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mia michael

mia michael

femme soumise. Vit à Bruxelles, Bruxelles, Belgique. 44 ans. est marié(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 25/07/22
On prend le sentier qui serpente entre des arbustes et des fleurs, pour arriver dans la clairière où Monsieur Sam mange avec deux Chinois. Je leur dis : — Bonjour Monsieur Sam, bonjour Messieurs. Les Chinois ouvrent des grands yeux en me voyant, ce qui est un exploit pour un Chinois. Ils ont l'air de beaucoup apprécier mon anatomie. Monsieur Sam me dit : — Tu n'embrasses plus... — Si si.. Je l'embrasse sur la bouche, puis j'embrasse les deux Chinois, très surpris. J'ai pris une enveloppe et j'en sors deux photos et deux dessins faits par Johnny à Atlanta, en disant : — Je voudrais le faire venir pour faire des photos et me dessiner. Il répond : — C'est pas mal du tout et puis tu as beaucoup de crédit pour le moment. D'accord, on lui trouvera quelque chose. — Merci Monsieur, c'est très gentil... Une dernière petite chose, si on a besoin de figurantes, j'ai rencontré deux jolies filles, une métisse et une hispanique. Il prend le papier avec les numéros de téléphone en disant : — D'accord, j'ai vu la scène où tu pisses sur une esclave, c'était très joli... Continue comme ça. Tu saais que tu peux compter sur moi. Bon, tes cinq minutes sont passées. — Merci Monsieur Sam. Un des Chinois dit quelque chose... en chinois. Monsieur Sam me dit : — Ah Ashley, avant de partir, danse pour mes amis chinois. — À poil, M'sieur ? — De préférence... J'enlève mes voiles et je danse... comme sur une table pour des clients... Mieux, je vais près d'eux, je prends leurs mains et je les colle sur mes seins et mes fesses...   Je crois que les Chinois n'ont pas compris que j'étais une future star de cinéma, car ils sortent des billets de leurs portefeuilles et ils me collent des billets de 100 $ entre les fesses. Ils sont bourrés de savoir-vivre, ces Chinetoques... Pour les remercier, je m'assois sur leurs genoux, au risque de mouiller leurs pantalons... Oui... ça m'excite quand on me met des billets entre les fesses. Sam me dit : — Merci ma belle, tu peux y aller maintenant. Je remets mes voiles. Les Chinois me disent au revoir en agitant leurs bras à toute allure. J'envoie des baisers. Ils sont mignons... et surtout généreux. Il y a beaucoup de Chinois autour de Monsieur Sam et aussi au "Slave Paradise". Je l'imagine bien exporter des esclaves en Chine. Je repars avec Kim à travers la forêt vierge. Elle me dit : — Vous êtes trop belle quand vous dansez, Mademoiselle. — Merci, tu es gentille. Je l'aime bien, mon assistante. On reprend l'ascenseur de la peur. Je me colle à elle. Le vide sous mes pieds, je ne m'y habituerai jamais. *** L'après-midi, tout se passe bien... Je connais mon texte, je joue bien... Quand on a fini, Monsieur Lee me dit : — Demain, on a ajouté une scène qui va te plaire : la reine s'ennuie et pour se distraire, elle fouette des esclaves. — Sérieux ? — Oui... Dis, demain matin... est-ce que... Je comprends ce qu'il veut. Vous voyez que je suis moins conne que j'ai en ai l'air. Je réponds : — Je vous apporterai à boire. Il me fait un grand sourire. Ce soir, Summer a du travail et j'ai rendez-vous avec le Texan à Venice. J'en mouille d'avance... Au moment où je m'apprête à appeler un taxi, j'ai un message de Summer : "Attends-moi, j'arrive". Pas de chance, je ne vois pas son message, enfin, c'est ce que je lui dirai. Je prends mon téléphone pour appeler un taxi et Summer arrive. Elle descend de voiture, accompagnée d'une jolie brune d'une trentaine d'années. Elle me dit : — Tu as eu mon message ? — ...Euh oui... mais j'ai rendez-vous, désolée. — Tu le remets. Sandra Mae va t'interviewer et faire quelques photos.  — Je suis désolée, mais ce soir, ce ne sera pas possible, je ne peux pas le remettre. J'ai vu Monsieur Sam ce midi et il sait que... Elle me prend par une oreille. Je crie : — Aïe ! Tu me fais mal.... Elle est grande et je suis petite, alors, elle me tire vers le haut jusqu'à ce que je sois sur la pointe des pieds. Mon visage est à 2 cm du sien. Elle me dit : — Tu mens et tu discutes... — Tu me fais maaaaal. S'il te plaaaaît... lâche mon oreille... Je ferai ce que tu veux... aïïïe ! Elle me lâche et je frotte mon oreille qui doit être toute rouge. La fille nous dit : — J'ai fait une photo, ça ne te dérange pas Summer ? — Non, pas du tout. Moi, ça me dérange... mais j'ai une oreille rouge, ça me suffit ! Je lui dis : — S'il te plaît Summer, je voudrais juste prévenir... — Qui ? — Mais... euh... Ted. — Je vais l'appeler. Toi, tu vas dans le studio avec Sandra. Je vous rejoins plus tard. Elle s'en va. Sandra me dit : — Viens, on va près de la fontaine. Je ne connais même pas la fontaine. En chemin, elle me dit : — Tu sais, Summer sait bien que tu n'as pas parlé de ce rendez-vous avec Monsieur Sam. Tu ne dois pas mentir, surtout pas à elle et encore moins à Monsieur Sam. Je deviens toute rouge et... je ne sais pas quoi lui répondre. Elle ajoute : — Ne te mets pas à bouder, je dis ça pour toi. — Non... je ne boude pas... mais je lui ai menti, car elle est vraiment très autoritaire et... Et... je ne continue pas, car derrière un hangar studio, on arrive dans un joli jardin. Il y a une fontaine vraiment hyper réaliste. Au-dessus d'un bassin, une plantureuse sirène presse ses seins et envoie des jets d'eau. On a vraiment l'impression que c'est une vraie femme. Sandra sort un appareil photo en disant : — On va profiter de cette belle lumière pour faire quelques photos. — Il y a une photo qui pourrait être marrante. J'enlève ma robe, mes sandales et je vais dans le bassin aussi nue que la sirène... mais, moi, je n'ai pas de queue ! Je me mets en dessous du jet qui sort de son sein et je bois. Sandra me dit : — Bravo, super idée. Ensuite, je fais le même geste que la sirène : je presse mes seins de façon à ce qu'un jet d'eau tombe sur le bout d'un de mes seins. Il fait chaud même en ce début de soirée, alors je joue un peu dans l'eau. Ravie, Sandra me dit : — Tu as vraiment beaucoup de charisme.   Je ne sais pas bien ce que ça veut dire, mais ça doit être gentil... Je continue à faire le singe dans la fontaine. Je me mets même à cheval sur la sirène. Sandra dit : — Je voudrais faire quelques photos au sommet de l'immeuble. On pourra parler en buvant une bière — Vous pouvez y aller ? — Bien sûr... Elle doit être une amie de Monsieur Sam ou une petite cousine. Je tiens ma robe en main pour me sécher... Elle me dit : — Tu peux rester nue si tu veux. — Volontiers... J'aime être nue... On arrive devant le building. Je connais le garde qui est dehors, mais il s'adresse d'abord à Sandra : — Bonsoir Mademoiselle Sandra. — Bonsoir Tom. On monte.... — Très bien, Mademoiselle.  Il ajoute : — Et, bonsoir Mademoiselle Ashley, le plus beau cul de Californie. Je l'embrasse. Sandra est un peu surprise. Je lui dis : — On a mangé ensemble à Venice. Avant de monter dans mon ennemi... Je lui dis : — J'ai peur quand je vois le vide sous mes pieds, je peux me mettre contre vous ? — Oui, bien sûr. Je me colle à elle et elle absorbe ma peur... Oui, je suis bizarre. On arrive dans la petite forêt du sommet de l'immeuble. Elle me dit : — On va encore faire quelques photos dans la lumière du soleil couchant...   Tu peux remettre ta robe, il fait un peu frais ici. Je me rhabille. On fait des photos, normale et puis style pin up... C'est vite fait. Ensuite, on va s'asseoir sur la petite terrasse. Sandra prend deux bières qu'on boit au goulot comme des "red necks" de Georgie. On commence l'interview, elle l'enregistre : — Tu as été choisie pour interpréter Cléopâtre, raconte-nous ton parcours pour arriver à ça... —... Euh... — Tu viens d'où ? Je lui raconte. Quand j'ai fini, elle me dit : — Parfait... sauf deux ou trois petites choses. On préfère que tu dises qu'à la mort de tes parents, dans un accident de voiture, tu as été recueillie par un oncle et une tante, pauvres mais honnêtes. À tes 18 ans, tu es partie à Atlanta. Un routier t'a prise en stop et tu as trouvé un travail de serveuse au restaurant "Jonathn's roof". C'est là que Johnny Heyssen t'a remarquée. Il est devenu ton agent et t'a fait passer un casting pour Cléopâtre. Tu es d'accord ? Je la regarde très étonnée. Summer me dirait "ferme la bouche". Je réponds : — ... Euh, oui... donc plus de "House of Pussies", ni de Monsieur Sam ? — Voilà... N'oublie pas... — Non, non... Dites, je peux avoir une autre bière ? — Le frigo est là. Prends-en une pour moi. Je vais chercher les bières et je les ouvre. On boit... au goulot... Et là, Summer arrive. Je me lève bêtement... Elle prend ma place et dit à Sandra : — Elle a tout compris ? — Oui, j'ai l'impression. Je veux me rasseoir, mais Summer me dit : — Reste debout, on va partir... mais avant, apporte-moi une bière. Je vais la chercher et je reste debout devant elle. Les filles parlent de moi, comme si je n'étais pas là. J'ai l'habitude...   À suivre Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 11/07/22
Vers 10 h, Summer dit : — On doit y aller, la petite travaille demain. Donc j'ai le choix, je suis soit une esclave, soit "la petite". On embrasse tout le monde, sauf les esclaves bien sûr : on n'embrasse pas un sex toy qu'on vient d'utiliser. J'ai déjà fait une comparaison du même genre mais j'aime l'idée... On va dans le parking. Je me doute qu'elles vont encore s'amuser à mes dépens... et ça ne manque pas : Sarah ouvre le coffre de sa voiture en disant : — C'est ta place, non ? Je m'y attendais. Je vais dans le coffre. Summer soupire et dit : — Elle est incapable de jouer, cette gamine ! Tout ce qu'elle arrive à faire, c'est jouer les martyrs. Allez, monte à l'arrière, pôv' petite. Et cesse de bouder. — Je ne boude pas, mais c'est violent de voyager dans un coffre, bâillonnée, pieds et poignets liés et puis d'être enfermée dans une cage. Je ne suis pas aussi courageuse que vous. Là, elles ne répondent rien. Ah si, Sarah me dit : — On t'a dit que c'était un jeu. Arrête de jouer les victimes... Summer ajoute : — D'autant que tu t'es bien amusée avec Steve et mulot... Aaah, Tex s'appelle Steve... Je préfère Tex. Summer ajoute : — Elle va bouder, mais subtilement, pas trop pour ne pas être punie, hein Ashley ? — Steve m'a dit que tu avais été quatre ans dans les Marines et Sarah dans les forces spéciales israéliennes. Moi, je viens de familles d'accueil. Alors, c'est facile pour vous de me terroriser. Voilà, je l'ai dit. Elles ne disent plus rien, peut-être pas fières de me tourmenter. Elles ne disent rien, mais... elles éclatent de rire. Quelles garces sans cœur ! Quand elles sont un peu calmées, Sarah me dit : — Tu veux voir ce que c'est, terroriser quelqu'un ? — Non, je vous en prie... Summer lui dit : — Raconte. — Quand j'étais à l'armée, on a voulu donner une leçon à une fille qui avait la langue trop longue avec les officiers. Une nuit, on l'a attachée et bâillonnée. Puis, on l'a amenée en haut d'un pont et on a enlevé son bâillon. Elle criait bien ! On a attaché un élastique autour de ses chevilles et on l'a balancée dans le vide. Une fille a crié : « Merde, on a oublié d'attacher l'élastique ». Putain ! Ce cri qu'elle a poussé, on se marrait comme des folles. Par la suite, elle a fermé sa gueule. Ça te dirait, petite ? — Si vous me faites ça, je meurs. Elles rient à nouveau ! Elles s'amusent bien avec moi. Elles continuent à se raconter leurs exploits. J'écoute plus leurs conneries. Sarah nous dépose au motel. Elle me dit : — Sors de la voiture et dis-moi qui je suis. Cette fille, c'est un démon femelle ! Je sors et me mets à genoux devant elle en disant : — Vous êtes ma Maîtresse. Oui, j'ai été conditionnée. C'est ce qu'elle voulait. On rentre au motel. Là, Summer prend la relève des blagues idiotes. Quand je reviens de la salle de bains, je me couche dans mon lit, je n'ai pas envie de dormir avec elle. Elle me dit : — Tu as bien regardé sous ton lit ? — ... Euh, non. — Il paraît qu'il y a une invasion d'araignées recluses. Trop drôle... mais aussi trop effrayant. La morsure de ces araignées laisse d'horribles cicatrices. Je lui dis : — Je peux venir dans ton lit ? — J'sais pas... — Steupléééé... — Allez, viens, mais moi je dors. Près d'elle, je ne crains rien, même les araignées en ont peur. ***   — Aïe ! Il est 6 h du matin et je suis réveillée par la méthode Summer : elle tire le drap et elle me donne une bonne claque sur les fesses en criant : — Il est 6 h, tu as une heure et demie pour apprendre ton texte ! Elle allume sa tablette et ne s'occupe plus de moi. Je vais me mettre de l'eau froide sur le visage. Ensuite, je prends mon texte et je l'apprends. Je sais bien que sans Summer et la crainte que j'ai d'elle, je n'apprendrais pas ce texte en 1 h et demie. À 7 h 30, elle me fait répéter, je n'ai oublié qu'une phrase. Je lui dis : — Je le saurai, je te jure. Je vais tout relire au maquillage. — J'espère. Bon, j'ai un boulot à faire. Tu vas seule au studio. Vas-y directement et ne parle pas aux inconnus. — Oui m'man. Elle m'embrasse sur le front et s'en va. Je m'habille et je sors. Quand j'arrive devant le studio, le garde me dit : — Vous êtes seule aujourd'hui, mademoiselle Ashley ? — Oui, je deviens une grande fille. — Une grande fille ravissante. Le l'aime bien, lui. Kim arrive et je l'embrasse. Je vais au maquillage et elle m'apporte un petit déjeuner. Ensuite, je vais chez le coiffeur et l'habilleuse qui me colle quelques voiles sur les fesses. Je continue à lire mon texte et ça va, je le connais. Quand je suis déguisée en reine d'Égypte, je vais au studio avec Kim. J'ai toujours un franc succès quand je circule d'un studio à l'autre, vêtue de quelques voiles et parée de bijoux. Lee Varella m'embrasse. Il est devenu... très amical. Mes partenaires m'embrassent aussi et tous ceux qui veulent, je suis une reine proche de son peuple. Bonne nouvelle, la "snipeuse" israélienne n'est pas là. J'en ai plus peur que de Summer. Je suis terrifiée par son histoire de saut à l'élastique de nuit ! Première scène, je suis couchée sur un canapé, une esclave m'évente à l'aide d'une palme, tandis qu'une autre me masse les pieds... Elles sont très peu vêtues. Je discute de l'avenir de l'Égypte avec mon frère et mon général en chef. Mon frère me dit : — Accepte les avances de César, il deviendra fou de toi... Il s'agit là de la scène normale. Monsieur Varella me dit : — Pour la version érotique, j'ai pensé... Il bloque. Je l'aide en disant : — Vous avez pensé que je devais être nue ? J'enlève mes quelques voiles. Il n'y a plus un bruit dans le studio, c'est ma nudité qui produit cet effet. Varella s'éclaircit la voix et il me dit : — J'ai pensé que... la reine a un besoin urgent et... une esclave apporte un récipient en or pour que la reine... euh... — Pisse dedans ? — Ouiii... — Eh bien voilà, pas de problème ! — Tu veux que je demande une équipe réduite ? — Ben non, pourquoi ? Bon... Je reprends la scène, mais nue cette fois-ci. À la fin du dialogue, je dis : — Une envie pressante, Messieurs. Lydia ! Un récipient ! Aussitôt, une esclave arrive avec un pot de chambre... ou plutôt un délicat récipient en or ou doré. Elle s'assied par terre et tient le récipient contre ses seins. Je m'accroupis en lui tournant le dos. Ce n'est pas très poli, mais c'est une esclave.   Ce qui est encore moins poli, c'est que je pisse en reculant, donc j'arrose un peu son visage. Je pousse pour bien vider ma royale vessie, et ça s'accompagne d'un petit bruit. Un peu gênant, sauf si vous êtes la reine d'Égypte et que vous faites ça dans le visage d'une esclave. Je me relève en lui disant : — Maladroite, tu as bougé, tu mérites d'être fouettée. Oui, c'est injuste, mais on est en 50 avant Jésus Christ. Je dis à l'autre esclave, celle qui est sèche : — Couche-toi par terre, sur le dos. Elle obéit aussitôt et je m'assieds sur son visage. Je me frotte sur elle pour me sécher... je suis bien comme ça... La fille va connaître mes pensées.  Je reprends mon texte : — Voilà, je me sens plus légère, alors Messieurs.... Quand la scène se termine, je me relève... Dommage, j'étais bien. Je regarde mon esclave-siège et, oui, elle vit toujours. J'ai des fesses, mais pas au point de tuer les gens en m'asseyant sur leur visage. Lee vient m'embrasser la main en disant : — Magnifique, Ashley. Je pisse sur le visage d'une esclave et je m'assieds sur le visage d'une autre et lui, il est ravi : facile, le cinéma. Ensuite, on repasse à la version convenable, c'est nettement moins marrant. Vers 1 h, on arrête pour aller manger. Lee Varella me dit : — Tu es vraiment très bonne, Ashley... Il me prend par le bras, on s'éloigne et il me dit nettement plus bas : — Est-ce qu'à l'occasion, tu pourrais refaire la scène de tout à l'heure... en petit comité ? Je te revaudrai ça... Par moment, j'ai l'air pas trop maligne comme lorsque j'ai peur des araignées sous mon lit, mais en fait, je suis beaucoup moins conne que j'en ai l'air. J'ai compris ce qu'il voulait, je lui réponds : — Vous aimez le champagne tiède, Monsieur ? — Ouiiii... — Demain matin, si vous voulez. Il embrasse ma main en disant : — Tu es un amour. J'ai entendu dire que Lee Varella était un grand amateur de pieds de filles... Il pourra aussi me sucer les orteils. On va manger. J'envoie un SMS à Monsieur Sam : "Pourrais-je vous voir 5 minutes." Trois minutes plus tard, j'ai la réponse : "Monte". Je montre le SMS de Monsieur Sam à Lee. Je vais l'appeler par son prénom. Pas besoin de faire des manières avec un Monsieur qui va s'abreuver à votre source... joli, non ? Je lui dis : — Je peux monter 5 minutes ? — Oui, bien sûr, Ashley. On est amis. Je dis à Kim : — Viens avec moi. — Oui Mademoiselle. Pas besoin de lui dire où on va : c'est mon assistante. Je suis toujours vêtue de mes voiles transparents. On va dans le grand building. Un garde me dit : — Monsieur Sam vous attend, Mademoiselle Ashley. Et vous êtes très belle en Cléopâtre. Je lui fais un grand sourire, je l'aime bien aussi, lui. On prend l'ascenseur extérieur transparent. Je me colle à Kim ! Surtout ne pas regarder le vide qui augmente sous nos pieds. Ouf ! On arrive saines et sauves au sommet du building, dans la forêt.  À suivre Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 30/06/22
On va dans le parking et ces garces ouvrent le coffre d'une voiture. Les hommes me mettent dedans, tandis que Sarah me dit : — Sois sage. La voiture démarre. Je suis attachée et bâillonnée dans le noir. Je panique, mais bien ! Une pensée un tout petit peu rassurante tourne en boucle dans ma tête : demain, je dois jouer Cléopâtre. Impossible qu'elles me vendent pour de vrai ! On est dans la voiture de Sarah et elle roule vite, je suis secouée dans ce coffre. On roule un bon moment, tandis que je récite mon mantra : elles ne vont pas me vendre – je tourne un film. Enfin, on s'arrête et les deux femmes me sortent du coffre. Je reconnais le parking du "Slave Paradise". C'est une sale blague, c'est tout. On coupe les cordes qui lient mes chevilles et Summer me dit : — Marche derrière nous. Elles se dirigent vers l'ascenseur. Je ne bouge pas. Elle ajoute : — Faut qu'on trouve un fouet. Je vais vite me mettre derrière elles. On prend l'ascenseur. À l'accueil, quelques gardes nous attendent en souriant. Comment on dit encore ? Un coup monté, voilà, c'est ça. Et ils jouent tous, les rats. Un homme dit : — Bravo les filles, vous l'avez rattrapée. N'importe quoi ! Je suis un cocktail : 50 % de trouille, 50 % de rage ! Elles me le paieront ! Avec les mains attachées dans le dos, si je tombe, je me casse le nez. On va dans le hangar où des dizaines de filles sont enfermées dans des cages. Maintenant, c'est 75 % de trouille. Summer me dit : — J'espère que tu te souviens des positions que doit prendre une esclave. Un garde défait les liens de mes poignets et arrache le morceau de tape que j'ai sur la bouche. Un autre avec qui on a mangé à Venice arrive, armé d'un fouet. Ils sont une dizaine devant moi. Le garde fait claquer son fouet en disant : — Position 1, esclave. J'écarte les jambes et je me cambre les mains dans la nuque. Le fouet claque. — Position 2. Je ne sais plus ce que c'est, mais je me mets à genoux, puis je pose mon front sur mes mains. Le fouet claque et le garde dit : — Debout et saute. Je me relève et sautille. — Plus haut, esclave ! Je saute bien cinq minutes, tandis qu'ils rigolent en regardant mes seins et mes fesses danser. Claquement de fouet et cri du garde : — Stop ! Je suis en nage. Cette garce de Sarah va encore dire que je sens la sueur. Summer dit : — Mesdames et Messieurs, ce soir, on vend une esclave un peu défraîchie, mais à un tout petit prix. Qui la veut ? Un garde dit : — 50 cents ! Ça monte jusqu'à 5 $. Summer dit : — Adjugée à Mademoiselle Sarah. Esclave, va aux pieds de ta maîtresse. Le fouet claque et je cours me mettre à genoux. Le garde crie : — Mieux que ça. Je me baisse et j'embrasse les chevilles de Sarah. M'en fous de faire ça, moi !  Elle me dit : — Tu as quelque chose à me dire, esclave. — Oui maîtresse, votre esclave attend vos ordres. Elle me tend la main, je l'embrasse. Les gardes rigolent et applaudissent. Sarah leur dit : — J'ai pas envie de la prendre ce soir. Vous pourriez me la garder jusque demain, les gars ? Un garde répond : — Oui, bien sûr. Les cages sont pleines, mais les filles n'auront qu’à se serrer. C'est un jeu de rôle ! Un garde me prend par une oreille. Je crie et je le suis jusqu'à une cage,  courbée en deux. Il sort une grosse clé, ouvre la porte et me pousse contre les autres filles. Il y a déjà 10 filles dans cette cage et elles ont vraiment besoin de déodorant. J'entends Summer dire : — Pour vous remercier, Sarah et moi, on vous invite à un barbecue sur la plage. Homards grillés, T-bone steak, gâteau au chocolat, bière et tequila. Les gars sont ravis. Je me suis assise contre les barreaux, les jambes repliées contre la poitrine. C'est un jeu de rôle !! Le Texan, qui m'a... emmenée dans les toilettes du restaurant dit : — Il faudrait des esclaves pour nous servir. — C'est vrai. Le garde qui a la clé ouvre la porte et désigne des filles en disant : — Vous deux, dehors. Sarah crie : — Prend aussi Ashley. Il me dit : — Va vite aux pieds de ta Maîtresse ! Je bondis hors de la cage... et je vais me mettre à nouveau genoux devant Sarah qui me regarde en souriant. C'est un jeu de rôle !  Je suis nue comme les deux autres filles, mais moi, je ne suis pas marquée et demain, je serai la vedette du film. Un garde nous montre ce qu'on doit prendre : des frigos portables, des boîtes de gâteaux, des bouteilles. À trois, on porte les provisions et on va vers la plage. C'est lourd... J'aime pas faire l'esclave, mais alors, pas du tout ! Même si c'est un jeu. Quand est-ce qu'une des filles va dire "Pouce, le jeu de rôles est fini, tu redeviens la future star d'Hollywood" ? Dans peu de temps, j'en suis sûre... En attendant, je suis nue et je fais le service. Les gardes allument le feu en dessous de la grille. Les deux filles cuisent la viande et les homards, pendant que moi, je sers à boire, bière, tequila... J'allume des cigarettes... Ils ont tous quelque chose à demander et pas gentiment, genre "Et ma bière ? Tu dors ?" C'est un jeu... À un moment, je prends mon courage à deux mains et je vais me mettre à genoux devant "ma maîtresse". Elle est à côté de Summer et elles parlent. J'attends qu'elle me regarde et je lui dis : — J'ai compris la leçon. Je vous obéirai. S'il vous plaît, je voudrais arrêter le jeu. Elle se tourne vers Summer en disant : — T'en penses ? — On dirait qu'elle a compris. On peut arrêter. Ouf !! Je leur dis : — Merci. Vous voulez bien enlever le collier, s'il vous plaît. Summer le fait. Il n'était pas fermé à clé. Elle me dit : — Pas plus de deux bières pour toi, sinon tu passes la nuit en cage. — Oui Summer. J'appelle une esclave et je lui dis : — Apporte-moi une bière. Trois minutes plus tard, elle me la tend en s'inclinant. Je la bois en 3 fois... J'avais trop soif... Ensuite, je m'assieds dans le sable. Faut que je récupère... En fait, je n'ai pas envie de m'amuser... Je ne suis pas obligée, je ne suis pas une esclave. Je trouve que les gardes ont trop bien joué le jeu. Il y en a un qui aurait pu me faire un clin d'œil, genre "c'est un jeu". Non, tous des sales rats. Sauf, peut être le beau Texan qui est arrivé à la fin du "jeu". Il vient s'asseoir à côté de moi et me tend une assiette avec un grand morceau de tarte aux noix de pecan. J'adore ça, mais je réponds : — Non merci. Il murmure : — C'est une sale blague qu'elles t'ont faite, mais change d'humeur, sinon Summer va te faire passer la nuit dans une cage. Il met son bras autour de mes épaules et là, je craque, je mets mon visage dans son cou et je pleure mais en faisant le moins de bruit possible. La nuit est tombée et personne ne va remarquer que je pleure. Enfin, presque personne, parce que Summer, qui est occupée de se faire baiser par un garde, dit bien fort : — Y a un bébé ? J'entends pleurer. Pas besoin de chercher quelque chose à répondre, parce que, malgré mes larmes, Tex m'embrasse sur la bouche... Oui, ça dégénère, dans le bon sens du terme. Une des deux esclaves suce un garde. Tex appelle l'autre : — Mulot, viens lécher la demoiselle. Hé oui, ils donnent des noms amusants aux esclaves. Mulot bondit, se met entre mes jambes et colle sa bouche à ma chatte. Tex me dit : — Tu veux que je la fouette pour la stimuler ? — Euh, non... ça va... Impossible de dire que mulot ne fait pas ça bien ! J'ai l'impression que ma chatte est dans une machine à laver, qui la fait tourner, l'essore, la malaxe... C'est trop bien, je vais battre le record du monde de l'orgasme le plus rapide. Sale mulot, je vais le faire fouetter pour lui apprendre à lécher trop bien... Aïe, ça, c'est la goutte de sécrétion qui fait déborder le vase ! Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la nuit... C'est une image... Sarah dit : — Vous entendez ? On dirait que le bébé ne pleure plus, il a l'air très content. M'en fous de ce qu'elle dit. Je me sens un peu apaisée, enfin....Tex me prend contre lui... Je lui dis : — Tu es le seul gentil. — Ce jeu, c'est pour que tu acceptes l'autorité de Sarah. Je réponds tout bas : — Ce sont des sales garces. — Ce sont des dures, Sarah a fait son service militaire dans les forces spéciales en Israël et Summer a été 5 ans dans les Marines... — Tu connais bien Sarah ? — On se connaît tous. Il m'embrasse. Je lui dirais bien, "Mais Monsieur, je ne connais même pas votre vrai prénom. Qu'est-ce que vous me faites ?" Mais bon, quand on s'est fait tirer dans les chiottes par un Monsieur, difficile après de jouer, les oies blanches effarouchées... J'appelle Mulot pour qu'elle me serve d'oreiller. Tex se couche sur moi et aussitôt, je lève les jambes et mes chevilles se croisent sur ses reins. Son gland humide vient flairer ma chatte qui devient encore plus humide. Oh putain ! Je suis plus chaude que les braises qui ont servi à faire griller les homards. Ensuite, je chante... enfin, les paroles ne sont pas très originales, c'est "oh oui... oh c'est bon... oui... défonce-moi, oooohhhh..." Summer dit : — Y a le bébé qui reprend son pied. Mais, qu'elle change de disque ! M'en fous d'elle. Je regrimpe aux rideaux... en enfonçant le plus profondément Tex en moi... Il arrose mes petits organes intimes ravis de cette douche tiède... Quand je le relâche, après quelques minutes, il se me à côté de moi et crie : — Mulot ! — Oui Maître. — Nettoie la demoiselle... Elle colle à nouveau la bouche à ma chatte et aspire le cocktail de mes sécrétions et du sperme de Tex.   À suivre Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 20/06/22
Premier jour de tournage. Je regarde Summer partir. C'est comme si c'était mon premier jour à la petite école... Pourquoi ma maman m'abandonne ? Ashley, pitié ! Arrête de bêtifier ! Oui, bon, ça va. "Mon assistante" me dit : — Je suis très contente de travailler pour vous, Mademoiselle. Vous êtes très belle. Vous allez devenir une star. Je l'aime bien, mon assistante. Je réponds : — C'est gentil... Dis, j'ai pas eu le temps de déjeuner, tu pourrais me trouver du café et quelque chose à manger ? — Certainement Mademoiselle, je vous conduis dans le studio et j'y vais. Mon assistante m’amène dans le hangar qui nous sert de studio. Madame Wolf, la productrice est là, assise derrière une table couverte de papier. Kim lui donne le papier de Summer. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, plutôt forte et très noire de cheveux. Je lui serre la main... Elle me dit : — Tu es à l'heure, c'est bien, je vais te présenter l'équipe. Voici Lee Varella qui remplace le réalisateur que tu as vu. Comme on a dû changer de film, on change de metteur en scène. Monsieur Varella est le grand spécialiste des scènes de combats. Ensuite, elle me présente trois acteurs du film. Ceux qui vont jouer Jules César, Antoine et le frère de Cléopâtre. C'est lui, le plus séduisant. Je me taperais bien mon frère et les autres aussi d'ailleurs. Elle ajoute : — Tu tourneras certaines scènes avec une perruque, mais on a décidé que ce serait mieux que tu retrouves ta couleur naturelle. On va s'occuper de ça et de t'épiler aussi. À l'époque, les femmes étaient épilées. Pas les paysannes, bien sûr. Elle ne me demande pas si je suis d'accord. Mais bon, j'aime bien la couleur naturelle de mes cheveux et puis c'est à House of Pussies qu'ils avaient fait tout un cirque de ma ressemblance avec Marilyn. Elle n'aurait pas pu tourner Cléopâtre. Je ne discute pas, je suis une future star facile. Je vais avec Kim chez le coiffeur. Il est sympa... Elle m'apporte du café et des pains au chocolat, une spécialité française délicieuse ! Il y a d'autres coiffeurs et d'autres filles qui se font coiffer. Je dis bonjour de loin. Je mange plus ou moins facilement pendant que le coiffeur me teint les cheveux. Il travaille très vite. Il me dit : — C'est comme ça dans le cinéma, faut aller vite. On va laisser poser et l'esthéticienne va vous épiler. Ça ne vous dérange pas qu'il y ait du monde ? — Pas du tout... J'enlève ma robe et, pendant que la teinture "prend", une fille m'épile avec des bandes de cire, des aisselles aux chevilles. On le sent, mais je suis une star stoïque, c'est-à-dire que je crie mais pas trop fort. Ensuite elle m'enduit de crème pour que des marques rouges n'apparaissent pas. Elle pourrait continuer à me masser la chatte, mais le coiffeur m'installe dans un fauteuil. Il sèche mes cheveux qui sont dans les bruns et me coiffe à l'égyptienne, un chignon compliqué. Quand c'est fini, il me dit : — Venez vous regarder. Je vais devant un grand miroir et je me vois. Oh ! Qu'est-ce que je suis belle et plus nue que nue depuis que je suis complètement épilée. Des filles viennent aussi me regarder. Il y en a même deux qui me font des compliments, ça doit être rare dans ce milieu... L'étape suivante, c'est l'habilleuse. Aujourd'hui, c'est simple, une Noire sympa couvre ma nudité à l'aide de quelques voiles. Après ça, Cléopâtre retourne dans son palais, accompagnée de son esclave ou alors, Ashley retourne au studio avec son assistante. On croise des ouvriers et là, j'ai des vrais compliments : "Trop belle" "Toi quand tu veux" "Le plus beau cul du monde". Oui, les voiles ne dissimulent rien de mes charmes. Cléopâtre fait de grands sourires à ses sujets. On arrive dans le studio. Ils sont surpris de me voir, même Madame Wolf. Elle me dit : — Si tu joues bien... on va faire un carton, petite. Je dois absolument me souvenir de ce que j'ai appris chez les sœurs. Si je joue bien... je pourrai avoir ce que je veux. La première scène, j'en ai déjà beaucoup parlé. Cléopâtre est au pieu avec son frère et ils parlent politique en se caressant. Miracle à Hollywood : je me souviens bien de mon texte et je joue bien... On fait la scène en plan-séquence, c'est-à-dire sans interruption. Monsieur Lee me dit : — On recommence la réplique 24. Toi, joue de la même façon, Ashley. Cool, on refait quelques répliques et c'est bon, Madame Wolf nous dit : — On refait toute la séquence, mais nus tous les deux. Oui, il y a une version érotique... Je serais même partante pour une version hard. On refait la scène, nus... Mon frère me caresse la hanche puis un sein. On termine par un baiser de cinéma, sauf que j'ouvre un peu la bouche et que la langue de mon frère envahit ma bouche. J'aime bien le cinéma ! On doit refaire certaines scènes nues, mais dans l'ensemble je suis bonne à la première prise. À midi, je mange avec Madame Wolf, le metteur en scène, les comédiens, le chef opérateur... Les figurants et les techniciens sont à une autre table. Je suis à côté de Madame Wolf, elle est contente, tout se passe bien. On mange froid et c'est bon... À la fin du repas, je vois arriver une jeune femme dont le visage me dit quelque chose. Quand elle embrasse Madame Wolf sur la bouche, je me souviens d'elle ! C'est la petite garce qu'on a rencontrée au sommet de l'immeuble. C'est elle qui jouait les esclaves et qui m'a dit que je devais utiliser un déodorant. Elle n'a plus de collier ni de tunique qui laisse voir un sein, mais un jean et un chemisier sans manches, tout bêtement. Elle dit bonjour à tout le monde. À moi, elle dit : — Alors, tu travailles bien ? Vous voyez le ton condescendant ? C'est Madame Wolf qui répond à ma place : — C'est surprenant, mais elle joue bien. Pourquoi surprenant ? Elle me dit : — Je dois partir. Quand je ne suis pas là et Summer non plus, c'est Sarah qui nous remplace. Fais ce qu'elle te dit ! — Mais... elle n'est plus votre esclave ? — C'était un déguisement, sotte. On revenait d'une soirée. Elle s'en va... Je râle... J'entends que Sarah discute dans une langue que je ne connais pas avec la script. Tout est bizarre chez cette fille, mais ce qui est sûr c'est que je n'en veux pas ! Summer, je l'ai choisie... et j'y suis attachée, mais celle-ci, elle n'a rien à me dire. On termine le repas et on reprend le tournage. J'ai du mal à me concentrer. Monsieur Varella me dit : — Qu'est-ce que tu as ? Tu étais si bonne ce matin. Sarah, la petite connasse, dit : — Je sais ce qu'elle a, je vais arranger ça. Elle se lève et me prend brutalement par une oreille. Je crie : — Vous me faites mal ! Je suis obligée de le suivre pliée en deux.   Elle m'entraîne dans un coin du studio et me colle contre un mur, puis elle met son visage à 3 cm du mien. Elle est dans ma bulle !! Elle me dit : — Ou tu joues aussi bien que ce matin, ou je prends un des fouets et je te punis devant tout le monde ! Tu as compris ? — Mais... — Pas de mais. Tu as compris ? — Ouiii.... — Oui, qui ? — Oui Mademoiselle Sarah. — Bien... À propos, tu n'as toujours pas mis de déodorant, toi ! Elle rit ! Je m'en fous ! Je le dirai à Summer et elle lui fera sa fête à cette petite garce ! En attendant, je vais me concentrer et bien jouer... Ensuite, je m'occuperai d'elle... enfin, pas personnellement ! Je recommence la scène que j'avais ratée et cette fois, c'est bon. Tout le reste se passe bien car je suis très concentrée. En fin d'après-midi, Summer arrive... et tandis que je vais me démaquiller, je vois qu'elles discutent toutes les deux. Summer va lui dire ! Quand je reviens habillée et démaquillée, je vois qu'elles boivent une bière et discutent ensemble. Pire, elles rigolent. Je vais près d'elles. Summer me dit : — Alors, ça s'est bien passé ? — Oui, sauf elle qui m'a menacée ! Je m'en fous, je le dis. Summer répond : — Qu'est-ce qu'elle t'a fait, pauvre petite ? Elle se fout de moi ? Sarah lui dit : — Elle râle parce je lui ai dit qu'elle sentait la transpiration. Je dis très vite : — Pas que ça... Toi, je t'ai choisie et tu es payée et... Sarah me coupe et dit à Summer : — Tu vois ? Tu sais ce qu'on devrait faire ? Elle se penche et parle à l'oreille de Summer. Eh ! Mais c'est pas poli ça !! Et ça dure ! À la fin, Summer éclate de rire, puis elle dit : — D'accord, on fait ça. Quoi ?? Qu'est ce qu'elles veulent me faire ? Summer me dit : — On va faire un jeu de rôle. Après ça, tu obéiras à Sarah aussi bien qu'à moi. Ton mental acceptera l'idée. Qu'est-ce que c'est, ce charabia ? Je réponds : — Tout le film repose sur moi. Si on me fait mal, je ne tourne pas demain, je le jure.... Je dirai à Monsieur Sam et aussi à Madame Wolf et aussi à mon agent qui est très influent et... — Et au Président et au pape ? Elles rigolent toutes les deux. Sarah me dit : — On ne va pas te faire mal, on va jouer.... On disait que tu étais une esclave en fuite... Elle se tourne vers Summer, qui ajoute : — Et nous, on est des chasseurs de primes. On doit te rattraper et te ramener au "Slave Paradise" où tu seras vendue. Ce qu'il reste de techniciens et de figurants s’est rapproché pour voir le spectacle. Je leur dis : — Je ne m'enfuis pas, je me rends. — Ah non, c'est pas du jeu. Cours... — Mais non, je... — COURS !!! Je cours et bien sûr, elles me rattrapent. Qu'il est con, leur jeu... Mais elles ne font pas que m'attraper, elles me déshabillent. Je crie : — Je ne joue plus, lâchez-moi... Au secours ! Ceux qui regardent ne bougent pas, ils sont ravis du spectacle. Elles m'attachent les chevilles et les poignets dans le dos. Ensuite, elles me mettent une large bande de tape sur la bouche. Je veux crier "Vous n'avez pas le droit, je me plaindrai" mais tout ce qui sort de ma bouche, c'est "mmmmfffff". Deux techniciens me prennent par les pieds et les épaules. On va vers le parking. Comme on croise des gens, j'essaie de me débattre, mais les hommes serrent leurs prises et j'arrête... Une femme demande : — Qu'est-ce qu'elle a fait ? Summer répond : — C'est une esclave qui s'est échappée, on la ramène à son propriétaire. Cette fois, je veux crier "C'est pas vrai, on m'enlève !" mais ça fait de nouveau "mmmmfffff". La femme dit : — Faudra la fouetter pour qu'elle ne recommence pas. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 10/06/22
1 - L’ascenseur. *** Je devais avoir cinq ou six ans quand j'ai vu un film à la télé, genre « Les mille et une nuits ». On y menaçait une esclave du fouet. Ça m'a tellement impressionnée que j'ai voulu "garder" ce mot. Je savais écrire un S, alors j'ai demandé à mon grand-père : — Comment on écrit "clave" ? Il m'a répondu : — Ça n'existe pas. Je repensais très souvent aux esclaves. Dans les jeux avec les copains, j’étais la voleuse arrêtée par des policiers ou l'Indienne attachée à un arbre. Plus tard, mes petits amis étaient toujours des garçons... décidés. Durant mes études, j'ai été obligée de faire des petits boulots. J'ai travaillé "en cuisine" et dans des grandes surfaces. Un jour, alors que je devais mettre des boîtes de conserve dans un rayon, un jeune employé est passé et il m'a dit : — Faites des piles bien droites, Mademoiselle. J'ai un peu rectifié les piles de boîtes, mais il a ajouté : — Enlevez toutes les boîtes et recommencez. Je veux voir des piles impeccables. J'ai obéi. Par la suite, il est souvent venu vérifier ce que je faisais. Quand il m'a invitée à aller boire un verre chez lui, j'ai accepté et quand il m'a dit de me déshabiller... j'ai obéi. Ensuite... on s'est mariés. Sexuellement, c'est très bien mais dans la vie de tous les jours, nettement moins. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même et à ma fascination pour le mot "esclave". Comme à l'époque du magasin, il me contrôle. Il ordonne et j'obéis... Je sais, ce n'est pas glorieux. C'est un maniaque de l'ordre et je suis bordélique. Il est très économe et je suis très dépensière, je le reconnais. Il y a environ un mois, j'ai fait une folie... non, deux folies. J'ai acheté une paire d'escarpins rouges à très hauts talons, trop beaux, très chers. Ensuite, j'ai craqué pour de la lingerie La Perla. Je savais que j'allais avoir droit à une scène et je serrais les fesses en attendant le relevé de la banque. Quand il est arrivé, je me suis retrouvée devant lui, comme une écolière qui a fait une grosse bêtise. Il n'y a pas eu d'engueulade, il m’a prise par le poignet et il m’a couché sur ses cuisses. C’est une position que connais hélas, trop bien. Même si la soumission me plaît, la douleur physique, je déteste ! Il a relevé ma jupe et comme je n’avais pas de culotte, j’ai reçu une vingtaine de claques sur les fesses, j’ai crié, pleuré… en vain. J’avais les fesses en feu. Il m’a dit : — Donne-moi ta carte Visa et ta carte de banque. J’ai été les chercher je lui ai données et il les a mises dans sa poche en disant : — Confisquées. — Mais, euh... comment, je vais faire pour... — Je te donnerai de l'argent de poche. Il m'a remis une petite somme d'argent, pas beaucoup. À partir de ce moment-la, le dimanche, il me donne de l'argent pour la semaine... Le gros problème, c'est qu'il prend un malin plaisir à le faire devant quelqu'un, des copines à moi, des amis à lui, sa mère... Il y a 15 jours, il m'a donné mon argent de poche devant sa sœur et ses deux enfants. L'aînée a dit : — Ah, c'est comme chez nous, Papa nous donne notre argent de poche si on a été sages. La plus jeune a ajouté : — Tu as été sage, Tante Mia ? Ça a fait rire tout le monde... sauf moi. Par contre, j'étais toute rouge. Alors, j'ai imaginé une petite vengeance. Dans mes rêveries, je m'imaginais le tromper. C'est une revanche excitante. Je dois ajouter deux petites choses à mon sujet. D'abord, je ne suis pas farouche. Ensuite, d'après mon mari, j'ai huit ans d'âge mental, car j'ai peur du noir, des araignées, des serpents et des ascenseurs.... Un jour, quand j’étais petite, je me suis retrouvée bloquée dans un ascenseur et de peur, j’ai fait pipi dans ma culotte. Depuis, je ne prends plus les ascenseurs. Manque de pot, notre appartement est au quatrième étage. Moi, j’aurais voulu habiter un rez-de-chaussée, mais quand mon mari a su que c’était à cause de ma peur des ascenseurs, il m’a simplement dit : — Prends les escaliers, c’est bon pour tes cuisses fesses. C’est ce que je fais, sauf quand je reviens des "grosses courses" et que mon caddy est rempli. Il m’arrive alors de le prendre, la peur au ventre... Ce samedi après-midi, je rapporte une tonne de nourritures et de boissons. Dans l’entrée de l’immeuble, un voisin attend l’ascenseur. On se salue et il me tient la porte pour que j’entre. C'est un homme d'une quarantaine d'années, assez grand, pas mal. Je le remercie et on se retrouve à trois dans la cabine d’ascenseur : lui, moi et mes courses. Je lui demande : — Ce n'est pas trop lourd pour l'ascenseur ? — Mais non, on peut être quatre. Aucune raison d'avoir peur. Il a à peine dit ça que l’ascenseur s’arrête et la lumière s’éteint. Je pousse un grand cri, car même dans mes pires cauchemars, je ne me retrouve jamais dans un ascenseur en panne plongé dans le noir. Avec en plus des araignées, si ça se trouve. Le voisin essaie de me calmer en disant : — C’est juste une coupure de courant, il va repartir. — On va tombeeeerrr !!! — Mais non... D’ailleurs, on se trouve presque au premier étage, on ne tomberait pas de très haut. Je m’accroche à lui en expliquant d'une voix tremblante ce qui m’est arrivé dans mon enfance : — J’ai failli avoir un accident d’ascenseur... quand j’étais petite. J’ai peur... — Première chose à faire, pousser sur le bouton « alarme ». Il allume son briquet. La flamme éclaire notre prison, il pousse sur le bouton et... rien ne se passe. Je dis : — Je vais appeler pour qu’on nous sorte de là. — D’accord. Je crie de toutes mes forces : — Au secours ! On est bloqués dans l’ascenseuuuuur ! On entend une porte s’ouvrir et quelqu’un demande : — L'ascenseur est en panne ? — Ouiii, c’est Mia du quatrième... S’il vous plaît, appelez la concierge ! — Mia, celle qui met des jupes tellement courtes qu’on voit la moitié de son derrière ? Merde, ça doit être la bigote du troisième ! Je mets des jupes courtes, c'est vrai, mais on ne voit pas mes fesses ! Je crie à nouveau : — Au secouuuuurs !! L'homme me serre contre lui. Ça me rassure, je lève la tête pour le remercier et là, on se retrouve bouche à bouche. Que faire ? S'embrasser... Je me colle à lui tandis que ses mains vérifient la longueur de ma jupe. Oooooh.... Il vérifie bien ! — Tu es coincée dans l'ascenseur, Mia ? C'est la voix de mon mari. Je réponds : — Oui... et j'ai peur. Plus trop en fait... Il ajoute : — Tu es seule ? Mon compagnon de galère répond : — Non, je suis le locataire du cinquième et j'ai rassuré votre femme. — C'est gentil, c’est la reine des trouillardes. Je vais prévenir la concierge et je reviens. — Oh oui, j'ai peur. En fait, nettement moins parce que le voisin m'embrasse à nouveau. Mon mari remonte avec le concierge et un couple qui vient d'arriver. Ils parlent tous ensemble, mon mari plus fort que les autres. Une femme dit : — Il faut faire réviser complètement cet ascenseur ! Plus personne ne s'occupe de moi... sauf mon nouvel ami. Il me dit à l'oreille : — Tu veux que je te rassure encore ? — Oh ouuuiiiii.... Il glisse sa main sous ma jupe, qui est courte comme vous savez. Et là, tout en entendant mon mari et les autres râler au sujet de la gestion de l'immeuble, il me caresse jusqu’à ce que je jouisse... C'est la première fois que je trompe mon mari. Mais, jouir sous la main d'un inconnu, est ce que c’est tromper ? *** Mes livres sont ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share et ici : https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 11/05/22
Je lis le script... Il s'agit d'un dialogue entre Cléopâtre et son frère. Oh ! Ils sont amants ! C'était la mode à l'époque, paraît-il. Ils sont couchés l'un à côté de l'autre sur un divan. Je lis. Mon frère me dit : — Bonjour ma sœur chérie, avez-vous réfléchi à notre conversation ? Je réponds : — Oui et je suis d'accord avec vous... Et là, je vois un garde avec qui on a mangé à Venice. Il tient deux esclaves en laisse. Il me voit et me fait un signe. Aussitôt, je me lève et je monte le petit escalier. La plage est en contrebas. Je vais l'embrasser et je lui demande : — Tu les as achetées ? — Oh non, je n'ai pas les moyens. C'est un client de l'hôtel. Dis, j'ai vu que tu avais aussi acheté deux filles. — C'est pour le film que je commence demain. Elles vont rester dans les studios. J'ai un peu fait la conne à la vente, quand il fallait... en... — Enchérir. Tu sais, tout le monde t'a remarquée, c'est ce qui compte ici... Il pose une main sur mon sein gauche en disant : — Tu as les plus beaux seins de Californie. Je ris. Je l'aime bien... On parle encore un moment, jusqu'à ce qu'il me dise : — Dis, il y a Summer qui fait signe. Oh merde, Summer ! Je l'avais oubliée, celle-là ! J'embrasse le garde et je redescends sur la plage en disant : — Je devais demander quelque chose au garde. — Quoi ? — Mais... euh... Elle a un double des feuilles et lit : — Bonjour ma sœur chérie, avez-vous réfléchi à notre conversation ? — Oui et je pense... que.... Merde, je cale ! Summer prend le couteau qui est dans la poche de son jean et va couper un bambou. C'est du bluff ! Demain, je commence le film et je dois avoir des fesses immaculées. Je lui dis quand même : — Summer, je te jure que... je... j'allais le faire et...  Elle me prend par un bras et me lève aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie ! Je crie : — Nooon... J'apprendrai ! Elle s'assied sur le sable et me couche en travers de ses cuisses. Je crie encore et je la supplie, jusqu'à ce que : — Aïeeee !!!! Sa saloperie de bambou vient de frapper mes fesses. Elle ne frappe pas très fort, mais suffisamment pour que j'aie les larmes aux yeux et que je la supplie honteusement ! Maintenant, le bambou frappe le haut de mes cuisses. Je crie : — Non Summer... pitié... aïeee..... j'étudierais, je te jure, aie... je t'en prie... aïe !!! Elle s'arrête et me dit : — Mets-toi à genoux. Elle me donne mes feuilles en disant : — Maintenant, tu vas apprendre ton texte. Malgré une folle envie de frotter mes fesses et mes cuisses, je lis mes feuilles. Il n'y avait qu'un couple et un petit groupe sur la plage, mais mes cris ont attiré plein de gens. Il y a un groupe autour de nous, ravi du spectacle. Il y en a même qui ont fait des photos ! Un gros homme vêtu d'un costume blanc froissé dit à Summer — C'est votre esclave, Mademoiselle ? Il a un accent russe. Elle répond : — Non, c'est ma petite sœur, mais je me suis aperçue qu'elle a volé de l'argent dans mon sac, pendant que je me baignais. N'importe quoi ! L'homme lui dit : — Je suis à l'hôtel. Je vous ai aperçues depuis la terrasse et je suis venu voir le spectacle. Dites... Il baisse la voix et je n'entends plus ce qu'il dit. Tant mieux, parce je lis mon texte pour de vrai, cette fois-ci. Oui, je suis conne ! Oui, j'ai besoin que Summer me punisse pour que je me décide à étudier. Je vais changer, je... je vais commencer à apprendre le texte. Summer vient me tirer une oreille. Je crie : — Aïe !!! Mais, j'étudie... — Tu ne bouges pas d'ici et tu lis ! Compris ? — Ouiiii.... Elle s'habille et je la vois aller sur la terrasse de l'hôtel avec le gros Russe. Je lis, relis, re-relis... Pour finir, je le connais, mais je continue quand même. J'entends siffler, c'est Summer qui siffle entre ses doigts depuis la terrasse de l'hôtel. Elle me fait signe de venir. Je mets ma robe et je les rejoins. À une table, il y a Summer, le Russe, une jolie Métisse, un autre Russe et une Hispanique jeune et jolie. Je me dis que ça doit être deux Russes pleins aux as avec deux jolies putes. Summer prend ses pages de dialogue et elle lit la première phrase : — Bonjour ma sœur chérie... — Bonjour... Elle me coupe et dit : — Joue ! — Mais, comment... — Joue ton personnage. Évidemment, tout le monde nous regarde. Bah, ce ne sera jamais que la quatrième ou cinquième fois, aujourd'hui que je suis le centre d'attention ! Bon, je joue mon personnage. Je me trompe une fois. Je recommence très vite et ça va... À la fin du texte tout le monde m'applaudit. Je salue, un peu rouge quand même. Summer fait signe qu'on m'apporte une chaise. Le gros Russe me dit : — Tu es jolie et tu joues bien, tu es une futurrre starrrr (il roule les "r"). — Merci, c'est très gentil. — Et les fesses, ça va ? Je fais la grimace. Summer me dit : — À propos de tes fesses, tu es consciente que si je n'étais pas ferme avec toi, tu ne le connaîtrais pas, ce texte ? — ... Euh... oui... — Alors ? — Merci, Summer... Les autres se marrent. Oui, je la remercie de m'avoir fouettée, mais si je voulais... non, je sais que j'ai besoin d'elle. Elle me dit : — C'est bien, mais ce serait encore mieux de le faire spontanément. Tu veux un verre ? — Oh oui ! Elle commande une margarita. J'adore ça... et ça va calmer le feu que j'ai aux fesses, pas dans le bon sens de l'expression ! Ils discutent des ventes d'esclaves... Les Russes vont acheter des filles demain. On boit encore, même moi, j'ai droit à une deuxième margarita. Un des Russes dit : — Allez vous acheter quelque chose au magasin de l'hôtel. Il leur donne des billets de 100 $. La Métisse dit : — Oh, merci daddy. Des putes ! Elles s'en vont... Et moi ?? Le Russe me dit : — Tu veux aussi acheter quelque chose ? — Oh oui, M'sieur. Il me donne aussi des billets de 100 $. Je sais pourquoi il fait ça, ils veulent discuter avec Summer. Pas de problème ! Je rejoins les filles. La Métisse me dit : — C'est vrai que tu joues dans un film ? — Oui, on commence demain. — Dis, si tu as besoin de figurantes, pense à nous... On fait tout ce qu'on veut et on a la langue agile et puis tu aurais des alliées... Pourquoi pas ? Elles sont jolies et putes : tout ce qu'il faut pour réussir dans le cinéma. Elles me donnent leurs numéros de téléphone. Je leur promets de parler d'elles. Je vais aussi faire venir Johnny, le photographe et dessinateur d'Atlanta... J'achète une chaîne en argent avec... je suis un peu gênée de le dire... avec la fée Clochette. Je l'aime bien avec ses belles fesses et ses ailes... Une serveuse vient me dire : — Votre amie vous demande de la rejoindre, Mademoiselle. J'embrasse les filles et, oui, je leur promets que je parlerai d'elles... Je rejoins la terrasse. Summer remarque tout de suite ma petite fée et elle lève les yeux au ciel. Elle fait ça souvent quand on est ensemble. Elle me dit : — Embrasse ces messieurs, on s'en va. Je vais les embrasser et ris quand leurs mains s'égarent sous ma jupe.  Un des Russes dit : — Dobryy vecher devushki. Summer répond : — Spasibo, uvidimsya zavtra, gospoda. Oh ! Elle parle russe ? On s'en va et je lui demande : — Tu parles russe ? — Ma grand-mère est russe. — Et... qu'est-ce que vous avez dit ? — Il m'a dit "Bonne soirée, les filles" et j'ai répondu "Merci, à demain Messieurs." — On les revoit demain ? À nouveau, Summer lève les yeux au ciel en disant : — Pas toi Ashley, tu tournes un film demain. — Oui, mais le soir ? Ils sont généreux. — Demain, si tu as fini assez tôt, on peut sortir avec eux. Je me décide à lui dire quelque chose que j'ai sur le cœur ou plutôt sur les fesses : — Ne me frappe plus. J'étudierai.... — OK. Si tu as retenu la leçon, c'est parfait... J'étudierai mes textes, je dois absolument me concentrer. On va manger à Venice, mais les amis ne sont pas là, ils sont toujours à la vente ou au service après-vente... De toute façon, je suis fatiguée. On rentre vers 9 h. Summer me dit : — Tu te prépares et tu vas au lit. — Et toi ? — J'ai un truc à faire... — Je peux venir avec toi ? — Demain, tu dois être en forme. Tu te couches et tu dors. Et si tu te relèves... Oui, bon, ça va, pas besoin de menaces... Je passe à la salle de bain, me laver les dents et faire pipi. Summer s'en va. M'en fous, je dors pas, je vais... La main sur ma chatte, je m'endors. *** — Aïïïe !! Je suis réveillée par une claque sur les fesses et Summer qui me dit : — Debout, j'ai pas entendu le réveil ! On doit se grouiller. Tu as cinq minutes pour la salle de bain et on part. Pas de ma faute si elle n'entend pas le réveil ! Elle avait qu'à se coucher tôt, comme moi. Je passe à la salle de bain. Et je me lave les dents quand elle entre et m'attrape par un bras en disant : — Mets ta robe, on s'en va. Mais... euuuuh ! J'enfile ma robe plus très propre, mes sandales. On sort de l'hôtel. Et le petit dèj' ? Y en a pas. Elle me dit : — C'est à 10 minutes. On court, on ira plus vite. Courir en sandales, quand il y a près de 30°, c'est pas le pied ! On arrive devant le studio, moi rouge et en nage ! Le gardien du studio connaît Summer et ils s'embrassent. Elle connaît tout le monde. Il me dit : — Bonjour Mademoiselle Ashley, bienvenue. Cool... je l'embrasse aussi. Je suis une future star qui a su rester simple. Il prend son téléphone et appelle. Quelques minutes plus tard, une jeune fille plutôt mignonne arrive en courant. Elle me dit : — Bonjour Mademoiselle Stirland, je suis Kim, votre assistante. Je lui dis bonjour et lui serre la main, oui, je ne vais pas embrasser tout le monde. Summer lui donne un papier en disant : — Tu donnes ça à Madame Wolf. N'oublie pas. Puis à moi : — Je serai là en fin d'après-midi. Ne me fais pas revenir avant, Ashley. Elle s'en va. Pourquoi elle me laisse seule ? À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 29/04/22
18 - Un peu de shopping. Les belles esclaves s’en vont. Elles sont remplacées par les "pom-pom girls" que j’ai vues à l’entraînement. Elles se sont bien améliorées en deux jours... Le fouet doit y être pour quelque chose. La fille qui nous a placées vient donner à Summer une tablette en disant : — De la part de Monsieur Boizano, Mademoiselle Summer. Et moi ? Heureusement, Summer me la donne et m’explique le fonctionnement : — Pour acheter une fille ou enchérir, tu tapes son numéro, puis tu tapes une somme, puis OK. T’as compris ? — Je crois... J’ai pas bien l’habitude de ces machins. Il y a du soleil et pas mal de lumières, mais des projecteurs s’allument et éclairent un homme qui arrive sur scène. C’est un homme grand et bien en chair avec des cheveux très noirs. Sur l’écran géant au-dessus de lui, je vois que ses cheveux doivent être teints et qu’il est très maquillé. Summer me dit : — C’est celui qui présente les élections de Miss USA et Miss Univers. L’homme est un pro. Il dit : — Bonsoir chers amis. La Société Slave Trading International et moi-même vous souhaitons la bienvenue. Vous allez être les premiers à acheter officiellement une esclave. Certains disent que l’esclavage est un retour vers le passé. C’est vrai, mais pourquoi ne pas s’inspirer de ce qu’il y avait de positif dans le passé ? Je vais vous donner un exemple. Il crie : — Les filles ! Aussitôt, deux filles nues arrivent sur scène en portant un lourd fauteuil. Il s’assied, tandis que les filles se mettent à genoux devant lui, puis posent leurs bouches sur le bout de ses pieds. De cette façon, on est sûrs que ce sont des filles : on voit très bien leurs chattes roses. Surtout sur l’écran géant. Les spectateurs applaudissent. Le présentateur dit : — Apéritif ! Aussitôt, elles se lèvent et courent dans les coulisses. Il ne leur faut que quelques minutes avant de revenir avec un plateau sur lequel se trouve une bouteille, un verre, des chips... La fille qui tient le plateau, se met à genoux et tend le plateau pour qu’il soit à portée de main de son maître. L’autre fille remplit le verre et le lui tend. Il prend le verre et de l’autre main, il indique le sol devant lui. Aussitôt, elle se met à quatre pattes et il pose ses pieds sur les reins de la fille en disant : — On n’est pas bien là, après une journée de travail, à la fraîche avec deux esclaves ne cherchant qu’à satisfaire vos moindres désirs ? Car sinon... voici ce qui risque de se passer. Il pousse du pied la fille "repose-pieds" en criant : — Fouet ! La fille se lève et court dans les coulisses. Elle revient avec un fouet, se met à genoux et tend le fouet, tête baissée. Il le prend en disant : — Position ! La fille se remet à quatre pattes devant lui, puis posant son front sur ses mains qui sont sur le sol, elle offre son postérieur à l’injuste punition, puisqu’elle n’a rien fait... Je regarde Summer, elle soupire et dit : — Oui, c’est injuste, Ashley ! Le présentateur s’est bien exercé, parce que, malgré son arthrose (c’est une supposition) il est très habile et depuis son fauteuil, les lanières de son fouet viennent claquer une dizaine de fois sur les fesses de l’esclave. Sur l’écran géant, on voit les fesses se marquer de lignes rouges et le visage de l'esclave en pleurs. Les spectateurs applaudissent et comptent les coups. Ils ne sont pas gentils, hein ? C'est vrai, mais, c’est une esclave... Quand il a fini, la fille vient le remercier et lui embrasse les mains en pleurant. Le présentateur dit : — Voilà, la vie avec des esclaves... Maintenant, la vente va commencer. Il s’en va, sous les applaudissements, avec ses deux esclaves qui traînent le fauteuil. Des hommes amènent une sorte de pupitre, comme ceux qui servent aux hommes politiques pour faire des discours, parfois mensongers, à ce qu’il paraît. Sur le dessus du pupitre, il y a un micro et un ordinateur. Un homme d'une cinquantaine d'années arrive et s’installe derrière le pupitre. Il dit : — Bonjour, je m’appelle Max Salerno et je suis commissaire-priseur. Nous allons procéder à la vente de 50 filles. Elles sont toutes saines, marquées et éduquées. Je vais vous parler du marquage. Un garde fait claquer son fouet. Aussitôt, une fille nue arrive sur la scène. Le commissaire-priseur poursuit : — Les filles portent un collier avec un œillet, de façon à les attacher ou à les tenir en laisse. On voit le collier sur l’écran. Il continue : — Ce collier porte le numéro matricule de l’esclave. Ce numéro est aussi marqué sous le pied gauche des esclaves. La fille se couche sur le dos, ses pieds vers nous. On regarde tous l’écran géant : sur la plante du pied, il y a une série de lettres et de chiffres. Le commissaire explique : — Il s’agit du numéro de matricule des filles, brûlé au fer rouge comme avant, quand on marquait le cul du bétail. Rires parmi les spectateurs. Je pense qu’elles ont dû souffrir, les pauvres. D’accord, ce sont des esclaves, mais quand même. Le commissaire poursuit : — Il y a une deuxième marque au fer rouge sur les filles. La fille se lève et il indique le haut de sa cuisse. Je vois sur le grand écran SP entourée de chaînes. Les lettres sont grandes, fines, très élégantes, je dirais faites par un artiste.. Il explique : — Les initiales SP, sont celles de Slave Paradise. C’est une garantie de qualité que les filles sont très fières de porter. Ça, ça m’étonnerait... Il retourne derrière son pupitre et poursuit : — Une fille qui a ces deux marques est définitivement une esclave ! Bien, je vais procéder à la vente de la première esclave. Un garde arrive sur la scène. Trois filles arrivent sur la scène. À part le collier, elles sont  aussi nues que moi sous la douche. Elles se mettent dans la position de l’esclave qui attend les ordres : cambrée, les jambes écartées, les mains dans la nuque. Max Salerno présente la première fille : — Cette superbe fille est une vraie blonde. Elle a été élue miss New Hampshire, mais elle a été arrêtée alors qu’elle conduisait une voiture avec 0,9 gramme d’alcool dans le sang. De plus, elle milite dans un parti interdit. Le tribunal l’a condamnée à 10 ans d’esclavage à condition de ne plus avoir de condamnation. Elle est en bonne santé et son anus est vierge. Vous allez pouvoir la détailler sur les écrans géants. Le garde qui est devant elle fait claquer son fouet et dit : — Position 2 ! Elle se met à 4 pattes, le nez touchant le sol. Un coup d’œil sur les écrans géant et elle n’a plus de secret pour personne : on voit sa chatte qui fait la moue, on le ferait à moins. Son anus un peu plus foncé nous fixe, il n’a pas l’air très à l’aise. On le comprend aussi. Il risque de bientôt se prendre 20 cm de bite dure. Restera plus vierge longtemps, le petit bougre ! Clac ! — Position 3, de face. Elle saute sur place. Ses seins montent et descendent. Cris de joie de la foule ! Clac ! — Position 3, de dos. Elle se retourne et saute à nouveau. Là, ce sont ses fesses qui dansent ! Elle saute pendant plusieurs minutes. Enfin, le garde crie : — Stop ! Max Salerno commence la vente. Il dit : — Mise à prix 5.000 $. Qui dit mieux ? Bêtement, je crie : — Moi. Tout le monde me regarde et le pire, c’est qu’on voit mon visage qui devient rouge sur l’écran. Max Salerno me dit : — Utilisez votre tablette, ma petite demoiselle. Summer me prend la tablette des mains. D’autres gens enchérissent. Summer me montre comment faire. J'écris 5.750 $. Max Salerno dit : — 5.750 $ pour la petite demoiselle toute rouge qui est à sa première vente aux enchères, manifestement. Aussitôt, un acheteur propose 6.000 $, puis un autre 6.250 $. La Miss finit par être adjugée à 12.500 $, ça dépasse mon budget ! Un garde vient attacher une laisse à son collier et la conduit dans un enclos où son nouveau maître pourra la récupérer. Max Salerno regarde sa tablette et dit : — Le propriétaire de Miss New Hampshire nous signale qu’elle sera à la disposition de tous au Moonlight Inn de Las Vegas. Il fait sa pub, le gars. N’empêche, ça donne envie d’y aller... Summer me dit : — Tu t’es bien fait remarquer ! — Mais, euh... je pensais... — Évite de penser, ça ne te réussit pas. Ça, c’est Summer ! M’en fous, je penserai plus, je parlerai plus, je.... Elle reçoit un SMS et elle me dit : — On peut monter jusqu’à 7.500 $ Super ! Je décide de penser et de parler à nouveau ! Deux autres filles blanches se vendent très cher à des acheteurs noirs. Ben oui, normal qu’ils aient envie d’esclaves blanches... Par contre, une jolie Noire est achetée par des Blancs. Une métisse arrive sur le devant de la scène. Summer me dit : — Les métisses se vendent moins cher — Pourtant cette fille est super belle. — Oui, mais tu as vu que les acheteurs noirs achètent des blanches. Via le Net, il y a des acheteurs des pays d’Afrique et des Émirats. Ça me dépasse un peu. La métisse est belle avec un petit nez, une bouche appétissante, des seins en poires et surtout de belles fesses... ce qui est important si on est obligé de la punir. J’enchéris deux fois, bêtement, je le fais trop vite, et enchéris sur moi. Max Salerno s’adresse directement à Summer dont le visage apparaît sur l’écran. Il lui dit : — Mademoiselle avec le tee-shirt "Virgin Suicide", ne laissez pas votre petite sœur jouer avec la tablette. Je donne vite la tablette à Summer, puis je vais me cacher dans un trou de souris. Je m’en fous de leur vente ! Quelques minutes plus tard, Summer me dit : — On l’a. — On a quoi ? — La métisse... Bon je sors de mon trou. Elle me dit : — Dis-moi celles qui te plaisent. Oui, c’est mieux comme ça... parce qu’elles déconnent, leurs tablettes ! Je choisis encore deux filles, mais elles sont vendues vraiment trop cher. La troisième que je choisis, on l’a pour 6.250 $. C’est une jolie brune, sans doute hispanique, moins recherchée aussi. Les gens ne savent pas ce qui est beau ! Il faut une bonne heure avant que toutes les filles soient vendues. Max Salerno annonce : — Mesdames et Messieurs, vous pouvez venir payer et retirer vos achats. Prochaine vente demain à 14 heures. On se dirige vers l’enclos des 50 filles. Elles sont collées les unes aux autres. Il y a des gardes qu’on connaît et Max Salerno est là, aussi. Summer me dit : — Va t’excuser auprès de lui. Ça, jamais ! Qu’il aille se faire foutre et elle aussi. Elle me pince méchamment le bras et je vais près de lui en bredouillant : — Pardon pour tout à l’heure. Je n’ai pas l’habitude et... Oh ! Il me prend par la taille et me dit : — C’est pas grave, petite. Tu sais que si je devais te vendre, on ferait un carton ! — Euh... oui, c’est gentil, mais je ne suis pas une esclave. Sa main descend sur mes fesses tandis qu’il répond : — Pas encore. Là, je panique ! Mais, il se met à rire et il dit : — Je te charrie. Sam croit beaucoup en toi. — Vous êtes un de ses amis ? — Son beau-frère et je connais bien Summer, ta grande sœur. Ils se sont bien foutus de moi de nouveau. Un garde vient me tendre deux laisses avec les deux filles à l’autre bout. Je dis à Summer : — On peut les garder un peu ? — Tu sais bien que non, elles iront directement au studio... mais on va faire des photos. Ensuite, tu as ton texte à apprendre. Ah, oui, c’est vrai. Le photographe arrive. Il me photographie avec les filles en laisse... Summer me dit : — Assieds-toi, les filles vont t’embrasser les pieds. Elle leur dit : — Vous avez entendu ? Les achats, en chœur : — Oui Maîtresse. Aussitôt, elles se mettent à genoux, enlèvent mes sandales et couvrent mes pieds de baisers. C’est mignon... Ensuite, je dois marcher avec les deux esclaves à quatre pattes au bout de leurs laisses. Oh ! On nous voit sur l’écran géant, mais cette fois-ci, ça me fait plaisir. Quelques photos plus tard, Summer dit au photographe : — On doit y aller, la petite a du texte à apprendre pour demain. Mais pourquoi tout le monde me traite comme si j’étais une gamine ? Oui, bon, peut-être que je n’ai pas une conduite très... mature. Je n’ai que deux pages à apprendre pour demain. Summer me dit : — On va aller répéter sur la plage. Là, c’est plus facile de te punir si tu te concentres pas. Et allez, encore une fois, on dirait que je suis une gamine ! On va sur la plage  qui est à côté. Ils ont fait une partie naturiste. C’est là qu’on va... Il y a un couple qui flirte dans un coin et un groupe de jeunes assez loin. Beaucoup de gens sont à la vente et si ça se trouve, il y a encore des attractions qu’on rate ! J’enlève ma robe et mes sandales, c’est tout ce que j’ai sur moi. J’aime être nue dans la nature, ou, plus exactement, j’aime être nue tout court. Summer enlève son jean puis son tee-shirt... Je vois apparaître ses tatouages et les poils noirs et brillants de ses aisselles. Le buisson de sa chatte m’attire terriblement. Elle me dit : — Quoi ? J’ai du noir sur le nez ? — Non, tu me plais et... — Et tu vas apprendre ton texte... Lis tes deux pages et puis relis-les et recommence. Moi je vais nager. Ah, Ashley... — Oui ? — Tu vois ces bambous ? — Euh... oui... — Quand je reviens, si tu ne connais pas les 3/4 du texte, je vais en couper un. Tu sais pourquoi ? — Oui, mais je vais me concentrer et apprendre et... Elle part vers la mer. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici : http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 17/04/22
Il ne faudrait pas croire que j'aime quand Summer me traite comme une gamine, mais... par moment, il me faut quelqu'un de ferme. Je suis bien ici avec elle, je suis rassurée. La seule chose qui me dérange un peu, c'est la chaleur, étant donné que Summer est contre l'air conditionné... Elle me dit : — Tu as encore faim ? — Non, pas pour le moment — OK, on va faire des courses... On va à Berverly Hills, là où les stars ont leur villa. Je voudrais bien les voir mais je n'ose pas le dire à Summer. Ensuite, on va à Rodeo Drive. C'est l'avenue des magasins de luxe. J'achète un short très court et très cher. C'est Sam qui paie. J'achète aussi deux robes et deux maillots... Summer achète un pantalon en cuir ou en vinyle, je ne sais pas. Elle achète tout avec "ma" carte ! Quand on a fini les courses, on va à Venice et on se balade en maillot... Le soir, on mange avec ses amis. Il n'y en a que deux, les autres travaillent pour l'inauguration du Slave Paradise. Je n'ai pas trop envie de faire la fête, d'autant que Summer me rationne : je n'ai droit qu'à deux bières. On rentre tôt... Avant de dormir, elle me laisse filer entre ses cuisses pour lui dire bonne nuit.   J'aime son odeur et son goût... sauvage. Quand elle a joui, je remonte dans le lit et je me colle à elle, mais j'ai droit à un : — Colle pas, fait trop chaud ! Ben, oui, il suffirait de mettre l'air-co ! *** C'est l'ouverture du "Slave Paradise" aujourd'hui. J'apprends mes cinq pages de textes en une heure au lieu de deux. J'ai de la mémoire, mais il faut que je sois motivée... Je viens à peine de réciter le texte à Summer quand son téléphone sonne. Elle regarde sur l'écran qui l'appelle et dit : — Bonjour Monsieur Sam. — ... — Oui, on est dans un motel, près du studio. — ... — D'accord, on arrive. Elle coupe et me dit : — On doit passer voir Monsieur Sam. — Mais l'inauguration.... Gros soupir de Summer, qui me dit : — Les rendez-vous avec Monsieur Sam sont rapides. Mets une robe. Moi qui voulais mettre mon mini short ! Je m'habille, on prend la voiture et on part. J'essaie bien de lui demander pourquoi il doit nous voir, mais elle n'en sait rien et je dois arrêter de l'énerver ! On roule vers le sud pendant 20 minutes au moins, avant de s'arrêter devant un immense golf. On entre et une jeune femme vient à notre rencontre en disant : — Mademoiselle Summer ? — Oui. — Veuillez me suivre. Elle nous conduit sur une grande terrasse qui surplombe le golf. Elle nous dit : — Monsieur Boizano a presque fini. Puis-je vous servir quelque chose ? Summer demande un daiquiri pour elle et un Fanta pour moi. Merde ! Je m'en fous de son Fanta. Mais bon, Monsieur Sam lui a dit de contrôler ma consommation d'alcool. Il arrive bientôt, un peu rouge d'avoir joué sous le soleil. On se lève toutes les deux. Il dit : — Asseyez-vous les filles. Je vais vous expliquer en quelques mots, parce que je suis pressé. Il y a un problème de droits avec le film et évidemment, ils le disent au dernier moment. Le film ne se fera pas. Je m'écrie : — Oh, noooon ! Je connais cinq pages par cœur. Ils me regardent tous les deux, agacés. Summer me dit : — Va voir si j'ai bien fermé la voiture ! — Mais... — Je dois répéter ? — Nooon... Je me lève et je quitte la terrasse. Je m'en fous de leur film d'ailleurs, je vais... aller jusqu'à la voiture. Elle est restée ouverte, mais je n'ai pas la clé pour fermer et puis je sais bien que c'est un prétexte. Je retourne sur la terrasse, Summer est seule et termine son verre. Je lui dis : — Alors, c'est quoi ces conneries de... — D'abord, quand je parle avec quelqu'un, tu n'interviens pas. ! — Oui Summer, pardon, mais je... — Ferme-la, Ashley ! Je ne le répéterai pas ! Le film ne se fait pas. Comme tout est prévu pour demain, ils ont un autre projet pour toi. Tu vas être Cléopâtre. — Mais... euh... quoi ?? — Je disais, tu seras Cléopâtre. Il y a des décors qui viennent de servir pour un film sur Aménophis IV et tu n'as que 2 pages à apprendre... Elle attend... J'ai retenu la leçon, je ne dis rien. Elle continue : — Ce sera sexy pour la version grand public et nettement plus pour la vidéo et le Net... Et puis, je te rappelle qu'à l'époque de Cléopâtre, il y avait déjà des esclaves... Il y aura des vraies esclaves dans le film. Elle fait une pause... Je me tais, bien que j'ai mille questions à lui poser. Elle poursuit : — Bien, tu apprends à te taire... Alors, ce qui va te plaire, c'est qu'on peut acheter deux esclaves cet après-midi, pour le film. J'ai envie de dire "yiiiipppiiiee" ! Mais il paraît que je ne peux plus parler. Je baisse les yeux et je ne dis rien. Elle rit et ajoute : — T'es vraiment une gamine. J'ai fini, vas-y, parle. — Et on pourra les garder, les esclaves ? — Non, elles iront au studio. D'ailleurs, je n'ai pas envie de m'encombrer de deux esclaves. Si j'ai envie que quelqu'un me lave une culotte ou me masse les pieds, il y a toi. Elle rit... Je ne sais pas comment je dois le prendre ! Je serai bientôt une star et alors je lui dis... euh... Qu'est-ce que tu lui dis,  Ashley ? — Je ne ressemble pas du tout à Cléopâtre, j'ai un petit nez — C'est vrai, mais tu es belle et tu as la peau mate. Il y a juste la couleur des cheveux, mais on mettait des perruques à cette époque. Tu devras sans doute retrouver ta couleur naturelle. Et sinon, tu es vicieuse, arriviste et manipulatrice. Tout le portrait de Cléopâtre... D'ailleurs, ce ne sera pas une biographie, mais surtout la période de sa vie où elle était la maîtresse d'Antoine et de Jules César en même temps. Je ne réponds rien car on arrive en vue du "Slave Paradise". Il va s'agir de la première vente officielle d'esclaves. Avant ça, il y avait des ventes organisées par les shérifs, c'est comme ça que j'ai vu une esclave à Notasulga. Le nouveau président, John D. Birch, a confié la vente des esclaves à Sam Boizano et à sa société. On arrive bien à temps, mais il y a déjà pas mal de monde qui attend devant l'entrée et une file de voitures attend l'ouverture des parkings. Nous, on ne fait pas la file. On prend un petit sentier jusqu'à une porte dissimulée par des bambous. Summer fait un numéro sur son téléphone et dit : — Summer Hunter. La porte s'ouvre. J'aime être avec elle. Un garde vient à notre rencontre. Ils s'embrassent. Puis, en me regardant, il dit : — Oh la jolie esclave ! Tu vas la vendre ? Ils rient tous les deux. Ouais, on me l'a déjà faite, celle-là ! Summer répond : — Elle commence demain le nouveau film de Monsieur Sam. Si elle joue mal, on la vendra. Le garde me prend contre lui en disant : — Bonjour future star ou future esclave. Il m'embrasse sur la bouche tout en mettant sa grande main sur mes fesses. Je lui dis : — Bas les pattes ! Attentat à la pudeur et voies de fait, ça va vous coûter cher, mon gaillard ! Ou alors je lui rends son baiser et je bouge mes fesses sous sa main. Summer lui dit : — Elle se conduit déjà comme une esclave ! — On te charrie, petite ! On m'a parlé de toi comme d'une future star et Monsieur Sam a dit à tout le monde que vous veniez choisir deux filles. Ça, c'est cool. Il donne des pass VIP à Summer en disant : — Tout est installé dans la clairière. C'est la folie, tu vas voir. Il y aura même une vedette de talk-show pour présenter la vente. On le remercie et on entre dans le Parc. Summer sait où c'est. On se mêle aux premiers visiteurs et on arrive dans une très grande clairière transformée... en salle de vente ! Il y a des rangées de fauteuils sur des gradins et une scène surmontée d'un très grand écran.. Il y a deux autres écrans géants sur les côtés. Une grande structure transparente sert de toit. Ah ! Ils n'ont pas regardé à la dépense, Sam et sa société ! Une fille mignonne nous conduit dans la partie VIP. Summer embrasse quelques personnes qu’elle connaît. Les gens arrivent et trois quarts des places sont occupés. À 14 h juste, on voit arriver un char, comme en avaient les Égyptiens ou les Romains, sauf que celui-ci n'est pas tiré par des chevaux mais par quatre filles, deux noires et deux blanches. La conductrice a un fouet en main et elle le fait claquer sur les fesses des filles qui galopent à toutes jambes. C'est beau, ces corps couverts de sueur, de poussière et de marques de fouet... Les filles sont attachées à trois pièces de bois et elles ont toutes un mors. Le char fait une fois le tour du stade, puis s'arrête au milieu. La conductrice est une femme dodue d'une quarantaine d'années. On voit son visage sur les écrans géants... Oh ! mais je la connais, c'est Vera Humphrey, la reine des talk-shows. Son émission cartonne. Les gens la reconnaissent et applaudissent, moi aussi. Summer me regarde, amusée. Vera prend un micro, oui, ça ne fait pas très "romain". Elle dit : — Mesdames, Messieurs, bienvenue au Slave Paradise. Vous allez voir quelques attractions. Ensuite nous procéderons à une vente d'esclaves, toutes munies d'un certificat sanitaire. Vous pourrez vous offrir la servante docile, la compagne de vos rêves ou la vendeuse idéale. Et maintenant, mes pouliches vont refaire un petit tour de piste et les attractions vont suivre. Bon amusement et bons achats. Elle refait le tour du stade, son fouet claque plusieurs fois sur les croupes des pouliches et elle repart. Après elle, c'est un homme qui se trouve juste au-dessus de nous qui prend la parole. Son visage apparaît sur les écrans. Il dit : — Mesdames, messieurs, vous allez assister à trois reconstitutions de l'esclavage à travers les âges. Pour commencer, nous voici en 50 avant Jésus Christ, des esclaves gauloises sont emmenées pour être vendues au marché aux esclaves de Rome... Un cavalier romain arrive sur la piste, il est suivi de deux rangées de filles blondes et nues, attachées les unes aux autres. De chaque côté, des légionnaires les fouettent. Eh ! Mais elles n'ont rien fait de mal ! C'est vrai, mais ce sont des esclaves... Ah, oui, d'accord. Elles font le tour de la piste. Sur les écrans géants, je guette le moment où les fouets touchent leurs fesses et leurs cuisses. Summer, qui connaît mon intérêt pour... les reconstitutions historiques, me glisse : — Tu vois, si je t'avais vendue, tu serais parmi ses esclaves. Même pas possible, je ne suis pas blonde.... enfin si, un peu, mais je vais récupérer ma couleur. Les esclaves romaines repartent. L'animateur annonce : — Nous allons faire un bond dans le temps, passer de -50 au 16e siècle, voici des esclaves enlevées par les pirates barbaresques et par des trafiquants arabes. Elles vont être vendues au marché aux esclaves d'Alger. Entre un dromadaire sur lequel se trouve un... Touareg. Derrière lui, il y a deux files d'esclaves de toutes les couleurs, depuis une rousse à la peau blanche comme du lait jusqu'à une Noire couleur ébène, en passant pas des métisses. J'avais déjà remarqué qu'ici, on aimait mélanger les couleurs, comme pour les filles qui devaient faire un numéro de pom-pom girls. Les filles se mettent à genoux sur une rangée, pour qu'on puisse les examiner sur les grands écrans.   Des touaregs fouettent les filles et ça plaît beaucoup au public qui crie et applaudit. Ils font un tour et s'en vont. L'animateur dit : — Plus près de nous, voici une reconstitution datant de la période heureuse de l'esclavage dans le Sud des États-Uunis. Summer me dit : — Chez toi. C'est vrai. Entre un beau cavalier sur un étalon noir. Sur l'écran, je le reconnais : c'est le beau Texan qui m'a tirée dans les chiottes... Euh... je me laisse aller, là... Je reprends : c'est le gentilhomme avec qui j'ai eu un échange intime dans un endroit discret. Faut que j'apprenne à mieux causer, bordel ! Le beau Texan est suivi de deux rangées de filles, toutes Noires. J'aime bien voir leurs belles fesses se crisper sous le fouet ! J'en choisis une que j'achèterai tout à l'heure. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 05/04/22
Ils discutent de la version érotique du film. Ah ? Ils font deux versions ? Madame Wolf dit à sa chérie : — Je voudrais voir ce qu'elle vaut dans les scènes de sexe... Est-ce que ça te dirait de la tester ? Quoi, une esclave va me tester ??? Et pourquoi pas un clochard ? La chérie répond : — Summer et elle sont aussi négligées l'une que l'autre. Si elles faisaient ça entre elles ? Là, Summer va lui arracher la gorge avec les dents ! Non ! Elle regarde Sam qui fait "oui" de la tête. J'ai compris : la chérie est la grande patronne des studios et elle se déguise comme ça pour s'amuser. Elle me dit : — Je dis ça pour ton bien, petite. Je pense que tu as pris une douche ce matin... ou plutôt hier, mais tu devrais mettre du déodorant. Je vais lui dire... rien ! Comment ça "dégonflée" ? Elle me regarde dans les yeux et... je baisse le regard, oui, vous avez raison "dégonflée". Bon... Summer enlève son jean et son tee-shirt. Elle me dit : — Déshabille-toi et viens te mettre à genoux devant moi. ... Euh... avec elle, d'accord. J'enlève ma robe et au passage, je renifle mes aisselles. J'ai une légère odeur de transpiration, c'est tout. Quelle garce, cette fille ! Je suis sûre que son but était juste de m'humilier. Je me mets à genoux devant Summer, le nez dans sa chatte en friche. Les mercenaires, ça ne se rase pas la chatte. Elle a une odeur forte, elle, mais j'aime son odeur. Je me cambre bien pour faire apprécier la minceur de ma taille et la rondeur de mes fesses aux autres, puis je glisse mon visage entre ses cuisses et je lèche sa chatte. J'entends la "chérie" dire : — Maintenant, lèche-lui le cul. Encore elle !! Le cul de Summer est mille fois plus appétissant que ta face de singe d'esclave de... Summer se retourne et se penche en avant tandis que j'écarte ses fesses et que j'enfonce ma langue dans son anus, pour appeler une chatte, une chatte. Sam nous dit : — C'est bon les filles, rhabillez vous. Alors, chers amis, vous en pensez quoi ? Ils sont tous d'accord pour dire que je suis "la" fille qu'il faut pour ce rôle... Dans ces conditions, j'ose interrompre la conversation pour dire à Madame Wolf : — Dites, Madame, je pourrais vous demander pourquoi c'est cette fille qui me dit ce que je dois faire ? — Ce n'est pas tes affaires. De plus, quand les grandes personnes parlent, les gamines se taisent. La chérie me fait un grand sourire. Là, j'en ai marre ! Je me lève en disant : — Très bien. Je vais me taire ailleurs. Je me lève et je reprends le sentier qui nous a amenés ici. Summer me suit et me rattrape. Aïe ! Je sens qu'elle va me passer un savon. Alors, je me mets à pleurer. Elle me dit : — Ashley ! Bordel ! Ils te donnent un rôle en or et toi tu fais des caprices. — Ils n'ont aucune... bouh... hou... aucune considération pour moi. — Tu veux une bonne fessée pour te remettre les idées en place ? — NON !! — Alors tu vas t'excuser, ensuite, tu te mets près de moi et tu la fermes ! D'accord ? — Oui.... On retourne près d'eux. Summer dit : — Ashley a quelque chose à vous dire... — Je vous prie de m'excuser, je viens d'une petite ville de Georgie et je ne suis pas habituée... à... La chérie répond : — On t'excuse, mais n'intervient plus dans la conversation. D'accord ? Petit coup de coude de Summer... aïe ! Je réponds : — Oui, Mademoiselle. Ils se remettent à discuter. Je m'assois et je boude. Je voudrais un minimum de considération et ne plus me faire engueuler par une vraie ou fausse esclave. J'ai enlevé mes chaussures et je regarde mes pieds. Oh ! Y a des fourmis sur le toit de ce building, je les observe. C'est beaucoup plus intéressant que leur discussion... et là j'entends quand même le metteur en scène dire : — Pour moi, c'est la fille idéale pour le rôle, mais il faudrait quelqu'un pour la surveiller. Summer, ce serait bien. Madame Wolf est du même avis, elle dit : — Summer ce serait parfait, même si elle est chère. Elle la regarde et ajoute : — Un mois de tournage plus un mois de promo, combien ? Summer me regarde, réfléchit, puis tape sur son téléphone. Madame Wolf et Sam regardent leurs tablettes. Puis ils se regardent tous les deux. Qu'est-ce qui se passe, on ne parle plus ?? Ils se regardent. Ah, j'ai compris, ils sont télépathes. Oh, après tout je m'en fous de leur petit jeu. J'ai vu un papillon ! Sur le toit de ce building, vous imaginez ? Ah ! Sam me parle : — Fais ce que te dira Summer. Vous pouvez y aller, les filles. On leur dit "au revoir", pas de réponses, ils parlent entre eux. Dorénavant, plus de bisous, ils sont pas assez sympas. On entre dans la forêt tropicale et on reprend l'ascenseur, mais on s'arrête en chemin. Je suis Samia jusqu'à un bureau sur lequel il est écrit «comptabilité». Sur une table, il y a le script « 7 ans de réflexions, remake » et une carte de crédit. Elle prend le tout. Pourquoi c'est elle qui a la carte ? Summer voit tout de suite à ma tête que ça ne me plaît pas, elle me dit : — Y a un problème Ashley ? — Non... enfin si, ils auraient pu me donner une avance. — Monsieur Sam préfère que tu dépendes entièrement de moi. Un genre d'esclave, quoi. Mais moi, je veux une esclave souriante, sinon... Je lui fais un grand sourire. On reprend l'ascenseur. A nouveau, je vois le vide sous mes pieds. C'est ridicule mais je prends à nouveau la main de Summer. On arrive saines et sauves en bas et on reprend sa voiture. Je lui dis : — Et maintenant, où qu'on va ? — Tu veux sans doute dire "où va-t-on ?" — Où va-t-on, Mademoiselle Summer ? — On va prendre une chambre près d'ici. Ensuite, tu apprends les cinq premières pages de ton rôle par cœur. Quand c'est fait, on va manger. — Et si je n'y arrive pas aussi vite ? — Tu manges pas ! C'est Summer, ça ! Je lui demande encore : — On fera des courses ? — Oui, dès que tu connais ton rôle. C'est une obsession ! Elle entre dans le parking d'un motel, mais rien à voir avec celui où elle logeait dans Watts. Ici, ce sont des bungalows entourés de palmiers et de plantes à fleurs... On se gare et on va au bureau. Une réceptionniste nous regarde d'un air un peu dégoûté. Il faut dire que nos vêtements sont un peu défraîchis. Summer va la secouer ! Non, elle lui dit : — On voudrait un bungalow à côté de la piscine. — C'est que... — C'est Monsieur Sam Boizano qui m'a conseillé de venir ici. Elle lui tend la carte de crédit. Le nom de Sam plus la carte, c'est magique ! Aussitôt, la fille lui dit : — Certainement Mademoiselle. J'ai un bungalow juste à côté de la piscine. Elle prend la carte, la scanne et lui donne la clé, sous forme de carte aussi. Bizarre ! La fille ajoute : — Si vous voulez aller à la cafeteria, ce sera mis sur la note et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas. — Merci. On reprend la voiture et on va se garer devant un bungalow. On a une petite terrasse qui donne sur la piscine. C'est super beau... Seul petit problème, dès qu'on est entrées, Summer coupe l'air conditionné et se déshabille. Elle me dit : — J'aime pas ça. Moi, j'aime bien ! Elle me donne cinq feuilles du script en disant : — Apprends ça. — Tout ? Elle me regarde et je dis très vite : — Je prends à boire et je m'y mets. Elle tape sur sa tablette et me montre un texte en disant : — Tu dois au moins savoir de quoi il s'agit. Je lis : *** Richard Sherman, un employé dans une maison d'édition spécialisée dans les livres avec des couvertures aguichantes, a accompagné sa femme Helen et son fils Ricky à la gare pour les vacances. Il rentre chez lui et fait la connaissance d'une nouvelle voisine, une jeune femme belle et sexy, qui a emménagé dans l'appartement des voisins du dessus. Elle vient se présenter à lui et il est subjugué par sa beauté. De fil en aiguille, d'un premier rendez-vous au suivant, une relation avec la belle voisine va commencer. *** Pas mal, ça me plaît. Summer a mis un maillot et elle me dit : — Je vais nager, étudie. Oui, mais... heuuu !! Et moi ? Je lis le texte, le relis... J'observe un peu deux mouches pratiquant la sodomie. Elle est déjà de retour et me dit : — Alors, tu connais ? Récite ton texte ! Je commence les premiers dialogues et je cale. Elle ouvre un tiroir et me donne des feuilles de papier à lettres en disant : — Copie-le. Elle repart... ppppffff... je recopie tout... Elle revient 15 minutes plus tard. Je récite le texte et je cale, mais nettement plus loin. C'est quand même mieux, non ? Non, elle me dit : — Recopie-le. J'en ai les larmes aux yeux. Je lui dis : — C'est parce que j'ai trop faim... — Non, c'est parce que tu ne t'appliques pas. Recopie ! Je recopie tout le texte à nouveau. Quand j'ai presque fini, elle revient avec une énorme glace, avec du chocolat, de la chantilly et des petits parasols. Elle s'assied devant moi et mange bruyamment en m'expliquant à quel point c'est bon. Je lui arracherais bien sa glace... Tout en mangeant, elle me dit : — Il y a aussi une autre façon de te stimuler. Je prends ma sandale, je te couche sur mes genoux et je tape sur tes fesses jusqu'à ce qu'elles soient aussi rouges qu'une tomate bien mûre. Je me lève pour la gifler... ou je prends mes feuilles et je vais dans la salle de bain m'installer dans la baignoire. Là, je lis et je retiens. Dix minutes plus tard, je reviens dans la chambre. Summer a arrêté de manger et l'énorme glace est là, occupée de fondre. Je lui dis : — Je connais. — Bien... je te donne la réplique. On joue et je n'oublie rien, pas une virgule, pas un point sur un i. C'est une image. Elle me dit : — Tu peux manger ce qui reste. Je mange la glace avec un tel plaisir que j'ai presque un orgasme. Quand il ne reste plus un microgramme de glace, de chantilly ou de caramel, je lui dis : — Merci. — Pour la glace ou pour t'avoir stimulée ? — Les deux. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 21/03/22
Je reste six semaines à étudier et à répéter, ici. Une fois par semaine, la mère m’invite à une petite soirée esclave/chienne. A part ça, je travaille... Je n’écris pas tout ce qui se passe, à part deux jours avant mon départ. Je dois présenter l’extrait de Roméo et Juliette. C’est à ce moment qu’une sœur me dit : — Si tu ne réussis pas, tu refais six semaines. Des filles m’avaient déjà dit ça et il paraît que c’est écrit dans le contrat que j’ai signé. Tout sauf passer six semaines de plus ici. J’ai beaucoup répété avec Joan qui joue Roméo. On s’embrasse mais c’est tout. Elle est fidèle, la conne. Elle est aussi bien décidée à réussir cet examen. Là, j’écris en détail. *** Ce soir on joue notre scène devant les sœurs, les élèves et des gens de l’extérieur. On est derrière la scène et on s’habille dans des vêtements qui ressemblent plus ou moins à ceux qu’on portait au 16e siècle. Une belle robe au décolleté pigeonnant pour moi, des culottes et une chemise pour Joan. Avant de monter sur scène, Joan/Roméo me prend par la taille et me dit : — On donne tout ce soir ! Je ne veux pas passer six semaines de plus ici. Tu pleures vraiment et on s’embrasse vraiment. D’accord ? — Avec plaisir. Une fille vient dire : — C’est à vous, les amoureux. On va sur la scène dans le noir... les lumières s’allument et on joue.        Je ne vais pas écrire toute la partie qu’on joue. Je pleure vraiment un moment... et puis vient la dernière scène. Celle que j’aime jouer avec Joan/Romeo, parce qu’elle me plaît vraiment : * - Roméo – Oh ! alors, chère sainte, que les lèvres fassent ce que font les mains. Elles te prient ; exauce-les, de peur que leur foi ne se change en désespoir. - Juliette – Les saintes restent immobiles, tout en exauçant les prières. - Roméo – Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l’effet de ma prière. (Elle m’embrasse sur la bouche, comme Roméo aurait embrassé Juliette.) - Roméo – Vos lèvres ont effacé le péché des miennes. - Juliette – Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu’elles ont pris des vôtres. - Roméo – Vous avez pris le péché de mes lèvres ? Ô reproche charmant ! Alors rendez-moi mon péché. (Elle m’embrasse encore.) - Juliette – Vous avez l’art des baisers.     Voilà... On va sur le devant de la scène et on salue et... tout le monde applaudit. Quelles sensations extraordinaires, d’abord les baisers de Joan puis les applaudissements. J’ai les jambes molles et la tête qui tourne. Je ne vais quand même pas me trouver mal comme les femmes du 17e siècle... Joan me donne un petit coup de coude. Je respire un grand coup et mon petit malaise disparaît. Les "sels" à respirer, ce sera pour une autre fois. On quitte la scène... Depuis les coulisses, on entend les autres filles jouer. J’ai le blues... Pas de quitter cet endroit, parce qu’il faut beaucoup travailler, mais je me suis bien amusée avec la mère et puis j’ai vraiment appris à jouer... Non, ce qui me rend triste, c’est... Joan me dit : — Qu’est-ce que tu as de nouveau, Ashley ? Les larmes aux yeux, je réponds : — Tu joues bien... on aurait pu croire que tu aimais vraiment m’embrasser. — J’aime t’embrasser... mais... mon cœur est pris ailleurs comme on dit dans Roméo et Juliette. — Mais, ce n’est pas ton cœur que je veux, c’est... te lécher. Elle rit et dit : — Les pieds ? — Les pieds, les seins, la chatte... — Tu te moques de moi ? — Non, je te jure. — Tu peux sucer mes orteils et lécher ma chatte. Dis de cette façon ça manque de poésie, mais oui, c’est ce que je veux. Elle ajoute : — Change de tête tout de suite alors. Je lui fais un grand sourire. J’ai appris à passer d’une émotion à l’autre, ici. Quand toutes les filles sont passées, on se retrouve avec les sœurs... On a même droit à un verre de vin blanc de la région. Le soir, je rejoins Joan dans son lit et je m’unis charnellement à elle. J’adore la douceur de sa peau, ses odeurs, ses goûts. Les deux autres filles allument pour nous regarder. Dommage qu’on n’ait pas fait ça plutôt. Je fais jouir Joan en la léchant... J’en rêvais. Après demain, on se quitte mais j’ai son numéro de téléphone et je reverrai mon... Roméo. Voilà, j’ai mon diplôme. D’accord, des études de six semaines, c’est peu. Cependant, il s’agit de six semaines de travail intensif. Je boucle mon sac et dis au revoir à tout le monde, depuis la mère jusqu’aux élèves, mais pas aux esclaves. Elles, ce sont des objets, genre ustensiles de ménage. Quand on quitte une maison, on ne dit pas au revoir au balai ou à la serpillière ! Je vais revoir Joan et la mère aussi. Elle a beaucoup de relations et c’est une amie de Sam, mon mentor et patron. Je rends mon uniforme et je mets une de mes deux robes. Devinez qui vient me chercher : Summer. Je saute à son cou et l’embrasse... Oui, j’ai appris à montrer mes émotions. Elle me repousse en riant et me dit : — Il paraît que tu as joué Juliette... — Oui et j’ai pensé à vous. — Je me demande si le personnage de Messaline ne t’irait pas mieux. Messaline... Je ne sais pas qui c’est et je préfère ne pas le lui demander. Je lui dis : — Où va-t-on ? — On doit passer au studio. Il y aura tous les gens concernés par le film. Ils veulent te faire jouer dans un film rapidement, un grand rôle... mais tu devras étudier ton texte et être en forme. Après la soirée à Venice, Monsieur Sam m’a tiré les oreilles... — Et vous lui avez tiré une balle dans le ventre plus une dans le genou. Elle rigole et répond : — Je ne tue pas mes employeurs, ce serait contre-productif. — Je peux vous tutoyer ? — Bien sûr, sotte. — Tu resteras avec moi ? — Ce n’est pas prévu... — Je te paierai. — T’es fauchée, petit singe. — Je vous ferai une reconnaissance de dette de 1000 $ — Putain, t’es cinglée... On verra ce que va dire Monsieur Sam. On arrive à Hollywood, puis devant les studios : c’est immense. Il y a un immeuble de... 20 étages au moins et tout autour, des hangars blancs. Summer me dit : — On tourne une série de films et de feuilletons en même temps. Les studios s’appellent "World First Medias". Oui, ça veut tout dire. Deux gardes sont à l’entrée. Ils sont sans doute prévenus de notre venue, car ils ouvrent la grille en saluant. On se gare au sous-sol de l’immeuble. Ensuite on prend un ascenseur extérieur. Ouch ! Le plancher est transparent et je vois le sol s’éloigner sous mes pieds à toute vitesse. Je me serre aussitôt contre Summer. Elle me dit : — Là-haut, ne fais pas trop la gamine. Eh ! Je viens de la campagne, moi, j’ai pas l’habitude des ascenseurs de science-fiction. Bon, ça va, on survit. On arrive au dernier étage, c’est-à-dire... dans une forêt tropicale ! Il y a des arbres, des plantes et même des oiseaux. Pourvu qu’il n’y ait pas de jaguar. Plutôt que de dire à Summer "Mais c’est quoi, ce truc de dingue ?" je joue les blasées : on prend un ascenseur et on arrive dans une forêt : normal... Elle me dit quand même : — Ferme la bouche, Ashley et suis-moi ! Oui, bon, pas si blasée que ça. Heureusement, il y a un sentier, pas besoin de machette. On arrive dans une petite clairière, là, sous une toile blanche il y a cinq personnes assises autour d’une table : Sam, mon patron et producteur, Monsieur Leyssens, mon agent et le meilleur d’Hollywood, donc du monde. Il y a aussi un grand type maigre et une femme d’une quarantaine d’années, belle brune, bien habillée et qui a des bijoux coûteux. À côté d’elle, il y a ce qui me semble être une esclave, parce qu’elle a le collier des esclaves autour du cou. Elle est pieds nus comme beaucoup d’esclaves, mais elle a des bijoux en or, y compris un anneau à la cheville. Au lieu d’être nue, elle est vêtue d’une tunique qui découvre un sein comme en portaient les Romaines. Summer me donne un coup de coude. OK, je ferme ma bouche et je vais embrasser Sam et Monsieur Leyssens et puis les autres, même l’esclave. Ils ont l’ait très surpris de ces baisers. Chez nous, à la campagne, on s’embrasse. Par contre, Summer leur dit bonjour, mais ne leur serre même pas la main. Sam lui dit : — Merci Summer, tu peux nous laisser. Je réponds très vite : — Je l’ai engagée. Tête des gros bonnets ! Ben quoi, je peux engager une mercenaire, non ? La femme bien habillée dit à Summer : — Elle joue un rôle, là, ta copine ? — Non Madame Wolf. Elle est très... spontanée. — C’est amusant... Sam dit : — On en reparlera. Ce sera peut-être utile que Summer s’occupe d’elle à voir à quel point elle est... spontanée. Puis à moi : — Il paraît que tu as été très bonne dans la scène de Roméo et Juliette. Ça a presque fini par une étreinte sur scène. — Non, ça, c’était après dans la chambre. Je les cueille à nouveau... ben oui, j’ai de la répartie, on me l’a dit en impro. Monsieur Sam me dit : — Tu vas nous montrer ça. Tiens, Summer, tu feras Roméo. Chouette ! Il lui tend des feuilles. Summer me dit tout bas : — Joue en montrant ton amour pour Roméo et ta peur de le perdre, mais sans en faire des tonnes. Elle lit, je joue.... À deux reprises, je pleure vraiment et je l’embrasse avec passion. Quand c’est fini, je regarde mon public. Et alors, ils n’applaudissent pas ? Non, ce n’est pas le genre. Madame Wolf dit : — Qu’est-ce que tu en penses, chérie ? Chérie, c’est son esclave. Celle-ci répond : — Elle est belle et elle a du charisme mais il faudra la surveiller de près, c’est le genre à faire des conneries. Oui, mais oh ! C’est les esclaves qui commandent maintenant ? Y a pas un fouet dans le coin ? Spencer approuve : — Tout à fait d’accord, il faut la contrôler. Madame Wolf répond : — Je vous avais dit que ma chérie était perspicace. Elle juge tout de suite les gens. Les autres approuvent. Je dois juste penser à une chose : je vais faire du cinéma et j'aurai peut être, un premier rôle. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search 
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Par : le 07/03/22
14 Roméo et Juliette. La sœur me dit : — Très belle impro, Ashley, même si elle manque un peu de tenue. Tu as le sens de la répartie. Puis, à ma partenaire : — Toi, tu ne nous déçois jamais, Joan. Quand il y a moyen de déraper, tu y vas à fond. Cela nous a quand même permis de voir que la nouvelle à un vrai potentiel. Je vous vois très bien en Roméo et Juliette. Yes ! Elle sera mon Roméo. — Bon, à qui le tour ? Deux autres filles montent sur scène. Je suis ravie des compliments de la sœur. Je regarde les filles jouer sur la scène. Quand elles ont fini, la sœur discute de leur jeu. En fin de matinée, j'ai regardé des filles jouer des scènes et faire de l'impro. C'est l'heure d'aller manger, je vais vite près de mon Roméo et je lui dis : — On pourrait parler du rôle ? Je peux manger avec toi ? Elle me regarde, amusée. Je suis toujours attirée par des garces, moi ! J'ajoute : — Et puis, j'ai l'impression que les filles me... m'ignorent... Allez, steuplééé... Là, je me suis assez déculottée, c'est une image en rapport avec notre scène. Elle me dit : — D'accord. Mais les filles ne sont pas faciles, tu vas devoir faire profil bas. — Je le ferai. On fait la file devant le comptoir du self-service. Comme à mon habitude, je me colle à elle. Quand on est servies, on va à sa table. Il y a déjà cinq filles. L'une d'elles lui dit : — Tu amènes ta Juliette ? — Elle a besoin de soutien, cette petite. Une jolie brune me demande : — Tu lèches bien ? Est-ce que j'ai bien compris ? Elles me regardent toutes, alors je réponds : — Si c'est toi, c'est quand tu veux. C'est la bonne réponse. La fille brune me dit : — Bienvenue au club. Bon, là, je suis acceptée... Je reste dans le groupe pour les autres activités, la danse, le chant... Je me débrouille pas mal. À partir de ce premier jour, je suis prise dans le rythme intense de l'école. Je ne peux écrire que les moments importants. J'apprends les règles de l'école. Par exemple, je vais rester six semaines ici, sans pouvoir sortir. Ce même soir, quand on a fini de manger, une sœur me dit : — Viens avec moi, la mère veut te voir. Je serre la main de Joan, qui me dit tout bas : — Vas-y et séduis-la... Elle pourra t'aider par la suite : elle connaît des gens très importants. Je lui serre la main et je sors avec la sœur. Elle toque à la porte d'une chambre, ouvre et me fait entrer. La chambre est grande et nettement plus glamour que nos chambres pour quatre. La mère est assise derrière un petit bureau devant un PC. Elle me dit : — Je suis à toi dans cinq minutes. — Je vous en prie, ma mère. Je regarde la chambre. Il y a un grand lit, un canapé et des fauteuils. Il y a de la musique aussi. De chaque côté d'un des fauteuils, il y a la statue d'une esclave grandeur nature, à genoux, les yeux baissés. Oh ! Elles respirent, ces statues ! Bon, je rectifie : il y a deux vraies esclaves, une jolie Noire avec des fesses un peu comme les miennes et un petit nez. De l'autre côté, il y a une jolie blonde, avec des fesses rondes et des petits seins aux pointes rose pâle. Les deux filles ont les mêmes coiffures "au bol", c'est-à-dire qu'elles sont rasées en dessous du milieu des oreilles, c'est excitant de voir ces nuques nues. Elles ne sont vêtues que de deux colliers de chien en cuir avec une médaille.   Je me penche pour regarder, la black s'appelle Blacky et la blanche, Blanchette, normal. Elle sait vivre, la mère supérieure. Si ce sont des religieuses ici, je peux vous garantir qu'elles ne font pas partie de la même église que les familles de Notasulga. Je sens que la mère supérieure m'observe. Elle me dit : — Elles te plaisent ? — Oui, elles sont belles, ma mère. — J'ai appris que tu t'intéresses aux esclaves... alors tu vas faire connaissance avec mes deux petites chiennes. Ah oui, d'où le collier. Elle se lève et va s'asseoir entre ses deux esclaves chiennes, elle me dit : — Fais-moi un strip comme à House of Pussies. Elle est au courant de ça ? Elle pousse sur le bouton d'une commande et augmente le son de la musique. Je danse un peu de dos, puis je me retourne et j'enlève mon chemisier... Je balance mes seins en rythme. La mère me dit : — Tu es belle. Lance-moi ton chemisier. Je le lance, elle le rattrape d'une main, et met son nez à l'endroit des aisselles. Elle va être gâtée parce qu'il fait chaud et j'ai beaucoup transpiré. J'enlève ma jupe plissée, puis ma culotte que je lui lance. Je danse un peu, puis j'enlève mes chaussures et mes hautes chaussettes blanches. Elle fait un geste... oh ! Ça aussi ? Je lui jette mes chaussettes. C'est excitant de voir quelqu'un sentir vos chaussettes. Mais, s'il y a une chienne dans la pièce, c'est plutôt la mère que ses esclaves. Je danse encore, aussi nue que mes aisselles après le toilettage à Atlanta. La mère me dit : — Tu es très belle. Je crois que Sam a raison de miser sur toi. Maintenant, je voudrais que mes petites chiennes s'occupent de toi. Oui mais... et si je voulais rester fidèle à  Joan, mon Roméo ? Heureusement, je ne suis pas du genre fidèle. Les petites chiennes se lèvent et me prennent par la main pour m'emmener près du grand lit. Blanchette me prend contre elle en ce collant à mon dos et elle me murmure : — Laissez vous aller, s'il vous plaît, Mademoiselle. Elle se laisse tomber sur le lit et moi sur elle. Aussitôt, Blacky, la petite chienne noire, se jette sur ma chatte comme si c'était un os à moelle. C'est une position pas très confortable mais très excitante. Blacky a relevé mes jambes et sa langue explore les moindres recoins de ma chatte en faisant des incursions dans mon vagin et mon anus. Je sens que je vais battre le record du monde de l'orgasme le plus rapide, là. La mère, qui doit s'en rendre compte, prend un fouet et frappe les fesses de Blacky qui gémit dans ma chatte. Elle lui dit : — Pas la langue tout de suite, idiote. Je la regarde... et elle me montre le fouet. Sans bien m'en rendre compte, je dois faire signe "oui", car elle donne cinq coups supplémentaires sur les fesses et les cuisses de ma petite chienne lécheuse, qui crie et pleure dans ma chatte. Ses larmes mouillent ma chatte déjà bien mouillée. Là, impossible de résister et je jouis... merveilleusement. La mère me dit : — Tu es belle quand tu jouis. Aah ? Elle ajoute : — Il faut que mes deux chiennes soient traitées de la même façon, tu ne crois pas ? Je me relève, quittant le matelas tiède du corps de la chienne blanche en disant : — ...Euh... oui, sans doute — Tiens, frappe-la deux fois. Elle me tend le fouet. C'est la mère supérieure, donc je fais ce qu'elle dit. Blanchette s'est déjà mise en position. Elle s'est couchée sur un des accoudoirs du fauteuil, les fesses en l'air, comme une belle cible. Que voulez-vous que je fasse ? Je me suis renseignée, les fouets sont offerts avec l'esclave. Ils ont trois lanières plates qui font mal et laissent des traces mais ne blessent pas, alors... Alors, je lève le bras et j'abats le fouet sur ses fesses – Blanchette, quel bête nom – gémit tandis que la mère supérieure me dit : — Tu as un problème d'atrophie musculaire ? — ... Euh... non, ma mère... — C'est pas un coup de fouet, ça, c'est une caresse. Frappe vraiment maintenant, sinon je te fouetterai pour te montrer. Là, je ne peux plus reculer : je lève le bras bien haut, le fouet siffle dans l'air et les lanières claquent sur les fesses laissant trois marques rouges. La fille réagit nettement plus : elle crie et essaye de s'enfoncer dans l'accoudoir. Oui, mais c'est impossible, ça. Par quatre fois, le fouet vient claquer sur ses fesses, laissant de belles marques rouges qui s'entrecroisent. La punition au fouet, c'est un ensemble, une symphonie : le sifflement du fouet, le bruit quand les lanières claquent sur les fesses et enfin, les cris de l'esclave... Oui, ça a l'air de faire vraiment mal, mais on m'a ordonné de le faire... La mère me regarde avec un petit sourire et elle dit aux filles : — Déshabillez-moi. Elles déshabillent la mère à toute allure. On a beau dire, le fouet, c'est barbare mais qu'est-ce que les filles fouettées obéissent bien. La mère est belle, dans le genre bien en chair. Maintenant, je sais ce qu'elle veut : moi. Elle me tend la main, je la prends et elle m'entraîne sur le lit. Elle se couche sur le côté les jambes repliées et elle me dit : — Mets-toi en face de moi. Je me couche de la même façon et je caresse ses seins. Elle est rebondie et ferme. Elle m'embrasse. Elle a l'haleine fraîche et mentholée, super. Une chatte peut être un peu... sauvage, mais une bouche doit être impeccable. On mélange nos langues et nos salives. Sans qu'on doive le leur dire, les petites chiennes ont glissé leurs museaux entre les jambes repliées de leurs maîtresses. Moi, j'ai la petite chienne blanche. J'ai fouetté ses fesses et elle couvre les miennes de baisers. Ce n'est pas juste, mais très agréable ! Elle pose ses mains sur mes fesses et viole mon cul avec sa langue.     C'est un viol très agréable et je ne la fouetterai pas pour ça... sauf si la mère m'en donne l'ordre. Les petites chiennes s'activent au sous-sol, là où vivent les domestiques. À l'étage supérieur, on s'embrasse et on se caresse, la mère et moi. Elle embrasse mes seins et même mes aisselles moites. Répondant à un timing que je ne connais pas, mon esclave colle sa bouche à ma chatte toute collante. L'image m'excite. L'autre esclave doit faire la même chose à la mère, mais elle reste impassible, tandis que je serre les dents pour retenir l'orgasme que je sens grandir à nouveau en moi. Je ne pense ni au fouet ni à la langue de l'esclave dans ma chatte... Mais, c'est une bataille perdue d'avance, j'ai trop de tempérament. La mère me regarde intensément et sa bouche vient cueillir mes gémissements de plaisir sur mes lèvres. Jouer avec les esclaves, ça me rend lyrique ! On se repose un peu l'une contre l'autre, les museaux des petites chiennes entre nos fesses. Après un moment, la mère me dit : — Retourne ta chambre, sinon on va jaser. Tu m'étonnes ! Je réponds : — Merci pour tout, ma mère. — Tout le plaisir a été pour moi... Si tu as un problème, viens me trouver. — Merci beaucoup. Je l'embrasse. Puis, je me rhabille et j'embrasse les esclaves en les remerciant... Mais non, je rigole : on ne remercie pas un sex-toy après usage. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search 
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Par : le 24/02/22
Monsieur Leyssens me dit : — Tu vas passer six semaines dans une ancienne institution pour jeunes filles chrétiennes. Les religieuses l'ont transformée en école pour les starlettes sous contrat avec nous. Après ça, tu auras un grand rôle. — Je pourrai encore voir Summer ? — Pendant six semaines, non. Ensuite, autant que tu veux. Je m'occuperai de toi. Je vais t'avoir un super contrat. — Merci Monsieur et merci pour l'esclave. J'enfile ma robe et je l'embrasse. Summer me prend par le bras et m'entraîne dans la maison. On part, mais pour aller où ? Une institution religieuse ça ne me dit rien qui vaille. Je dis à Summer : — J'veux pas y aller... — Si, tu vas y aller. J'ai l'impression de conduire une gamine à l'école pour la première fois. Je répète : — J'irai pas. Gris soupir de Summer qui me dit : — Tu as le choix, soit tu vas chez les sœurs, soit je te vends, Slave Paradise est à côté. Alors, plus de caprice ! — D'accord. Elle a raison, je dois arrêter de faire la conne... mais je m'amuse trop bien avec elle. On quitte la côte et on roule pendant un bon quart d'heure. Je mets ma main sur ses cuisses, elle la laisse. On arrive devant une grille.   Un garde vient du côté conducteur. Summer lui dit : — La petite Ashley de la part de Monsieur Sam. — On attend cette demoiselle, allez viens petite. J'embrasse Summer et je lui dis : — À dans six semaines, promis ? — Oui, travaille bien. Je sors de la voiture et je fais au revoir avec la main. Le garde me dit : — Viens, petite, on va aller voir tes petites camarades, tu verras elles sont très gentilles. Il se fout de moi, là ? Oui, il rigole. Bon, il a raison je suis ridicule, mais j'ai connu des institutions religieuses et... non, rien. On arrive devant une grande maison entourée d'un jardin. Ce qui est surprenant, c'est qu'il y a pas mal de jeunes filles habillées en... écolière du siècle passé : jupe plissée bleue, chemisier blanc, chaussures plates et chaussettes blanches ! Sur la maison il y a une grande inscription "Ecole de comédie pour jeunes filles". Ça, c'est plus sympa. Je n'ai pas le temps d'interroger le garde, parce qu'une femme en tailleur gris vient à noire rencontre en disant : — Tu es Ashley ? — Oui, Madame. — Suis-moi, tu vas te changer. En quoi, M'dame ? Ça je le pense, mais je ne le dis pas ! On monte au premier étage et elle ouvre la porte d'une chambre. Il y a quatre lits et sur l'un d'eux, un uniforme. La femme me dit : — Change-toi. Ensuite, tu iras te présenter à la mère supérieure. Oh ! Ce sont vraiment des religieuses ? Elle reste là. Bon, j'enlève ma robe. La sœur m'observe, intéressée. Quand je remonte la culotte blanche, je sens que ma chatte essaie de la faire redescendre mais sans mains, ce n'est pas facile ! Le soutien-gorge est trop petit, mes seins débordent de partout. Je dis à la sœur : — Il est trop petit et je n'en ai pas besoin. Regardez ! Je saute et mes seins bougent... modérément. La sœur me dit : — Tu verras ça avec la mère. Dépêche-toi. Je termine de m'habiller. Les chaussettes arrivent sous le genou, c'est vraiment bizarre. La sœur me dit : — Boutonne le chemisier, seul le bouton du haut peut rester ouvert. Quand c'est fait, on retourne au rez-de-chaussée. La femme ouvre une porte en disant : — Voici Ashley, ma mère. La mère est une belle femme d'une quarantaine d'années, elle a un visage régulier, mais des yeux... perçants. Elle prend mes deux mains dans les siennes et m'attire vers elle, en disant : — Bienvenue mon enfant. — ... Euh... merci ma mère. Elle garde mes mains dans les siennes et me dit : — Ici vous allez apprendre différentes disciplines qui vous permettront de réussir au théâtre et au cinéma. Dans six semaines, vous serez prête à passer des castings...  Vous devrez beaucoup travailler et être sage et obéissante. On dirait que j'entre vraiment dans la petite école. Elle attend une réponse ? Je lui dirais bien que je me casse, mais au lieu de ça, je bredouille : — ... Oui... ma mère. — Bien. Vous allez directement suivre un cours. Je vous verrai ce soir. Elle lâche mes mains, mais c'est pour me prendre par la taille et... m'embrasser sur la bouche.  Oh ! Il y a 2 semaines c'était ma prof et maintenant elle. Je les attire ! Non, j'attire tout le monde. Un peu déboussolée par l'insolite de la situation,  je retourne dans le couloir. La sœur m'attend et me dit : — Tu vas assister à ton premier cours... — Oui... euh... vous êtes toutes des religieuses ? — Pas toutes. — Comment doit-on vous appeler ? — Ma mère ou Madame. On sort dans le jardin et on se dirige vers une petite maison. On croise une jolie fille avec une queue de cheval. Elle est vêtue d'une robe tablier boutonnée devant et elle a une raclette, un seau et une serpillière dans les mains. La fille dépose le seau et à notre passage, elle fait une profonde révérence. La sœur l'ignore. Je lui demande : — C'est une esclave, Madame ? — Oui... Monsieur Sam nous en a fournis rapidement. Tu as de la chance avant c'était les élèves qui devaient faire des corvées... — Et elles sont... fouettées ? — Les élèves ou les esclaves ? Devant ma tête, elle rit et répond : — Bien sûr, elles sont fouettées, ce sont des esclaves. Pourquoi, tu es contre ? — Non, pas du tout. J'ajoute pour moi "si elles ont fait quelque chose de mal". On se dirige vers un petit bâtiment qui se trouve derrière la maison. On entre et elle me murmure : — Ne fais pas de bruit. On est dans une grande pièce. Des filles sont assises sur des rangées de chaises et regardent la scène. Deux filles dialoguent. La sœur me fait signe de m'asseoir et elle s'en va. Je n'ai jamais vu une pièce de théâtre, ni en vrai ni même à la télé. On ne voyait que des films approuvés par la pasteur et puis j'avais souvent... des corvées à faire. C'est le passé... Les filles terminent leur scène et saluent. Les spectatrices applaudissent. La sœur qui est au premier rang leur dit ce qu'elle pense de leur jeu. Je ne comprends pas grand-chose... Vite, la fin de la journée que je puisse sortir et  boire un verre dans le quartier. Je suis à nouveau attentive quand j'entends : — Mes filles, nous avons le plaisir d'accueillir une nouvelle élève. Ashley, veux-tu venir sur scène pour te présenter. Ouch ! Danser à poils en public, c'est facile, mais là, je suis gênée. J'y vais et je dis : — Bonjour, je m'appelle Ashley Stirland et... — Bonjour Ashley. — ... Oui... euh... je viens de Georgie et je voudrais faire du cinéma. La sœur me dit : — Quels sont tes films et tes livres préférés ? — ... Euh... j'étais dans des familles d'accueil et... je... — Je comprends. Elle se tourne vers les élèves et leur demande : — Dans quels rôles voyez vous Ashley ? Plusieurs filles disent "jeune première". — Oui c'est vrai avec son physique, elle peut jouer les jeunes premières ou les garces. Que pensez-vous de lui faire jouer une scène de Roméo et Juliette ? Une fille répond : — Elle est trop sensuelle pour jouer Juliette, mais ce serait décalé et intéressant. — Exactement, bravo Brittany. On va faire ça, mais je voudrais d'abord la voir dans de l'impro. C'est quoi, ça ? Elle me dit : — Tu es une jeune fille de bonne famille, un jeune homme t'aborde. Il te plaît. Elle se tourne vers les filles en disant : — Qui fait l'homme ? Quelques filles lèvent la main. Je dis très vite : — Je peux donner mon avis ? — Bien sûr. — La jeune fille avec des cheveux courts et des yeux bleus. Ça fait sourire tout le monde... je ne sais pas pourquoi. C'est une jolie fille avec des yeux bleu foncé et elle a l'air... sûre d'elle, un peu comme Summer. La sœur lui dit : — Jo, tu fais l'homme — Avec plaisir Madame. Elle vient sur la scène et elle me dit : — Tu te promènes dans un parc. Vas-y, tu marches lentement. Ça, je sais le faire. La fille vient derrière moi et me dit : — Je vous prie de m'excuser Mademoiselle, vous venez de  perdre ceci. Elle me tend quelque chose en ajoutant : — Votre culotte ! Quoi ? Elle est folle ! Oui, il faut que je joue : Je relève ma jupe plissée et, en tâtant mes fesses, je réponds : — Merci Monsieur. Ma mère achète des élastiques de culotte d'occasion et ça m'arrive souvent. Rires dans la salle... C'est surprenant et agréable. Je fais semblant de lécher quelque chose que j'ai en main et je lui dis : — Avec cette glace presque fondue en main, ce n'est pas facile de la remettre. Vous voulez bien m'aider... J'ai peur d'attraper un rhume. Nouveaux rires... ça leur plaît ! Jo, le passant serviable, s'agenouille et fait semblant de remettre ma culotte, il me caresse les fesses au passage. Il se redresse et je lui dis : — Heureusement  que vous étiez là, ma mère m'aurait punie, alors que c'est de la faute des vieux élastiques. Comment puis-je vous remercier ? Elle dit : — En me donnant un baiser. Elle tend ses lèvres vers moi et je l'embrasse. Il y a des cris de joie dans la salle. Quand nos lèvres se séparent, elle me dit tout bas : — On se donne la main et on salue. C'est ce qu'on fait et toutes les filles applaudissent. C'est grisant... À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :   https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search   
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