond : — Oui, c’est ça, tu es mignonne. Je sais très bien que ça veut dire que je suis... un peu conne, mais je m’en fous. Monsieur Sam va me lancer, on s’est serré les mains. Et puis, je me doute bien que ça doit être un peu comme un parrain. Je lui demande quand même : — Il a aidé le président Birch à être élu ? — C’est mieux de ne pas parler pas de ça. — Et vous, vous faites quoi ? — Moi, je suis un mercenaire, un chasseur de prime. On me paie pour retrouver les gens ou pour la protection. — Vous recherchez les esclaves en fuite ? — Eh, t’es obsédée, toi ! — Dans le village, j’ai vu fouetter une esclave et euh... Elle rigole, puis répond : — Ça t’a impressionnée, on dirait. Regarde, on arrive dans Watts, le quartier noir. — Ça ne vous fait pas peur ? — Je suis connue... On arrive devant son motel. Je m’attendais à des bungalows pimpants entourés de plantes et on se retrouve devant un immense bâtiment à un étage. Il est rose.. non, il a été rose. Au rez-de-chaussée, il y a des dizaines de chambres et un emplacement pour garer sa voiture. Et il y a autant de portes au 1er étage et plusieurs escaliers de fer pour monter ou descendre. Summer s’exclame : — Putain ! Il y a un connard qui s’est mis à ma place. Elle percute un peu l’arrière de la voiture. La sirène de l’antivol se met en marche et quelques minutes plus tard, un gros homme sort d'une chambre en caleçon. Il est armé d’une batte de base-ball. Summer l’attend, les jambes écartées, style western. Dès qu’il la reconnaît, le gros homme devient pâle et s’arrête net. Il lui dit : — Toutes mes excuses, Mademoiselle Summer, j’ignorais que c’était votre place. Je bouge ma voiture immédiatement... Elle remonte dans la voiture et prend sa place dès qu’il a bougé. Il se gare et vient vite vers nous, toujours en caleçon pas très propre, avec une couille qui dépasse. Il lui dit : — Je ne savais pas que vous aviez changé de chambre, excusez-moi encore, Mademoiselle Summer. — Pas de problème, Paul, mais fais gaffe, t’as une couille qui cherche à s’échapper. Il rit... soulagé, puis entre dans sa chambre. C’est dingue, mais je mouille de voir à quel point ce gros mec avait peur d’elle ! On entre dans la chambre... c’est rudimentaire : un lit, une armoire, une valise ouverte, une minuscule salle de bain avec un lavabo et des w.c.. Ah, oui il y a quand même une télé. Je lui dis : — ... Euh... je dois faire pipi. — Pas besoin de me demander la permission, t’es une grande fille, maintenant. Je vais vite m’asseoir sur les w.c.. Elle est pressée aussi car elle enlève son jean, monte sur un tabouret et pisse dans le lavabo. La musique de nos jets se mélange... Je suis la seule à m’essuyer, elle est cool ! Summer n’a pas de culotte, on est faites pour s’entendre. En allant vers le lit, elle enlève son tee-shirt, puis se couche. Elle est sur le dos... je vois 2 ou 3 tatouages et quelques cicatrices... ses seins tombent un peu et elle a des poils sur le pubis, comme moi. Elle écarte les cuisses en disant : — C’est ça que tu veux, hein ? — Ouiiii.... — Vas-y, mais fais-moi jouir vite, car je veux dormir un peu... On se retrouve lèvres à lèvres, enfin mes lèvres sur celles de sa chatte... Ses poils sont humides et elle sent la chatte sauvage, je la lèche. Elle me donne un petit coup de talon sur les fesses en disant : — Clito ! Je me concentre dessus pendant quelques minutes et elle jouit. Elle me dit : — Tu peux te caresser, moi je dors. C’est pas l’envie qui me manque, bien sûr, mais j’ai encore plus envie de me coller contre ses fesses et son dos, en "cuiller". On dort comme deux petits anges ou deux petits démons ! *** Une heure plus tard, elle me réveille... en disant : — Viens, j’ai faim. J’aimerais prendre une douche, mais elle se rhabille et je la suis, un peu dans la vape de n’avoir dormi qu’une heure. On reprend sa voiture et on file vers le centre de LA. Elle me dit : — On est à La Brea. C’est ici que des tigres à dents de sabre et leurs proies se sont noyés dans une mare de bitume liquide. On retrouve leurs squelettes fossilisés. — Oh ! On peut aller voir ? — Un autre jour, si tu veux voir les esclaves. — Oui, je préfère. On arrive dans le centre et Summer se gare dans un parking. Elle échange quelques mots avec un gardien. Arrivées dans une petite rue, on entre dans un restaurant italien. Là, elle connaît tout le monde. Le patron l’embrasse, une des serveuses aussi. Elle me présente : — Ashley, la nouvelle pouliche de Monsieur Sam. J’ai droit à des "che bella !" et à des baisers. Le patron me met même carrément la main au cul, en disant : — Ma che bel culo, piccola ! Moi, je ne suis pas du genre à donner une gifle ou à créer une pétition sur le Net. Au contraire, je trouve ça flatteur. Alors je remue mes fesses sous sa main, en riant. Il nous installe lui-même à une petite table. Summer lui demande : — Qu’est-ce que tu nous proposes, Luigi ? — Je vais vous gâter... La serveuse nous apporte du jambon cru. Bof... elle dit : — C’est du Belotta Je goûte et, oh mon Dieu ! Il est délicieux, presque autant que la chatte de Summer. Ensuite, elle nous apporte des... raviolis. Re-bof... oui, mais, ce sont des raviolis aux truffes blanches ! Je mange des truffes pour la première fois et j’adore. On boit un délicieux vin rosé légèrement pétillant. Summer me dit : — Accélère un peu Ashley, on a des trucs à faire... — Oui... Je termine rapidement ma glace aux fruits pour ne rien laisser, c’est trop bon.  Le patron vient me demander : — Comment tu trouves ma cuisine ? — C’était absolument délicieux. Summer le remercie, puis l’embrasse, moi aussi. J’ai droit à une nouvelle main aux fesses. Nous partons... mais n’aurait-on pas oublié quelque chose ? Je dis à Summer : — Vous ne payez pas ? — Non... Ah bon, cool... Nous sommes assez prêt de Hollywood Blvd. On passe devant le Grauman Chinese Theater et je vois toutes les empreintes de mains et de pieds des stars. Il y a beaucoup de touristes qui les photographient et font des selfies. Immédiatement, certains d’entre eux me demandent de poser avec eux. Summer m’explique : — Ils te prennent pour un sosie de Marilyn Monroe. Ça c'est depuis que j'ai changé de couleur de cheveux. Je préfère ma couleur naturelle d'ailleurs. Il y a beaucoup de sosies, on a croisé Elvis, Charlie Chaplin, Madonna... Et puis une belle blonde avec des formes vient vers nous pour dire : — Tu sais qu’il ne doit pas y avoir deux sosies de Marilyn. Tu es syndiquée ? C'est Summer qui répond : — Elle n'est pas sosie. Elle vient juste voir le Walk of Fame". — Mais, pour moi c'est difficile et... — Elle est sous contrat avec Monsieur Boizano. Si vous posez ensemble, l’argent sera pour toi. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 26/12/21
Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis : — J’ai des beaux vêtements, mais... — Tu veux les ménager ? Pas de problèmes. Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis : — Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ. Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe : — Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins. — Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas. — Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous. On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit : — Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ? Enzo répond : — Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest. — D’accord, il est à vous. Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent : — Bonne chance, tu deviendras une star. Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance. On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle. On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande : — On va prendre l’avion ? Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond : — On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ? — Non, jamais. Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit : — J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi. Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant : — C’est tout ce que tu as ? — Oui... Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit : — C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans. Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit : — C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence. — Oui M’sieur, merci M’sieur. Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne. Un policier me demande : — Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ? Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds : — Des bijoux intimes ?? — Des anneaux ou des piercings ? — Non, Monsieur. Pussycat me dit : — Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les. Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse.   Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit : — Levez les bras pour qu’on soit sûrs. C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit : — On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord. J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit : — On ne passe pas inaperçu avec toi ! Tant mieux. Je demande à Summer : — Il n’y a plus de contrôle ? — Non, on est dans la zone des free-shops. Sam lui tend une carte de crédit en disant : — Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis : — J’aimerais bien m’habiller en blanc On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. Après être sortie de la cabine, je dis à Summer : — Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés... — Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter. Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande : — Comment vous me trouvez ? — Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ? — Ben, non. Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic. On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles. Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander : — Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ? — Vas-y. — Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ? Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond : — Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente. — Sérieux ? — Oui... Tu es vraiment mignonne, toi. Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée : — Je n’avais jamais quitté Notasulga. — Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves... Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres : — Est-ce que vous... les fouettez ? — Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux. Elle répond : — Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme. Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit : — Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera. — Oh oui, merci ! — Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves. Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande : — Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ? Je rougis en répondant : — Un peu des deux... On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole. Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce : — On va prendre un petit déjeuner. Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts... A suivre 8 Le sud d'est en ouest Summer m’accompagne dans la pièce qui sert de vestiaire. Je mets mes vêtements de Notasulga, jean et tee-shirt un peu défraîchis. Je lui dis : — J’ai des beaux vêtements, mais... — Tu veux les ménager ? Pas de problèmes. Je remplis un sac avec le peu que j'ai... Le plus important étant les photos et les dessins de Bobby, je lui dis : — Je dois passer un coup de téléphone à un ami pour le prévenir de mon départ. Ça n’a pas l’air de la déranger. J’appelle Bobby pour lui expliquer ce qui se passe : — Un producteur m’emmène à Hollywood ! Dès que j'ai la possibilité, je te dis où je suis et tu me rejoins. — Oh, oui, je viendrai. N’oublie pas. — Promis, sinon je ne t’aurais pas appelé. Tu seras mon photographe. Bon, je dois y aller, bisous. On retourne dans la salle VIP. Monsieur et Madame, ou plutôt Enzo et Ruby, puisqu’ils ne sont plus mes patrons, sont là, avec Sam. Celui-ci leur dit : — Je ne veux pas vous léser, que voulez-vous en échange ? Enzo répond : — Si c’était possible, on voudrait avoir le secteur ouest. — D’accord, il est à vous. Ils sont ravis. J’ai été échangée contre le secteur ouest ! C’est un peu spécial, non ? Ils m’embrassent et me disent : — Bonne chance, tu deviendras une star. Qu’est-ce qu’ils sont gentils, tout à coup. On passe dans le club, j’embrasse Alan, qui m’a remplacée par la rousse, et puis les filles. Tout le monde me souhaite bonne chance. On sort pour monter dans une voiture. C’est le garde du corps qui conduit, Sam se met devant et nous, les filles, on va à l’arrière. Après avoir collé Alan, je colle Summer. C’est quand même stressant de partir avec des inconnus, la nuit. Son contact me rassure, tellement elle a l’air sûre d’elle. On commence à voir de plus en plus d’indications pour l’Aéroport International Hartsfield-Jackson. Je leur demande : — On va prendre l’avion ? Les deux filles me regardent comme si j’avais dit une grosse connerie. Pussycat répond : — On est à 3500 km de LA. Nous allons traverser tout le sud des USA. Tu as déjà pris l’avion ? — Non, jamais. Et, je ne le dis pas, mais oui, j’ai la trouille. Le garde du corps nous dépose devant l’entrée, puis il va rendre la voiture. À son retour, on va vers la police ou les douaniers, je ne sais pas. Sam me dit : — J’aurais dû penser à te demander si tu avais un passeport. Sinon, un permis de conduire, ça va aussi. Je sors de mon sac ma "social security card", oubliée un jour dans la poche d’un jean mis en machine. Je lui tends. Il la prend entre deux doigts d’un air dégoûté, en disant : — C’est tout ce que tu as ? — Oui... Gros soupir. Il y a du monde en pleine nuit, dans cet immense aéroport. Je suis devant Summer. Le policier regarde ma carte d’un air aussi dégoûté que Sam. Summer, qui est derrière moi, lui dit : — C’est ma cousine et elle est un peu demeurée, Monsieur. Elle a lavé un jean en machine en oubliant sa carte dedans. Il me regarde et je prends un air stupide. Si, si, j’y arrive. Il me dit : — C’est bon, mais il faut demander une nouvelle carte d’urgence. — Oui M’sieur, merci M’sieur. Il vérifie aussi ma carte d’embarquement et on se retrouve devant les portiques de détection. On doit mettre les bagages à main sur un tapis roulant et tout ce qui est métallique sur un plateau. Summer passe, puis moi, juste après. Et là... je sonne. Un policier me demande : — Vous avez du métal sur vous ? Des bijoux intimes ? Après l’avoir regardé, un peu ahurie, pour de vrai cette fois-ci, je lui réponds : — Des bijoux intimes ?? — Des anneaux ou des piercings ? — Non, Monsieur. Pussycat me dit : — Ce sont tes vêtements qui sonnent, enlève-les. Ah ? Bon ! J’ôte mon tee-shirt et mon jean et je passe toute nue dans le portique. Je ne sonne plus, chouette ! J’ai fait ça tellement vite que les policiers n'ont pas réagi... Peut-être parce que ça les amuse. Un homme siffle, un autre applaudit, tandis qu'une mémère grommelle quelque chose sur "l'impudeur des jeunes"... Avec un grand sourire, un policier me dit : — Levez les bras pour qu’on soit sûrs. C’est clair, ils s’amusent. Ils vérifient mes vêtements, mais il n’y a rien de spécial. Un des policiers me dit : — On a passé un bon moment, grâce vous... Vous pouvez y aller, mais, rhabillez-vous d'abord. J’enfile mes vêtements. Sam me regarde, amusé, lui aussi. Il me dit : — On ne passe pas inaperçu avec toi ! Tant mieux. Je demande à Summer : — Il n’y a plus de contrôle ? — Non, on est dans la zone des free-shops. Sam lui tend une carte de crédit en disant : — Je voudrais que tu habilles la petite d’une façon convenable et après, vous nous rejoignez au bar des premières Rhabiller la petite, je n’apprécie pas tellement. Par contre, des vêtements neufs, c’est chouette. Summer m’aide à choisir, je lui dis : — J’aimerais bien m’habiller en blanc On choisit une robe blanche assez décolletée et une petite veste dans les roses. Oui, c’est assez voyant ! Je vais dans une cabine d’essayage assez étroite, je me rends compte que mes fesses dépassent du rideau mal fermé. Après être sortie de la cabine, je dis à Summer : — Vous savez, j’avais des vêtements plus habillés... — Si Monsieur Sam te les offre, autant en profiter. Je tourne sur moi même en faisant voler ma jupe et je lui demande : — Comment vous me trouvez ? — Belle et inconvenante ! Tu ne mets jamais de culotte ? — Ben, non. Elle m’achète encore des chaussures blanches et puis une brosse à dents, des produits de beauté et j’ajoute du Chanel n° 5. On achète aussi un sac pour nos achats. Mes autres vêtements et mes photos sont déjà dans sa valise. Cet aéroport est immense. Il paraît que c’est le plus important des USA pour le trafic. On rejoint les autres au bar des premières classes. Le garde du corps est également là... Je bois du champagne, j’adore... Mon stress diminue grâce à Summer et aux bulles. Sam parle un peu d’une affaire qui le préoccupe. J’attends qu’il y ait un blanc pour demander : — Je peux vous poser une question, Monsieur Sam ? — Vas-y. — Là où j’habitais, près d’Atlanta, il y avait une esclave, je n’en avais jamais vu. On m’a dit que la vente n’était autorisée que depuis quelques jours. Vous en possédez, vous ? Ils me regardent à nouveau tous comme si... je venais de la lune ou de Notasulga. Sam répond : — Oui, bien sûr, on a quatre esclaves. C’est ma société qui gère la vente. — Sérieux ? — Oui... Tu es vraiment mignonne, toi. Ça veut dire "conne", je sais. Je réponds, un peu vexée : — Je n’avais jamais quitté Notasulga. — Évidemment... Alors je t’explique, mon groupe a aidé le Président à être élu et grâce à ça, il nous a accordé différents monopoles, dont les esclaves... Je suis gênée de poser la question suivante, mais tant pis, elle me brûle les lèvres : — Est-ce que vous... les fouettez ? — Moi, non, mais il y a une gouvernante qui est très sévère avec eux et ma fille aime aussi les fouetter. Chez mon frère, il y en a plusieurs et Pussycat en a une ou deux. Elle répond : — Deux et j'aime bien les fouetter. Quand je suis nerveuse, ça me calme. Oh putain ! Cette petite conversation me va droit entre les cuisses. Sam me dit : — Tu pourras visiter l'endroit où on les vend. Ça s'appelle "Slave Paradise". Summer t'y amènera. — Oh oui, merci ! — Tu vas avoir Johnny Hinde comme agent, c’est le meilleur d’Hollywood et je lui ai fourni une collection d’esclaves. Le meilleur agent qui va me représenter et visiter l'endroit où on vend les esclaves, j’adore... Je verrai sans doute des esclaves fouettées. Entendons-nous, je serai juste avec mes esclaves. Sévère, mais juste. Summer me demande : — Tu penses à tes succès ou à tes futures esclaves ? Je rougis en répondant : — Un peu des deux... On monte dans l’avion, en première classe. C’est vraiment luxueux : les fauteuils sont grands et confortables, on reçoit des boissons, même du champagne... On peut manger aussi, je choisis un morceau de tarte aux pommes avec une boule de glace. Bon... tout n’est pas parfait, le décollage me fout la trouille et à un moment, il y a eu quelques trous d’air. Heureusement, je suis à côté de Summer qui somnole. Après avoir fait des milliers de kilomètres en un peu plus de 4 h, on atterrit à LA vers 7 h du matin. L’atterrissage est stressant aussi. Quand on descend de l'avion, je suis heureuse de me retrouver sur un vrai sol. L’avion, même en première classe, ce n’est décidément pas ma tasse de thé. Les formalités à l’arrivée sont beaucoup plus rapides. On ne doit pas passer par un portique où je peux me déshabiller, dommage... Pour moi, tout est nouveau et immense. Heureusement, les regards admiratifs des hommes me rassurent. Pendant que le garde du corps récupère les bagages, Sam nous annonce : — On va prendre un petit déjeuner. Cool, je n’ai mangé qu’un morceau de tarte. On va s’installer dans la cafeteria, je peux enfin commander des eggs and bacon. Ils sont même accompagnés de potatoes. Les autres se contentent de beignets, de fruits et de yaourts... À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 08/12/21
Bien sûr, Bobby ne ressemble pas du tout à Allan. Il n’est pas très grand, pas très costaud, pas très sûr de lui, mais il dessine très bien et ses photos sont splendides. De plus, il a peut-être d'autres talents. Il se jette sur ma chatte la langue la première et ça me fait constater que, oh oui, il fait ça bien ! Pearl m’a bien léchée, de peur d’être fouettée, mais Bobby, c’est un... "natural born pussy licker" (né pour lécher des chattes). Sa bouche et sa langue me titillent délicieusement. Oh ! Il la remet dans sa bouche... mais c’est pour me demander :  — Je peux plier tes jambes ?  — ... Euh, oui... Il replie mes jambes, dans la position du bébé qu’on lange. Ensuite, appelons un chat, un chat, il enfonce sa langue dans ma chatte et puis dans mon cul. Ça, c’est la première fois qu’on me le fait ! Il y a déjà eu des doigts et des bites qui l’ont visité, mais une langue, jamais... Et ça me plaît ! C’est tellement... intime et inconvenant ! Après une courte mais délicieuse romance entre sa langue et mon cul, il remet mes jambes dans une position normale et sa langue se remet à virevolter sur mon clito. Putain ! Il est bon ! Vous voyez, un mec comme Alan, il a l'impression, qu'il vous fait une fleur en vous enfonçant sa bite dans la bouche, mais jamais il n’irait embrasser un minou et encore moins un cul. Sa bouche, il estime qu’elle sert à donner un baiser à sa mère, pas à embrasser le cul des filles. Chacun a sa spécialité : la nuit dernière Alan m’a mis 10 cc de sperme dans la chatte et ce midi, Bobby la nettoie. Ce sont des pensées que je ne devrais pas avoir : ça m’excite trop, mais si je pense au fouet qui claque sur les fesses de Pearl, c’est pire ! Alors je lâche les amarres et le bateau de la jouissance m’emmène sur une mer de félicité ! Ou bien, pour parler normalement, je prends un super pied. Je plaque son visage sur ma chatte et je resserre mes cuisses tandis qu’il me fait jouir. C’est trop bon.... Je le lâche avant qu’il n’étouffe et, comme une chatte qui lape du lait, il nettoie ma chatte mouillée. Je me lève pour m’étirer... Bobby me demande :  — Je pourrai le refaire ?  — Tous les matins, si tu veux. Ses yeux brillent comme ceux d’un enfant qui découvre les jouets laissés par le père Noël... Enfin, moi, je n’ai pas connu ça ! Il me dit :  — Je sais que tu vas partir bientôt. Je pourrai t’accompagner quand tu iras à Hollywood ? Mes parents me versent une rente, je te la donnerai et... Allons bon, voilà autre chose. Est-ce que j’ai besoin de lui ? Oui, pour faire des photos et pour être mon boy, si j’ai envie. Je lui demande :  — Tu m’obéiras ?  — Oui, je te le jure.  — C’est combien la rente ?  — 750 $ par mois... Mouais, pas énorme, mais il peut m’être utile. Je réponds :  — D’accord, je te ferai venir.  — Oh merci Ashley. Pour le taquiner, j’ajoute :  — Mais tu devras laver mes culottes... à la main.  — Ouiiii... Il me donne son numéro de téléphone et prend le mien. Bon, assez joué, je descends vers la terrasse, mon boy sur mes talons. Pearl ne fait aucune bêtise, ça m’énerve ! *** En fin de journée, je pars au club avec Allan. Il y a une nouvelle fille, une jolie rousse et il a l’air très intéressé. On ne s’est pas juré fidélité et bon, je vais partir dès que possible. Vers 23 h, un groupe arrive. Il y a d’abord un homme d’une cinquantaine d’années, très noir de cheveux. Il n’est pas séduisant mais apparemment très sûr de lui, comme tous les riches. Il pourrait être Italien comme Enzo, le patron du club. Une jolie blonde l’accompagne, ça pourrait être sa fille ou sa petite fille... Il y a aussi une femme d’une trentaine d’années, une jolie brune aux yeux bleus. Sans pouvoir expliquer pourquoi, je la sens dangereuse. Enfin, il y a un homme plus jeune et costaud, sûrement un garde du corps. Dès que Ruby voit l’homme, elle dit à une fille :  — Demande à Monsieur de venir immédiatement. Puis elle va au-devant de l’homme en disant :  — Signor Boizano, je suis ravie de vous voir dans notre club. Il lui tend la main et répond :  — Tu es Ruby, c’est ça ?  — Oui, Signor, l’épouse d’Enzo. D’ailleurs, le voici. Enzo s'incline devant le nouveau venu en disant :  — Bienvenue, Signor Boizano, votre visite est un grand honneur. Si je puis vous être utile de quelques façons que ce soit...  — On est ici pour affaire et j’ai entendu parler d’une fille qui serait le sosie de Marilyn.  — Certainement... Si vous voulez, les filles vont vous installer dans la salle VIP et elle va vous rejoindre. Eh ! Je suis connue ! Monsieur ouvre lui-même la porte de la salle VIP. Il fait signe à plusieurs filles de s’occuper d’eux. Ruby me dit :  — Va vite te changer. Tu mets la robe rouge pour faire ton numéro devant le signor Boizano. C’est quelqu’un de très important. Non, pas possible ? À les voir ramper devant lui, je m’en doutais un peu. Après m’être changée, je me donne un coup de peigne. Puis je vais dans le club, par la porte qui donne sur la grande pièce VIP. J’entre et je prends une pose de pin up en demandant avec la voix de Marilyn :  — Puis-je danser pour vous ? Ils sont surpris, eux ! Il faut dire que ma ressemblance avec Marilyn est... comment dire ? Hallucinante. Voilà... Le signor Boizano me répond :  — Je suis venu pour te voir et je ne suis pas déçu, tu es très belle....  — Merci Monsieur. Je clique sur mon iPhone et la musique de "Diamonds" se fait entendre. Le son n’est pas très bon, mais je suis sûre que c’est la vue qui l’intéresse. Je grimpe sur la table. Elle est grande, ce qui me permet de danser en chantant et en me déshabillant. Je fais mon numéro pour el signor. Je commence à chanter :  — The French are glad to die for love (les Français sont heureux de mourir d'amour).  — They delight in fighting duels (ils aiment se battre en duel).  — But I prefer a man who lives (mais je préfère un homme qui vit).  — And gives expensive jewels (et qui m’offre des bijoux coûteux). Moi, je suis tout à fait d’accord avec ces paroles. Je continue à chanter tout en me déshabillant et je termine en saluant... Et... il n’a pas mis de billet sur la table. Je lui dis :  — Ça ne vous a pas plu, Monsieur ?  — Si, si, mais je suis surpris de la ressemblance. Ayant compris que je voulais que son admiration se transforme en espèces, il sort un billet de son portefeuille. Je me retourne et il le glisse entre mes fesses. C’est l’habitude au Club, les clients glissent les billets sous le string, entre les fesses ou ils les posent sur la table. Je le remercie et prends le billet. Oh ! c’est 100 $, mon plus gros pourboire. Je me mets à quatre pattes sur la table pour l’embrasser sur la bouche. Il a l’air surpris, les autres aussi... Peut-être suis-je un peu trop familière ? Je dis aussitôt :  — Pardon, c’était spontané. En regardant la fille qui l’accompagne, j’ajoute :  — Je ne voulais pas... euh... marcher sur tes plates-bandes. Je suis nouvelle et... Elle répond :  — Pas de problèmes, tu peux embrasser mon oncle. Je suis une grande fille, hein tonton Sam ?  — Mais oui, Pussycat. Ils se foutent de moi là, Tonton Sam et Pussycat ? Il me dit :  — Assieds-toi petite, j’ai une proposition à te faire.  — Si vous voulez m’épouser, c’est "oui" tout de suite. D’abord surpris, il finit par rigoler. Je vais m’asseoir sur une chaise en face de lui. À ses côtés, il y a Pussycat et l’autre la fille de trente ans. Il dit à cette dernière :  — Sers-lui un verre, Summer. Ça lui va bien, ce nom Summer. Elle remplit une coupe de champagne et me la tend. Je remercie les yeux baissés car elle m’intimide. Je vide mon verre d’un coup... et je fais un petit renvoi discret. Sam me dit :  — Tu sais qui je suis ?  — Mon plus riche client jusqu’à présent.  — Oui, mais aussi un homme d’affaires. Ma société possède un grand studio à Hollywood et je voudrais t’engager. Oh ! Il se fout pas de moi là ? Je lui dis :  — Sérieux ?  — Oui. Bon, il faudra travailler, apprendre à jouer, à danser, à chanter...  — Oui, bien sûr, je travaillerai dur. Je veux devenir une star !  — Tu es vraiment décidée ?  — Oui. Il me tend la main et je me lève pour la serrer. C’est tout ? On ne signe pas de contrat ? Ça me surprend, mais bon, je viens de la campagne. Summer m’explique :  — Une poignée de main avec Monsieur Sam, devant témoins, vous engage tous les deux. C’est plus important qu’un contrat. Sam, mon nouveau patron, me dit :  — Si tu veux, pars avec nous maintenant. Oui, mais oh ! Ça va trop vite, là ! Il me voit paniquer, tout à coup, car il sort une tablette d'une serviette et dit à Summer :  — Explique-lui. — Oui, Monsieur Sam. Elle me prend la main en disant :  — Viens avec moi. On va s'asseoir côte à côte, à une table du fond. Elle ouvre la tablette, tape quelques mots et me montre le site du studio "New Hollywood Studios" en disant : — Le studio de la société de Monsieur Sam. Ensuite elle me montre un grand casino à Vegas, qui appartient à sa société et enfin,  un site qui s'appelle "Slave Paradise" Vente d'esclaves. Je lui dis : — C'est à lui ? — Oui, sa société est la seule à vendre les esclaves, les shérifs ne peuvent plus le faire. — Et, je pourrai y aller ? — Ce n'est pas encore ouvert, mais je connais tous les gardes. On pourrait y aller et même se baigner à poils sur la plage privée... — Et pendant le voyage, on sera ensemble ? — Oui. — C'est d'accord. On se lève, elle me reprend par la main... D'accord, elle me traite comme une gamine, mais elle me rassure... On retourne près des autres, Summer dit : — La petite part avec nous. À suivre. Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … Les planches originales des dessins des 5 "Mia sans dessous", signées par Bruce Morgan et en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be
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Par : le 30/11/21
Mon Dieu, comme c’est agréable d’être du bon côté du fouet et d’en tenir le manche... J’ordonne à Pearl :  — Appuie le haut de ton corps sur la table, avec les jambes écartées et bien droites, les pieds sur le sol. Elle me regarde stupidement. Je la prends par la nuque pour l’obliger à se pencher, puis à se coucher sur la table. C’est pourtant pas très compliqué. Comme elle est grande et qu'elle a des longues jambes, son buste est plus bas que ses hanches, ce qui met bien en valeur ses fesses. Je les caresse, elles sont chaudes et fermes... Elles seront nettement plus chaudes encore dans cinq minutes. Les filles et Alan me regardent faire tandis que Billy me dessine. Je ferais bien encore un peu durer ce moment agréable... Non, j’y vais. Mon bras se lève et ça fait : Fffffzzzziiiii !  C’est le sifflement du fouet dans l’air, juste avant de s’abattre sur ses fesses. Pearl crie : — Aiiiieeeeee ! Un, merci Maîtresse. Elle compte en plus ! Une belle marque lui barre les fesses. Fffffzzzziiiii ! Le fouet vient à nouveau de frapper ses fesses, mais la trace est décalée. — Aiiiieeeeee !... Deux, merci Maîtresse. Fffffzzzziiiii ! — Aiiiieeeeee ! Trois, merci Maîtresse. Là, le fouet a atteint la base des fesses. Ça doit être douloureux, car, elle commence à gémir nettement plus fort. Je dis aux autres : — C’est amusant, quand je lève le fouet, ses fesses montent comme pour diminuer la distance entre les lanières et elles. Ensuite, elles essayent de s’enfoncer dans la table. Alan répond : — Oui, c’est ce qu’on appelle la danse des fesses. Je lève le bras. Fffffzzzziiiii ! — AaaIIIiiiieeeeee !... Quatre, merci Maîtresse. À nouveau la base des fesses. Cette fois, elle commence à pleurer, la pauvre... Mais ce n’est pas le moment de s’attendrir, il faut lui apprendre à faire plus attention. Fffffzzzziiiii ! — Aiiiieeeeee !... Cinq, merci, Maîtresse. C’était le haut des cuisses ! Elle pensera à moi chaque fois qu’elle va s’asseoir... Bien sûr, une esclave ne peut pas s'asseoir, mais à chaque pas, elle se souvenir de cette correction. Oui, euh... c’est du vécu. Je lui demande : — Tu ne seras plus maladroite ? Elle crie presque : — NOOON... non, maîtresse, je vous jure... — Bien, la punition est finie, tu peux bouger et me remercier de t'avoir corrigée. Elle se met aussitôt à genoux devant moi et, en se baissant complètement, elle couvre mes pieds de baisers mouillés de ses larmes... Au bout d’un moment, je la repousse du pied et Victoria lui dit : — La lessive va se faire toute seule, Pearl ? — Non, Maîtresse. — Tu t’es assez amusée, vas travailler. — Oui Maîtresse. Elle s’en va en frottant discrètement ses fesses qui portent ma signature. Pour tout dire, lui faire ça m’a excitée. D’autant plus que Billy me montre son dessin : c’est moi corrigeant Pearl, bien sûr... Il me dit : — C’est pour toi. — Merci, c’est très gentil. Est-ce que je peux faire quelque chose pour te faire plaisir ? Ses yeux fixent ma chatte. OK, j’ai compris. Je dis aux filles et à Alan : — Ça ne vous dérange pas si je remercie Billy dans la chambre ? Victoria répond : — Tu peux faire ça ici. Encore mieux... Je demande à Billy, qui est devenu tout rouge : — Comment as-tu envie de faire ça, poussin ? — Je vais vous montrer. C’est le seul qui soit habillé, enfin, il a un maillot. Il l’enlève et se couche par terre sur la terrasse en demandant : — Vous pourriez venir sur moi ? Je cherche le meilleur endroit de son corps pour m’asseoir. J’ai trouvé : sa bite ! Bon, ce n’est pas le sexe d’Alan, mais dans mon état d’excitation, je me ferais bien enfiler par un lapin... Euh... non, ils font ça trop vite. Disons plutôt par un Danois (le chien !) Billy a envie de me baiser, mais il veut surtout me regarder. Bon, je m’assieds sur sa bite qui entre dans ma chatte aussi facilement qu’un pickpocket visite votre poche quand vous êtes bourré. C’est la faute de Pearl si je suis aussi mouillée, il faudra que je la punisse ! Billy commence à avoir du spectacle : moi, qui vais et viens sur son sexe dressé en faisant bien bouger mes seins... Ensuite, je les caresse... Billy me dit : — Tu es trop belle ! Je peux te demander quelque chose ? Ça y est, il me tutoie. Est-ce qu'il ne deviendrait pas trop familier, lui ? D'un autre côté, un mec qui a sa bite dans votre chatte, on n’a plus grand-chose à lui refuser, Je réponds : — Vas-y. — Je voudrais te voir de dos. OK, après m’être un peu redressée, je me retourne et j’enfonce sa bite dans mon cul. Faut varier les plaisirs et j’aime ça par derrière. Après mes seins, je fais danser mes fesses pour lui. J’imagine déjà les dessins qu’il va faire. Ah ! Je sens que la bite de mon artiste grossit un peu et il pousse des petits gémissements. J’accélère légèrement et il jouit en moi... J’ai besoin de davantage pour jouir aussi... Je demande aux filles : — Je peux utiliser Pearl pour me... nettoyer ? Wendy répond : — Le nettoyage, c’est son boulot. Juste ! Alors, je crie : — Pearl, aux pieds ! Elle arrive en courant. Ah, vous voyez comme le fouet est utile ! Je me couche sur le dos et je lui montre ma chatte du doigt. Pas besoin d’insister pour qu’elle m’obéisse en collant ses lèvres sur ma chatte. Je sens sa langue pénétrer dans mon vagin. Vas-y, petite esclave, avale tout ! Quand elle m’a bien sucée et léchée, je lui donne un petit coup de talon sur les fesses, en disant : — Plus haut ! Elle lèche aussitôt mon clito. Il ne me faut que quelques minutes pour jouir sur son visage. La vie est belle en dehors de Notasulga ! Elle lèche encore mon sexe, voulant vraiment me faire plaisir. Ou alors, elle veut vraiment éviter le fouet ! Je lui dis : — C’est bon, dégage ! Je suis bien... Il ne manque que les filles à mon tableau de chasse, mais elles sont fidèles, d’après ce que je sais. J’ai pourtant bien l’impression qu’elles donneraient volontiers un coup de canif dans leur contrat de fidélité. D’ailleurs, elles me font un cadeau. Victoria me dit : — Wendy et moi, on a commandé un livre pour toi et on l’a reçu ce matin. Tiens ! Elle me tend un livre, c’est "Les vies secrètes de Marilyn Monroe" de Anthony Summers. Je les embrasse pour les remercier, en dérapant un peu sur leurs bouches. J’ouvre le livre pour regarder les photos... C’est vrai qu’elle est très belle... que toutes les deux, on est très belles. Je lis un passage au hasard : « Durant son mariage avec Arthur Miller, elle arrêta de se montrer nue devant les invités, sauf si c’était des femmes. » Oh ! J’adore l’idée ! Aussitôt, je me plonge dans le livre. Bientôt, j’ai une idée précise de nos points communs : 1 - on se ressemble comme deux gouttes d’eau, l’une plus brune que l’autre avant décoloration 2 - on a une mère droguée, ou folle, ou toxico 3 - on a été dans des familles d’accueil 4 - on n’a pas fait d’études 4 - on adore se montrer nues 5 - on couche facilement et un peu avec n’importe qui 6 - on est toutes les deux narcissiques, mais ça, c’est normal quand on est aussi belles. Il ne me reste plus qu’à suivre la voie qu’elle m’a tracée : aller à Hollywood pour apprendre à jouer, à chanter et à danser. Je deviens une star, j’épouse un homme très riche et je m’envoie tout ce qui a une queue ou une chatte. Par contre, je décide de contrôler ma consommation d’alcool et de ne pas toucher aux drogues sous n’importe quelle forme... Je suis sortie de ma lecture par la voix d’Alan : — On doit y aller dans 15 minutes, Ashley ! Si tu allais faire une petite toilette ? — Oui, j’y vais. Je viens de lire que Marilyn n’aimait pas trop se laver, mais là, je ne vais pas l’imiter, je veux une chatte vraiment fraîche... Elle ne le restera pas longtemps, surtout si Pearl fait une connerie... *** Au club, c’est toujours assez fatigant, mais ça me plaît et j’imite de mieux en mieux Marilyn. Il ne se passe rien de spécial, sauf que je gagne nettement plus d’argent. Bientôt Hollywood ! En rentrant, Alan me baise... C’est la fête à mon cul, ici ! Le lendemain, je me lève vers midi. Alan est déjà descendu. Aussitôt que je fais un peu de bruit, on toque à la porte de façon très discrète, le genre de toc-toc que pourrait faire une souris si elle mesurait 1 mètre 50 et qu’elle ait des doigts... Euh, oublions la souris. Je réponds : — Entrez. C’est Billy qui me dit : — Bonjour Ashley, j’ai entendu du bruit et... J’attends la suite... qui ne vient pas. Pour finir, il me tend un paquet de photos. Je les regarde. Il y a quelques paysages, puis des nus et... des photos de moi, qu’il a faites sans que je le remarque. Il me demande : — Tu n’es pas fâchée ? — Mais non, elles sont vraiment belles. Tu as beaucoup de talent. — Tu pourrais poser pour moi ? — Oui, bien sûr, surtout si tu m’en donnes. — OK et je te ferai un book photo pour Hollywood. Il est au courant de tout, lui ! Je sens qu’il a envie de me dire quelque chose, mais qu’il n’ose pas. Je le rassure : — Si tu as autre chose à me demander, vas-y. — Hier, c’était merveilleux, mais j’aurais tant voulu te.... Ça y est, il bloque ! — Me quoi ? — Te lécher... — Oh, ce n’est que ça ! Mais je n’ai pas encore pris ma douche, tu sais.... — Ça ne fait rien. S’il te plaît... Je m’adosse à l’oreiller et j’écarte les jambes. Si je peux lui faire plaisir avec une chatte collante, pourquoi l’en priver ? Marilyn serait à 100 % d’accord avec moi. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessin. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Les planches originales des dessins signés de Bruce Morgan en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be
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Par : le 18/11/21
Ruby arrive et, un peu à la façon d’une patronne de bordel, elle dit : — Voyons Mesdemoiselles, retournez à vos places ! Je sais bien qu’elle n’a pas fait tout ça pour me faire plaisir, mais ça ne m’empêche pas de lui montrer ma gratitude : — Merci pour tout, Madame. Elle me tend un iPhone en disant : — Tiens, c’est pour toi. Alan te montrera comment l’employer. Après l’avoir encore remerciée, je vais près d’Alan. Je tourne sur moi-même en demandant : — Ma nouvelle coupe vous plait ? — Bien sûr, mais avec une queue tu es très mignonne aussi. Comme ça tu ressembles à Marilyn. — C'est qui ? — Marilyn Monroe, je vais te montrer. C'est gentil... Je lui tends l’iPhone, il m’explique comment ça fonctionne. Je comprends... plus ou moins. Après m’avoir montré comment trouver un extrait d'un film de Marilyn, il me dit : — Va dans la pièce VIP et prends une leçon de séduction. Ah oui, je n’en ai pas encore parlé parce que je n’y ai jamais été, mais il y a une salle VIP... Là, je m’installe à une grande table avec une barre. Je regarde l’extrait de film dans lequel elle danse et chante « Diamonds are the girl’s best friends ». Pour tout dire, je ne la connais pas bien, Marilyn. Dans les familles d’accueil, je n’ai vu qu’un de ses premiers films avec les Marx Brothers où elle avait un tout petit rôle. Dans cet extrait, elle danse entourée de garçons, en remuant ses seins et ses fesses d’une façon très érotique. Par contre, elle chante avec la voix fluette de gamine de 7 ans... Mais en m’exerçant, j’arrive assez facilement à prendre une voix qui ressemble à la sienne. Quant à danser comme elle, là, je devrai m’exercer ! Une fille vient me prévenir : — Tu dois revenir devant, Ashley. — D'accord. Je passe dans la grande salle et je me dirige vers Alan. Arrivée à deux mètres, après lui avoir tourné le dos, je le regarde par-dessus mon épaule en disant avec la voix de Marilyn : — Quand est-ce que tu vas mettre ton gros engin dans mon minou, Daddy ? Ben oui, à force de me coller à lui sur la moto, j’ai envie de le sentir en moi... Il me regarde, très surpris par mon imitation. Les deux filles le sont aussi, et même Ruby. Celle-ci va même jusqu’à me féliciter : — Bravo, tu l’imites très bien, Ashley. Avec la même voix, je lui réponds : — Mais je suis Marilyn ! Elle rit à nouveau, les filles pareil. Ruby ajoute : — Tu n’es cependant pas encore prête à danser comme elle. Ce soir, tu t’habilleras en country girl. Va te changer. C’est vrai que je devrai pas mal m’exercer. Les clients qui sont déjà là ont assisté à la scène... Dès que je reviens, ils me demandent. L’un d’eux va jusqu’à me dire : — C’est merveilleux de voir le sosie de la plus belle femme du 20e siècle se déshabiller pour nous. Attention, si on me fait trop de compliments, je vais devenir trop sûre de moi... Non, je rigole, je le suis déjà assez. D’ailleurs, si j’étais assez souple, j’adorerais embrasser ma chatte à pleine bouche. Une autre chose qui me plaît, c’est me retrouver toute nue au milieu des clients et parfois des clientes, même si ce qu’on fait est limité. C’est plus chaud dans la salle VIP. Mais je n’ai vu personne y aller. Après pas mal de danse, il est enfin 4 h du matin, le moment de la fermeture. Je remets mon vieux jean et mon tee-shirt pour ne pas salir mes beaux vêtements blancs. Alan me donne sa veste et il m’enfourche... euh... non, pas encore, il enfourche sa moto, tandis que je laisse ma veste ouverte pour presser mes seins contre son dos musclé. Ayant beaucoup travaillé ce soir, je suis fatiguée, mais mon désir pour Alan est le plus fort. On file dans la nuit comme des chauves-souris jaillies de l’enfer (chanson « Bat out of hell » de Meat Loaf)... Arrivés au ranch, on monte silencieusement les marches pour aller dans notre chambre. Après avoir enlevé mes vêtements, je lui demande : — J’ai pas mal transpiré en dansant, tu veux que je me lave ou que je mette du déo ? — Surtout pas ! Chouette ! J’aime mon odeur. Dès qu'il est nu, lui aussi, on s’enlace. Le contact de sa peau m’électrise, je me frotte à lui comme une Marilyn en chaleur. On s’embrasse avec passion, puis je me mets à genoux devant lui pour discuter un peu avec sa bite. Oh, il bande ! Et moi, je mouille... Ça va aider à ce qu’on fasse plus ample connaissance dans pas longtemps. J’embrasse les poils de son pubis, j’aime son odeur virile... J’embrasse aussi ses couilles et la hampe de son sexe. Il donne un petit coup de reins. OK, j’ai compris, il veut que l’ADN de ma salive fasse connaissance avec celui de son sexe. Je tire sur la peau pour dégager le gland. Comme ça, son engin a l’air à la fois menaçant et fragile. Je le lèche... Voilà une vraie intimité. J’aime son odeur et son goût, parce qu’il me plaît et que je suis super excitée. Je n’ai pas baisé depuis des jours et même mon majeur ne m’a pas câlinée. Ma bouche va et vient sur son sexe. Par moment, son gland caresse mes amygdales et j’ai le nez dans ses poils, alors que l’instant suivant, il est "seulement" entre mes lèvres... Comme j’aime autant qu’il ne jouisse pas trp vite, mon mouvement se ralentit. Comprenant le message, il me dit : — Couche-toi sur le dos. Ouiiiii ! Il s’allonge sur moi et m’embrasse, tandis que ma chatte se contorsionne pour que son sexe s’enfonce en moi. Ouch ! Ça y est ! Enfin ! Si c’est un éjaculateur précoce, je le tue... Non, c’est une image. Je croise les pieds sur ses reins et l’enfonce au plus profond de mon ventre. Il attrape mes poignets pour les maintenir au-dessus de ma tête, en disant : — Qu’est-ce que tu veux ? — Jouir... — Dis-le mieux que ça. Au point où j’en suis... je réponds : — J’ai trop envie. S’il vous plaît... — Regarde-moi !!!! — Ouiiiiii... Oh ça y est ! Mon bas-ventre se contracte et des spasmes me parcourent... C’est boooonnn....  Voilà. Allez, on se repose maintenant. Ah non, il continue... Ce n’est vraiment pas un éjaculateur précoce. Il garde mes poignets prisonniers de ses mains pour dire encore : — Parle... J’ai juste envie de me reposer... et là, j’ai une idée. Je lui dis : — J’ai envie de sentir votre sperme remplir ma chatte. Je veux des enfants de vous, les allaiter et... oooohhhh, oouii...   Je jouis à nouveau, lui aussi et il remplit mon minou de sa semence. Je suis pleine, je vais déborder sur les draps.... Tout à coup lourd, il se laisse aller et il est lourd sur moi, je lui dis : — J’étouffe ! Il bouge pour que nos corps se décollent, car on est en sueur. Je mets ma main en conque sur ma chatte pour garder son sperme en moi... Pas pour avoir des enfants, bien sûr. Je me mets sur le côté, lui derrière moi. Ma chatte ronronne de plaisir et je m’endors. *** Quand je me réveille,je suis toute seule dans le lit. Alan s’est levé sans me réveiller. Je me lève pour vite aller dans une pièce où il y a un vieux lavabo. Je grimpe dessus pour faire pipi... Ensuite, je pousse un peu, pour éliminer le souvenir de nos étreintes qui est toujours dans ma chatte. Juste après l’amour, c’est super de garder le sperme de son amant en soi, mais le lendemain, quand ça coule le long des jambes, c’est moins glamour. J’en profite pour faire une petite toilette sommaire, puis je m’enduis d’écran total, de la tête aux pieds. De nos jours, le bronzage n’est plus du tout à la mode dans le Sud. Je vais les rejoindre sur la terrasse et, dans une pose de pin up, je reprends ma voix enfantine pour leur demander : — Bonzour, y aurait une petite place pour une fille de la campagne ? Ils sont sciés ! Les filles s’exclament : — Tu es aussi belle que Marilyn ! Et aussi : — Le blond te va trop bien... Ouais, d’accord avec elles... Tommy a pris son bloc et il dessine à toute allure. J’embrasse Alan sur la bouche et les autres aussi, dans la foulée. La seule qui ne dit rien, c’est Pearl. Normal, une esclave n’a le droit d’ouvrir la bouche que si on l’interroge, ou pour donner du plaisir. Je lui dis : — Apporte mon déjeuner. — Oui Maîtresse. Je regarde ses fesses bouger, tandis qu’elle se dépêche d’aller dans la cuisine. Il faut être juste, ces Noires ont une qualité, leurs culs ! J’explique tout ce qui s’est passé : le coiffeur, manucure, pédicure et puis l’iPhone pour imiter la voix de Marilyn... Pearl revient avec mon petit déjeuner pain, beurre et confiture. Il n’y a toujours pas d’œufs au bacon, mais ce n’est pas de sa faute... Juste, c’est juste... Par contre, elle renverse du café en me servant. Là, ça change tout : une esclave maladroite doit absolument être punie. Les autres me regardent pour voir ce que je vais faire. Vous comprenez bien que si je laisse passer sa maladresse, ça me fait perdre la face... et puis, oui, c’est vrai, j’ai trop envie de fouetter ses grosses fesses. Je lui dis : — Le fouet ! — Ouiii... Maîtresse. Elle court vers la cuisine... Soit, elle a hâte d’être fouettée, soit elle veut m’amadouer en me montrant à quel point elle obéit bien. Elle revient se mettre à genoux devant moi, mais je veux d’abord manger. Alan me demande : — Ce sera la première fois que tu fouettes une fille ? — Oui... Après avoir mangé, c’est le moment de m’occuper de Pearl. Je lui demande : — Combien de coups de fouet pour une maladresse ? À genoux, la main tendue pour me tendre le fouet, elle pleurniche : — Dix coups, Maîtresse. — Je pensais t’en donner que cinq, mais c’est toi qui décides, d’accord pour dix. C’est pas très gentil, mais amusant, non ? Enfin, ça dépend si on fouette ou si on est fouetté... Les filles rigolent. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.   Nos 7 livres avec des dessins sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes 6 livres non illustrés à 2,99 € ebook et 6,99 €, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … Les planches originales des dessins des 7 livres publiés par La Musardine, signées par Bruce Morgan et en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr
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Par : le 30/10/21
Pearl est restée au même endroit, les mains croisées et les yeux baissés. Elle est belle : beaux seins, beau cul, longues cuisses, chatte épilée. Alan la rappelle à l’ordre : — Demande à Mademoiselle Ashley ce qu’elle veut. Elle se lève vient aussitôt s’incliner devant moi, en disant : — Que désirez-vous, Mademoiselle ? — Des œufs au bacon, du pain, du beurre et du café. — Certainement Mademoiselle, je vais tout préparer. Elle entre dans la maison. Je dis aux autres : — Je ne sais pas s’il y a tout ça... Wendy, la plus jeune des femmes, répond : — S’il manque quelque chose, elle sera punie. Oh, putain ! Une esclave qu’on peut punir sans raison, je trouve ça... trop injuste. Mais en même temps, c’est très troublant. Alan me dit : — Tu as le droit de la punir et même de la fouetter, mais on ne laisse pas de marques qui durent longtemps ni de blessures. C’est contre-productif et puis je veux pouvoir la revendre un bon prix, si j’ai besoin d’argent. Puis il explique aux trois autres, à mon sujet : — Ruby et Enzo trouvent qu’elle est spécialement belle. Il se tourne vers moi en disant : — Déshabille-toi, qu’ils puissent juger. Je ne demande pas mieux, je suis la seule habillée ici avec le jeune homme. L’instant d’après, je suis toute nue, tournant sur moi-même. Ils me font tous des compliments, trop belle, sublime.... À ce moment-là, Pearl arrive avec un plateau. Elle attend qu’on lui dise quelque chose. Ce n’est sans doute pas ce qu’elle devrait faire, parce qu’Emily lui dit sèchement : — Pose ça sur la table, espèce de gourde ! — Oui, pardon Madame. Elle dépose le plateau. Il y a du café et deux œufs, ce qui est conforme à ce que j’ai demandé, mais avec ça, seulement des beignets et des biscuits. Je m’assieds à la table. Pearl vient se mettre à genoux à côté de moi, en disant : — Pardon pour le pain et le bacon, Mademoiselle Ashley. Elle se baisse et embrasse mes chevilles. J’adore... Alan me dit : — Si tu veux, tu peux l’envoyer chercher le fouet pour la punir. Même si j’ai vraiment envie de... sentir ce que ça fait, j’attendrai qu’elle ait fait une véritable bêtise pour la punir. Sa peur et sa soumission me suffisent... pour le moment. Je lui dis : — C’est bon, je ne te punirai pas cette fois-ci. Elle bredouille des : — Merci, merci Mademoiselle Ashley. Les autres me regardent en souriant... Emily me dit : — Quand tu en as envie, ce n’est pas nécessaire d’avoir un motif. — Oui, j’essaierai, je ne l’ai jamais fait — Tu as raison... Elle sait que tu le feras, mais ni quand, ni comment. C’est comme ça qu’on rend les esclaves soumises. Ma chatte a un... spasme. J’adore ces nouvelles lois. Alan me dit : — Je dois te déposer chez le coiffeur et l’esthéticienne. — Je voudrais d’abord me laver... — Ils le feront au salon de beauté. J’embrasse les filles, puis Bobby. Il me tend un dessin en disant : — C’est pour toi. Oh ! C’est moi toute nue à cheval sur Pearl... C’est super bien fait, je suis trop belle en dessin. Bon, dans la vie aussi... Je lui dis : — Tu dessines trop bien... Si tu pouvais le scanner et me l’imprimer... — Non, tu peux l’avoir. — Merci, c’est super gentil ! Je l’embrasse à nouveau, mais sur la bouche cette fois. Alan me montre les toilettes... Ensuite, je vais vite dans la chambre, glisser le dessin dans mes affaires. Je passe mon jean et un tee-shirt avant de le rejoindre dehors. Comme il fait plus de 30°, pas besoin de mettre une veste. Je monte sur la moto et colle mes seins contre son dos, les bras autour de sa taille. Je me demande pourquoi il ne m’a pas encore baisée... Il ne serait pas gay, des fois ? Je glisse mes mains plus bas pour vérifier s’il y a du matos. Ah oui, il a l’air bien pourvu. Il me demande : — Tu as l’intention de t’agripper à ma bite ? — Je peux ? Il rigole avant de répondre : — T’as tellement envie de te faire baiser ? — Par vous, oui... — Je m’occuperai de toi, ma belle. J’ai hâte de le sentir en moi. Les baisers de Pearl sur mes chevilles m’ont vraiment émoustillée. Il démarre... Je regarde autour de nous. Arrivés en ville, je suis surprise de voir l’animation, au fur et à mesure qu’on s’approche du Centre. On ne passe pas inaperçus, les gens admirent ce costaud et sa gracieuse compagne collée à lui. Il me dépose chez le coiffeur. C’est un beau salon en plein centre. Dans ce cadre très élégant, je suis vêtue d’un jean déchiré et pas très propre et d’un tee-shirt qui ne vaut guère mieux. Aux pieds, j’ai des sandales. Je me sens comme une souillon au bal de la cour. Je dis à la fille qui vient à ma rencontre : — Je viens de la part de Ruby du club... euh... Difficile de dire "House of pussies". Elle me répond aussitôt : — On vous attendait, suivez-moi, mademoiselle. Elle m’installe dans un fauteuil et rapidement, je suis entourée de trois filles. Une pour les cheveux, les deux autres pour les mains et les pieds. Celle qui s’occupe de mes pieds amène un bassin avec de l’eau tiède en disant : — Si vous voulez tremper vos pieds, Mademoiselle... Oui, ça vaut mieux. Il est classe, le salon, je n’ai droit à aucune réflexion, parce que... comment dire ? À Notasulga, je n’avais pas le droit de me doucher tous les jours. À partir d’aujourd’hui, je serai plus soignée. C’est super agréable, ces filles qui s’occupent de moi. Après avoir lavé mes cheveux, la fille me demande : — Vous venez d’arriver à Atlanta ? — Oui, depuis quelques jours. Je viens de Notasulga. — Moi de Calhoun, pas loin de chez vous. Elle est sympa et on est du même coin. Je lui dis : — Vous avez sans doute entendu parler des esclaves. — Oui, c’est nouveau. La patronne va en acheter pour faire le sale boulot. Ça va nous soulager. Les deux autres filles sont d’accord. On est enfin revenu au temps de l’esclavage. On discute, je suis bien... Au bout d’une bonne demi-heure, mes ongles des mains et des pieds sont impeccables et recouverts d’un joli vernis. Je félicite les filles. Deux heures plus tard, celle qui m’a coiffée retourne mon fauteuil et je me retrouve en face d’une fille ravissante : moi ! Je sais, on ne peut pas dire ça de soi-même. Mais si c’est vrai ? La preuve ? Les filles du salon et même les clientes me le disent : « Qu’est-ce que vous êtes belle ! » Celle qui m’a coiffée me donne l’adresse du salon de beauté, c’est dans le quartier. Je vais jusque-là en me faisant draguer encore plus que d’habitude. Là aussi, on m’attend. Une jeune femme se présente : — Bonjour Mademoiselle Ashley. Je m’appelle Éva, c’est moi qui vais m’occuper de vous. Nous allons dans une cabine, elle me dit : — Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table. C’est vite fait et je me sens mieux, sans mes vêtements. Je m’allonge sur la table. La fille me dit : — Vous pourriez lever les bras ? Elle rit un peu avant de dire : — Oh ! mais c’est la jungle là ! Je lui répondrais bien : « Le Seigneur a fait les femmes comme ça », mais bon, c’est un argument qui est devenu difficile à défendre. Elle ajoute : — On va arranger ça. Elle m’épile les aisselles, puis les jambes. Ce n’est pas une partie de plaisir, je dois serrer les dents pour ne pas crier. Elle me dit : — Ce sera moins douloureux la prochaine fois. Tant mieux ! Dès que mes aisselles et mes jambes sont aussi lisses que des savons mouillés, elle me fait un toilettage de la chatte, en épilant même les poils qui tentent de s’évader vers les cuisses et le nombril. Pauvres petits poils... Elle me fait une belle chatte toilettée. Lorsque c’est fini, elle me dit : — Mademoiselle Ruby a apporté ces vêtements pour vous. Aah ? Il s’agit d’une jupe assez courte, d’un chemisier, d’un string et d’une paire de chaussures, pointure 38. Ce sont de jolis vêtements blancs, même les chaussures. Je remercie toutes les filles avant de sortir de l’institut de beauté. J’ai un peu de mal à marcher avec des chaussures à hauts talons.... Je reviendrai me faire coiffer et épiler, surtout si ça fait moins mal la deuxième fois, comme elle me l’a promis. Dans le centre, je pensais m’y retrouver facilement, mais ce n’est pas le cas. Voyant un policer, je lui demande : — Pardon Monsieur, je dois aller avenue Ponce de quelque chose... — Ponce de Leon ? — Oui, c’est ça. — Tu travailles au club "House of pussies" ? Après avoir un peu hésité, je réponds : — Oui, depuis deux jours. — Je viendrai te voir, tu es super belle... — C’est gentil. Il m’explique le trajet. Je me rends compte que mes rapports avec les hommes se simplifient de plus en plus. J’arrive tard au club. Ce n’est pas encore ouvert, mais toutes les filles sont déjà là en petites tenues. Je toque à la porte, Johnny vient me dire : — On ouvre dans 10 minutes, ma jolie. — C’est moi Johnny, Ashley. — Oh mon Dieu, qu’est-ce que ça te change ! J’entre... Au début, les filles ne me reconnaissent pas non plus, puis l’une d’elles dit : — C’est Ashley ? J’entends une autre dire : — Elle est vraiment belle... À suivre. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 20/10/21
On va au bar et Johnny, qui est aussi barman, me demande : — Tu veux boire quelque chose ? — Oui, merci, un truc fort. Il me sert une bière en disant : — Pas d’alcool pour les filles qui dansent, juste quelques bières. Aaah, on ne peut pas picoler ? Un homme costaud vient vers moi, il m’embrasse et me dit : — Bienvenue, petite. Si tu as un problème, c’est moi que tu dois appeler. Il n’est pas mal, le gars. À vue de nez, 1 m 85, 90 kg... Brun, cheveux courts, barbe de deux jours, le nez un peu cassé. Je pose la main sur son bras en disant sur un ton enjôleur : — Ça doit être un plaisir d’être secourue par vous. D’abord surpris, il rit, bientôt. Hélas, notre flirt est interrompu par un homme qui se trouve à une table de quatre et qui me dit : — Hep, la cowgirl ! Viens danser pour nous. Je m’approche de sa table et réponds :: — Avec plaisir... mais je dois vous dire que c’est mon premier jour et que je ne sais pas encore faire de la "pole dance". Je pense que ce sont des hommes d’affaires texans. Ils ont l’uniforme : costume léger et coûteux, deux petits lacets comme cravate et surtout le stetson sur la tête... comme moi. Celui qui m’a appelée répond : — Pas grave, petite. Tu viens d’où ? — Je m’appelle Ashley et je viens de Notasulga. Ils se présentent aussi, mais j’oublie instantanément leurs noms, je retiens juste qu’ils sont de San Antonio, au Texas. On va dire qu’il y a Monsieur X, Y et Z. Monsieur "Y" me demande : — Tu danses vraiment pour la première fois ? — Oui, M’sieur. — Donc tu perds ton pucelage aujourd’hui... — Ben, oui. — OK, vas-y. Je n’ai pas encore la technique pour monter sur la table. Le videur vient me prendre par les aisselles et hop, il me soulève comme une plume. Je le remercie.   Pas facile de danser de la country sur une petite table, surtout avec une barre au milieu. Je la prends pour tourner autour, en faisant voler ma jupe. Comme ils sont plus bas que moi, ça leur donne une vue imprenable sur mes fesses. Après quelques minutes, j’enlève ma jupe et ma ceinture et je recommence à tourner, en me cambrant. J’enlève ma chemise, "Z" l’attrape et fourre son nez dedans. Il a droit à un cocktail de sueurs de filles. Bon, et maintenant ? Au tour du string... C’est "X" qui le prend. Du coup, je suis nettement moins habillée. Il me reste mes bottes, un petit foulard et le Stetson sur la tête. Je sens mes seins et mes fesses bouger au rythme de mes mouvements. J’aime ça... Je remarque que d’autres clients me regardent. Super. Oui, mais... Et les billets qu’on est censé glisser dans mon string...? Je danse encore un moment, puis la musique s’arrête. Je demande à Monsieur "X" : — Vous trouvez que je ne danse pas bien ? — Mais si, petite. Il me montre un billet de 50 $ en disant : — Tourne-toi. J'obéis et il glisse le billet entre mes fesses. Chouette tirelire ! Je veux l’embrasser pour le remercier, mais il se recule en disant : — Interdit. — Oh oui, pardon. — Nous avons un avion à prendre, mais on doit revenir dans deux jours et on aimerait que tu passes à notre hôtel dans l’après-midi. Tu serais dédommagée, bien sûr. Ça te dit ? — Si Madame est d’accord, avec plaisir. Comment ça, "pute" ? Oui, bon, j’ai besoin d’argent, vous vous souvenez du prix d’entrée de l’aquarium, par exemple ? Et puis, ce sont des Sudistes, pas des Yankees. En plus, ils sont propres sur eux et plein aux as. Après leur départ, Madame me dit : — Rhabille-toi, tu vas danser sur la grande scène. Cool... Elle ajoute : — Quand tu seras prête, on mettra la musique. Je m’habille pour aller sur la grande scène. Là, je prends la pose de départ, une jambe en avant posée sur le talon. Je désigne Johnny du doigt et il met la musique, c’est une version rapide de "Ain’t No Honky Tonks in Jail". Je connais. Je tourne sur moi même, fais voler ma jupe, tout bien, quoi. Ruby siffle entre ses doigts pour attirer mon attention, elle fait le geste de retirer son tee-shirt. OK, j’enlève mon chemisier, tout comme sur la table, mais ici, j’ai de l’espace. Ensuite, c’est au tour de la jupe et du string. Je suis presque nue et quand  je tape du talon, mes fesses et mes seins dansent aussi. Les clients applaudissent et sifflent. J’adore ça, c’est vraiment un job qui me convient. Quand la musique s’arrête, je salue et, en me penchant, j’aperçois des petits billets sur la scène. Je les ramasse en tournant le dos aux spectateurs. Ils sont ravis. Assurément, j’ai été dessinée pour ce job : danser la country à poil. Après ça, je danse encore sur plusieurs tables... C’est grisant mais fatigant. Enfin, on approche de 4 h du matin. J’ai remis tout ce qu’on m’a donné à Ruby. C’est sûrement plus que les autres, mais on partage pour éviter les jalousies et favoriser l’entraide. M’en fous, de toute façon, je ne vais pas m’éterniser ici. Je vais près du videur, Alan, pour lui demander : — Vous êtes d’Atlanta ? — Oui, petite. — Dites, vous ne connaissez pas un petit hôtel où je pourrais aller ? — Si tu veux, viens avec moi, je loge dans un vieux ranch avec des amis. — Volontiers, c’est vraiment gentil. C’est ce que j’espérais. Je vais dire au revoir à Ruby et aux filles. Elles sont, elles aussi, pressées de partir. Je vais avec Alan dans le garage du club. Oh, il a une grosse moto. Sur le réservoir, il y a marqué "Avinton Roadster", c’est un modèle que je ne connais pas. De ses sacoches, il sort une veste et il me donne son casque. Je le remercie : — C’est très gentil, vous êtes un père pour moi. Ça le fait rigoler... Il sort la moto et ferme la porte. Je m'imagine derrière lui, les cheveux dans le vent...   Mais, il me dit : — Il fait froid la nuit, mets la veste et le casque. Je fais ce que mon nouveau papa me dit. Il démarre et crie : — Tiens-toi bien à moi. — Ouiiii ! Je me colle à lui comme un rémora à son requin. Je passe les mains sous sa veste pour les croiser sur ses abdos. Il démarre et on file dans la nuit, vous voyez l’image. Un homme costaud, c’est ce qu’il me fallait. Il fait noir, impossible de voir quelque chose en dehors de la route devant nous. Je ferme les yeux, collée à son dos... Une vingtaine de minutes plus tard, on quitte la route pour prendre un chemin qui conduit à un bâtiment dont je ne distingue que les contours. On descend de moto, il me dit : — Il faut faire doucement. Je le suis dans le ranch, c’est vrai que tout est calme... Arrivés dans sa chambre, il allume. C’est ultra-simple : un lit en fer et deux valises avec des vêtements. Au mur, un poster d’un groupe de métal et la photo d’une fille nue. Il me montre un seau en disant : — Si tu dois pisser, c’est ici. Pour le reste, c’est dehors, je te montrerai demain. Je lui demande : — Vous voulez que... je... sois gentille avec vous ? — On verra ça demain, dors. Eh ! Il est sympa en plus. Je fais pipi et bois une gorgée de sa bouteille d’eau avant de me coucher... Alan vient aussi s’allonger, je me mets contre son dos et cinq minutes plus tard, je dors. *** À mon réveil, le soleil inonde une partie de la chambre. J’ai dormi d’une traite. Après avoir refait pipi, je m’habille et je descends. Là, je crie : — Il y a quelqu’un ? Aussitôt, une jolie fille arrive en courant, elle s’incline en disant : — Bonjour Maîtresse, je m’appelle Pearl et je suis à votre service. C’est une jolie blonde complètement nue, avec un collier de fer autour de cou. Est-ce que je rêve ? Je me frotte les yeux, mais, au moment de les rouvrir, elle est toujours là – tête baissée attendant les ordres. J’ai compris ! La moto de Alan est semblable à la DeLoreane du Doc dans le film "Retour vers le futur". On a fait un bond dans le passé et je suis revenue au temps de l’esclavage ! Super, j’aurai mes propres esclaves ! Je réponds à la fille : — Bonjour Pearl, tu sais où est Alan ? — Suivez-moi Maîtresse, je vais vous conduire. En la suivant, je vois deux marques sur ses jolies fesses. Je lui dis : — Toi, tu as été fouettée. — Oui Maîtresse, je n’ai pas obéis assez vite à un ordre. Oh putain, le pied : non seulement il y a des esclaves, mais en plus, on peut les fouetter ! Je passe la main sur ses fesses pour sentir les reliefs laissés par le fouet. Je lui dis  : — Ça doit faire mal ! — Oh oui Maîtresse — Tu es souvent fouettée ? — Moins qu’au début, Maîtresse, je commence à être bien dressée. — Et tu appartiens à qui ? — À Maître Alan, Maîtresse. Il a une moto, des muscles et une esclave : quel homme ! On traverse une grande pièce. Il y a une table, des chaises, deux vieux divans. Le seul objet moderne, c’est une grande télé. On va dans le jardin. Alan est là, assis autour d’une table avec trois autres personnes. Il y a un couple de filles nues, qui n’ont pas l’air d’être des esclaves, et un jeune homme avec une petite barbe. Je leur dis : — Bonjour à tous. Je vais embrasser Alan. Il fait les présentations : — Voici Ashley qui travaille au Pussy. Puis, à moi : — Voici Victoria et Wendy. Je les embrasse. Wendy a 20 ans de moins que son amie – et enfin le jeune homme nommé Bobby. Après m’être assise, je leur dis : — C’est la première fois que je vois une esclave. C’est Victoria qui me répond : — Alan a été un des premiers à en avoir une. Un service rendu à quelqu'un de très important. C’est ça, Alan ? Il rigole avant de m’expliquer : — J’ai effectivement donné un coup de main à quelqu’un d’important et pour me remercier, il m’en a fait cadeau. — À Notasulga, d'où je viens je n'ai jamais vu qu'une esclave et encore c'était peut-être une servante. — C’est normal, la loi a été votée il y a peu de temps. Elle concerne tous les délinquants. Le juge peut transformer leur peine de prison en amende et si les condamnés sont incapables de la payer, on les vend. C’est un grand progrès : à la fois une économie, puisqu’il ne faut plus les entretenir en prison, et une rentrée d’argent. Tu es pour le rétablissement de l’esclavage ? — Oui, comme tous les Sudistes. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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Par : le 05/10/21
362 - 2 - Atlanta. Je bois encore une bière, on se rhabille et on s’en va. Je somnole dans la voiture, tandis qu’elle me répète à quel point je lui plais. Oui, j’ai bien compris, là... On arrive à Atlanta, putain, ça c’est une ville ! Surtout pour une fille de Ploucland comme moi... On arrive dans le centre. Elle me donne encore quelques conseils et son numéro de téléphone, puis ajoute : — Tu m’appelles et je viendrai où que tu sois. Cool... Elle me donne aussi 100 $. Encore mieux, je double ma fortune. Je la remercie et je l'embrasse... Oh, elle a l’odeur de ma chatte... C’est mignon. Je sors de la voiture. Elle agite la main, oui, bye, bye... J’achète le journal d’Atlanta pour voir les offres d’emplois... Une carte de la ville m’indique que je suis à côté de l’aquarium d’Atlanta, le plus grand du monde... Là, je serai au frais et à l’ombre. Je pourrai lire les annonces en compagnie des requins-baleines. Oui, il y en a ! Je décide d’y aller et je me retrouve devant un immense bâtiment. Je fais la file devant un guichet. La fille me dit : — C’est 50 $. Ils sont fous ? C’est le quart de tout l’argent que je possède. Je réponds : — Mais, c’est énorme ! — C’est le plus grand aquarium du monde, Mademoiselle. Il y a des murmures dans la file derrière moi, bon, ce sera sans moi, je m’en vais. J’aperçois le Centennial Olympic Park. J’espère que là, ce sera gratuit... J’achète un coca, un paquet de chips et je vais m’installer à l’ombre d’un banian (c’est indiqué sur le tronc). Je l’ai déjà dit, pour diverses raisons dont je parlerai pas, mes études ont été courtes. N’ayant aucun diplôme, je commence par éliminer tous les emplois où il en faut... Il me reste serveuse ou vendeuse, ce sont des boulots fatigants et mal payés. Merde ! Les dernières annonces sont plus intéressantes : "Cherchons danseuses, même débutantes – gros gains". Ah ouais, voilà ce qu’il me faut. Mais, il y a plusieurs petites annonces pour des danseuses et des strip-teaseuses. Comment en sélectionner une plutôt qu’une autre ? Demander à un flic ? Peut-être. Et là, j’ai une idée : demander à un chauffeur de taxi. Ils doivent déposer des clients dans ce genre de boîtes et connaître celles qui sont les mieux. Retour dans le Centre, jusqu’à ce que je trouve un taxi. Après être montée dans la voiture, je lui dis : — Vous pourriez me donner un conseil ? Je suis danseuse et je voudrais me présenter dans la meilleure boîte d’Atlanta. Le gros chauffeur se retourne, très intéressé. Il me demande : — Des boîtes de strip-teases ? — Oui... — Montre-moi tes nichons et je te conduis jusqu’au meilleur établissement sans te faire payer. Je lève mon tee-shirt jusqu’au menton et je me cambre un peu. Quelques passants sont surpris ! Le chauffeur siffle, puis annonce : — C’est partiiii... Ça commence pas mal du tout, cette nouvelle vie. Mon instit' m’embrasse le minou et ça me rapporte 100 $, puis un chauffeur de taxi me renseigne et ne me fait rien payer, simplement parce que je lui ai montré mes nichons. J’aurais dû essayer avec la caissière de l’aquarium ! Le chauffeur me demande : — Tu viens de la campagne ? — Oui de Notasulga. Ça s’entend ? Il rigole avant de répondre : — Ouais, mais c’est mignon. La course ne dure pas longtemps, il s’arrête en face d’un établissement qui ne joue pas dans la discrétion. Il y a du néon, des photos de filles et il s’appelle "House of pussies." (La maison des chattes). Le chauffeur me dit : — C’est ici. On est Ponce de Leon avenue, retiens-le. — Oui, merci monsieur. — Tu seras sûrement engagée. Je viendrai te voir. — Avec plaisir. Surtout s’il me met des billets dans mon string... — Allez, bonne chance petite. — Merci pour tout... à bientôt. Sur la façade de la boîte, il est indiqué "Des filles dansent pour vous toute la nuit." C’est fermé, mais il y a de la lumière et je vois un écriteau : "De 20 h à 4 h du matin". Merde, il est 19 h. Je frappe à la porte. Un jeune homme arrive et, derrière la vitre, il tape du doigt sur sa montre. En langage des signes, ça veut dire "Reviens plus tard, ce n’est pas encore ouvert, belle étrangère." Alors je fais ce qui a marché avec le chauffeur de taxi : je lève mon tee-shirt et je secoue un peu mes nénés en levant mes bras au-dessus de la tête. En clair : "Je viens me présenter comme danseuse, beau jeune homme.". Ça marche ici aussi ! Il ouvre la porte en disant : — Tu veux te présenter pour danser ? — Oui, M’sieur. — Moi c’est Johnny. Tu peux attendre les patrons ici, mais tu m’aides. — D’accord, merci. Après être entrée, je lui dis : — Vous croyez qu’ils m’engageront ? — Retourne-toi. Je lui montre mes fesses, il dit : — Ce serait une grosse connerie de ne pas le faire. J’adore Atlanta ! À l’intérieur, c’est très tape-à-l’œil, mais ça me plaît. Il y a pas mal de tables, certaines avec une barre au milieu. Johnny m’explique que c’est pour le pool dance, les filles qui se tortillent en se tenant à ces barres. Il y a aussi une assez grande scène et plusieurs petites. Il me dit ce que je dois faire, mettre les chaises autour des tables, puis des menus de boissons. On parle. C’est un étudiant qui travaille ici pendant les week-ends. Je lui demande : — C’est aussi toi qui nettoies  ? — Pour le moment, oui, mais à la prochaine vente, ils vont acheter deux esclaves pour le sale boulot. Ouch ! Mon bas-ventre se crispe. J’imagine qu’une esclave ne nettoie pas bien une toilette. Sa patronne lui frotte le nez sur une tache qu’elle a laissée, puis la fouette. Je sors de ma rêverie car un couple entre dans le bar : un homme d’une cinquantaine d’années, grand, costaud, noir de cheveux avec une petite moustache, accompagné par une nana qui pourrait être sa petite fille. Jolie, certes, mais pas sympa non plus. Elle dit à Johnny : — On ne te paye pas pour faire venir tes petites amies ! Je réponds vite avant lui : — C’est ma faute Mademoiselle, je... — Madame, pas Mademoiselle ! Et ce n’est pas à toi que je m’adressais. Quelle garce ! Je veux mon instit' ! Restant très calme, Johnny répond : — Elle m’a montré ses seins et je me suis dit qu’elle vous plairait. Elle me jette un regard un peu méprisant, avant de me dire : — Déshabille-toi. Yes !  Quand ils me verront à poils, ils m’engageront. Sauf que... je ne suis pas sûre de vouloir travailler pour eux. J’enlève mon jean, mon tee-shirt et mes baskets. Je serais mieux en hauts talons, bien sûr. Elle dit : µViens voir la fille, Minou. µOui, Poussin, j'arrive. "Minou" se pointe. C'est mon deuxième minou de la journée, mais celui-ci est nettement moins sympa. Il dit : — Belle fille... Johnny, mets de la country. — Oui, M’sieur Enzo. Enzo, c’est mieux que Minou. Bon, je ne sais pas danser... à part sur de la country. Il me manque des bottes pour faire claquer les talons. Tant pis, je m’y mets quand même. La country à poil, c’est spécial ! Je croise d’abord les jambes, les mains tenant ma ceinture... que je n’ai pas ! Je démarre en tournant sur moi même et en soulevant un chapeau... que je n’ai pas non plus. C’est trop bête, je m’arrête pour leur dire : — Ça ne me dérange pas de danser à poils, mais il me faut un stetson, une ceinture et surtout des bottes. Je pense "Et si ça vous plaît pas, j’irai ailleurs". Enzo-Minou dit à Poussin : — Elle est belle et elle danse pas mal. Tu la veux ? Le poussin hésite, puis il dit : — Oui, on pourra en faire quelque chose... Elle a de belles fesses. — C’est vrai, et des beaux seins aussi. — Mais il faudra la faire toiletter un peu, car sa chatte, c’est la forêt vierge. — OK, on fera ça. Eh ! Je suis là, j’entends tout, vous pouvez me parler ! Enzo me dit : — Tu viens de la campagne ? Je réponds en accentuant mon accent : — Yep m’sieur, j’viens direc' de Notasulga. Ça fait rire Minou, Johnny et même Poussin. Celle-ci me dit : — On va te prendre une semaine à l’essai, mais s’il y a un truc qui cloche, genre tu as tué quelqu’un dans ton bled ou tu as fait un casse, dis-le maintenant car on finira bien par le savoir. Elle est folle ! Je réponds : — Non, Madame, j’ai tué personne... — Tu as 18 ans ? — Oui, depuis aujourd’hui. — Tes papiers sont en règle ? — Bien sûr. Elle se tourne vers lui en disant : — C’est une plouc, mais vraiment belle. — On la prend, Kate. Ah, poussin s’appelle Kate. Celle-ci répond : — D’accord. Puis, à moi : — Viens dans le bureau. — Merci Madame, je peux me rhabiller ? — C’est pas nécessaire. Ah, encore une chose, tu es d’accord pour te faire coiffer et épiler ? — Oui... bien sûr. — Et puis tes mains ne sont pas soignées, tes ongles sont cassés et sales. Quant à tes pieds, je préfère ne pas les regarder de près. Je lui balancerai bien ledit pied dans la figure, comme réponse... mais c’est vrai qu’à Notasulga, on n’est pas très soignés. Je prends mes vêtements pour la suivre dans un petit bureau. Après lui avoir donné mes papiers, elle remplit un contrat que je signe après l’avoir lu rapidement. De toute façon, je ne compte pas passer ma vie ici. Kate me dit : — Tu veux commencer ce soir ? Elle est plus sympa depuis que j’ai signé ce contrat. Je réponds : — Oui, Madame... On va dans une grande pièce très éclairée. Une dizaine de filles se coiffent et se maquillent. En fait, il y en a exactement neuf, toutes avec des beaux seins.. Elles lancent en chœur : — Bonsoir Madame ! — Salut les filles, voici une nouvelle. Elles me regardent et disent : — Elle a des poils, Madame ! — Elle est belle... C’est évidemment la dernière qui a parlé que je trouve la plus sympa. Kate lui dit : — Jill, trouve-lui le costume de cowgirl et un string propre. — Il est au linge, Madame... je vais le chercher. Les filles s’habillent. Normal, puisque leur boulot, c’est... se déshabiller. Elles ont chacune un déguisement différent : pirate, bonne sœur, danseuse du ventre, clown, policière, écolière, Superwoman, soldat... Jill revient avec mon déguisement. Elle-même est habillée en... femme d’affaires : tailleur noir mais minijupe, talons hauts, lunette... Moi, je m'habille en cowgirl pas très fraîche : jupe ample qui arrive au-dessus du genou et qui s’envole quand on tourne, chemise à carreaux qui sent la sueur, foulard, ceinture et bottes courtes... Sur la tête, un stetson et un string propre entre les fesses. C’est comme à la fête du village de Notasulga, sauf que là-bas, la jupe est plus longue et la culotte beaucoup plus grande. Madame me dit : — On t’apprendra le pole dance... Tu devras aussi danser sur les tables des gens qui te choisiront et te déshabiller en les prévenant que c’est ton premier jour. À un moment, on mettra de la country pour que tu ailles plutôt danser sur la grande scène. Elle dit à toutes : — On y va, les filles. Nous nous rendons dans la salle. Il y a déjà quelques clients. Me mettre nue ne me pose pas de problème, vous vous en êtes peut-être rendu compte... Par contre, danser sur une table ou sur une des scènes, j’ai le trac... Je prends la main de Jill, celle qui m’a trouvée belle, pour lui demander : — Tu m’aides un peu, hein ? — C’est pas difficile, il suffit de te mettre à poil sur leurs tables, ils ne peuvent pas te toucher. Aaah ? Ils payent juste pour voir... Elle ajoute : — Tu peux accepter des rendez-vous, mais surtout, tu le dis à Madame. Elle sait tout. — Merci, tu es chou...   A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.   Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
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Par : le 21/09/21
Notasulga, Alabama, le 6 juin 2028 Dix-huit ans, enfin ! Ce matin, je quitte la famille chrétienne qui m’accueillait. J’ai un sac avec quelques vêtements, une brosse à dents, deux livres... Je n’ai vécu avec ma mère que sporadiquement, entre ses séjours en cure de désintoxications. Je n’ai jamais connu mon père... À son sujet, ma mère a plusieurs versions. La mienne est qu’il s’agissait d’un client. La dope, ça coûte cher... J’ai un peu d’argent reçu à droite à gauche et parfois "trouvé", si vous voyez ce que je veux dire. Je me devais de parler de mon enfance, c’est fait, donc je n’y reviendrai plus. En ce qui me concerne, je mesure 1 m 65 et pèse 55 kg, mes mensurations sont 92 cm de tour de poitrine, 88 cm de tour de hanche et 62 cm de tour de taille. J’ai des cheveux bruns et des yeux gris-vert. Mon visage est régulier, j’ai un petit nez et une bouche ourlée naturellement. Je plais beaucoup aux garçons et même aux filles... Je sais que mon accent du Sud est prononcé, mais ça, je peux y remédier. Je manque aussi d’instruction, ça peut également s’arranger. Je mise tout sur mon physique. Mon but, c’est la ville, la vraie : d’abord  Atlanta, la capitale du Sud, ensuite Los Angeles. Là, je rencontrerai des hommes riches et j’aurai une vie de luxe. Dans mes rêveries, je m’imagine en robe blanche épousant un vieux bonhomme richissime... Je vais embellir ses dernières années ou, encore mieux, ses dernières semaines. Pour commencer, je dois parler de la situation politique. En 2024, le sénateur du Mississippi, John D. Birch est devenu le nouveau président des États-Unis. C'est un Républicain pur et dur. Les démocrates disent qu’il a eu le soutien du KKK et des partis ultranationalistes. Peut-être, mais ça n’empêche pas que ce sont les Américains qui l’ont élu. Le président Birch a fait campagne en parlant de l'insécurité et des mesures qu'il compte prendre pour y remédier. Comme emprisonner les gens coûte très cher à la société, il a fait voter la loi suivante : un condamné à une peine de moins de dix ans doit payer une somme d'argent qui remplace la peine de prison. S'il refuse, il sera vendu afin de payer sa dette. L'état et les citoyens ne sont plus obligés de dépenser de l'argent pour entretenir des prisonniers, au contraire, l'argent de la vente des délinquants permet d'améliorer la vie de tous. D'autre part, les gens qui sont vendus deviennent une main-d'oeuvre particulièrement bon marché. Tout le monde en profite, aussi bien les entreprises que les particuliers. À tel point que des sociétés étrangères viennent s'installer aux États-Unis, attirés par cette main d'oeuvre. Y compris des usines chinoises. Bien sûr, ces amendes à payer favorisent les riches et la classe moyenne. Les gens revendus sont principalement des "petits Blancs", des Noirs et des Hispaniques. On prétend que les juges fixent des amendes très importantes quand il s'agit de jolies filles. Ça me rend très prudente, mais c'est leur but... On parlait beaucoup de cette situation dans ma dernière famille d'accueil. Ils disaient même "Quand on n'aura plus Ashley, on achètera une fille ou deux." Cette loi est très récente et à Notasulga, il n'y avait que quelques esclaves. Tout le monde les appelle des esclaves. Il y avait surtout des ouvriers agricoles et quelques servantes, noires et blanches. Par exemple, un riche propriétaire terrien avait deux esclaves comme servantes. Il est très facile de les reconnaître car elles ont des colliers de fer ou d'un autre métal autour du cou. J'ai assisté à une scène qui m'a marquée : dans la cour de la grosse ferme, une esclave blonde était couchée sur une grosse souche, la jupe relevée et ses fesses blanches à l'air. Une femme la fouettait tout en l'engueulant pour sa paresse. J'étais fascinée par le claquement du fouet sur les fesses, les plaintes de la fille, les reproches de sa patronne... Je repensais tout le temps à cette scène. J'ai donc décidé de devenir célèbre et d'avoir des esclaves que je punirais... si elles le méritent, bien sûr. Ah oui, je m’appelle Ashley Stirland... et mon but, c'est d'aller à LA pour devenir une vedette. Sur le Net, dans des films ou tout autre support. Ayant quitté Ploucland sans aucun regret, je marche sur le bord de la route avec mon petit sac et je fais de l'auto-stop. Pas besoin d’agiter le pouce longtemps,  mes fesses – vraiment à l’étroit dans mon jean – se chargent du boulot. Il y a 125 miles jusqu’à Atlanta. La première voiture qui s’arrête, c’est... Madame Mosby, qui a été mon institutrice. Elle me demande : — Bonjour Ashley, tu veux que je te dépose ? — Bonjour Madame. Volontiers, mais je vais à Atlanta. — Tu quittes le village ? — Oui, j’ai 18 ans aujourd’hui. — Oh ! bon anniversaire. Tu veux que je te dépose à mi-chemin ? J’ai juste le temps. Elle a toujours été spécialement gentille avec moi, alors, je lui souris en répondant : — Volontiers, merci. Après être montée dans la voiture, elle dit tristement : — C’est peut-être la dernière fois qu’on se voit. — Mais non, je reviendrai au village voir mes copines et vous. On discute un peu du passé, je vous passe les détails. Elle me demande quels sont mes projets... Impossible de lui dire que je veux épouser un millionnaire de 95 ans, alors je réponds : — J’ai rendez-vous dans un restaurant du centre pour un job. Elle me parle des dangers des villes pour une belle fille dans mon genre. Moi, j’entends "bla-bla-bla", comme si on était en cours... Et puis elle pose sa main droite sur ma cuisse en disant : — Tu as toujours été ma préférée et la plus belle élève que j’ai jamais eue. Oh !! Je sais bien que je lui plais, mais je ne l’imaginais pas me caresser les cuisses. Elle est gentille, mais avec sa cinquantaine d'années bien en chair, c’est un peu comme une bonne tante. Vous voyez ? Elle ajoute : — Je serai malheureuse de ne plus te voir. Elle ne va pas pleurer quand même ! Je réponds : — Je vous promets de venir vous voir... Je vous aime bien aussi. J’ai même rêvé que nous nous embrassions... Là elle devient toute rouge et bredouille : — Et, euh... tu... aimais ? — Oh oui ! Surtout que vous embrassiez mon minou. Coup d’œil de madame l’institutrice. N’en croyant pas ses oreilles, elle me redemande : — Tu aimerais ? — Ben oui, toutes les filles aiment qu’on leur embrasse le minou. — Si tu savais le nombre de fois que j’ai rêvé de toi. On partait toutes les deux et... OK, je vois. Je sais que je suis le fantasme de pas mal de mecs, mais de mon institutrice, ça me plaît. J’attends une proposition concrète... Ah, la voilà : elle me dit : — Si tu veux, on roule un peu et puis on s’arrête pour manger dans un resto à côté d’un motel, pour... euh... — M’embrasser le minou ? Elle rit, puis répond : — Oui... — Vous léchez bien ? — Oui... et je te donnerai un peu d’argent. Cool... Je réponds : — Votre programme me plaît... Il me fait même mouiller. Nouveau coup d’œil. Tante Mosby aime les filles ! Dingue ! Se faire lécher la chatte par son institutrice, ça c’est rock 'n roll, non ? Une sorte de revanche sur les familles chrétiennes pures et dures. On roule encore un peu, avant qu’elle ne s’arrête devant un restaurant. On mange, on boit une bière... Elle me regarde en se léchant les babines, pas à cause du hamburger, mais à l’idée de se retrouver entre mes cuisses. Quand on a fini, nous sortons et je mets ma casquette sur la tête. Elle me demande : — Tu crains toujours le soleil ? Oh, elle se souvient de ça ? Je réponds : — Oui, je bronze très vite et je n’ai pas envie qu’on me prenne pour une Métisse ou une Hispanique. — Pas de danger, ma chérie. Je suis sa chérie ! Je m’imagine en classe, elle me dit : "Tu as 10 sur 10, ma chérie." Après avoir fini de manger, elle va au bureau pour payer la réservation d’une chambre. Je l’attends à l’ombre. À sa sortie, je lui dis : — J’ai soif, prenez des bières. — Oui, pardon ma chérie, j’y vais. — Dépêchez-vous, j’ai vraiment soif. Elle court presque et revient avec un pack de 6 bières. Il faudra qu’elles soient fraîches, sinon, elle retourne. On va dans la chambre. Elle me prévient : — Je dois faire pipi. Ou se laver la chatte, mais je n’ai aucune intention de la lécher. Je vais lui faire une surprise : j’enlève mon jean, mon tee-shirt, mes baskets et je m’allonge, nue, sur le lit, un bras sous la tête. Elle sort du cabinet de toilette et stoppe net en me voyant ! Je lui plais, y a pas de doutes. J’écarte mes jambes pour qu’elle puisse enfin voir la chatte d’une de ses élèves. Quoique, je n’en sais rien après tout. Elle me murmure : — Tu es trop belle, Ashley... Je n’imaginais que tu avais d’aussi beaux seins. Normal, je devais mettre les vieux vêtements des femmes chez qui j’étais et c’était généralement beaucoup trop grand. Je lui lance : — Déshabille-toi ! La tutoyer et lui donner des ordres, quel plaisir ! Elle enlève sa robe et ses sous-vêtements. Elle est effectivement dodue, mais ça me plaît quand même. Tout est rond : son cul, son ventre, ses cuisses... Même ses seins qui pendent un peu... Je lui dis : — Sers-moi à boire. — Oui Ashley. Elle va ouvrir la bière, prend un verre... Je la préviens : — Sans trop de mousse. Putain, si les copines pouvaient nous voir ! Elle me donne la bière. Je bois goulûment, tandis qu’elle s’assied au pied du lit. Après avoir bu, je lui demande : — Alors comme ça, je te plais ? — Oh oui... Je lève une jambe et lui caresse la joue avec le pied. Aussitôt, elle tourne la tête pour l’embrasser. Ah oui, là, je sais que je lui plais, parce qu’un pied qui sort d’une basket, quand on a marché le long d’une route par 30 ° à l’ombre, c’est... spécial. Mais mon poussy, faut qu’elle le mérite. Donc je la provoque : — Demande-moi la permission de me lécher. Sans hésitation, elle commence : — Ashley... Mais je la coupe : — À genoux et c’est « Mademoiselle Ashley ». Obéissant immédiatement, elle s'agenouille pour me dire : — Mademoiselle Ashley, permettez-moi de lécher votre minou. Oh, putain ! C’est mon institutrice qui vient de dire ça ! Ça me fait mouiller, la voir s’aplatir de cette façon ! Je lui réponds : — D’accord, mais commence par l’embrasser. Elle couvre ma chatte de baisers. J’adore voir ses cheveux gris entre mes cuisses et sentir ses lèvres m’embrasser avec passion... Bon, on va monter d’un cran : — Maintenant, lèche-moi vraiment, petite chienne. Ouch ! Sa langue est partout depuis mon clito jusqu’à mon trou du cul... Je n’ai pas pris le temps de prendre une douche ce matin, mais là, ma chatte va être nickel. N’importe quelle fille qui se fait lécher par son institutrice vous le dira : c’est super excitant ! Je ne vais pas tenir... J’ai l’impression que mon minou se rétracte et puis tout se relâche et je jouis sur son visage en le plaquant sur mon bas-ventre. Elle continue à lécher doucement tandis que je caresse son dos avec mon pied... Je l’arrête : — J’ai soif ! — Oui Ashley. Elle me sert encore une bière... Jusqu’à présent, tout se passe bien. Bon, je ne me fais pas trop d’illusions, tout le monde ne va pas être à mes ordres comme elle. Elle me demande : — Je peux vous embrasser... euh... le corps, Mademoiselle Ashley ? J’attends un peu avant de répondre négligemment : — Oui... Elle m’embrasse du cou aux chevilles, en passant par les seins, le nombril, le pubis, les genoux... C’est amusant, mais bon, la récré se termine. Je lui dis : — On doit repartir, il faut que je voie quelqu’un dans le centre pour un boulot. Je bois encore une bière, on se rhabille et on s’en va. Je somnole dans la voiture, tandis qu’elle me répète à quel point je lui plais. Oui, j’ai bien compris, là... On arrive à Atlanta, putain, ça c’est une ville ! Surtout pour une fille de Ploucland comme moi... On arrive dans le centre. Elle me donne encore quelques conseils et son numéro de téléphone, puis ajoute : — Tu m’appelles et je viendrai où que tu sois. Cool... Elle me donne aussi 100 $. Encore mieux, je double ma fortune. Je la remercie et je l’embrasse... Oh, elle a l’odeur de ma chatte... C’est mignon. Je sors de la voiture... Elle agite la main, oui, bye, bye... A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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