Anno 1867
*********
Et puis, c'est le chaos, la fin du monde... Nos soldats se rendent ou sont tués...
On essaye de se réfugier dans la tour du château... Des hommes nous rattrapent. On a beau crier, supplier, ça les fait rire!
Un homme me prend sur son épaule, plaque sa main sur mes fesses et m'emmène...
Dans la cour du château, on est toutes regroupées, moi la Princesse, les filles et les femmes des nobles et puis des servantes et des paysannes...
Je crie, "Mon père est le Seigneur, il paiera pour que vous ne m'emmeniez pas!!"
Un homme brun et barbu me fait un grand sourire et me dit, "Ton père, t'as vendue Princesse!"
"C'est pas vrai, vous mentez, vous êtes..."
Paf!! Il me donne une gifle qui claque sur ma joue!!! Je pousse un cri, ça fait vraiment mal! Dieu sait que j'en ai donné des gifles aux servantes, mais c'est la première que j'en reçois!!!
L'homme continue, "Sois polie, sinon tu vas recevoir la fessée!"
Il est fou!!
"Ton père nous a donné de l'or et les plus belles femmes, pour avoir la vie sauve et qu'on ne mette pas le feu au château!!!"
IL MENT!!!! Mais je ne le dis pas, j'ai la joue brûlante et douloureuse.
Ils nous mettent un collier de fer autour du cou. Ensuite, on est toutes attachées l'une à l'autre par une chaîne.
Sur trois rangées, on se dirige vers le port. La seule lumière vient de la lune, on trébuche...
Des pirates sortent des maisons avec des objets et des femmes qui hurlent!
On entend crier, "Embarquez sur les bateaux..."
Je regarde vers le ciel. Oh mon Dieu, pourquoi, nous? Et même, surtout, pourquoi moi??
Des fouets claquent et on doit courir péniblement jusqu'aux quais.
Je distingue les silhouettes de bateaux dans la pénombre.
On nous fait monter sur une passerelle et on se retrouve dans le noir, dans un endroit humide et puant, sans doute, la cale.
Des filles poussent des cris. Il y en a d'autres qui pleurent. Mon je fais les deux, je pleure et je pousse des cris!
Je suis la fille du Seigneur de la région et je me retrouve enchaînée et enfermée avec des servantes, des paysannes et des prostituées...
On finit par s'asseoir et pour avoir moins froid, je me colle contre ma voisine.
Cette nuit-là, je dors à peine... Des filles gémissent toute la nuit, des bêtes nous courent dessus. Une fille crie, "Ce sont des rats!!"
On se met toutes à crier!!
Le jour est sûrement levé, mais dans la cale, il fait toujours aussi noir.
Enfin, on ouvre une trappe et des hommes viennent distribuer du pain sec et de l'eau!!
La fille contre laquelle, je me suis collée pendant la nuit est une jeune paysanne. Elle ne me connaît pas.
On parle un peu dans le noir... Des filles savent ce qui nous attend : on a été enlevées par des pirates et on va être vendue à Alger... On se lamente toutes...
*-*-*-*
Des heures plus tard, des hommes viennent nous chercher pour nous amener sur le pont...
On est sales, on pue... On a toutes... pissés dans nos vêtements, même moi!
Quelle horreur de traiter des êtres humains de cette manière!
On est sur un très grand bateau. L'air me fait du bien.
Des hommes nous enlèvent les colliers de fer et les chaînes.
Un homme crie, "Déshabillez-vous."
Les filles autour de moi enlèvent leurs robes et leurs chemises. Je fais la même chose... quelle honte!! Les larmes coulent sur mes joues. Je suis nue comme les servantes. Je me cache tant bien que mal en mettant un bras sur mes seins et une main sur... mon intimité.
On doit se mettre sur plusieurs rangées, les unes derrière les autres. Des hommes passent, nous regardent... Certains nous caressent les seins, les fesses.
Celui, qui doit être le Capitaine, à voir comme les autres s'écartent quand il arrive, crie, "Qui est la Princesse??"
Je ne bouge pas... Je crois que j'ai plus de chances de pouvoir m'évader, si on me prend pour une fille du peuple.
Une des filles crie, "Elle est ici, Capitaine!"
Une de mes servantes!!
Les filles s'éloignent un peu de moi... Le capitaine me prend par un bras et en même temps, il me donne une violente claque sur les fesses. Je crie, "aaaaaiiiiieee!!"
"Et alors, tu as oublié, qui tu es?"
Je pleurniche, "Pardon Capitaine, je... je n'avais pas compris!"
Je reçois une nouvelle claque, je crie à nouveau, ça fait vraiment mal.
Il me dit, "Menteuse!!"
Les hommes rigolent. Ils disent, "Donnez lui, la fessée, Capitaine!"
Un autre crie, "Elle a un cul de paysanne, pour une princesse."
"On la fessera plus tard.", dit le Capitaine!
Puis à moi, "Tu es pucelle?"
Je réponds, "...... oui....."
Il me donne une bonne claque sur l'arrière de la tête! Sale brute!! Je dis bien haut, "Oui, Capitaine!"
"Bon, tu vas te mettre là." Il me désigne un endroit près du mat.
Il ajoute, "Les autres pucelles aussi."
J'y vais avec deux filles de commerçants et trois jeunes paysannes.
On est cinq en tout... sur une trentaine de filles.
Le Capitaine s'adresse à quelqu'un, "C'est tout, à ton avis?"
Et alors... je vois arriver quelqu'un que je connais... très bien. Murphy!!!
Je lui dis, "Murphy, tu viens me chercher???"
Elle rigole, le Capitaine aussi. Il la prend par la taille et l'embrasse...
C'est Murphy!!! Elle est habillée et elle semble au mieux avec les pirates...
Alors, elle va me faire libérer??
Comme elle ne me regarde pas, je l'appelle, "Eh, Murphy!"
Elle se tourne vers moi, "Ce n'est plus Murphy, c'est Maîtresse."
Je bredouille, "... mais... pourquoi... tu... vous..."
"Tu parleras quand je te donnerai l'autorisation. Compris?"
Je baisse la tête, "Oui... Maîtresse."
D'abord, les pirates, puis Murphy, bientôt ça va être Satan en personne qui va apparaître pour me tourmenter! C'est un cauchemar!!
Hélas non!
On est six pucelles... Tout le monde nous regarde! Un homme vient nous attacher une bande de tissu rose autour de la taille.
Le capitaine dit à ses hommes, "Interdiction de baiser les pucelles, celui qui le fait, on lui coupera les couilles et on lui fera bouffer!"
Voilà qui semble dissuasif!
Un des hommes demande, "On peut se faire sucer, capitaine?"
"Dans sa bouche, tout ce ce que vous voulez."
Quelle horreur!! Toutes ses émotions plus l'idée que ces hommes enfoncent leurs sexes dégoûtants dans ma bouche, je me sens mal... La tête me tourne et je fais un... malaise...
*-*-*-*
Splaaach!!! Je reviens à moi, brutalement!
J'ai reçu un seau d'eau glacé dans la figure.
Je tousse, je crache, c'est de l'eau de mer...
Le Capitaine se penche vers moi, "Alors Princesse, on fait des manières?"
Je m'accroche à lui, "Mon père est riche, Monsieur, il vous donnera une..."
Il me coupe, "Tu es une emmerdeuse, toi! Tu vas avoir 10 coups de fouet! Tu verras, ça va t'empêcher de t'évanouir!"
Quoi??? Le fouet!! A moi??
Je lui dis, "J'ai pas fait semblant, je vous le jure!"
de plus, pour avoir parlé sans autorisation. Tu as encore quelque chose à dire?"
Je fais vigoureusement "non" de la tête!
20 coups de fouet!!! Il y a un murmure de satisfaction parmi les filles et des cris de joie de la part de l'équipage.
Deux hommes me prennent par les bras et m'attachent, face contre le mât, les bras levés. Je suis toute nue devant cette racaille et ces filles, dont certaines étaient mes servantes!
Je me souviens des cris des filles que je faisais fouetter... Je trouvais ça très amusant de les entendre appeler leurs mères... supplier... promettre tout ce qu'on voulait...
Un fouet siffle dans l'air..."sssswwwwwitch!!" Je ressens une vive brûlure en travers de mes fesses d'une hanche à l'autre! Je pousse un cri aigu, "aaaiiiiieeeeeeee!!!! Pitié, capitaine, ça fait trop mal!"
Il me répond, "C'est le but! Mais comme tu as parlé celui-là ne compte pas. Tu as juste le droit de crier!"
Ooooh non!!! J'entends le sifflement du fouet puis, sssswwwwwitch! Il vient mordre la base de mes fesses! "aaaiiiiieeeeeeee!!!!". Je m'aplatis contre le mât!!!
Je crie déjà quand j'entends le sifflement du fouet, mais l'homme qui le manie s'amuse à le faire claquer dans le vide, avant de l'abattre sur mes fesses.
Rires des pirates!!
21 fois encore, le fouet vient cingler mes fesses et mes cuisses... La douleur est insupportable, je me tords contre la mât!!
Enfin, au 21ème l'homme s'arrête.
Le capitaine me dit, "Tu as compris la leçon, Princesse?"
"Ouiiiii Capitaine... J'ai compris la leçon!!"
Je sanglote contre mon mât!!!
Depuis le haut des fesses jusqu'à la pliure des genoux j'ai l'impression que ma peau est en feu!!!
"Laissez-la attachée au mât à titre d'exemple." dit le Capitaine. Et il ajoute, pour les filles, "Si vous n'obéissez pas, vous serez fouettées comme la princesse! Compris?"
On entend , "oui"... "yes"..." ja"..." Elles ont toutes compris!
Je reste attachée au mât... Les hommes viennent me voir... touchent mes fesses, tire mes cheveux vers l'arrière pour voir mon visage plein de larmes...
Il y en a un qui me dit, "Pas une seule blessure, on pourra recommencer très vite!!"
Je suis en enfer!!!
Tout se passe comme dans un rêve, un très, très mauvais rêve!!
Je reste là interminablement, sans boire et sans manger...
Le soir, on me détache et on m'enchaîne à nouveau dans la cale.
J'ai terriblement mal aux fesses et à l'arrière des cuisses. J'ai aussi soif et faim, surtout soif.
Nous ne sommes plus que quatre dans la cale. Ce ne sont pas d'anciennes servantes du château, heureusement!
Un homme vient nous donner du pain sec et une cruche d'eau...
On mange dans le noir et puis épuisée, je sombre dans un sommeil peuplé de cauchemars, mais la réalité est pire!
Le lendemain matin, des hommes viennent nous détacher et nous font monter sur le pont.
Il y a des filles, un peu partout, occupées à nettoyer. Quelques pirates font régner l'ordre à coups de fouet. On entend crier et supplier régulièrement. La plupart des filles sont nues, quelques-unes ont une chemise.
On n'a plus de chaîne mais toujours un collier de fer autour du cou.
Un homme nous dit, "Vous êtes décidées à obéir à tous les ordres ou vous préférez être fouettées et retourner dans la cale???"
On dit toutes les quatre, "On obéit..."
L'homme crie, "Qui a encore besoin de filles."
Deux pirates viennent voir. L'un d'eux me choisit, mais l'homme dit, "Pas elle!"
J'attends, nue, dans le vent froid... Au bout d'un moment, je vois arriver Murphy. Elle est habillée et me dit, "A genoux devant ta Maîtresse!"
Le fouet, il n'y a rien de mieux pour rendre obéissant. Je me mets immédiatement à genoux. Elle vient se mettre tout contre moi. J'ai le visage contre son gros ventre et sa... son intimité...
Elle me dit, "Regarde-moi!"
Je dois complètement lever la tête pour la regarder.
"Tu vas être ma servante!"
Je voudrais dire, "Vous êtes folle...", mais je me tais.
C'est une erreur! Elle se recule et m'envoie une bonne gifle sur la joue, "On dit, oui Maîtresse."
Je frotte ma joue en pleurnichant, "Oui, Maîtresse."
"Tu verras, je suis une bonne maîtresse. Bien sûr, je te fouetterai, pour que tu n'oublies pas qu'elle est ta place, mais c'est normal de fouetter une servante, non?"
"Oui, Maîtresse."
Elle ajoute, "Tu vas avoir le grand honneur d'embrasser le cul de ta Maîtresse!" Sur ce, elle soulève son ample jupe, dévoilant de grosses fesses blanches.
Elle me dit, "Montre ta soumission à tout le monde!"
Je m'approche de ce gros derrière... lentement!
J'entends des rires autour de nous. Une voix d'homme qui dit, "Venez voir la Princesse!"
Murphy prend ses fesses à pleines mains et les écarte... À ce moment-là un homme pousse ma tête et je me retrouve le visage entre ses fesses.
Je me débats un peu, mais il pousse sur ma tête!!!
Pouahh!!! Murphy se tortille contre mon visage, en disant, "Dans peu de temps tu vas l'aimer mon cul, Princesse!"
Ça ou le fouet? Je préfère ça!! Je ne me débats plus, je lèche un peu!!!
Elle n'est pas propre! Je savais qu'elle n'avait pas beaucoup d'hygiène, mais c'était l'affaire des servantes! Maintenant, j'ai son odeur et son goût dans le nez et dans la bouche!!
Elle me dit, "J'espère que ça te plaît... Parce que j'aime me faire lécher le trou du cul et je ne suis pas la seule!"
J'entends rire des hommes, "Ouais, tu vas avoir du travail, Princesse!!".
Ce n'est pas le fouet qui marque le début de mon affreuse nouvelle vie, c'est ce moment où j'embrasse le trou du cul de celle qui était ma servante sous les rires et les quolibets des hommes!
A suivre...
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Un château en Irlande.
Irlande - Anno 1667
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Je m'appelle Wilhelmina et je suis née en Irlande. Mon père est un Seigneur qui possède un château et beaucoup de terres, dans le Connaught.
Mes parents ne se sont jamais beaucoup occupés de moi. La plupart du temps, ils sont à la Cour ou à diverses occupations.
Ah oui, on utilise le diminutif de mon prénom, Mina, enfin seulement mes parents ou ma proche famille.
Des gouvernantes se sont succédées auprès de moi, dès ma naissance. Depuis trois mois, il s'agit de Madame Murphy, que j'ai baptisé Murph. Elle est chargée de veiller à ce que j'ai tout ce que je désire.
Mes parents me demandent de temps en temps si je suis satisfaite de Murphy. Et, oui, je suis satisfaite. Elle fait tout ce que je veux. Elle a compris que c'était la condition pour garder son emploi. Par contre, elle est très sévère avec le personnel et particulièrement avec les servantes.
Mon père a droit de haute et basse justice, sur ses terres. Il ne manque jamais de faire fouetter les domestiques ou les paysans quand il le juge nécessaire. J'avais été très impressionnée de voir de très jeunes femmes déshabillées et fouettées en publique. Pour une jeune fille, la honte d'avoir ses fesses dénudées me semblait une punition pire que le fouet. Il faut dire que je ne l'ai jamais reçu!
Les punitions corporelles se pratiquent à tous les niveaux.
Les professeurs, souvent des curés, punissent les élèves, depuis la réprimande jusqu'à la canne. Les maîtres fouettent les domestiques. Il existe une loi, qui s'appelle "the rule of the thumb" (la "ègle du pouce), qui autorise un mari à battre sa femme à condition que le bâton qu'il utilise soit d'un diamètre inférieur à un pouce. *
Petite, je me suis vite rendue compte, que moi aussi, je pouvais punir à ma guise les servantes et les paysannes, soit parce qu'elles avaient commis une faute, soit parce que cela m'amusait. Murphy, ma gouvernante, est une experte dans ce domaine et a fortement encouragé mon penchant naturel. C'est une forte femme et elle manie le fouet avec beaucoup d'habileté. Elle m'a expliqué que le fouet se manie de façon à faire le plus mal possible, sans blesser, de façon à pouvoir recommencer souvent et à ne pas laisser de marques.
La Bible cautionne ses pratiques. Dans la lettre de Paul aux Hébreux, il est dit au verset 7 "Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils."
Plus jeune, j'ai fait part de mon goût pour punir les jeunes servantes, à mon confesseur. Il m'a dit que c'était tout à fait normal et que c'était la seule façon de faire travailler les servantes ou les paysannes qui sont naturellement paresseuses. Rougissante, je lui ai avoué que je repensais à ces punitions et qu'il m'était arrivé de rêver à ça... et que c'était agréable... trop agréable. L'abbé, un homme d'un certain âge ne comprenait pas bien pas ce que je voulais dire. Il m'a posé beaucoup de questions... nécessaires, pour me donner l'absolution. Je lui expliquai que voir relever les jupes d'une servante, pour dénuder ses fesses, puis de les voir rougir sous le fouet, ça me troublait.
Il me demanda, "À part ça, vous n'avez pas de pensées impures mon enfant?"
"... euh... non... mon père."
"Vous aimez simplement les voir punies?"
"Oui, mon père."
"Alors, ce n'est pas grave. Ces filles du peuple sont généralement des dévergondées et ce n'est que justice qu'elles soient punies. Il s'agit, d'une innocente petite distraction."
Personnellement je me conduis avec la retenue due à mon rang. Récemment, la seule chose que j'ai permise à celui qui va devenir mon fiancé, c'est de prendre ma main... et... de la porter à ses lèvres. Nous avions échappé un instant à notre chaperon.
Je me suis confessée le lendemain matin. L'abbé m'a grondée et m'a donné l'acte de contrition à réciter 20 fois à genoux. Je dois attendre d'être fiancée pour me laisser accepter ce genre de privauté.
L'abbé m'a dit, "Amusez-vous à punir vos servantes, mon enfant, mais ne faites pas de jeux de ce genre avant le mariage, Dieu vous regarde!"
Bon. J'obéis à mon confesseur et quand il m'arrive d'avoir un semblant de pensée impure au sujet de Geoffrey, mon futur fiancé, je me défoule sur les servantes. Il y en a une vingtaine dans le château.
J'aime aussi me promener sur nos terres, pour punir les jeunes paysannes.
De toute façon c'est dans l'ordre des choses et je ne suis pas cruelle, loin de là. J'ai même fait donner une dot à une jeune servante que j'aimais bien, afin qu'elle se marie avec un des palefreniers. Mais comme le dit Murphy, il faut que les servantes sachent où est leur place.
Elle a peut-être des pensées moins pures que les miennes. Je sais qu'elle fait souvent coucher une servante dans sa chambre, pour lui masser les pieds si elle a des crampes la nuit. Entrant, dans sa chambre à l'improviste, j'ai plusieurs fois remarqué qu'une servante était dans son lit, sous les couvertures. J'ai fait semblant de ne rien voir.
Murphy aime obliger une servante à se mettre nue pour vérifier qu'elle n'a rien volé ou plus simplement, parce qu'on... se réjouit toutes les deux de la honte de la fille.
Il y a beaucoup de raisons pour donner le fouet à une servante : l'insolence, la paresse, les maladresses, un visage pas souriant... Oserais-je ajouter, pour s'amuser?
Tous les jours, on punit quelques servantes. Comme il y en a une bonne vingtaine, ça veut dire qu'elles ont le fouet deux fois par semaine, ce qui n'est pas excessif. De cette façon, elles sont extrêmement attentives et obéissantes. J'aime ce pouvoir! Cependant, comme je l'ai déjà dit, je suis une maîtresse accommodante. À part des gifles et le fouet de temps en temps, elles n'ont pas à se plaindre. Je sais que c'était pire chez leurs parents à la ferme!!
Une bonne idée de Murphy a été d'installer un pilori dans la salle de garde. Le climat n'étant pas clément, il était cruel de mettre des gens au pilori en hiver.
Mes parents ont trouvé l'idée excellente, les soldats aussi.
De cette façon, celle qui a été punie a le temps de réfléchir à sa faute.
Pas plus tard que ce matin, j'ai été obligée de sévir. Une servante... euh... en vérité, je ne me souviens plus de ce qu'elle avait fait ou pas fait!
De son côté Murphy désirait punir une servante qui ne lui avait pas assez bien... massé les pieds.
Personnellement je suis contre cette promiscuité. Je suis très pudique et je refuse que les servantes me voient nue quand je me lave ou que je m'habille. Murphy trouve ça incroyable, mais mon confesseur pense que j'ai raison.
Ce matin, je fais donc venir les deux coupables. Elles sont jeunes et jolies... les laides sont dans les champs.
Murphy leur dit, "A genoux! La Maîtresse va décider, qu'elle sera votre punition."
C'est à moi de décider... alors... "Voici votre punition..."
C'est un moment de grâce, j'ai tous pouvoirs. "Vous passerez la soirée au pilori du corps de garde de 6 h ce soir à minuit et vous serez fouettée demain matin à 11 h."
"Très bien, Princesse.", me dit Murphy les yeux brillants.
Les servantes supplient un peu... rampent un peu à nos pieds.
"Au travail!", dit Murphy, "ou on double la punition."
Le soir, nous passons par la salle de garde. Les deux jeunes servantes sont là, penchées en avant, les poignets et le cou prit dans les orifices du pilori.
On a relevé leurs jupes et leurs fesses sont nues. Les soldats ont bien le droit de s'amuser aussi. Comme il y a en deux qui... leur content fleurette, je détourne pudiquement le regard.
Le lendemain matin, je m'étire dans mon lit. Je suis de bonne humeur en pensant aux deux servantes qu'on va fouetter ce matin et qui ont dû passer une mauvaise nuit!
Les punitions se passent dans la salle de garde et il y a toujours des spectateurs, des soldats, des domestiques...
Et puis, je me dis, ce sera plus amusant ce soir!!
Les servantes nous attendent, en chemise, les pieds nus.
Je dis à Murphy, "On fera ça ce soir Murph."
"Bien, Princesse."
C'est amusant de différer une punition!
L'après-midi, nous avons des visites... c'est d'un ennui!!
J'attends le soir pour me distraire.
Enfin, ils s'en vont. Mes parents et les gens de la cour ont leurs occupations, moi je file dans la salle de garde.
Les filles sont là, pieds nus et en chemise comme ce matin.
Murphy va les fouetter.
"Enlevez vos chemise" dit Murphy.
Elles obéissent aussitôt. Leur peau est très blanche et elles tremblent de froid... et de peur.
"Vous n'allez pas avoir froid longtemps, leur dit Murphy, je vais vous réchauffer.
Avec l'aide de deux soldats, elle attache les filles, l'une contre l'autre, les bras tendus vers le haut de façon à ce qu'elles soient sur la pointe des pieds.
Murphy fait claquer son fouet. À ce bruit les filles poussent un cri... Elles se pressent l'une contre l'autre. La position les oblige à bouger, dans l'espoir vain de trouver un appui pour leurs pieds tendus. Leurs jambes se tendent pour essayer de diminuer la tension dans les épaules. Leurs fesses nues frémissent, blanches dans la lumière des bougies et des torches...
Murphy commence, d'un geste souple mais plein de force et... de grâce. Elle déploie le fouet qui décrit un cercle et vint claquer sur les fesses des filles. Elles poussent un cri aigu en contractant leurs fesses qui s'ornent d'une première marque rouge. Murphy attend quelques secondes, puis la lanière vient mordre le haut des cuisses... Ensuite, elle fouette le dos depuis la nuque jusqu'au haut des fesses, puis les jambes et les mollets... Les filles agitent leurs jambes, ce qui ne fait qu'accroire la douleur dans les épaules...
Murphy envoie un méchant coup de fouet qui vient s'enrouler sur les mollets des filles. En poussant des cris aigus, elles lèvent leurs jambes, immédiatement Murphy envoie le fouet de bas en haut entre les jambes des filles, les lanières viennent claquer sur leurs... enfin vous voyez ce que je veux dire. je détourne pudiquement le regard.
Il y a des rires et des bravos venant des spectateurs...
Je lui dis, "Encore quelques coups sur leurs fesses Murph." C'est vrai quoi, il faut rester correct. et puis le bruit fouet qui vient claquer sur les fesses, mêlé aux plaintes des filles, cela fait une musique si agréable...
Elles se poussent en avant, comme pour diminuer l'ampleur de leurs fesses, impossible. Elles ont toutes les deux de belles fesses, on nourrit bien nos domestiques.
Les meilleures choses ont une fin, enfin je veux dire pour les spectateurs,! On arrête la punition. Les filles continuent à crier, ça devient franchement pénible!
Murphy leur dit, "Vous voulez une bonne raison de crier..."
Non!!! Elles ne veulent pas! On entend plus que des gémissements étouffés...
Murphy et l'intendant les détachent. Elles viennent rapidement et péniblement se mettre à genoux devant moi...
C'est le moment du repentir et des bonnes résolutions, ça donne à peu près ceci, "Pardon, Maîtresse, on ne sera plus paresseuse ou insolente..."
Je leur abandonne mes mains qu'elles couvrent de baisers et de leurs pleurs...
C'est un peu dégoûtant, mais... grisant!
Je leur demande, "Ce sera suffisant comme punition?"
Alors là c'est un concert de supplications... abjectes... mmmmhhhh...
Je fais signe à Murphy, que j'en ai fini.
Elle leur dit, "Reprenez le travail."
Les filles n'en demandent pas plus. Elles enfilent leurs chemises et quittent le corps de garde.
Je me sens, comment dire... un peu troublée, mais aussi apaisée.
Murphy me dit, "Pour demain, il y a une nouvelle servante, qui..."
Et, là oui, là, tout bascule!!! On entend des cris des coups de feu. Des hommes en armes arrivent dans le corps de garde... Ils sont très bruns de peaux avec des barbes noires. Ils ont aussi des pistolets et de grands sabres recourbés
J'entends crier, "Au secours, les pirates Barbaresques!!!"
Ouh non!!
À suivre.
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4 - Mia est en vente.
Monsieur A, le directeur, est assis dans un fauteuil et parle avec plusieurs personnes.
— Monsieur...
Il se tourne vers moi,
— Tu ne vois pas qu'on discute ?
— Juste trente secondes.
Soupir excédé.
Je lui dis :
— Le dessinateur est d'accord pour me faire des dessins.
— Lequel ? Je t'en ai montré deux.
— Le plus jeune des deux.
— Tu te fous de moi ?
— Non, je vous jure.
Je lui montre le dessin. Il a l’air très surpris et me demande :
— Tu sais qui c'est ?
— Non, je ne le connais pas. Enfin si... on a... j'ai.... non, rien.
— C'est Bruce Morgan, un excellent dessinateur.
Aaah ?
— Où est-il ?
— En haut, Monsieur.
On monte voir « mon » dessinateur.
Je veux entrer dans la chambre, mais il me dit :
— Attends ici.
Pfff...
Je colle mon oreille à la porte, mais je n'entends rien.
Quand il ressort, il me dit :
— Oui, c'est vrai ! Il est même d'accord de publier avec toi.
Oh ? J'ai du mal à bien réaliser... ce serait fait ? ?
— Bon, je vais faire un contrat.
Je le suis dans un bureau qui se trouve au rez-de-chaussée.
Il allume un PC et me demande mon nom, mon adresse...
Pour le dessinateur, il a tous les renseignements.
Il imprime un contrat en 3 exemplaires et me les tend en disant,
— Mets un paraphe au bas des 3 premières feuilles et signes la dernière.
— Un paraphe, Monsieur ?
Il me montre comment faire. Marrant !
Je parcours... enfin, non, je ne lis pas !
Je « paraphe » et puis je signe la dernière feuille.
Il me donne mon exemplaire en me disant :
— Tu peux dormir ici, il y a une chambre.
— Merci, Monsieur.
Il ajoute :
— Mais, la soirée n'est pas finie. Comme convenu, tu continues à faire le service.
— Oui, bien sûr Monsieur.
J'ajoute :
— Qu'est-ce que je peux faire pour... pour...
— Faire le service, je te l'ai dit.
— Non, je veux dire, je pourrais essayer qu'on parle du livre, faire de la publicité.
Il rit, ça ne doit pas lui arriver souvent.
— Douée comme tu l'es, tu serais capable de coucher avec tous les libraires de France pour qu'ils vendent ton livre... Tu devrais demander à notre responsable de la publicité sur le Net.
Il me désigne un grand type avec une chemise noire, en disant :
— C'est lui !
— D'accord, merci beaucoup et je peux lui dire...
Il me coupe :
— Oui, tu peux lui dire qu'on va publier ton livre. La fille qui est avec eux s’appelle Anaïs, elle a un blog « Miss Nanou » qui teste les sex-toys et parle des livres érotiques, ce serait une très bonne chose si elle te faisait une bonne critique.
La fille qu’il me désigne est une brune pas très grande avec des lunettes. Elle est jolie et porte une robe tellement décolletée qu'elle a pratiquement les seins à l'air. Elle rit comme une fille qui a un peu forcé sur le champagne.
Le directeur me prend par le bras, en disant :
— Maintenant reprend ton service, il y a des gens qui n'ont plus à boire, tu leur parleras plus tard.
Pfff... Je vais près du petit groupe. Il y a mes cibles « chemise noire » et Anaïs « nichons à l’air ». Ils sont avec un autre homme qui a une cravate rouge Les hommes ont environ 35 ans, la fille est plus jeune. Ils ont manifestement tous pas mal picolé.
Tandis que je les regarde en me demandant comment je vais faire, « cravate rouge » m'aperçoit et m'appelle :
— Pppssiiittt !! Viens ici.
— Oui, Monsieur ?
— Essaie de nous dégotter une bouteille de champagne.
Je vais chercher une bouteille et lui apporte.
— Merci, petite.
Je reste là... Je vais...
L'homme me dit :
— C'est bon, merci, tu peux disposer.
— C'est que... on va publier mon livre.
Ils se tournent tous les trois, vers moi.
« Nichons à l'air » dit :
— Attends, ne dis rien. Je vais deviner le titre de ton livre... Tu as écrit... « Les mémoires d'une serpillière. »
Ils éclatent de rire ! Ça commence bien.
Et puis les hommes s'y mettent aussi.
Non, je crois que c'est « 50 nuances de vaisselle sale. »
Ou, « La vérité est au fond de la cuvette. »
Ils sont morts de rire ! Et ils continuent :
Non, c’est un guide : « Comment bien laver les culottes de Madame. »
« Va peloter la bonne, maman est occupée. »
J'en ai les larmes aux yeux, mais pas de rire ! !
Anaïs « nichons à l’air » s'en aperçoit et dit :
— On arrête, sinon elle va pleurer !
Elle se tourne vers moi :
— On va publier ton livre, qui s'appelle ?
— « Mia sans dessous », Mademoiselle.
Ils se remettent à rire !
Je me tourne vers « chemise noire » :
— S'il vous plaît, Monsieur, dites-moi comment je dois faire pour que mon livre se vende.
— Tu nous déranges pour ça ?
— C'est que c'est important pour moi.
Je regarde « chemise noire » dans les yeux, en disant :
— Je vous en prie, je ferai ce que vous voulez.
Anaïs « nichons à l'air » intervient :
— Allez, va baiser cette petite, j'ai vu comme tu matais son cul !
Il hésite... Je me retourne et ramasse un petit truc par terre... ce qui met en valeur... mes arguments.
Ça les fait rire à nouveau. « Chemise noire » dit :
— Bon, on va aller discuter dans la chambre.
— T'es fou ! Tu ne vas pas défaire un lit pour tirer une bonne. Une fille comme elle, on la trousse devant son évier ou sur la table de la cuisine, voire dans les chiottes !
— T'as raison, vas pour les chiottes !
— Euh... je ne vais pas dire « Mais je ne suis pas une fille qu'on baise dans les chiottes », parce que je suis sûre qu’ils vont rire à nouveau !
On va dans les toilettes. Elles sont spacieuses.
Il me dit :
— Penche-toi, les avant-bras sur la planche, la tête dans la cuvette. Et remue bien ton cul quand je serai dedans, sinon je tire la chasse !
Ppppfff... Je suis tombé sur un imaginatif, normal dans la pub. J'avais déjà eu un aperçu quand ils ont joué « titres de ton livre. »
Il remonte ma jupe et constate que je n'ai pas de culotte.
L'eau au fond de la cuvette est jaune et il y a quelques papiers. J'aurais dû nettoyer les toilettes, mais c’était difficile de prévoir que j’allais me retrouver la tête dedans !
— Aiiee !!
Il est entré en moi d'un coup ! Faites comme chez vous, hein ! On se croirait au Sofitel de New York !
La menace de me faire arroser le visage et les cheveux par de l'eau pisseuse me stimule bien ! Je remue les fesses comme une danseuse de twerk !
Et ça marche, le twerk ! Au bout d'une dizaine de minutes, le monsieur de la pub qui est derrière moi pousse quelques grognements, j'imagine qu'ils signifient : « Je vais jouir en vous, ma belle, contractez bien votre vagin ! »
Oh ! Je sens un petit ballon en moi, c'est le préservatif qui se remplit.
Il sort, me donne une claque sur les fesses en disant :
— Tu le remues bien, petite, je vais t'aider !
— Merci, Monsieur.
Oui, et merci à mon cul, c'est un précieux allié. Si j'étais assez souple je lui ferais plein de bisous !
On retourne dans le grand salon. Aussitôt, le directeur me tombe dessus et m'engueule :
— Et alors, où étais-tu ? Je t'avais dit que tu devais aider au service jusqu'à la fin de la soirée.
Si je lui dis que j'étais en réunion avec
les publicitaires, il va s'énerver.
Alors je la ferme... mais ça l'énerve aussi !
— Bon. Eh bien tu vas tout nettoyer quand tout le monde sera parti et je veux que ce soit nickel, c'est bien compris ?
— Oui M'sieur. Mais avant de nettoyer, je peux demander à la blogueuse de parler de moi ?
Le directeur pousse un tout beau soupir,
— D’accord !
Je vais chercher le manuscrit et me dirige à nouveau vers le petit groupe… « Chemise noire » dit à Anaïs :
— Ça va être pour toi cette fois-ci.
Facile après ça ! Je lui demande :
— Vous voulez bien jeter un minuscule coup d’œil à mon manuscrit.
« Chemise noire » lui dit :
— Essaye-la, elle est habile.
Anaïs fait la moue :
— Je ne fais pas ça avec des filles.
— C’est pas une fille, c’est un sex-toy !
Ils rigolent tous, à nouveau.
Dure, la vie d'auteure ! !
Mais, présenté comme ça, ça lui plaît…
Elle s’assied à une table, moi en dessous, bien sûr. Il n’y a pas que Mia qui soit sans dessous, Anaïs n’en a pas non plus. Je me retrouve tout de suite la bouche sur sa chatte aussi lisse qu’une savonnette. Si elle n’aime pas les femmes, elle aime les sex-toys… car elle réagit tout de suite… On devient vite intimes, c'est-à-dire que je connais l’odeur et le goût de sa chatte…
Elle a beaucoup aimé ma langue et ma technique… Mon livre également et elle en parle très gentiment.
Le directeur de la publicité a aussi tenu ses engagements et même au-delà puisqu'il m'a fait une série de sites.
Inutile de dire que je lui suis très reconnaissante !
Je revois Anaïs « nichons à l'air » quand je cherche un titre pour mon nouveau livre ou pour autre chose. Elle n’aime toujours pas les filles, mais elle aime toujours les sex-toys !
Le seul problème est que je n’avais lu le contrat. Il est écrit que je devais continuer à faire le service pour toutes les soirées organisées par les Éditions Millevertus. Il y a des bons côtés, en partant les invités me donnent pas mal de pourboire. Oui, parce qu’en attendant de toucher mes droits d’auteur, je continue à tirer le diable par la queue (et pas que le diable !). Ce qui m’ennuie plus, c’est que je dois plus être déguisée en soubrette, mais en lapin rose !
Je perds de ma crédibilité d’auteure. Je crois que Frédéric Beigbeder n’a jamais dû se déguiser en lapin rose pour être publié. Je me verrais bien dans Lui, moi…
Voilà, mon rêve s'est réalisé. Mon rêve suivant est que les volumes suivants, déjà prêts, soient publiés... Quitte à faire le lapin rose autant qu'ils veulent...
Alors, si Dieu le veut...
P.S. : Vous allez me demander, si tout est vrai.
Bien sûr, il s'agit des Éditions de la Musardine, qui ne ressemblent pas aux Éditions Millevertus. « C'est beaucoup moins amusant ici » m'a dit le vrai directeur... »
Quant à Bruce Morgan, il est terriblement sollicité. J'ai donc dû trouver des arguments pour qu'il me fasse des dessins et... comment dire... une fille, plutôt mignonne et qui ne met jamais de culotte, elle a des arguments !
***
— MIA ! Tu es occupée de dire publiquement que tu as eu des relations sexuelles avec Bruce Morgan pour qu'il te fasse des dessins ! ? ! ? Sa femme va être ravie d'apprendre qu'il la trompe ! !
Mais… pas du tout, la Voix ! Et puis, d'ailleurs... sucer, c'est pas tromper !
***
J'ai raison, hein ?
Enfin bref, « Mia sans dessous », 370 pages et 81 dessins de Bruce Morgan, est en vente.
*-*-*-*-*-*-*
Depuis, j'ai écrit 2 livres : "Les fesses d'Eva L" et "Eva en uniforme"
Je ne veux pas énerver le webmaster en mettant des adresses, alors disons, que si vous surfez sur amazon kindle vous me trouverez et je suis super-bonne, je veux dire mes livres sont super-bons et à 3,50 e pour les 2 Eva. Oui, je suis en vente... pas cher :o)
https://www.amazon.fr/Mia-sans-dessous-Michael-ebook/dp/B01DUI7ZJW/ref=pd_sim_351_3?ie=UTF8&psc=1&refRID=6ECBWGE65BVE6MR3RH95
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... de publier mon article...
dessin de Bruce Morgan pour mon blog
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3 – Dessine-moi un mouton.
Quand son bureau est plus propre que... la salle d'opération où on va opérer un dictateur, il murmure :
— Il y a des fautes.
— Oui, mais...
— Pourtant… c’est pas mal...
Oh merci, mon Dieu.
— Et même... amusant...
Je me risque à dire :
— Vous croyez que...
— Je ne vous ai pas dit que j'allais vous publier... Il faudrait quelque chose en plus... des dessins, par exemple. Et puis…
Je me méprends sur le sens de ces derniers mots, pensant qu’il a peut-être envie de… quelque chose de plus. Je lui dis :
— Oui ? Je ferai « tout » ce que vous voulez.
J'ai mis de l'emphase sur le « tout » !
Là, il me regarde un peu dégoûté et dit :
— Si c’est vous que vous proposez, je ne suis pas intéressé. Ce n'est pas que vous ne soyez pas assez séduisante, mais vous avez besoin d'une très longue douche !
Alors, pour réussir dans la... littérature, il faut sucer et ne pas avoir de fierté !
Et sentir bon !
— Bon... Samedi, on organise une soirée pour nos meilleurs auteurs. Vous pourriez y rencontrer des dessinateurs...
— Oh oui et...
— Vous viendrez pour faire le service avec d'autres filles... Je vous montrerai les dessinateurs que vous pourriez intéresser. Une servante qui écrit, ça pourrait éveiller la curiosité de certains. Bien sûr, vous ne serez pas payée. De plus... vous viendrez à l'adresse que je vais vous donner et vous nettoierez soigneusement.
Je me dépêche de répondre « D'accord Monsieur… » avant qu'il ne m’ordonne d'aller aussi laver sa voiture !
— Après avoir nettoyé, on vous indiquera la salle de bains. Passez-y un très long moment ! Vous voyez ce que je veux dire ?
Le rouge aux joues, je réponds :
— Oui, mais, vous savez, c'est parce que...
Il s'en fout ! Il continue :
— Ensuite une amie vous aidera à vous coiffer et à vous maquiller. Elle vous trouvera un uniforme pour faire le service. Vous ferez exactement ce qu'elle vous dira, y compris au cours de la soirée. Vous aimez obéir aux femmes, non ?
— Je serai aussi obéissante que mes héroïnes, Monsieur.
Il a un sourire de 2 cm... Ouais ! J’ajoute :
— Vous pourriez dire à Monsieur Bajram que je dois nettoyer chez vous samedi.
— Qui est Bajram ?
— Le patron de la société de nettoyage.
— Je demanderai à ma secrétaire de le faire. Ah oui, je garde votre DVD. Je ferai imprimer le début, vous pourrez le montrer plus facilement.
Il ajoute :
— Vous avez tout nettoyé soigneusement, ici ?
— Oui, Monsieur. Il me reste le couloir à faire et...
Là il ne me coupe pas la parole, il attend la suite.
— Et les toilettes...
— C'est un endroit qui doit être impeccable ! Je vérifierai ! C'est bon, vous pouvez y aller.
— Merci, Monsieur.
Il n'est pas très... chaleureux et c'est un obsédé de la propreté, mais il va m'éditer... peut-être...
Je termine le nettoyage. Le couloir et les toilettes des Éditions Millevertus étincellent.
J'ai pris pas mal de retard. Les autres filles sont parties.
Je rejoins l'entrepôt où je peux dormir avec d'autres filles dans une petite pièce.
***
Étant donné qu'on travaille la nuit, on dort tard.
Le lendemain, après avoir fait sa petite pipe à Bajram, qui trouve que je suis très douée, je lui demande s'il a reçu des nouvelles du directeur des Éditions Millevertus.
Et, oui, c'est en ordre. Il me déposera même samedi midi en camionnette, car la maison est en dehors de Paris.
Tout se goupille bien, sauf que vendredi soir, je suis de corvée. Cette fois-ci, on va nettoyer des bureaux dans le 9.4.
Tout ce qu'il ne faut pas faire ! Je suis sûre qu’Éric Emmanuel Schmidt n'a jamais dû faire du nettoyage pour être édité !
***
Samedi ! Je me lève à midi. Je suce Bajram pour la dernière fois, j'espère !
Il me dépose à Senlis, devant une belle villa.
Je sonne. Une jolie métisse vient m'ouvrir.
Elle est au courant et ne me fait pas trop de remarques sur mes vêtements.
Elle est gentille, belle et énergique. C'est ce qu'il me faut. Elle me lave, « soigneusement » et partout, comme a dit mon futur — oh, j'espère — éditeur.
Ensuite elle me masse... mmmhhhh... c'est agréable ! Elle me coupe les ongles des mains et des pieds, me coiffe, me maquille...
Ensuite, je m'habille moi-même. Une robe noire et un petit tablier blanc.
Je me regarde dans un miroir... je suis transformée... presque belle... en tout cas, séduisante. C'est ce que me dit la métisse.
Et là, je me rappelle ma corvée. Nettoyer et ranger la pièce de réception.
Je lui dis :
— Je dois nettoyer...
- Non, la bonne s'en est occupée. Il y avait trop de travail pour te transformer !
***
— MIA !
Oui la Voix
— Tout le monde s'en fout qu'une métisse te coupe les ongles des pieds, accélère ! Qu'est-ce qui se passe après !
***
Le soir, il y a des invités, un buffet et beaucoup à boire...
Ce sont tous des gens qui sont dans le domaine des livres ou de la BD. Des auteurs, des scénaristes, des dessinateurs.
On est 4 serveuses pour s'occuper d'une vingtaine d'invités.
Normalement, le petit personnel passe inaperçu dans ce genre de soirée. Si, si, je vous parle d'expérience.
Mais, pas ici... J'ai droit à quelques compliments et même à quelques mains discrètement baladeuses sur ma croupe.
On sert à manger, à boire...
Le directeur me montre 2 dessinateurs que je pourrais intéresser.
Il y en a un qui me plaît plus que l'autre. D'accord, c'est avant tout le talent qui compte... mais, je suis une fille et blonde !
J'essaie de me rapprocher de lui le plus possible.
Enfin, il me fait signe.
— Oui, Monsieur ?
— Apporte-moi un scotch, sans glaces.
— Oui, Monsieur, tout de suite.
Je lui apporte son verre.
Et maintenant, je vais lui dire... je vais lui dire...
— C'est bon, tu peux disposer.
— Dites… vous voulez bien me faire des dessins…
Il est surpris,
— Tu veux que je te dessine un mouton, petite Princesse ?
— Oui, mais... non, des dessins pour illustrer mes histoires....
D'accord, c'est un peu surréaliste comme dialogue.
Je lui tends un paquet de feuilles.
Il me laisse un moment, la main tendue... Je prends mon air « je suis une petite orpheline perdue dans un monde cruel. »
— Tu es gonflée, toi !
— Je vous en prie, Monsieur.
— Bon... Je vais jeter un coup d'œil. Si c'est des conneries, on va dans une chambre et je te donne une bonne fessée. D'accord ?
— Oui, Monsieur, d'accord !
Il commence à lire. Je reste devant lui !
Il lit quelques pages, puis il se lève et me dit :
— Suis-moi.
Je serre les fesses… avec appréhension !
On monte à l'étage. Je geins :
— Vous n'avez pas aimé ? Vous allez vraiment me donner une fessée ?
On va dans une chambre. Il s'assoit dans un fauteuil et me dit :
— C'est pas mal...
Ça y est, l'orpheline a retrouvé ses parents ! C'est une image.
— Il y a des choses autobiographiques ?
— Oui Monsieur. Le début à Lyon et puis une partie de « Mia en mousse » et...
— OK, prouve-le-moi… à genoux.
Logique… pour avoir des dessins, il faut sucer aussi.
Pendant qu'il lit, je descends la tirette de son pantalon et je sors délicatement son sexe.
Je l'embrasse avec la fougue d'un auteur qui rêve d'être publié !
Son sexe reçoit le message 5 sur 5 et se métamorphose en... machine de guerre !
***
— Toujours, le sens de la mesure, Mia !
***
Sous mes yeux le méat laisse échapper une goutte de liquide, preuve indéniable de l'intérêt que je suscite, enfin que « Mia sans dessous » suscite...
Il bouge, je vois qu'il a sorti un crayon de sa veste. Il écrit au dos d'une feuille, peut-être une liste de course, peut-être... un dessin…
Oui, il dessine !
Il me dit :
— Accélère.
Pas besoin d'en dire plus ! J'ai sa bite sous le nez et elle frôle l'apoplexie ! Il faut la faire dégorger d'urgence.
D'une main, je fais coulisser le prépuce et je prends le gland en bouche.
Pourvu qu'il ne fasse pas de raté dans « mon » dessin.
— Utilise aussi tes mains.
D'accord. Du moment qu'il utilise la sienne pour me faire des dessins !
Je caresse et branle le sexe d'une main et de l'autre, je caresse ses couilles.
Il dessine, je suce.
Au moment où je sens le membre gonfler dans ma bouche, le dessinateur, en vrai gentleman sort son sexe de ma bouche et arrose le couvre-lit en soie.
Cool !
Je le regarde... la bouche humide. Il me montre le dessin.
Oh !!! C'est moi ! Quand j'étais « en service » à Lyon. Je suis en soubrette, assise sur un lit ! Qu'est-ce que c'est beau, qu'est-ce que je suis belle ! Belle et désemparée…
Il me tend la main, je l'embrasse.
Il rit :
— Mais non, tope-la. Je vais te faire des dessins.
Je tope... en pleurant d'émotion, bien sûr !
Je bredouille :
— Pour de vrai ?
Il hausse les épaules, genre, je t'ai dit que je le ferai, je le ferai...
— Arrête de pleurer et mouche-toi...
— Oui, Monsieur.
— Bon... Je lis encore un peu... Tu peux y aller.
— Avec le dessin, Monsieur ?
— Bien sûr, il est pour toi !
Mon premier dessin.
Je redescends et je pars à la recherche de Monsieur A.
A suivre.
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2 – Le grand nettoyage.
***********************
Comme, je l'ai déjà dit, Saint Ouen, c'est... folklorique !
Bon, pour me motiver, je m'imagine, invitée chez Laurent Ruquier pour parler de mon dernier livre... Hélas, un de ses chroniqueurs, le méchant, il y en a toujours un, se met à descendre mon livre. Pffff... Même mon imagination me joue des tours !
J'arrive devant le café... Il n'est pas très engageant. Il y a surtout des hommes.
Quand j'entre, tout le monde me regarde. Je me fraye un passage vers le bar pour demander si Monsieur Bajram est là.
Le patron me montre une table où il y a quatre hommes qui discutent.
J'y vais et je dis :
— Bonjour, excusez-moi de vous déranger, je voudrais parler à Monsieur Bajram.
Un gros homme, la cinquantaine et noir de poils, me regarde :
— C'est moi... mais, tu nous interromps pendant qu'on est en train de discuter.
Je deviens toute rouge :
— Pardon, mais...
Il me coupe, — Sois polie et attend qu'on ait fini de parler.
Je ne peux pas dire que je raffole de me faire « gronder » en public !
L'homme qui est assis à côté de lui, se recule un peu et me montre un petit bout de baquette. Je le remercie et m'y assied un peu difficilement, vu le peu de place et le volume de mon derrière !
Ils parlent encore... pendant une bonne dizaine de minutes.
Enfin, la discussion se termine. Bajram se souvient de mon existence et se tourne vers moi.
Il n'a pas l'air commode du tout. Gros, suant, poilu... une cicatrice sur le menton et une sur le sourcil, une vraie, en zigzag.
Il me dit :
— Alors, pourquoi, nous as-tu interrompus ?
On parle au-dessus de l'homme qui m'a fait une place.
— ... euh... je viens de la part de Monsieur William, parce que je... cherche du travail.
— Dans le nettoyage ?
— ... euh...oui...
Il n'a pas l'air de trouver très crédible qu'une fille comme moi, c'est à dire... euh... assez séduisante… ait envie de nettoyer des bureaux, plutôt que de chercher une place de vendeuse ou de serveuse.
Je lui donne l'enveloppe en disant :
— J'ai ceci pour vous.
Il l'ouvre, lit et éclate de rire, ce qui ne doit pas lui arriver souvent.
Il donne le mot aux autres qui se mettent à rire aussi.
Ben, pourquoi ??
Il me tend la feuille. Il est écrit « Cette petite suce comme une reine ! »
— Qu'est ce qui est écrit Bajram ? demande une femme qui est à deux tables de nous. Il lit tout haut :
— CETTE PETITE SUCE COMME UNE REINE.
Franc succès... comique ! Tout le monde me regarde et moi, je regarde mes pieds.
Je les fais bien rire… enfin grâce à William ! On devrait peut être monter un numéro !
Bajram me dit, bien fort :
— Bon, tu as références intéressantes. Je t'engage pour une semaine. C'est quoi ton nom ?
— Mia, Monsieur.
Alors, quoi ? Est-ce que je me tire, honteuse comme... une renarde qui vient de se faire enculer par surprise et par un petit lapin ou... je fonce ?
Je n'ai pas dépensé des sommes folles pour le voyage en car, plus un sandwich, un coca, un ticket de métro... Je fonce.
— Merci, Monsieur, je travaillerai bien.
Il m'examine plus attentivement... puis il dit :
— C'est dur le nettoyage, tu es capable ?
— Oui Monsieur, je vous assure, je...
Il me coupe.
— D'accord, tu commenceras ce soir. Tu viendras à l'entrepôt avec moi.
— ... euh... oui, merci Monsieur... C'est le soir ?
Il secoue la tête en prenant l'air accablé :
— Tu crois qu'on fait ça, la journée quand tous les gens sont là ?
Comme je ne sais pas quoi répondre, il dit :
— Bon, tu peux rester ici, si tu veux.
Ils recommencent à discuter dans une langue qui pourrait bien être de l'Albanais.
J'ai bientôt un boulot, alors je ne compte plus, je commande une bière et un sandwich.
Bajram regarde arriver la bière et me dit :
— Tu n'en bois qu'une, va falloir travailler dur cette nuit.
— Oui, Monsieur.
On reste encore une petite heure, puis Bajram me dit :
— On y va.
Les gens du café nous regardent partir. J'ai droit à un :
— Suce bien, petite.
Et un :
— Tu fais le nettoyage des bites ?
J'en passe et des moins classes !
Bajram a une grande camionnette. Sa raison sociale est écrite sur les côtés et à l'arrière.
*****************
« Bajram et associés »
Nettoyages bureaux
Salles de spectacles...
Service impeccable
« À l'ancienne. »
*****************
En dessous il y a le dessin d'une femme à genoux qui nettoie un sol, à l'aide d'une brosse. Je comprends ce que « à l'ancienne » veut dire !
On arrive à son entrepôt. Il y a des femmes qui attendent.
Des Arabes, des Blacks et les Occidentales viennent de l'Est.
***
— Viens en au fait, Mia. Les lecteurs veulent savoir comment, tu as fini par rencontrer le directeur de la maison d'éditions et s'il s'est montré intéressé.
Oui, je sais, la Voix... mais ça a été trois jours pénibles. Tu veux bien le raconter à ma place ?
— Mais... tu crois que je n’ai que ça à faire ?
Steuplé... Steupléééééé…
— Pfffff… bon, d’accord.
***
Le soir même, Mia part avec trois autres filles pour nettoyer des bureaux. Hélas, il s'agit d'un autre building abritant des sociétés.
Une fille lui dit :
— Vendredi on va dans le building du cul, tu verras, c'est marrant !
Encore 3 nuits de nettoyage, pour Mia.
Bajram veut que les femmes travaillent à l'ancienne, c'est à dire, à genoux.
Ça plait beaucoup aux employeurs ! Nettement moins aux filles !
En contrepartie, il paye bien.
Mia déteste faire le ménage. Pour tout dire, chez elle, une chatte ne retrouverait pas ses petits ou un capitaliste les codes secrets de ses comptes off shore...
Donc, Mia a du nettoyer à genoux des kilomètres de couloirs et des mètres carrés de chiottes !
De plus, le patron a voulu vérifier ses références, « cette petite suce comme une reine ». Elle a dû lui faire des fellations en rentrant, épuisée, d'une nuit de dur labeur ! Bon, à toi, Mia !
Enfin, vendredi, c'est le tour des Éditions Millevertus !! Après, 3 nuits à récurer à genoux et à sucer la bite du patron, j'arrive devant le saint des saints : le bureau du directeur. Sur sa porte, il est écrit « Directeur général ».
J'ouvre la porte et je vois tout de suite le grand agenda dont m'a parlé le Black.
Oh ! Il y a un homme assis derrière un bureau...
Je bredouille :
— Pardon... Monsieur, je reviendrai plus tard.
— Non restez, vous tombez bien !
C'est un homme d'une cinquantaine d'années, bien habillé. Il n'a pas l'air content... et il le dit :
— Je ne suis content du tout de la façon dont mes bureaux en général et le mien en particulier, sont nettoyés !
Il se lève et va vers la fenêtre :
— Regardez ces traces sur les carreaux. Allons, venez voir.
Il me montre de vagues traces.
— Oui... euh...
— Et ça ?
Il passe le bout de son index sur l'appui de la fenêtre. Il est vaguement sale.
— Oui, mais...
Il me coupe à nouveau :
— Je vais me plaindre à votre patron ! Si vous avez choisi de nettoyer, faites-le bien, au moins.
Je dis très vite :
— Je ne suis là que depuis 3 jours, Monsieur.
Il m'examine :
— J'espère que vous allez mieux nettoyer que vos collègues !
— Oui, Monsieur.
C'est un maniaque ! Ce bureau est impeccable !
Il ajoute :
— J'attends un coup de téléphone. Je vous demanderai de sortir à ce moment-là, mais, en attendant, mettez-vous au travail et faites ça bien, pour une fois !
— Oui, Monsieur.
Comme je ne bouge pas, il dit :
— Quoi, encore ?
— ... euh... Monsieur, je ne fais ça, que provisoirement...
Il hausse les épaules en disant :
— Je suppose que personne ne veut faire du nettoyage de bureaux, définitivement.
Et là, il me vient une idée ! Oui, je suis blonde, mais ça m'arrive.
— C'est... euh... mon amie... qui me punit, parce que je ne m'occupe pas assez bien du ménage. Elle m'oblige à faire ça pendant une semaine.
Une relation lesbienne avec une femme dominante qui aime la propreté, ça devrait grave lui plaire !
Il est surpris, mais pas plus souriant,
— C'est très gentil à vous de me raconter votre vie, mais ça ne m'intéresse pas, mettez-vous au travail !
Bon, je n'ai plus rien à perdre, alors, je me lance :
— Je vous dis ça... parce que... euh... c'est une coïncidence, mais j'écris.
Il me détaille de haut en bas. Je suis habillée d’une robe tablier tachée. Mes bas sont trop grands et ils tirebouchonnent sur mes mollets. De plus, j'ai un torchon dans une main et un seau dans l'autre.
Il a l'air amusé et... méprisant.
— … et qu'écrivez-vous, Miss Souillon ?
Ouch ! C'est violent, ça ! J'en ai les larmes aux yeux.
— J’écris des histoires érotiques, Monsieur.
Je sors le dvd de ma poche et lui tend.
Il doit trouver qu'il a été un peu fort avec son « Miss Souillon » car il lève les yeux au ciel, pousse un long soupir, mais... il met le dvd dans son PC... en disant :
— Je vais jeter un coup d'œil. Mais, ne restez pas plantée là, commencez à nettoyer.
— Oui. Tout de suite, Monsieur !
Je vais chercher le liquide pour les carreaux et enlever toutes les traces.
Ensuite, je nettoie comme si la vie de mon livre en dépendait !
Mon Dieu, faites, qu'il aime !
Les carreaux sont bientôt impeccables.
Je me mets à genoux pour nettoyer sous les meubles. Il pourra ainsi apprécier mon meilleur profil !
*-*-*-*-*-*-*
A suivre.
PS mes livres :
“Mia sans dessous.” Avec 81 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P30476-mia-sans-dessous-morgan-bruce-michael-mia.html
https://www.amazon.fr/Mia-sans-dessous-Michael-ebook/dp/B01DUI7ZJW/ref=pd_sim_351_3?ie=UTF8&psc=1&refRID=6ECBWGE65BVE6MR3RH95
“Les fesses d’Eva L.” 155 pages 3,50 e
https://www.amazon.fr/fesses-dEva-collection-Pleine-Lune-ebook/dp/B01JM76ABO
“Eva en uniforme.” 155 pages 3,50 e
https://www.amazon.fr/Eva-uniforme-II-aventures-dEva-ebook/dp/B01LZV7WG2
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Bonjour à tous,
J'écris des livres qui parle de domination et de soumission. Bien sûr, ça n'intéresse pas beaucoup de gens, sauf ici peut être...
Le livre dont je vous parerai d'abord c'est "les fesses d'Eva L" et il est ici “Les fesses d’Eva L.”
https://www.amazon.fr/fesses-dEva-collection-Pleine-Lune-ebook/dp/B01JM76ABO
Mais avent ça je voudrais vour raconter en plusieurs épisodes, comment j'ai réussi à me faire publier à Paris.
Allez, j'essaye.
1 - Le rêve de Mia.
On a tous des rêves, petits et grands. Moi, je suis le genre à me bouger le cul pour que mes rêves se réalisent. Ce n'est pas très élégant, dit comme ça, mais mon cul va avoir un rôle important.
Mon rêve, enfin un de mes rêves, c'est d'être publiée... sur du papier comme dans l'ancien temps.
Alors, je m'applique, je raconte des choses qui me sont arrivées, je les embellis, aussi. Et puis, je raconte des histoires de pirates, d'aventures, de « red light district. », de harem, de chiens... très affectueux... Toutes des choses cool.
Alors, il y a un mois, je me suis dit :
— Ma fille, si tu veux être publiée bouge-toi le cul.
Ce que j'écris est quand même un peu spécial, étant donné que je n'imagine les rapports humains... enfin, disons, le sexe, que dans des rapports de domination/soumission. Genre, une personne tient le fouet, l'autre rampe à ses pieds !
Vous allez me dire que, je pourrais écrire une histoire de domination soft pleine de... nuances. Ah oui, je vois très bien ce que vous voulez dire ! J'adorerais avoir autant de succès que les femmes qui écrivent des histoires... nuancées ! Mais bon, moi, je connais ce milieu, contrairement à l'auteur dont on parle.
— Bref?
Oui, vous avez raison, bref, moi, j'écris des histoires pour les adultes!
Je me suis renseignée et il n'y a qu'une maison d'éditions qui édite ce genre de livres : les Éditions Millevertus à Paris.
Ok, Paris ce n'est pas le bout du monde, alors je casse ma tirelire. C’est que moi, je n’ai qu’un petit salaire. Bah, je mangerai des pâtes!
***
— Eh, oh, Mia! T'en fais des tonnes là !
Tiens, la Voix ! T'es ici aussi ?
— Je suis partout où tu es.
Ah, ben oui, logique (La voix, c'est ma voix intérieur, qui sommeille en général dans mon nichon gauche !)
***
Bon, je ne mangerai pas des pâtes, mais des raviolis !
Je prends le car pour Paris avec mon dvd, sous le bras, enfin, dans mon sac.
En arrivant à Paris, après 6 h de route - c'est long – j’admire la ville du haut de mon car.
Alors, je lançai sur cette ruche bourdonnant un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et je dis ces mots grandioses : A nous deux maintenant ! *
Je me perds d'abord dans le métro… Pas facile quand on vient de la province…. Je finis pourtant par arriver du côté de la porte de Saint Ouen. Ce n'est pas pour critiquer, mais ce n'est pas le plus beau coin de Paris.
Par contre, l'immeuble où se trouve le siège des Éditions Millevertus est moderne et assez impressionnant.
J'entre dans le hall. Il y a beaucoup de gens qui vont et viennent.
Je regarde les noms des sociétés qui ont leur siège dans cet immeuble.
Oh! Ce sont toutes des sociétés de cul!
— MIA!
Je veux dire, ce sont des sociétés qui on en commun, une activité en rapport avec l'érotisme.
En plus, des « Éditions Millevertus. », il y a « X movies and videos. » « Sex Toy International. » « Agence Charme. » « The golden shower Inc. »
J'arrête ma lecture parce qu'une chatte m'interpelle!
— Vous désirez ?
Oui, les hôtesses sont des chattes! Collant noir soulignant leurs formes, petites oreilles pointues et même une queue que je vois dépasser du bureau.
C'est surprenant! Mais, bon, pourquoi pas.
J'aurais du faire un effort, question vêtements, mais je crois que je vous ai déjà parlé de mon salaire.
J'ai un jean propre, à peine déchiré au genou droit et un tee shirt du groupe de hard de Seattle « Alice in chains. » Au dessus, un petit blouson en cuir un peu étriqué mais à peine râpé. Ah, oui et des baskets, sans chaussettes parce qu'elles étaient toutes « au sale ». ... euh… peut être que je rentre un peu trop dans les détails!
Les visiteurs s'adressent à une des chattes et reçoivent un badge qu'ils doivent porter. Ils passent ensuite dans un portique qui détecte le métal comme dans les aéroports. Un garde vérifie qu'ils n’ont pas une arme en plastique et les laisse passer.
Les chattes me regardent... amusées.
S'en suit le dialogue suivant.
— Vous désirez?
— ... euh... voir le patron?
— Le patron de quoi?
—... euh... des Éditions Millevertus.
— Il est à 6000 kilomètres d'ici.
— Alors... euh... le directeur.
— Vous avez rendez vous?
— Non, mais c'est pour lui donner un livre que j'ai écrit et il est sur dvd et...
Là, les filles se regardent et se mettent à rire, mais, bien, franchement!
Dites c'est normal, ça, des hôtesses chattes qui se foutent de la gueule des visiteurs ?
Elles ne me répondent même pas. Une des deux appuie sur le bouton d'un interphone et dit :
— William tu peux venir.
Un grand Black arrive.
— Tu veux bien reconduire, Mademoiselle.
Quelle garce!
Je leur dit :
— Mais, vous pourriez au moins...
La chatte se lève et va murmurer quelque chose à l'oreille du garde. Quoi? Elle n'est vraiment pas polie cette chatte!
Le garde me prend par le bras, serre un peu et on sort.
Comme, je suis sur le point de pleurer, il me dit :
— Pleure pas, personne ne peut entrer sans rendez vous depuis les attentats.
Je lui explique :
— Mais, j'ai pris le car de Bruxelles…
— Envoie ton manuscrit par la poste.
— Vous croyez qu'on le lira ?
Il hausse les épaules, en disant :
— Je ne crois pas. Ils reçoivent des quantités de manuscrits et de dvd...
— Et, si je téléphone?
— Si tu ne téléphone pas de la part de quelqu'un qu'il connaît, on ne te passera jamais le directeur.
— Peut être, si je vais devant chez lui ou dans un restaurant où il va ou en boite... Je devrais pouvoir rester 5 minutes dans son bureau pour me renseigner sur lui.
— C'est tellement important ?
— Oh oui, Monsieur, je suis sûr que s'il lit mon manuscrit, il publiera mon livre : c'est mon rêve !
Il réfléchi :
— Je connais une façon pour toi d'aller dans son bureau, mais ce sera un peu compliqué.
Bon, là, je sais qu'il va me demander quelque chose en contrepartie, de l'argent ou mon cul !
Et... il met sa grosse main sur mes fesses !
Ouf ! C'est mon cul qu'il veut!
Oui, parce que je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais... j'ai des fins de mois difficiles !
Je frôle délicatement la bosse qui est apparue dans son pantalon ! Ces deux gestes : sa main sur mes fesses, la mienne sur sa bite, c'est comme deux marchands de chevaux qui se tapent dans la main : on vient de conclure une affaire ! Ton cul contre le renseignement.
On retourne, dans l'immeuble vers les 2 chattes.
Le black leur dit :
— Je vais discuter dans le bureau avec Mademoiselle.
Les hôtesses se marrent à nouveau! Une des deux me dit :
— J'espère que tu as une grande bouche, parce qu'il a une grosse bite.
Les autres visiteurs nous regardent amusés.
Je devrais répondre quelque chose à cette pouffe en chatte, mais à la place d'une répartie cinglante, je deviens toute rouge.
On va dans le local du garde où il y a une série de petits écrans de contrôle reliés aux cameras de surveillance.
Le Black descend la tirette de son pantalon et extrait un sexe qui bande déjà à moitié. Il s’assoit en disant :
— La sucette de Mademoiselle est avancée !
Il est marrant… enfin, pour un garde privé !
Les mecs marrants, j'aime... mais faire une fellation à un inconnu, j'aime moins !
On ne connaît pas les habitudes d'hygiène du Monsieur. Mais, bon, j'ai entendu dire qu'il fallait coucher pour réussir dans le ciné ou la télé, on va dire qu'il faut sucer pour réussir dans la littérature.
***
— Qui fait de la littérature?
Oui, la Voix, en l'écrivant je me suis dis, « ça va réveiller la Voix... »
— J'aime pas être la voix intérieure d'une gamine qui a la grosse tête !!
Tu as raison, je recommence : on va dire qu'il faut sucer pour réussir dans... les livres cochons ? Les écrits dégueulasses ? Les torchons qui sortent d'une poubelle ?
— Ça va, ça va n'en rajoute pas ! Va sucer, c'est encore ce que tu fais le mieux!
***
Ppffff...
Je m'agenouille à côté des jambes du garde, le nez contre son gland rose et humide. L’odeur est légère ! Ouf ! Il a une salle de bains et il l'utilise. Comme ça, ça va !
Comme un de mes principes, c’est de connaître le prénom d’un Monsieur, que je vais sucer, je lui demande :
— Tu t'appelles comment?
— William. Et toi?
— Moi, c'est Mia.
— Ravi de me faire sucer par toi Mia.
Je ne vais pas sucer un inconnu, mon honneur est sauf !
Je commence à lécher le gland comme si c'était un magnum glacé aux amandes (j'adore ça !). J'enfonce le bout de ma langue dans son méat... Et, puis j'arrive à le prendre tout à fait en bouche. Ouch ! C'est juste ! J'ai la bouche pleine ! Ma tête va et vient sur son membre et ma luette, vient caresser son gland. Il aime, me le dis, le grogne même...
Quand je sens que son membre grossit, je le retire juste à temps et il arrose le plancher. C'est vrai, quoi, je ne suis pas dans une histoire de Mia, où les filles sont vaccinées contre les MST.
Je prends quelques de kleenex et je nettoie le plancher.
Bon... et maintenant ? Je reste à genoux et je pose la main sur sa cuisse musclée.
Il apprécie... ma soumission et remplit sa part du contrat : fellation contre renseignements.
— J'ai remarqué que Monsieur A notait tous ces rendez vous, dans un grand agenda qui se trouve sur son bureau. Pour y aller, je ne vois qu'une solution, fais-toi engager dans l'équipe de nettoyage. Celui qui s'en occupe, c'est un nommé Bajram, un Albanais. Le soir, il est souvent dans un café de quartier. Tu as vraiment envie d'aller dans ce bureau?
— Oui, Monsieur, vraiment.
Je me relève. Il prend une feuille de papier, écrit quelque chose, le met dans une enveloppe qu'il ferme en la léchant. Ensuite, il écrit l'adresse du café.
Il me donne l'enveloppe en disant :
— Donne-lui ça.
Comme, il n'a pas encore remis son matos dans son pantalon, je me baisse et donne un baiser sur son sexe qui est tout alangui sur une de ses cuisses.
— Merci, Monsieur.
Il me reconduit. En passant une des chattes lui demande :
— Elle suce bien.
— Super!, répond-il en levant le pouce.
Bon...
Un bisou, sur la bouche, cette fois-ci... Et, en route pour de nouvelles aventures.
* Je sais, qu’on dirait du Balzac.
— C'est du Balzac, Mia!
Oh, ben, mince! C'est une… euh… coïncidence...
*-*-*-*-*-*-*-*
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